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Histoire de Shanghai de Marie-Claire Bergère
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Ville
pionnière, Shanghai l'est depuis longtemps. Son destin est scellé en
1842, quand une poignée de Britanniques, bientôt suivis de Français et
d'Américains, arrachent des "concessions" au gouvernement impérial. Ces
Barbares venus de l'ouest devaient y rester près d'un siècle. Avec les
Chinois, ils allaient faire de Shanghai la capitale d'une autre Chine,
cosmopolite et entreprenante.
Symbole
du capitalisme triomphant, Shanghai est à l'avant-garde des mouvements
de masse : le parti communiste y est fondé en 1921 au moment même où le
parti nationaliste commence à renaître autour de Sun Yat-sen. À partir
de la fin des années 1920, sous l'impulsion de Chiang Kai-shek, elle
devient la vitrine moderne d'un régime qui ne l'est guère. Elle voit
alors s'épanouir le Haipai, une culture populaire influencée par
les modèles importés de l'Occident, mais acquiert la réputation de
capitale de la prostitution et de la mafia. Occupée par l'armée
japonaise dès 1937, elle ne connaît qu'une brève embellie après la
libération et assiste, passive, au triomphe de la révolution communiste.
Mal aimée du régime maoïste qui ne lui pardonne pas son passé
capitaliste et impérialiste, elle rentre en grâce à la fin des années
1990 auprès des dirigeants de Pékin qui veulent en faire la tête d'un
nouveau dragon.Histoire de Shanghai, Marie-Claire Bergère Paris, Fayard, 2002, traduit en 2005 en chinois par Wang Ju et Zhao Nianguo (deuxième édition en 2014).
白吉尔 (Marie-Claire Bergère) 著,«上海史:走向现代之路» Histoire de Shanghai,王菊,赵念国(译),上海,上海社会科学院出版社,2014,365页,ISBN 978-7-5520-0528-8 http://cecmc.hypotheses.org/17775
Table des matières
Introduction : Shanghai et la modernité chinoiseI. Le port ouvert (1842-1911)1. Les étrangers dans la ville (1843-1853)2. Diplomatie locale et politique nationale3. Naissance du capitalisme shanghaien (1860-1911)4. Le kaléidoscope de la société shanghaienne5. Le modèle des concessions6. La révolution de 1911II. La métropole (1912-1937)7. L'Âge d'or du capitalisme shanghaien (1912-1937)8. Le foyer de la révolution (1919-1937)9. Ordre et crime (1927-1937)10. Le Haipai et l'idéal de la modernitéIII. La fin d’un monde (1937-1952)11. La guerre, l'occupation et la fin du statut international12. À reculons dans la révolution (1945-1952)IV. Shanghai sous le communisme 13. La mal-aimée du régime maoïste14. La renaissance (1990-2000)Épilogue : Shanghai à l'orée du XXIe siècle AnnexesBibliographieChronologieIndexTable des cartes et plans
Compte-rendu de Xiaohong Xiao-Planes, « Marie-Claire Bergère, Histoire de Shanghai », Perspectives chinoises, 80 | novembre-decembre 2003 Mot(s) clés libre(s) : Shangai, concession française, Académie des sciences sociales à Shanghai
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3 – L’expérience doctorale
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?Symposium 3 – L’expérience doctorale- L’initiation à la recherche – Annick Louis (U. de Reims).- Networking in the digital age?! Le parcours doctoral vu par deux jeunes chercheurs en histoire du droit et des institutions – Nicolas Simon et Quentin Verreycken (U. Saint-Louis, Bruxelles).- Le discours universitaire-scientifique et le malaise subjectif : ce qui ne va pas de soi – Marluza Da Rosa (U. de Campinas, Brésil).
- Déconstruction de l’activité scientifique du doctorant : la construction d’un éthos d’enseignant-chercheur en devenir – Marion Rollandin (U. de Paris 4)
Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?
Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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2 – Interférences entre vie privée et vie professionnelle
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?- Parentalité et recherche : quelques éléments à partir d’une enquête auprès de jeunes chercheurs en Belgique – Pascal Barbier (U. de Paris-1).- Espace privé, espace caché. Constituer l’environnement privé des chercheur-es en questionnement épistémologique – Paul Cormier (U. de Lausanne/IEP Bordeaux).Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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1- Régulation et recherche
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?Ouverture- Engagement et distanciation: à propos de l'expérience des chercheur(e)s. Bernard Fusulier (FNRS-U. de Louvain)Symposium 1 – Régulation et recherche- Qualité de l’emploi et perception d’écart entre les besoins individuels et les caractéristiques de l’emploi chez les doctorants : impact sur l’intention de quitter – Fabrice Travaglianti (U. de Liège)- Les jeunes chercheur(e)s aux prises des mutationsde nos sociétés - Thomas Pierre (U. de Lorraine)- Être jeune chercheur en SHS et boursier CIFRE : quelles motivations, quelle satisfaction, quelle insertion ? – Dagmara Gut (U. de Lille-3)- Précarité à l’université en Allemagne aujourd’hui – Clara Pacquet (U. de Paris-1)Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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