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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ORTU Elena
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Mot(s) clés libre(s) : Alpes (massif, France), méthode scientifique, paléoclimatologie, paléoenvironnement, palynologie
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Les incunables du cinéma scientifique
/ Jean-Michel ARNOLD, Institut de Cinématographie Scientifique, C.N.R.S Images
/ 03-01-1984
/ Canal-U - OAI Archive
MUYBRIDGE Eadweard, MAREY Etienne Jules, LUMIERE Louis, CLEMENT Maurice, BULL Lucien, OMEGNA Roberto
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Ce montage d'extraits des premiers films du cinéma scientifique, tournés entre 1872 et 1911, présente différentes inventions et techniques cinématographiques avec des images mises en mouvement par : - Eadweard Muybridge, inventeur du zoopraxiscope : personnes, enfants, cavaliers, chevaux et mules (1872-1890). - Etienne Jules Marey, inventeur du chronophotographe : animaux et personnes (1882-1890). - Louis Lumière, inventeur du cinématographe : démolition d'un mur et arrivée des congressistes de la Société Photographique (1895). - Clément Maurice : séparation des soeurs siamoises Rodika et Dodika par le Docteur Doyen (1898). - Lucien Bull, premières expériences de cinématographie ultra-rapide : insectes (1904-1911). - Roberto Omegna : présentation d'une névropathe (1908), et images en accéléré de la croissance de plantes, de l'épanouissement d'une rose et d'une expérience sur les bulles de savon (1911).GénériqueAuteurs : MUYBRIDGE Eadweard, MAREY Etienne Jules, LUMIERE Louis, MAURICE Clément, BULL Lucien et OMEGNA Roberto Production : CNRS AV, ICS Diffuseur : CNRS Images http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : chronophotographe, cinéma scientifique, cinématographe, Clément Maurice, Docteur Doyen, Eadweard Muybridge, Etienne Jules Marey, histoire des techniques, Léon Bull, Louis Lumière, Roberto Omegna, technique cinématographique, zoopraxiscope
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Le film : 75 ans de Recherche à l'IAP (IAP)
/ Jean MOUETTE, Institut d'Astrophysique de Paris, CNRS images
/ 11-10-2013
/ Canal-u.fr
MOUETTE Jean
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Créé sous le Front populaire et rattaché au CNRS dès sa naissance en
octobre 1939, l’Institut d’astrophysique de Paris (IAP) a fêté son 75e
anniversaire le 11 octobre 2013. Unité mixte de
recherche du CNRS et de l'Université Pierre et Marie Curie, elle compte
environ 160 chercheurs, ingénieurs et techniciens. A la fois
observateurs, modélisateurs et théoriciens, leurs recherches s'appuient
sur de grands programmes observationnels (grâce aux satellite Planck ou
au futur projet Euclid), des calculs numériques intensifs, ou même des
calculs analytiques poussés. Différents chercheurs et
ingénieurs français et étrangers interviennent tout au long du film et
évoquent leurs travaux et les personnalités marquantes qui ont participé
au développement de l'IAP comme Jean Perrin ou Evry Schatzman (médaille
d'or du CNRS en 1983).
Film réalisé par Jean Mouette, suivi d'un commentaire par Jean Audouze. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, recherche scientifique, CNRS
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L'art et la science - Jacques Morizot
/ UTLS au lycée
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MORIZOT Jacques
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Le clivage qui régit les rapports entre science et art est profondément lié à notre histoire culturelle. De nombreux processus ont modifié au cours du temps l’image du savant et de l’artiste : le romantisme, la spécialisation des sciences, la vulgarisation scientifique...Retour sur des siècles d’histoire culturelleUne conférence de l'UTLS au lycée. Avec Jacques Morizot (philosophe, Université d’Aix-Marseille 1). Lycée Pierre Mendès France (13 Vitrolles) Mot(s) clés libre(s) : art, art et sciences, culture, savants, scientifiques
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Qu'est ce que la recherche scientifique ? (Antoine Moreau)
/ UTLS au lycée
/ 17-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Antoine
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Une conférence de l'UTLS au LycéeQu'est ce que le recherche scientifique par Antoine Moreau (maître de conférence) Mot(s) clés libre(s) : chercheur, connaissance scientifique, formation scientifique, ingénierie, métiers de la recherche, recherche appliquée, recherche fondamentale, science
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Les projets collaboratifs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 30-09-2015
/ Canal-u.fr
MICHEL Didier, FUSAI Guillaume, KERAUDREN, Philippe
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Présentation des possibilités de financement des SHS dans l’ensemble d’H2020 :
Moderateur:
Gisèle SAPIRO, EHESS
Présentation : Philippe KERAUDREN, Commission Européenne, DG Recherche et Innovation
Basudeb CHAUDHURI, PCN Sociétés inclusives, innovantes et réflexives
Guillaume FUSAI, PCN Actions Marie Skłodowska-Curie
Didier MICHEL, PCN Science avec et pour la société Mot(s) clés libre(s) : financement, sciences humaines et sociales, recherche, collaboration scientifique
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La recherche scientifique : confiance et vérité (par Bernard Michaux)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-11-2014
/ Canal-u.fr
MICHAUX Bernard
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Recherche scientifique : confiance et vérité.Posons que les sciences pensent, autrement dit qu’elles assument entièrement les questions philosophiques de la recherche de la vérité. Et ceci par la double construction de dispositifs expérimentaux et de cadres théoriques pour interpréter les faits ainsi produits.Or la recherche scientifique est une activité sociale mondialisée avec ses unités de laboratoires, ses réseaux d’information, ses institutions de publication, ses personnels spécialisés et hiérarchisés. La crédibilité, la fiabilité en sont le ciment. Cela passe par des techniques de communication qui tendent à obtenir la confiance.Comment peuvent être ainsi liées dans une même activité recherche de la vérité et rhétorique de la confiance ?Entre les formes du jugement on distingue le juger vrai et le tenir pour vrai. Il faut pourtant remettre en question cette distinction et analyser par quelles procédures, par quelles normes, quelles règles de savoir-faire et de faire-savoir, la confiance prend effectivement part à la recherche collective de la connaissance vraie.Bernard MICHAUX Mot(s) clés libre(s) : recherche fondamentale, culture scientifique, publications scientifiques, vérité (épistémologie), diffusion des résultats de la recherche, connaissance vraie, crédibilité, laboratoires de recherche, collectifs de recherche
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La formation des ingénieurs aujourd'hui : continuités, comparaisons mutations
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MAURY Claude
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Une conférence du cycle : Qu'est-ce qu'un ingénieur aujourd'hui ? L'ingénieur, le génie, la machine de janvier 2010.La formation des ingénieurs aujourd'hui : continuités, comparaisons mutations.par Claude Maury, délégué général du Comité d'études sur les formations d'ingénieursIl est difficile d'évoquer en France la formation des ingénieurs sans avoir à répondre à des interrogations multiples sur le particularisme de notre dispositif, et à devoir tirer au clair un certain nombre de présupposés. La spécificité des solutions françaises, peu discutable sur certains aspects, est avant tout le fruit de notre histoire, même si le développement des formations d'ingénieurs dans les grands pays développés s'est fait de manière assez parallèle, pour l'essentiel après 1860.Les premières formations créées à cette époque, ont résulté pour l'essentiel d'une demande du monde économique, et ont généralement pris place à la périphérie du système universitaire traditionnel.C'est en fait en Allemagne, que s'est imposé en fin du 19ème siècle, un modèle d'école technique supérieure, reconnu ultérieurement (non sans peine) comme université technique. Celui-ci a servi d'inspiration majeure pour de nombreux pays européens et pour l'Amérique du Nord (mais non en France, marquée par la défaite de 1870). Depuis la seconde guère mondiale, on se réfère il est vrai plus couramment au modèle de l'université de recherche nord-américaine, richement dotée en fonds propres, et très fortement irriguée en contrats de recherche, dont l'un des traits distinctifs marquants est sans doute la proximité forte entre toutes les disciplines scientifiques et l'engineering.En ce début de 21ème siècle les formations d'ingénieur sont confrontées à des évolutions extrêmement rapides de leur environnement technologique et industriel, du fait en particulier du déplacement vers l'Asie d'une majorité des industries manufacturières, de l'émergence d'une nouvelle économie de la connaissance et des perspectives ouvertes par de nouvelles associations de technologies en mutation rapide, comme celles de l'électronique et des sciences de la vie. Elles ont aussi à tenir compte d'attentes et d'exigences sociétales nouvelles et de la réalité d'un monde fini, déstabilisé à la limite par la consommation sans frein des ressources naturelles.Dans ce contexte peu prévisible, de grande variabilité, où le succès dépend largement d'une capacité à faire, à bien faire et plus encore à innover, les formations d'ingénieur ont, à trouver un nouvel équilibre entre une vision créative de "supply push" (logique d'offre anticipatrice), par rapport à une tradition de "demand pull" d'ajustement à la demande.Trois lignes d'inspiration peuvent être proposées, qui constituent l'enveloppe potentielle d'une politique volontariste dans ce domaine :- Assurer, par des options institutionnelles adaptées une véritable réactivité stratégique, sans nécessairement passer par une grande taille (même si celle-ci peut devenir un atout décisif, voire incontournable), en s'assurant par contre de la perméabilité effective des interfaces, en particulier entre la technologie et la science, et la création de communautés mêlant hommes de savoir et hommes de réalisation, et d'un management adapté à cette nouvelle donne,- Prendre en compte les exigences imposées à l'ingénieur de maîtriser une complexité accrue, que ce soit une complexité concrète renvoyant au sens pratique, une complexité de modélisation, dont on sait trop qu'elle ne se suffit pas à elle-même, ou une complexité sociale impliquant une acceptation du débat contradictoire jusqu'à une amorce de sens politique,- Veiller à ne pas favoriser à l'excès une vision "fonctionnaliste" des formations, on pourrait même ajouter "gestionnaire", en pensant à l'avalanche de normes et de cadres de références supposés dire le vrai, pour redonner tout son sens et toute sa richesse au rapport entre le cadre de formation et un élève en formation, en attente de motivations et de valeurs, voire de modèles et d'encouragement à développer son potentiel.Si l'importance accordée par un pays à ses formations d'ingénieurs est souvent présentée comme une réponse réaliste à ses besoins, on peut la voir tout autant dans sa dimension symbolique, comme expression d'une foi dans nos capacités à dégager et mettre en oeuvre des solutions originales et efficaces à tous types de problèmes. Mot(s) clés libre(s) : classe préparatoire, Commission des Titres d'Ingénieur, CTI, cycle intégré, école technique supérieure, études scientifiques, formation d'ingénieur, génie, grande école, université technique
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LUDWIG
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques sur les nanos. L’inscription d’une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010.Déluge lumineux conçu pour l’occasion, Quantum fireflies nous projette dans un champ ouvert, quantique, parcouru d’ondes, d’interférences, de flashes et d’éclairs. Résultat d’un workshop mené avec les étudiants en Master et Doctorat d’arts plastiques, cette installation explore la relation de dualité onde-particule telle qu’elle est envisagée en physique contemporaine, en privilégiant une approche bottom-up-bottom-up-bottom-bottom-up-up-…, pour une traversée des échelles concevables et inconcevables. De fantomatiques lucioles évoluent dans l’espace chargé de particules de brume, tout en générant vagues, vibrations et tremblements. Les corps sont irradiés, déformés d’ombre - toute frontière évaporée. Les énergies à l’œuvre à échelle nanométrique se retrouvent ici projetées en plein air, matérialisant peut-être un nouveau champ de probabilités. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (21e siècle), arts visuels et sciences, imagerie scientifique, nanosciences (influence), perception spatiale
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOEVE Sacha
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques. L'inscription d'une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010. Plutôt qu’un paradigme scientifique ou une nouvelle révolution industrielle, les nanotechnologies ne seraient-elles pas avant tout un phénomène esthétique ? Si cette hypothèse mérite d’être prise au sérieux, il convient toutefois de préciser ce que l’on entend par "esthétique". Afin d’éviter tout esthétisme, ou "esthétisation" dépolitisante des productions scientifiques et techniques, ce terme est pris dans son acception étymologique de théorie de la connaissance sensible (du grec, sensation).Ainsi la question du « nano-art » est-elle considérée comme symptôme d’une transformation plus profonde des relations de l’humain et de la matérialité : la montée d’un nouveau sensible induite par les nano-dispositifs à partir d’un fond a-sensible. Ce processus est caractérisé comme : 1) régime d’imagination distinct de la représentation ; 2) promotion d’un ensemble transmodal en soi ; 3) manière de sentir travaillée par une tension entre deux modalités affectives de valuation (Dewey) : « banalisation » et « étrangement » de notre rapport à la matérialité. Abordées comme question esthétique, les nanotechnologies se révèlent être une imagotechnologie où l’image participe d’un schématisme débordant la seule vision. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels (20e siècle), connaissance (philosophie), esthétique (philosophie), imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation)
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