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Mots-clefs > S > Sénégal
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Bakary Diallo : la bande-annonce

/ Franck Guillemain / Canal-u.fr
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Bakary Diallo (1892-1978), berger peul du Foûta-Tôro (Sénégal) est l’un des premiers écrivains africains de langue française, auteur de Force-Bonté (1926), témoignage de son expérience de la Grande Guerre. De retour parmi les siens, il se tourne vers la poésie et choisit la langue peule pour écrire une partie de son œuvre, restée inconnue jusqu’à aujourd’hui. Ce documentaire, en cours de montage, rendra compte de l'enquête menée par Mélanie Bourlet (spécialiste de Langue et Littérature peule au laboratoire LLACAN), soutenue par les enfants de Bakary Diallo, sur une facette méconnue d’un écrivain mystérieux, dont il reste encore beaucoup à dire…
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, écrivain peul
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Carnet de terrain, février 2014, repérage dans le Fouta

/ Franck Guillemain / Canal-u.fr
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Mélanie Bourlet, chercheuse en linguistique au laboratoire LLACAN, travaille sur l'oeuvre de Bakary Diallo, premier tirailleur sénégalais à relater en français son expérience de la grande guerre, et pionner de l’écriture et de la poésie peule, dont les manuscrits ont disparus. Elle fait appel au service audiovisuel de l’Unité Propre de Service « Culture, Langues, Textes » pour réaliser un documentaire qui participera à la réhabilitation de l'oeuvre de Bakary Diallo. Ce montage photo est réalisé à partir de nos premiers repérages, avant le tournage à l'automne prochain...
Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, linguistique, fouta, bakary diallo, Mélanie Bourlet, littérature peule, tirailleur sénégalais, écrivain peul
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Champ sanitaire dakarois, "entrepreneurs" étrangers et thérapies néotraditionnelles/ S. Landry Faye

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 17-09-2009 / Canal-U - OAI Archive
LANDRY FAYE Sylvain
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« Le champ sanitaire dakarois à l’épreuve des nouveaux « entrepreneurs » étrangers des thérapies néo-traditionnelles (Sénégal). », Sylvain LANDRY FAYE (socio-anthropologue, enseignant-chercheur à l'Université Cheikh Anta DIOP (UCAD), Sénégal. Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Association AMADES, Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP) : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire] Cession C : Circulations des malades et des thérapeutes : mobilités sanitaires et négociations thérapeutiques. Atelier C2 : Quand les tradi-thérapeutes migrent. Ces dernières années, la ville de Dakar est devenue une destination privilégiée des mouvements transfrontaliers de populations. Ces dynamiques posent un ensemble d’enjeux, en particulier sur le plan sanitaire. Elles constituent un facteur favorisant la circulation des agents pathogènes (Lalou et al.2007) et ont aussi contribué au départ massif de médecins vers l’Occident (GCIM, 2005.) Cependant, elles ont aussi permis la circulation des thérapeutes valorisant la tradition et religion africaines, en provenance du Ghana, du Nigéria, du Mali et du Cameroun (marabouts, devins, exorcistes, guérisseurs, herboristes etc.) On note aussi une expansion des églises pentecôtistes, dans un pays fortement islamisé. Ces acteurs étrangers, spécialisés dans la prise en charge de pathologies, intègrent un champ sanitaire urbain, dont les dynamismes contemporains méritent une analyse actualisée.En s’intéressant particulièrement aux marabouts et guérisseurs étrangers qui se sont spécialisés dans le traitement de l’infécondité conjugale, cet article vise à décrire les différentes pratiques professionnelles qu’ils mettent en oeuvre pour la prendre en charge; la place que ces thérapeutes étrangers prennent dans les itinéraires thérapeutiques des urbains, comparativement à celle des locaux. Il vise aussi à identifier les modifications apportées dans le champ sanitaire sénégalais, en particulier celui dakarois.Les données présentées sont tirées d’un travail de recherche mené par une équipe d’universitaires de la FLSH (UCAD) en 2008 pour OXFAM, portant sur les dynamiques contradictoires des sociétés ouest-africaines actuelles. Elles ont été collectées par la recension de documents et les entretiens avec des personnes ressources et des acteurs cibles.Nos résultats montrent que les pratiques des thérapeutes étrangers s’inscrivent dans une logique d’hybridation : ils valorisent des savoirs endogènes africains, tout en les associant aux symboles de la pratique biomédicale. Dans le cas de l’infécondité conjugale, ils sont aussi devenus une alternative thérapeutique réelle dans les comportements de recours aux soins des urbains, face à des tradithérapeutiques locaux souvent taxés de « charlatans» en milieu urbain. Ces acteurs ont aussi réussi à remobiliser et à renouveler des idéologies surnaturelles pour expliquer l’infortune, ainsi qu’une médecine traditionnelle locale « instrumentalisée », malgré l’existence de structures associatives (Prometra/Malango.) La proximité entretenue avec la biomédecine s’exprime comme une volonté de conquête d’un nouvel espace de légitimité sociale et politique. Cette légitimité, en voie d’être acquise, remanie les rapports médecine moderne/traditionnelle dans le champ sanitaire sénégalais.
Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, ethnomédecine (Sénégal), migrations, soins médicaux (Dakar - Sénégal)
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CIDMEF SIFEM 2008 - L'expérience du Sénégal

/ Canal U/Tice Médecine Santé / 08-04-2008 / Canal-U - OAI Archive
TOURE Meissa
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M. TOURE nous présente expérience du sénégalaise de l'utilisation du numérique dans l'enseignement à la Faculté de Médecine de Dakar.
Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF 2008, Dakar, Sénégal, SIFEM, XVIIes journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF
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Consultations de Souley Nyakh, tradipraticien à Joal (déc. 2012) - "versements" aux pangols domestiques, onctions et fabrication d'amulettes - visite et "versements" aux habitants d'une forêt de baobabs sacrés

/ 01-07-2013 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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- "versements" aux pangols domestiques, onctions et fabrication d'amulettes Le tradipraticien sérer Souley Niakh de Joal, au Sénégal, âgé d'une quarantaine d'années, reçoit simultanément deux clients dans sa chambre. Il les  fait asseoir sur le lit et des fauteuils en plastique. Lui-même est installé sur une natte synthétique posée à côté du lit, les jambes écartées devant un boubou-tunique en toile de coton traditionnelle, recouvert d'une crasse patinée  correspondant à des versements de sang de poulets sacrificiels. D'une sacoche noire à plusieurs poches, de type pour ordinateur, il extirpe les objets du rituel : un "chasse mouche", bâton de pouvoir en crins de cheval noir, montés sur un manche gainé de tissu rouge, enroulé dans une coudée de bande de tissu de coton artisanal bicolore ; un sachet plastique d'une poudre, probablement polyvégétale, qu'il versera sans récitations dans un récipient d'eau, un pot en plastique blanc de 5 litres, apporté par une des résidentes de la maison qui bavardent dans la cour. Le premier consultant, Mbaye D2., âgé d'une soixantaine d'années vient achèver un traitement pour des maux divers, notamment des douleurs des os et des articulations et fatigue, de cause non précisée : jalousie, sorcellerie due à ses succès ? C'est un musicien sérer célèbre, ami de l'assistant-traducteur de l'anthropologue vidéographe,  Aliou Henri Diouf, lui même musicien. Le tradipraticien fait asseoir Mbaye D2. sur la natte, face à lui, séparé par la tunique sacrificielle posée entre eux. Il trempe les crins de cheval du bâton de pouvoir dans l’eau avec poudre et, de haut en bas, oint par effleurements le crâne, la nuque, les épaules, les bras, le dos, les reins de son patient. Il le fait se relever et exécute des massages des bras avec ses mains, imprégnées de la projection d'une récitation, dans un sens "extractif", de la racine des membres aux extrémités. Ces massages rapides, entre effleurement et passe de magnétiseur, alternent avec des étirements doux des bras et du rachis. A la fin de ce temps, il intime l'ordre à son client de répondre systématiquement positivement à toute question qui lui est posée, comme une imposition d’un optimisme à afficher en permanence : - Si on te questionne, tu dis oui. Tenant le pot d’eau avec poudre, il le conduit alors derrière la chambre dans une étroite arrière cour ou est installé l'autel domestique consacré aux esprits tutélaires du tradipraticien, les pangols. Il est constitué de mortiers défoncés enterrés à l'envers, de pilons enterrés, de divers objets, pierres et de deux volumineux anneaux de fer qui ne semblent pas de facture artisanale. Après avoir versé de l'eau avec poudre sur chacun des objets de l’autel représentant les pangols, le tradipraticien intime à Mbaye D2. de se "laver", sans quitter son pantalon, de s'asperger sur le modèle du schéma corporel de la toilette quotidienne par aspersion, y compris les pieds, posés l’un après l’autre sur le bord de l’autel, dans une proximité extrême et troublante avec les esprits ainsi convoqués. Comme avec un jeune enfant, Souley Nyakh achève la toilette de la tête de son client, la maintenant au dessus de l’autel. Puis, il se saisit des anneaux trempés d’eau avec poudre et les passent horizontalement l'un après l'autre au dessus de la tête de MBaye D. encore penché sur l'autel. De retour dans la chambre-cabinet de consultation, Souley Nyakh le fait asseoir en face de lui,  toujours séparé par la tunique sacrificielle. Il brandit, les bras tendus, la coudée de tisssu bicolore face à la tête de son client, sur laquelle il finit par la poser. Il s'en saisit ensuite pour essuyer les zones qui ont été massées, effleurées, lavées, comme pour récupérer aussi des restes non visibles. Ensuite, il la secoue vigoureusement plusieurs fois et la pose sur la tunique sacrificielle. Puis, il fabrique  une cordelette de coton sur laquelle il effectue 4 noeuds magiques spécifiques avec récitation d'une formule, dont : "J'ai pris une poignée de sable, m'envelopper de Dieu avec un oreiller de pierre". Il attache lui-même la cordelette qui fait deux fois le tour de l'avant bras gauche de Mbay D. Il recouvre alors la tunique sacrificielle et la bande de tissu bicolore d'un morceau de toile blanche percée de trois trous circulaires de la taille de l’ouverture de petits canaris usuels et d'un quatrième plus petit. Le bâton de pouvoir est déposé dessus, puis mis de côté, de même que le tissu blanc et la bande bicolore, pour poser neuf cauris et une petite plaque pesante, non identifiée, l’objet qui joue souvent un rôle de « témoin » dans ce type de divination iconique. Six jets de cauris se succèdent, dont un avec la main de Mbay D. posée sur les cauris étalés. Ils confirment tous la réussite du traitement et le devenir heureux. Après quoi, Souley Niakh demande à Mbaye D2. de  laisser la place au deuxième consultant, El Hadj T., un pêcheur sérer d’une soixantaine d’années qui vient pour les séquelles cicatrisées d'une grave fracture de la partie supérieure du tibia droit, écrasé entre deux pirogues. Il le fait asseoir sur le sol en face de lui et lui mesure le tour du genou droit avec la bande de tissu bicolore. Il mesure ensuite la cheville et réalise un noeud spécifique du même type que celui de la cordelette, transformant la bande de tissu en amulette, en sengor, ceinture de projection de force à un noeud. Il la  brandit à la face du consultant puis vers le ciel et le sol, c'est-à-dire la tunique sacrificielle sur laquelle il la dépose pour se saisir du bâton de pouvoir. Il trempe les crins de cheval dans le seau d’eau avec poudre de la consultation précédente et en oint doucement la jambe souffrante à de nombreuses reprises, du haut vers le bas. Il finit par le massage avec incorporation dans le corps du patient des vertus des paroles magiques projetées dans ses mains à chaque passage devant ses lèvres, accompagnées de claquements de doigts. Ensuite il attache la bande bicolore, devenue sengor à un noeud, au dessus du genou. Il reprend les effleurements de la jambe  avec les crins de cheval trempés d'eau avec poudre, toujours de haut en bas, mais en venant les recharger successivement en les plongeant dans chacun des trous circulaires de la toile blanche posée par dessus la tunique sacrificielle, comme des ouvertures de canaris non visibles. Il interroge ses cauris en quelques jets comme pour vérifier le bon déroulement des opérations, puis entreprend la fabrication d'une cordelette de coton artisanal à 2 noeuds spécifiques avec des récitations. Après l'avoir passée à plusieurs reprises sur la jambe malade, il l'attache à la cheville. Puis il déchire une étroite bande de la toile blanche à trous circulaires et la transforme en cordelette à un noeud, avec récitations de paroles et passage entre les lèvres du guérisseur. Il l’attache au dessus du genou à la place de la bande tissu bicolore nouée. Souley Nyakh fait lever El Hadj T. et le dirige, tout boiteux, derrière la maison. Il lui fait poser le pied sur l'autel domestique des pangols. Trempant les crins du bâton de pouvoir dans le récipient d'eau avec poudre, il effleure doucement le membre malade, de haut en bas, du genou à l'autel.  Ensuite, il verse de l'eau avec poudre, toujours de haut en bas sur la jambe et le pied posé sur l'autel, puis passe les anneaux de fer sur et autour de la jambe avant de les reposer à leur place. Un dernier versement de liquide avec poudre  sur la jambe et l'autel, ainsi qu'une aspersion à l'aide des crins de cheval et il fait retourner son client dans la chambre à la même place que précédement. Il lui a ordonné de bien marcher et effectivement le consultant ne boite plus. Le tradipraticien exécute de ouveaux effleurements avec récitation  à l'aide des crins de cheval, puis effleurement-essuyage du membre à l'aide de la bande de tissu bicolore qui a conservé son noeud. Des jets de cauris divinatoires répétés confirment la réussite du traitement : " C'est bon !" El Hadj T. secoue sa jambe d'un air très convaincu quant à la disparition des douleurs. Souley Nyakh tout en rangeant ses accessoires dans sa sacoche, en sort une clochette-à grelot qu'il écoute attentivement sonner devant chacune de ses oreilles, comme des messages positifs supplémentaires. - visite et "versements" aux habitants d'une forêt de baobabs sacrés Le traitement du premier client, Mbaye D2., se poursuit l’après midi du même jour dans  une petite forêt de baobabs à proximité de Joal, réputée dangereuse car habitée par différents esprits, des pangols (génies sérers), des djinns (génies musulmans et païens) , des animaux dangereux, tels qu'une hyène et un jaxal, traduit faussement par « tigre », vraisemblablement une panthère. Les offrandes destinées aux pangols protecteurs, sont de l’eau, de la farine de mil, du sucre, un poulet vivant, une bouteille de vin rouge, des noix de kola et une pièce de monnaie, sans compter une petite cuvette en plastique, le récipient pour les libations, et l’outil sacrificiel, un couteau de cuisine. Un premier versement rituel d’eau mélangée de farine de mil est effectué à l’entrée de la forêt sur un espace dégagé recouvert de coquillages, de feuilles mortes et de restes de sacrifices antérieurs, noix de kola, flaques de sang séché. Souley Nyakh se saisit du poulet, lui coince les pattes avec un pied, fait une passe du couteau sur la gorge et une torsion du cou qui hypnotise l’animal qui s’immobilise, puis il lui tranche la gorge, versant la totalité du sang en une même place. Après quoi, le poulet est remis mort dans une pochette de plastique pour l’emporter. Souley Niakh la cuvette contenant l’eau avec la farine de mil et le couteau de la main gauche poursuit son chemin jusqu’à deux baobabs aux troncs blanchis, qu’il asperge du reste de l’eau avec la farine de mil, tout en inspectant une cavité à la base d’un d’entre eux. Il poursuit le chemin qui serpente dans la forêt de baobab  jusqu’à une place qu’il nomme « chambre d’épines », où sont empilées des centaines de bouteilles de verre vides de vin rouge, de bière et d’alcool. Il décapsule la bouteille et fait avancer Mbay Diouf afin de lui verser du vin sur les pieds en même temps qu’aux pangols. Cette implication corporelle si près des pangols semble impressionner Mbaye D2. qui essaye de refuser, puis limite la quantité de vin déversée sur ses pieds nus. Il refuse ensuite de boire directement à la bouteille. Malgré les restes de mil, il finit par accepter la cuvette plastique vidée du mélange d’eau, de farine de mil et de sucre comme récipient à boire. Souley Nyakh fait boire au goulot Aliou Henri Diouf, l’assistant-traducteur, puis l’anthropologue caméraman et enfin lui-même. Il se saisit de la caméra pour les filmer en train de boire,  puis leur enjoint de verser du vin sur le sol pour les pangols. A ce moment, le rituel de Mbay Diouf est terminé. Souley Nyakh entreprend contre rémunération de faire visiter les différents places des habitants de cette forêt de baobabs. Il montre une place de repos de la hyène, les griffures laissées sur un tronc par les griffes du jaxal, les résidences des pangols et des djinns. Il présente le baobab des pangols dont il a reçu les pouvoirs, un autre en forme de tête où les femmes stériles déposent leur coiffe pour obtenir un enfant. Au fur et à mesure que la visite se prolonge, Mbay D., impressionné, est de plus en plus réticent et suggère de rentrer, notamment de ne pas aller visiter le puits où résident un djinn et ses trois fils. Au sortir de la forêt, il se saisit d’un crabe et mîme en chantant sa mise à mort sacrificielle : comme une fin (faim) de catharsis.ACTEURS  - le tradipraticien sérer Souley Niakh - le premier consultant pour douleurs ostéo-articulaires et fatigue, Mbaye D. 2, musicien sérer - le deuxième consultant pour séquelles de fracture de la jambe droite, El Hadj T., pêcheur sérer - l'assistant-traducteur Aliou Henri Diouf - le médecin-anthropologue vidéaste, Alain EpelboinTraduction et commentaires simultanés Aliou Henri Diouf Traduction des sous-titres Lamine Ndiaye Caméra, montage, réalisation Alain Epelboin & Mireille Gruska © 2013 Alain Epelboin CNRS-MNHN Paris
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, pangol, djinns, bande de tissu, bâton de pouvoir, crin de cheval, sacrifice, verselent, mort animal, poulet, kola, mil, vin rouge, hyène, panthère, guérison, génies, autel domestique, tunique talismanique, vidéo, massage, film ethnographique, baobab, amulette, guérissage, sérer, Joal, devin-guérisseur, tradipraticien, eau, poudre végétale, ablution, incantation, cordelette à noeuds, emprise
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De la pierre au bras (Tikankali, village nyokholonké des collines du Bandemba, Sénégal oriental février 1990.)

/ 01-01-1990 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Déambulation dans le village et présentation des pierres autels disposées devant la porte de la case  du chef de famille par Alphonse Camara un client du devin-guérisseur..Puis consultation du devin guérisseur nyokholonké, le vieux Kanté qui pratique une divination par secousses spasmodiques de son biceps gauche investi par son esprit auxiliaire qui répond aux questions posées par oui ou non.Le premier consultant est Boubacar Diouf, absent, : le devin indique qu'il dépense tout son argent sans en garder de bénéfice et qu'il doit donc faire un sacrifice, à savoir consommer lui même une noix de kola rose.Au deuxième consultant, Fili Camara qui se palint d'infortune à la chasse, il indique qu'il n'a pas réalisé les sacrifices promis à son kuyagal, une pierre fétiche. Il en convient et rapporte comment il a constitué une alliance avec la pierre -fétiche. Un jour qu'il restait seul dans un champs en pente après un travail collectif de défrichement, une pierre  a roulé jusqu'à ses pieds.  Il a conclut une alliance avec l'esprit de cette pierre lui promettant des sacrifices réguliers de biere de mil et de sang de poulet afin de l'assister dans la réussite de ses entreprises et notamment la chasse.
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, malinké, nyokholonké, divination par le bras, défunt, fétiche, pierre-autel, vidéo ethnographique, Village, devin guérisseur, chasse, sacrifice, réussite, esprit, Tikankali
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Divination par géomancie (Pikine, Sénégal 1987),

/ 03-11-1987 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Consultation de Babacar Diouf par un devin-guérisseur utilsant une technique de géomancie, par traces dans le sable
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, consultation, divination, sable, Pikine, devin guérisseur, vidéo ethnographique, géomancie
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Divination par les cauris (Pikine, Sénégal 1987),

/ 10-11-1987 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Un devin-guérisseur attend ses clients assis dans la rue devant la maison où il réside.Il effectue une divination par les cauris (4 sur un nombre indéterminé) pou Cingoli Ka.Il lui révélé son avenir dans un état modifié de conscience, marqué par les jets rytmiques des 4 cauris aet des paroles oraculaires. Son discours hypnotique est marqué par des auto-attoucjements avec sa main gauche de son cou de pied gauche, recouvert de lésions indurées cutanées ainsi provoquées par ces frottements répétés dans l'exercice de son métier.
Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, consultation, divination, Pikine, cauris, devin guérisseur, vidéo ethnographique, auto attouchement
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Du savon dans les yeux (1991)

/ Alain EPELBOIN, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique / 01-01-1991 / Canal-U - OAI Archive
EPELBOIN Alain
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Une mère du village peul bandé d'Ibel au Sénégal oriental procède à la toilette de sa petite fille de neuf mois. Elle la savonne intégralement de la tête aux pieds, puis la rince à la main. Elle la talque et l'essuie avec un pagne. Le bébé porte différents colliers et boucles d'oreilles et sa mère explique leur provenance et la raison pour laquelle il les porte. Après l'avoir habillé, elle lui donne le sein. Puis elle le fait danser sur ses genoux en chantant. Le soir, le bébé dort serré dans un pagne au dos de sa mère qui danse.GénériqueAuteurs : EPELBOIN Alain (LACITO, UPR CNRS, Paris ; APSONAT, URA CNRS, Paris) et EPELBOIN Sylvie (Hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris) Réalisateur : EPELBOIN Alain Production : CNRS AV, CNRS-LACITO, CNRS-APSONAT
Mot(s) clés libre(s) : peuls, Sénégal
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Du savon dans les yeux, toilette d’une fillette au sein peul bande, Ibel février 1990

/ 06-02-1990 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Du savon dans les yeux, toilette d’une fillette au sein peul bande, Ibel, région de Kédougou Sénégal Oriental, février 1990Une mère du village peut bandé d'Ibel au Sénégal oriental procède à la toilette de sa petite fille de neuf mois. Elle la savonne intégralement de la tête aux pieds, puis la rmce à la main. Elle la talque et l'essuie avec un pagne. Le bébé porte différents colliers et boucles d'oreilles et sa mère explique leur provenance et la raison pour laquelle il les porte. Après l'avoir habillé, elle lui donne le sein. Puis elle le fait danser sur ses genoux en chantant. Le soir, le bébé dort serré dans un pagne au dos de sa mère qui danse.Avec : Adama Diallo, la maman, Aïssatou Camara, sa fille, les voisines et amies du quartierTraduction à Paris Souleymane Balde, Mamadou Sylla, Mamadou Saliou Diallo, Sylvie BouvierMontage : Alain Epelboin, Sylvie Bouvier (assistante)Auteur-réalisateur : Alain Epelboin médecin ethnologue CNRS ParisDocument réalisé au cours d'une mission du Centre National de la Recherche Scientifique et du Muséum National d'Histoire Naturelle en accord avec le Ministère sénégalais de la recherche scientifique.
Mot(s) clés libre(s) : danse, Ibel, propreté, orifice, Sénégal oriental, soin quotidien, mouchage, eau, mère/enfant, Afrique, petite enfance, savon, musique, apprentissage, hygiène, vidéo, maternage, film ethnographique, amulette, toilette, Peul Bande
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