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Jean-Pierre LUMINET - Passages 12
/ Michel BURNIER
/ 01-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BURNIER Michel
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Série vidéo PASSAGES
Entretiens avec des savants sur l'avenir de la science et de la culture
Pour faire face au délitement des institutions héritées du XIXe s. (famille, école, travail, gouvernance) et pour imaginer un futur moins sombre, il est possible d'emprunter des chemins de traverse.
Vingt savants répondent à quelques grandes questions de notre temps :
Quels sont les avancées actuelles des sciences de l'homme et de la nature ?
Quelles mutations s'annoncent ?
Y a-t-il une place pour des humanistes radicaux ?
De 2004 à 2006 Michel Burnier, sociologue, s'est entretenu avec des scientifiques issus d'univers variés: anthropologie, biologie, sociologie, économie politique, physique théorique.
Tous interrogent l'avenir et cherchent à ouvrir des passages.
Cette série vidéo-documentaire a été réalisée avec le soutien de la Cellule Audiovisuelle du Centre d'Etudes Transdisciplinaire Sociologie Anthropologie Histoire (CNRS - EHESS). Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, biologie, économie politique, physique théorique, sociologie
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L’art, reflet de la société ? - Esteban Buch
/ UTLS au lycée
/ 13-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Buch Esteban
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Quels rapports l’art entretient-il avec notre société moderne ? L’art témoigne t-il de notre temps ? C’est à ces questions théoriques que Esteban Buch, Jean Arrouye et Yves Michaud répondent lors de ces rencontres. Respectivement musicologue, sémioticien et philosophe, c’est plus particulièrement autour de la musique, de la peinture et de l’esthétique que se développent leurs discours.Cette conférence sur la thématique « L’art, reflet de la société » comporte trois volets : - « L’art, reflet de la société » - Conférence de Esteban Buch - « L’art reflet de la société » - Conférence de Yves Michaud - « L’art, reflet de la société » - Conférence de Jean ArrouyeUne conférence de l'UTLS au lycée. Lycée Jean de La Fontaine (75016) . Avec Esteban Buch (musicologue) Mot(s) clés libre(s) : arts (aspect social), musique (aspect social), sociologie de l’art
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Les classes sociales en Europe (4) Quelle nomenclature pour décrire les espaces socioprofessionnels européens ? Une approche en termes de capitaux culturel et économique
/ Thomas GUIFFARD
/ 15-12-2014
/ Canal-u.fr
Brousse Cécile
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Journées d’étude organisées par les réseaux Classes sociales,
inégalités, fragmentations, Méthodes, Sociologie des élites et Justice
sociale de l’AFS.Avec le soutien du Ceraps (UMR 8026), du Cresppa (UMR 7217), et de la Maison des Sciences de l’Homme de Lorraine.
Les travaux comparatistes menés au niveau européen sont
majoritairement quantitatifs, et restent mal connus des sociologues non
statisticiens en France. Pourtant il y a un enjeu central à développer
d’une part une réflexion sur les groupes sociaux et les inégalités à
l’échelle européenne, mais aussi à développer des comparaisons entre
structures sociales et inégalités entre pays.
Ces journées visent donc à présenter un ensemble de débats qui
traversent les travaux quantitatifs portant sur les groupes sociaux en
Europe, et à expliciter la place qu’y occupe (ou non) la sociologie des
classes sociales. Elles visent également à inciter à lier les enquêtes
quantitatives et les enquêtes de terrain pour développer une réflexion
sur les classes sociales et les inégalités en Europe, réflexion
particulièrement cruciale dans un contexte de crise économique.
Une première journée sera centrée sur la conception et l’usage des
nomenclatures socio-professionnelles et des enjeux à la fois théoriques
et méthodologiques qui les sous-tendent.
Une deuxième journée sera centrée sur les travaux comparatifs sur les
classes sociales en Europe, et sur la comparaison entre travaux menés
dans différents cadres nationaux et à susciter de nouvelles perspectives
de recherche. Mot(s) clés libre(s) : Classes sociales, Europe, Association française de sociologie, Ceraps
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Les nano-particules
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 18-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BROCHARD Patrick
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Journée Santé Environnement Quelques grandes questions environnementales des débuts du XXIe siècle ISPED, Université Victor Segalen Bordeaux 2 Les nanoparticules, par les propriétés multiples et spécifiques que leur confèrent leur taille et leur forme, sont de plus en plus utilisées dans des secteurs aussi divers que les peintures de protection (automobiles et bâtiments), les cosmétiques, l’alimentation, et la médecine thérapeutique. Toutefois, de nombreuses questions quant à leurs effets sur la santé ont conduit ces dernières années à une explosion des recherches toxicologiques sur ces composés. Même si, à l’heure actuelle, aucune étude épidémiologique ne vient corroborer chez l’homme les résultats souvent inquiétants obtenus chez l’animal, la précaution et la prudence s’imposent, comme nous le démontre Patrick Brochard, médecin au Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux. Mot(s) clés libre(s) : environnement, évaluation du risque, nanoparticules, nanotechnologie, principe de précaution, risques pour la santé, santé, sociologie de la santé, toxicologie, veille sanitaire
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Les changements alimentaires au niveau mondial - Nicolas BRICAS
/ Clément TOME, Manon DUGRE, Chaire ANCA
/ 12-04-2015
/ Canal-u.fr
BRICAS Nicolas
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Nicolas Bricas, socio-économiste au CIRAD, explique l'intérêt de la sociologie pour comprendre le mangeur et sa relation à l'alimentation, les changements alimentaires au niveau mondial et les enjeux de demain. Mot(s) clés libre(s) : Comportement alimentaire, enjeux mondiaux, changement alimentaire, sociologie de l'alimentation
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Luc Boltanski, "La sociologie est toujours critique. Le champ conceptuel de la notion de domination", session plénière du congrès 2013 de l'AFS
/ 02-09-2013
/ Canal-u.fr
BOLTANSKI Luc
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Plus de 1000 sociologues français et étrangers étaient présents pour le 5ème congrès de l'AFS dont le thème principal était les "dominations". A cette occasion, le sociologue Luc Boltanski a donné une conférence plénière sur le thème "La sociologie est toujours critique. Le champ conceptuel de la notion de domination".
Présentation du 5e Congrès de l'Association française de sociologie
L’analyse des formes de domination est centrale en sociologie pour comprendre ce qui fait tenir l’ordre social. De Marx, Durkheim, Weber en passant par Foucault et Bourdieu, la domination constitue cette relation sociale qui répartit et hiérarchise les groupes sociaux, discrimine les forces sociales en structurant leur dissymétrie tout en contribuant à l’acceptation de l’ordre existant.
Des études récentes en ont cependant renouvelé la compréhension sous plusieurs dimensions : en insistant sur la diversité des modes de domination et leur variation historique et spatiale, en révélant les "ratés" du consentement ou son caractère de façade chez les groupes subalternes, en mettant en évidence le travail nécessaire aux dominants pour imposer et exercer leur domination…
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : sociologie, critique, domination
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"Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires", semi-plénière avec la participation de Romuald Bodin et Stanislas Morel
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
BODIN Romuald, MOREL Stanislas
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Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires
Coordination : RT4 « Éducation et Formation », RT15 « Jeunesse, âges de la vie, générations »
Intervenants :
- Romuald Bodin, enseignant-chercheur à l’EPSE / Université de Poitiers (Laboratoire GRESCO) : « Épidémie de handicap ou montée des inégalités ? La naturalisation des différences et des difficultés »
- Stanislas Morel, enseignant-chercheur à l’Université de Saint-Etienne (Laboratoire ECP) : « La "galaxie des dys" : une renaturalisation du problème de l'échec scolaire ? »
Depuis quelques années, les difficultés scolaires sont soumises à une forme de « re-naturalisation », à travers l’apparition et le développement de pathologies scolaires, telles que la dyslexie, la dyspraxie, ou encore la précocité intellectuelle. Ces phénomènes ont inspiré un certain nombre de travaux sociologiques récents (Garcia, 2013 ; Lignier, 2012 ; Morel, 2014), qui contribuent à montrer que ces pathologies demeurent socialement déterminées et que leur nombre croissant correspond moins à leur nouveauté qu’à un étiquetage médical ou psychologique plus fréquent. Ainsi, la dyslexie, les « surdoués », la dyspraxie etc., seraient de nouvelles manières de transformer en troubles médicaux des difficultés auparavant considérés comme produites par les caractéristiques sociales. Cet étiquetage médical n’est pas sans poser des questions, à la fois sur les enjeux politiques et sociaux de cette renaturalisation - l’échec scolaire devenant un problème individuel, en tout cas extérieur à l’institution scolaire - et sur la transformation de l’expérience scolaire et sociale des jeunes – le stigmate lié à la pathologie a-t-il des incidences sur la socialisation scolaire et familiale des jeunes ?
Au-delà de l’école, des conceptions proches se retrouvent dans la perception des populations ciblées par le travail social. Sous l’emprise grandissante des conceptions médico-sociales, se sont en effet développées des perceptions de la difficulté contribuant à naturaliser les « handicaps », y compris pour les populations victimes du chômage et de la précarité, et tout particulièrement les jeunes (Bodin, 2012).
Croisant les analyses issues de la sociologie de l’éducation et de la sociologie de la jeunesse, la semi-plénière visera à faire parler et discuter les intervenants sur les raisons de la montée en puissance du diagnostic médical et psychologique à l’école contre le diagnostic sociologique, sur les acteurs de la médicalisation de l’échec et de la réussite scolaire, et sur les conséquences politiques et sociales de ces évolutions. Cette semi-plénière vise à éclairer les processus de dénaturalisation opérés par la sociologie dans les champs de l’éducation et de la jeunesse. Mot(s) clés libre(s) : sociologie de l'éducation, école, jeunes, inégalités sociales, renaturalisation, pathologies scolaires
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L'hôpital et son avenir
/ Mission 2000 en France
/ 28-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BERNFELD Guy
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Le malaise exprimé au travers des récents mouvements sociaux par les hopitaux publics porte autant sur l'avenir de l'hôpital public que sur des revendications quantitatives ou catégorielles. Le fait qu'il faille remonter à la fin des annees 1970 pour trouver pareille unité entre les organisations syndicales de personnels, la convergence entre celles-ci et les syndicats de praticiens hospitaliers sont des signes. Chacun l'a dit à sa facon, mais tous ont exprimé la même question : quel avenir veut-on et prépare-t-on pour l'hôpital de demain ? Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, hôpital, maladie, relationnel, robotisation, sanitaire, santé, sociologie, technologie
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"Corps de travailleur, corps de professionnel", semi-plénière avec la participation de Julien Bernard, Isabel Boni-Le Goff, Florent Schepens et Mathieu Trachman
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
BERNARD Julien, BONI-LE GOFF Isabel, SCHEPENS Florent, TRACHMAN Mathieu
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Corps de travailleur, corps de professionnel
Coordination : RT1 « Savoirs, travail, professions », Valérie Boussard (Université Paris Ouest/IDHES)
Interventions de :
- Julien Bernard, Université Paris Ouest, Sophiapol : "Les croquemorts ont-ils une tête d'enterrement? Formes et représentations de la corporéité dans la profession funéraire"
- Isabel Boni-Le Goff, Centre Maurice Halbwachs (CNRS/EHESS/ENS) : « Parler en expert-e. Qualifications et disqualifications vocales dans le conseil en management »
- Florent Schepens, Université de Bourgogne, Centre Georges Chevrier : « Peut-on tout faire faire à un corps ? Le bûcheron, les atteintes corporelles et le sens de l’activité »
- Mathieu Trachman, Ined, « Corps, désir et affects dans le travail pornographique »
La sociologie du travail a de longue date analysé la façon dont le travail engage les corps, les déforme et les exploite. Mais le corps, premier instrument de l’homme selon Marcel Mauss, peut aussi être analysé dans sa capacité à devenir lui-même outil de travail, engageant un travail de conformation, d’imitation, de reproduction des gestes et des postures adéquats. Les travaux s’étant intéressés aux corps sportifs (Wacquant, Sorignet, Laillier) ont bien mis en évidence le travail sur les corps nécessaire à l’intégration professionnelle. Dans quelle mesure ce travail sur les corps touche-t-il d’autres professions que celles des sportifs, notamment quand le corps ne paraît pas a priori être outil principal de travail ? Comment le travail sur les corps s’y exerce-t-il ? Quelles relations sont entretenues entre travail sur les affects et travail sur les corps ? Quelles sont les dimensions du corps qui sont concernées ? Le travail sur le corps est-il naturalisé au point d’y perdre sa dimension construite et de devenir invisible ? Est-il à l’inverse valorisé et signe d’élection ? Ces dimensions corporelles du travail sont-elles reconnues par la profession, au cœur de la définition de la professionnalité, ou renvoyées à une prise en charge individuelle ? Le travail sur les corps participe-il de la segmentation des groupes professionnels et des processus d’inclusion/exclusion dans le « corps professionnel » ? Pour répondre à ces questions, cette session se propose de réunir les travaux de quatre sociologues ayant abordé de façon originale la construction sociale des corps professionnels pour mettre en évidence la dynamique à l’œuvre dans chacune des professions concernée. Mot(s) clés libre(s) : sociologie du travail, corps, professionnels, travailleurs
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-02-2016
/ Canal-u.fr
BÉGOUT Bruce
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout, in séminaire "Poéthiques":
"Lieux communs", organisé par Nathalie Cochoy et Jean-Yves Laurichesse
(CAS / PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8 mars 2016.
Illustration : "Utah", photographie d'Olivier Gaudin (2009).
Le philosophe Bruce Bégout a « longtemps arpenté les villes, à la fois physiquement et intellectuellement. [Il] essaie de créer une sorte de parcours à la fois philosophique mais aussi transdisciplinaire, utilisant toutes les ressources possibles, de la littérature, de la photographie, des sciences humaines et de l'histoire et pratiquant trois genres d'écritures pour explorer les nouveaux territoires, que ce soit le genre de l'analyse théorique pure, le genre de l'essai ou le genre de la fiction. »
Dans cette communication, Bruce Bégout s'intéresse aux friches, plus particulièrement à ce qu'il appelle le « le troisième âge de la friche qui est un élément central de la "suburbia" (...). Une suburbia marquée « par un effort de rationalisation en zones commerciales, zones de travail et zones d'habitations pavillonnaires et de cités, de l'homogénéisation des fonctions mais dont on s'aperçoit qu'il est un espace extrêmement chaotique (...) puisque sont rassemblés là des gens, des pratiques, des univers assez différents qui coexistent et montrent une hétérogénéité plus grande de modes de vie que la relative homogénéité culturelle et existentielle des centres-villes. » Pour Bruce Bégout, « la première caractéristique de la "suburbia" est qu'elle est souvent disqualifiée, qualifiée négativement : manque de de mixité, de proximité, d'équipements -notamment culturels, manque d'échanges et de sociabilité, manque de beauté. (...) Mais elle n'est pas simplement un espace du manque ; cette négativité est la positivité même de cet espace. (...) Pour les philosophes, les écrivains, les chercheurs, c'est un espace où il se passe quelque chose. Dans les marges de la ville disqualifiée, il y a la possibilité de l'émergence du sens, d'un sens qui aurait fait l'épreuve de la négativité et, au prix d'une éventuelle destruction, de la création. L'expérience de la négativité est présente dans l'expérience de ces ruines contemporaines que sont les friches qui comprennent les usines désaffectées, les cars abandonnés, les lieux oubliés de la modernité, jamais totalement vides ». Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, espace urbain, anthropologie urbaine, ville (philosophie), sociologie de la ville
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