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IPM 2007. L'UMVF et la coopération avec les pays d'Afrique du Nord
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 29-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ALAOUI YAZIDI Abdelhaq
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Le Professeur Abdelhaq Alaoui Yazidi, Doyen de la Faculté de Médecine de Marrakech, dresse un état des lieux des TICE au Maroc et présente les objectifs de coopération avec l'UMVF. Mot(s) clés libre(s) : Abdelhaq Alaoui Yazidi, coopération, IPM 2007, Marrakech, Strasbourg, UMVF
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CESU 2011: Compréhension des patients au sortir d'un espace d'urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AMMIRATI Christine
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. Intervenant: Christine Ammirati L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Étude de la compréhension des patients au sortir d’un service d’urgence : nécessité d’un enseignement des principes de communication pour les professionnels de santé AMMIRATI C, GIGNON M, MERCIER R, DETAVE M, AMSALLEM C. CESU 80 christine.ammirati@chu-amiens.fr Que comprennent les patients sortant d’un service d’urgence concernant le diagnostic, les prescriptions et les modalités de surveillance proposées ? Les données de la littérature étrangère mettent en évidence des facteurs prédictifs de mauvaise compréhension. Qu’en est-il dans les services d’urgence français ? Quelles sont les pistes possibles d’amélioration ? Pour débuter une réflexion, une étude qualitative prospective a été menée. Méthode Des entretiens semi-dirigés ont été réalisés par un soignant n’appartenant pas au service, chez des patients majeurs, sans troubles cognitifs, sortant des urgences après consultation. Les items relevés concernaient des données générales, dont le niveau d’études, le degré de satisfaction, par rapport à la qualité ressentie des explications données et au temps qui leur a été consacré (échelle de Likert à 4 niveaux), la concordance entre ce qui était compris par le patient et ce qui était noté par le médecin (diagnostic, thérapeutique, éléments de surveillance). Résultats Trente-six patients ont été inclus (H/F : 1,25 ; âge moyen 41 ans). 97 % étaient globalement satisfaits de l’information donnée et du temps consacré. Le diagnostic était concordant pour 92 % d’entre eux. Lorsqu’une prescription était réalisée (n= 29), 42 % (n=12) n’avaient objectivement pas compris les termes de l’ordonnance. Sur les trois patients qui devaient réaliser des examens complémentaires en ambulatoire, deux n’en avaient pas compris l’objectif. Les facteurs associés à une mauvaise compréhension sont le niveau socio-économique défavorisé et la qualité de rédaction de l’ordonnance. Discussion Les résultats de ce travail qualitatif rejoignent ceux de travaux à l’étranger. Il est à noter que les patients soulignent le fait qu’ils « n’osent pas demander ». Ainsi, malgré un ressenti positif, certains éléments essentiels du dialogue ne sont pas compris. Conclusion Pour faciliter l’observance, il est indispensable d’améliorer la qualité des documents qui sont remis au patient. Un effort doit également porter sur les facteurs favorisant la communication. Un enseignement de la communication en situation d’urgence est réalisé en DCEM2 par l’équipe du CESU 80 depuis 15 ans. Les résultats de cette étude préliminaire encouragent à développer ce type de formation. Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU 2011 – L’enseignement des soins d’urgence.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 02-12-2012
/ Canal-U - OAI Archive
AMMIRATI Christine, POLES Pierre
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Titre : CESU 2011 – L’enseignement des soins d’urgence.Intervenants : Pierre MOLS –Médecin urgentiste au CHU St Pierre de Bruxelles – Belgique).Résumé : débat n°2. Etape pédagogique dans le cadre de l’enseignement des soins d’urgence. Faut-il privilégier l’usage de la découverte par rapport aux autres dispositifs de formation telles que PSC, PSE, PHTLS, ACLS.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du colloque national des CESU en décembre 2011 à Strasbourg avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : CESU, CESU 2011, Urgences, formation continue, Strasbourg, 2011 Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, CESU 2011, formation continue, Strasbourg, Urgences
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CESU 2011: Connaissances acquises lors la formation gestes et soins d'urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
AUDO Xavier
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CESU 2011: Evaluation à distance des connaissances acquises lors de la formation gestes et soins d'urgence initiale XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. Intervenant: Xavier AUDO L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Évaluation à distance des connaissances acquises lors de la formation gestes et soins d’urgence (GSU) initiale AUDO X, LE GLOAN K, FERREIRA V, LONGO L. CESU 44 xavier.audo@chu-nantes.fr Objectif Évaluer « les connaissances acquises » à 4 ans de la formation initiale GSU de niveau 2 des techniciens préleveurs de laboratoire. Méthodologie Questionnaire individuel, anonyme, distribué en début de formation continue GSU, comportant 15 questions à choix multiples volontairement sans ambiguïtés. Les thèmes abordés sont représentatifs d’une formation complète. Temps de remplissage libre. Analyse descriptive des questionnaires. Résultats 25 novembre 2010 – 1er Juillet 2011, 62 questionnaires colligés. Le rythme recommandé des compressions thoraciques est méconnu par 80 % des apprenants ; 80 % pensent que le rythme doit être de 60/min alors que le rythme enseigné pendant leur formation était de 100/mn (ERC 2005). L’importance de la qualité du massage pose problème à 37 % des apprenants. Pour 35 %, la compression est plus importante que la décompression, 2 % pensent l’inverse. Le relais aux compressions thoraciques n’est pas maîtrisé pour 61 % d’entre eux, 45 % estiment qu’il faut se relayer toutes les 5 minutes et 16 % jugent qu’il n’est pas nécessaire de se relayer. La durée d’évaluation initiale de la ventilation génère 48 % d’erreurs ; 35 % sont trop rapides (5 secondes) et 13 % trop lents (30sec). La question sur l’algorithme PEC de l’inconscient entraîne 61 % d’erreurs : 53 % alertent avant d’évaluer la respiration et 8 % évaluent la respiration sans libérer les VAS. Les questions sur les brûlures, l’obstruction complète des VA, les détresses respiratoires, l’accouchement inopiné induisent 30 à 40 % d’erreurs. La prise en charge de l’hémorragie, l’alerte, l’appel, le rôle du défibrillateur, la protection du soignant donnent moins de 20 % d’erreurs. Discussion Ces résultats nous ont interrogés et conduits à rechercher des éléments d’explication : · formé initialement en 2006, année de mise en place de la pédagogie de découverte dans notre CESU, le public concerné a pu pâtir d’un manque de maîtrise pédagogique des formateurs · la formation initiale reçue a-t-elle été adaptée : ne cherche-t-on pas à y faire passer trop de messages ? Ne faut-il pas en revoir les objectifs et les contenus en les adaptant mieux au public ? · la formation continue tous les 4 ans est-elle suffisante ? Conclusion Bien qu’ils nous aient déçus et qu’ils nous remettent en cause, ces résultats, s’appuyant uniquement sur des connaissances déclaratives, ne préjugent pas de la prise en charge effective en situation d’urgence. Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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JALPES 2010 Strasbourg : Elaboration d’un questionnaire de début et de fin de stage d’externe.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 15-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BAGOT Jean-Lionel
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Thème : Première Journée de Pédagogie Médicale d’Alsace Lorraine (JALPES 2010). Session : motivation et pédagogie en sciences de la santé.Titre : JALPES 2010 Strasbourg : Elaboration d’un questionnaire de début et de fin de stage d’externe en médecine générale. Discussion de son intérêt pour les externes et les enseignants cliniciens.Résumé : Objectif et méthode : Explorer les attentes, le vécu et la progression des acquis des externes durant un stage individuel de quinze jours à temps plein chez le même praticien à l’aide d’un questionnaire de début et de fin de stage.Problématique : Le recueil des désirs, l’expression des objectifs et les commentaires de fin de stage pourraient-ils s’inscrire comme un outil d’amélioration pédagogique du stage d’externat chez le généraliste ?En permettant l’expression des désirs et la définition des objectifs, ce questionnaire a permis de stimuler la motivation intrinsèque de l’étudiant. Sa mise en œuvre a représenté un apport pédagogique fort pour les étudiants comme pour le maître de stage. Facile à réaliser, il mériterait d’être utilisé régulièrement par les enseignants cliniciens.Auteur : Jean-Lionel BAGOT (Praticien de Médecine Générale - Strasbourg).Modérateur : François KOHLER (Professeur- CHU de Nancy – SPI-EAO) et Thierry POTTECHER (Professeur – service d’Anesthésie Hôpital de Hautepierre – Strasbourg).SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : évaluation, externe, formation, JALPES 2010 Strasbourg, objectifs, pédagogie médicale
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CESU: Débat 1: Questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence.DEBAT N°1: Le fait qu'un enseignant en soins d'urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieur à celui des apprenants pose-t-il problème? Modérateur: Dr jean-Calude BartierL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67Débat 1Le fait qu’un enseignant en soins d’urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieurou égal à celui des apprenants pose-t-il problème ?Jusqu’en 2006, les dispositifs de formation à l’urgence proposésaux professionnels de santé étaient ceux du ministèrede l’Intérieur. Il s’agit en particulier de l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS). Cette formation repose sur une approche pédagogique démonstrative. Toute personne, y compris non soignante, ayant suivi une formation d’une cinquantaine d’heures est susceptible d’enseigner l’AFPS.L’AFGSU a été créée en 2006, afin de répondre aux spécificitésde la formation des soignants dans le domaine de l’urgence : pratique professionnelle en milieu de soins auprès de patients, connaissances antérieures et, souvent,expérience en matière d’urgence, etc. L’approche pédagogique repose sur la méthode de la découverte.Ces choix pédagogiques ont conduit les experts à recommanderque les formateurs AFGSU aient un niveau de qualificationsupérieur ou égal à celui des apprenants (par exemple, un infirmier peut enseigner à des infirmiers et des aides-soignants, mais pas à des médecins), pour être en mesure d’explorer et de prendre en compte adéquatementles connaissances antérieures de ces derniers dans la démarche d’apprentissageDe nombreux formateurs de CESU se sont alors retrouvés exclus de formations auxquelles ils participaient antérieurement.Certains contestent la situation actuelle.Dr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67ModérateurDéfenseurs du OUIDr Ismaël HSSAINMédecin urgentiste au SAMU - CESU 68Dr Hubert TONNELIERMédecin anesthésiste au SAMU 88Défenseurs du NONDr Carole AMSALLEMMédecin urgentiste au SAMU - CESU 80Ysabelle THOMASCadre de santé au CESU 38 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent, DANAN Jane-Laure, CHARLES Didier, NEMITZ Bernard
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3: QuestionsDoit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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IPM 2007 - Contexte de mise en place du C2i métiers de la santé
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BELLIER Jean-Paul
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Exposé de la politique de certification de la C2i au niveau du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. La politique du développement de la société de l'information est un enjeu prioritaire tant au niveau du développement des compétences, que des équipements et de la formation. Mot(s) clés libre(s) : C2i, IPM 2007, Jean-Paul BELLIER, SDTICE, Strasbourg, TICE
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IPM 2007 - Bilan d'activité de l'UMVF et projet 2007/2012
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 31-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BENHAMOU Albert-Claude
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Le projet se construit progressivement jusqu'en 2012. La faculté de Caen a voté son adhésion à l'UMVF. Une sous commisssion de l'évaluation a été créée. Il est important de rentrer dans le web 3.0. pour la moissonnabilité des ressources : elles peuvent être prélevées par d'autres acteurs. Des partenariats sont développés avec l'INSERM ,ou l'école de Haute Santé publique. Les moteurs de recherche sur l'UMVF doivent être efficaces. les ressources doivent pouvoir être mises sur podcast. Des visioconférences IP fonctionnent bien. L'objectif est d'intégrer dans l'UMVF des ressources de qualité de pays francophones. le wiki permet cette intégration.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : bilan, IPM 2007 Strasbourg, moteur recherche, ORI-OAI, podcast, site collaboratif, UMVF
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