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Priorat, renaissance d’un terroir et récupération d’un territoire
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
JIMENEZ Jean, TULET Jean-Christian
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Situé à une trentaine de kilomètres de la mer, dans la province espagnole de Tarragone, le Priorat est un tout petit territoire, au sein d’une nature sauvage, dans des paysages très marqués par l’orographie et la nature du terrain. L’appellation Priorat voit le jour en 1973, soit 800 ans après la plantation des premières vignes de la région par les moines chartreux à l’origine du monastère de Scala Dei. Pourquoi une reconnaisance si tardive ? À cause de la puissance des vins du Priorat et donc de leur succès commercial en vrac, particulièrement au XIXe siècle, quand d’autres régions de d’Espagne et de France ont besoin de renforcer la notoriété de leur vins locaux. La surface cultivée a beaucoup diminué et de nombreuses vignes furent abandonnées au profit d’autres cultures comme la noisette, l’amande ou l’olive, surtout sur les terrains les plus pentus et difficiles à labourer.
Aujourd’hui, le Priorat est en pleine renaissance, résurrection même pourrait-on dire. On cherche à élaborer des vins, rouges pour la grande majorité, de la plus grande qualité possible, avec des prix si possible à la hauteur de cette qualité et de ce travail. La D.O.Ca Priorat est formée par 85 caves qui élaborent leurs vins et par 567 viticulteurs. Mot(s) clés libre(s) : territoire, viticulture bio, commercialisation, coopératives, Tarragone, D.O.Ca Priorato, durabilité, écosystèmes, terroir, paysans
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Porto : genèse et adaptation des paysages d’un vin généreux
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
ROUDIE Philippe, TULET Jean-Christian
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Au Portugal, depuis le XVIIe siècle, la vallée du Douro est célébrée pour ses vins généreux, au style inimitable, les portos. Le vignoble du Haut-Douro, classé au Patrimoine Mondial de l’Unesco, en 2001, en tant que paysage culturel évolutif et vivant, associe des formes diversifiées d’organisation de la vigne, correspondant à plusieurs techniques utilisées au cours des temps. Commençant par un rapide survol historique, puis par l’observation du paysage viticole actuel, ce film documentaire essaye de comprendre l’évolution historique de la région du Haut-Douro, en rapport avec les politiques de régulation du système du vin de Porto produit dans cette contrée, les permanences et les innovations techniques de la culture de la vigne, les dynamiques commerciales et les types de vins demandés par les marchés. Mot(s) clés libre(s) : paysage, patamares, terrasses, Porto, Haut-Douro, vins généreux, vigne, patrimoine, histoire, vintage
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Les passionnés de la vigne et du vin
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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Le monde du vin a attiré depuis une quarantaine d’années d’importants investissements dans les vignobles et dans les caves. Peu d’autres activités agricoles ont, en Occident, suscité en effet depuis si longtemps autant d’intérêt et de passion de la part des hommes. Parmi les nouveaux venus à la viticulture, les profils et les origines sont très variés : monde de la culture, des arts, du cinéma, mais aussi de la finance, du BTP, enseignants, chercheurs, industriels, commerciaux, artisans, etc.
Quelques uns ont quitté la ville pour des raisons personnelles, de santé, changement de cadre de vie. Si certains propriétaires ont confié leur exploitation à un directeur, un œnologue ou un contremaitre (faisant office d’homme à tout faire), d’autres au contraire sont des passionnés.
Véritables autodidactes qui ont beaucoup circulé, observé, appris et qui souhaitent tout connaître, tout explorer dans la vitiviniculture moderne. Ils viennent au monde du vin avec des idées nouvelles, créatives, ils s’impliquent directement dans le travail de leurs vignes et dans l’élaboration des vins, leurs vins, cela dans une perspective, toujours, de qualité. C’est le profil et le cheminement de quelques-uns parmi ces nouveaux venus, ces passionnés, que nous voulons montrer à travers ce film documentaire.
Les questions de rentabilité, de diffusion/commercialisation de leur production ne sont pas étrangères à leurs idéaux, elles font nécessairement partie de leur volonté de réussir. Leurs vins ne sont pas ceux produits par la longue tradition paysanne et ils ne sont pas non plus destinés à une commercialisation locale mais plutôt orientés vers l’exportation et les marchés internationaux. Mot(s) clés libre(s) : territoires, cépages, viticulture bio, Gaillac, terroirs viticoles, Axarquía de Málaga, Contraviesa-Alpujarra, Valdepeñas, Castilla-La Mancha
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues... Aujourd'hui ces pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière, cependant, certains se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, mémoire collective, Pigüé (Argentine)
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-01-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues...
Aujourd'hui, les pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière. Cependant, d'autres se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, Pigüé (Argentine)
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La production céréalière en Amérique Latine
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 05-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian, VIDAL Franck
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La croissance de la production agricole en Amérique Latine est la plus forte au monde depuis une vingtaine d'années. La place des céréales (non seulement le maïs " traditionnel " mais également le blé et le riz) est fondamentale dans cette croissance notamment avec une hausse constante de la demande intérieure et une évolution des types d'économie de production. Si les politiques de développement des grandes structures agro-industrielles sont en baisse, on assiste à un maintien et à un renforcement des structures basées sur la paysannerie. La céréaliculture est évoquée pour l'ensemble de l'Amérique Latine et en particulier pour le Brésil et le Mexique.GénériqueInterview : Franck Vidal - Réalisation et post Production : Bruno Bastard : Cadreurs : Claire Sarazin - Production et moyens techniques : SCAM - UNiversité de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : agriculture biologique, amérique latine, céréaliculture, industrie céréalière, marchés d'exportation, paysannerie, politique agricole, produits agricoles
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La Mancha : le plus vaste vignoble du monde
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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Avec aujourd’hui 450.000
hectares, le plus vaste vignoble du monde se situe en plein cœur de
l’Espagne, sur l’immense meseta de la Nouvelle-Castille. Sa
surface s’est contractée depuis 20 ans (il couvrait 720.000 ha en
1989), mais dans des proportions moindres que dans le cas du
Languedoc-Roussillon. D’autre part, cette diminution s’accompagne
d’une croissance des rendements qui font passer la production
totale de 20 millions d’hectolitres à plus de 25 millions en
2003/2004. Il n’est donc guère étonnant dans ce contexte, de
rencontrer la coopérative viti-vinicole la plus importante du monde,
avec des milliers de sociétaires.
Dans le cas de la D.O
Valdepeñas au contraire, le système coopératif ne joue plus qu’un
rôle mineur, au profit d’un petit nombre de « bodegueros »
et de négociants. Cette situation de monopole et les obligations
liées à la D.O entraîne d’ailleurs certains producteurs à se
contenter d’une appellation Vinos de la Tierra, ce qui leur permet
également une plus grande liberté de manœuvre, qu’ils mettent à
profit avec des initiatives très diverses.
Cette dynamique générale
est soutenue par un rapport qualité/prix parmi les plus intéressants
du monde viti-vinicole. Mot(s) clés libre(s) : La Mancha, appellations, dynamique rurale, durabilité, vignoble, coopérativisme, bodégas, conduites culturales
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La Liébana, ou le sauvetage, au XXIe siècle, d’un micro vignoble montagnard
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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La Liébana est l’exemple d’un bassin intra montagnard bénéficiant de conditions climatiques relativement favorables. Celles-ci lui ont permis d’abriter un vignoble longtemps important puisqu’il couvrait jusqu’à 1000 hectares au Moyen-âge.
L’histoire récente de ce petit vignoble est celle d’une longue dégradation (phylloxéra, vieillissement des producteurs, exode rural), jusqu’à une période toute proche. Ce retournement de la conjoncture est surtout lié au tourisme local qui permet à une poignée de producteurs, s’appuyant également sur diverses aides institutionnelles, de se lancer dans la commercialisation du vin. Le succès dépasse leurs espérances entrainant la replantation de nouvelles parcelles de vignes. Mot(s) clés libre(s) : paysage, IGP, reprise agricole, bassin intra montagnard, Pics d'Europe, Liébana, vignoble, durabilité, Cantabrie, tourisme, territoire, Mencía
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La Contraviesa, un vignoble d’altitude
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
PAEGELOW Martin, TULET Jean-Christian
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Situé entre la mer Méditerranée et la Sierra Nevada, le massif de la Contraviesa est une montagne littorale andalouse culminant à 1400 m. Ce milieu d’altitude, à pentes fortes et ne disposant que d’une ressource en eau très limitée, est traditionnellement caractérisé par un triptyque de cultures pérennes : amandier-figuier-vigne.
Cette polyculture ancestrale est sur le déclin depuis les années 1970.
Sur la base d’interviews et s’appuyant sur la connaissance de chercheurs locaux, ce film souligne quatre aspects principaux, tout en inscrivant l’ensemble dans une perspective de mutations de la vitiviniculture à l’échelle du sud-ouest européen :
1. La viticulture traditionnelle,
2. Les initiatives de reconversion vers une production de qualité
3. La spécificité géographique de ce vignoble d’altitude
4. La redynamisation du vignoble en tant que pivot d’un concept économique intégré d’agrotourisme. Mot(s) clés libre(s) : qualité, cépages, polyculture, bodegas, Grenade, Contraviesa, vignoble d'altitude, vins, vignes, minifundio, pylloxéra
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La caféiculture en Amérique Latine
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 19-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian, VIDAL Franck
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1 : Le milieu biogéographique du café de Colombie, de Côte-d'Ivoire, du Kénya, du Brésil... le café que nous buvons chaque jour nous vient des tropiques et exclusivement des tropiques. Arbre de moyenne montagne (pour l'arabica), de plaine (pour le robusta) la culture et l'épanouissement du café requièrent des conditions biogéographiques particulières qui, quasi naturellement, génèrent des modes de production adaptés à l'exploitation familiale paysanne. 2 : Histoire du café : probablement originaire d'Ethiopie, le café a d'abord suivi la route de l'Islam, puis celle des comptoirs méditerranéens. Il se répand dans l'Océan Indien, les Antilles et s'implante en Amérique Latine. Au XXe siècle, il redevient africain et s'étend vers l'Asie du sud-est, désormais nouvelle terre de conquête du monde tropical par le café. 3 : Production et exploitation du café : cent mille tonnes produites en 1825, plus de sept millions aujourd'hui, le café est devenu produit de grande consommation dans le monde. Issu des pratiques esclavagistes, il donne naissance au système des « colonas » au Brésil et malgré la mainmise de grands groupes agro-industriels, l'exploitation caféière, de la Colombie au Vietnam, demeure aujourd'hui une pratique typiquement paysanne familiale. 4 : Le café d'aujourd'hui, les cafés de demain : la production de café est désormais confrontée à une double évolution. D'une part de spectaculaires hausses de rendements avec l'arrivée des cafés hybrides et, d'autre part, l'émergence d'une diversification des produits avec l'évolution de la demande : cafés biologiques, cafés « équitables » et même appellations géographiquesGénériqueInterview : Franck Vidal - Réalisation et post production : Bruno Bastard - Cadreurs : Claire Sarazin - Production et moyens techniques : SCAM - Université de Toulouse II-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs, caféiculture (Amérique latine), caféiculture (histoire), exploitations agricoles familiales, géographie agricole, industrie agro-alimentaire, systèmes agraires
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