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Prispinhu, traduction du "Petit Prince" en Créole Cap Verdien
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Ce vendredi 18 octobre 2013 à la Librairie Portugaise et Brésilienne de Paris a eu lieu la présentation officielle de "Prispinhu" (éditeur Tintenfass), traduction du livre "Le petit prince" d’Antoine de Saint-Exupéry en créole capverdien.
Cette présentation s'est déroulée en présence de Nicolas Quint, chercheur au CNRS en linguistique au laboratoire du LLACAN ( Langage, Langues et Cultures d'Afriques noire), et co-traducteur de cette édition Cap Verdienne avec Aires Semedo, et aussi en présence de l'ambassadeur de France au Cap Vert, Philippe Barbry.
Un projet mené à bien grâce aux soutiens de : Dinis Technologies,
Heliodon Energia, l’Institut français du Cap-Vert, Labex EFL (Empirical
Foundations of Linguistics) 70ème anniversaire de la
publication de l’œuvre originale cette année, "Le Petit Prince" connaît avec "Prispinhu" sa 258ème traduction. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, Prispinhu, Petit Prince, Nicolas Quint, UPS2259, Cap Vert
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Ndiabou Toure : "Les discours canoniques - le Taasu : un genre en évolution"
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Ndiabou Touré (Université Cheikh Anta Diop de Dakar) : "Réflexions sur la canonicité à partir de l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal"
Dans le cadre de l’opération de recherche ELLAF "Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques"
"Il s'agit d'un questionnement sur la canonicité à partir de l'étude d'un genre traditionnel wolof, le taasu,
qui relève de la poésie orale. Le taasu, à l'inverse d'autres genres, s'est remarquablement adapté à de
nouveaux contextes, et a investi un nouveau genre poétique moderne, le mbalakh (chant populaire
moderne wolof), et un champ d'application également nouveau, la publicité.
Je m'interrogerai sur la canonicité de ce genre dans une perspective évolutive, et sous un angle
énonciatif (auteur, interprète, récepteur, canal, etc.). Que se passe-t-il lorsque le taasu passe d'un
contexte traditionnel à des contextes différents, complètement modernes et qui répondent à des
modalités n'énonciation complètement différentes ? Cette question est sous-tendue par une
problématique complexe qui concerne toutes les modalités de l'énonciation : l'auteur, dont le statut
peut changer, ce qui a des incidences notamment sur le choix de l'interprète ; la communication de
masse en terme de diffusion ; le canal qui obéit à d'autres règles du point de vue de l'interaction ; le
récepteur, qui doit être abordé à plusieurs niveaux.
Ainsi, en partant de son contexte traditionnel, il est intéressant d'observer l'évolution de ce genre et son
mode de fonctionnement dans sa fusion avec d'autres genres ou dans des contextes comme la publicité". Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, UPS2259, ELLAF, Ndiabou Touré, Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, l'évolution du taasu du contexte traditionnel et aux contextes musical et publicitaire au Sénégal
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Michel Cassan, Université de Poitiers
"Pierre Robert du Dorat, exégète des pratiques religieuses ordinaires dans la Marche au XVIIe siècle"
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Ostensions limousines, dévotions aux reliques et fait religieux
(Moyen-Age – Epoque contemporaine)
Colloque international
LE DORAT Salle du cinéma / Vendredi 29 et Samedi 30 avril 2016
CONTACT : lesrdvdelachapelle@laposte.net
"Pierre Robert du Dorat, exégète des pratiques religieuses ordinaires dans la Marche au XVIIe siècle"
Michel Cassan, Université de Poitiers
Au milieu du XVIIe siècle, Pierre Robert, magistrat au siège royal du Dorat entreprend
l’écriture d’une Histoire de la Marche, du Limousin et du Poitou restée manuscrite et recopiée
au XVIIIe siècle par le mauriste Dom Fonteneau.
L’œuvre de Pierre Robert, fort copieuse, veut embrasser tous les aspects
géographiques, historiques, religieux, ethnographiques de ces provinces et de leurs habitants.
Dans l’un de ses chapitres intitulé D’aucunes églises de la haute et basse Marche et es
environs même du Limousin et du Poitou plus recommandées pour les remèdes de beaucoup
d’infirmités et de tribulations, Pierre Robert observe et décrit les rapports des habitants de la
contrée avec les saints.
Le propos, traité comme une étude de cas, permet :
1. de questionner à nouveaux frais la notion de « religion populaire » ;
2. de saisir l’expertise des exercices religieux des fidèles par Pierre Robert ;
3. d’apprécier par le biais de sa bibliothèque, le bagage intellectuel et culturel d’un
juge catholique et provincial.
Partenaires scientifiques :
Laboratoire d’Etudes sur les Monothéismes (LEM-CNRS)
Centre de Recherches Interdisciplinaire en Histoire, Histoire de l’Art et
Musicologie (CRIHAM, UNIVERSITE DE LIMOGES)
Institut Supérieur d’Etudes des Religions et de la Laïcité (ISERL, UNIVERSITE
DE LYON)
Partenaires financiers
LEM, CRIHAM, ISERL
Association « Les rendez-vous de la chapelle »
Conseil régional ALPC
Organisation : association « Les rendez-vous de la chapelle » Mot(s) clés libre(s) : reliques, Michel Cassan, histoire religieuse, Ostensions limousines, Haute-Vienne, Limousin, faits religieux, Ostensions, LEM, LE DORAT, Ostensions limousines, dévotions aux reliques et fait religieux, UPS2259, Pierre Robert du Dorat, exégète des pratiques religieuses ordinaires dans la Marche au XVIIe siècle
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Marie-Rose Abomo-Maurin (Université de Yaoundé 1)
" Du mvet ékang aux nouvelles formes du chant épique : Le cas de la musique religieuse au Cameroun "
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Dans le cadre de l'opération de recherche "Discours canoniques dans leurs modalités
linguistiques" (Llacan, Salle de conférences, Bâtiment D, 7 rue Guy Môquet,
Villejuif), Marie-Rose Abomo-Maurin (Université de Yaoundé 1) nous propose le
jeudi 16 avril de 10 à 12h une séance intitulée
" Du mvet ékang aux nouvelles formes du chant épique : le cas de la musique religieuse au Cameroun "
Elle sera accompagnée d’Edmond Bolo, un jeune joueur de mvet formé à l’école du mvet d’Onana Awono à Yaoundé à l’espace culturel Oveng (Anguissa-Yaoundé) et de Père Nama Janvier un enseignant de philosophie et chercheur en ethnomusicologie fang-beti-boulou, surtout dans le bikutisi. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, mvet d’Onana Awono, mvet, bikutisi., ethnomusicologie fang-beti-boulou, ELLAF, Discours canoniques dans leurs modalités linguistiques, Père Nama Janvier, Edmond Bolo, Marie-Rose Abomo-Maurin, UPS2259, l’espace culturel Oveng (Anguissa-Yaoundé)
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Les chemins détournés de la parole
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La parole est partout. Elle s’apprend, elle est diversifiée, modalisée, valorisée. Les sociétés «traditionnelles» africaines ont souvent été présentées comme des sociétés de l’immatériel: la vie des hommes y est d’abord faite de paroles; les objets eux-mêmes parlent.Avec Cécile Leguy (LACITO) Mot(s) clés libre(s) : objet, LLACAN, UPS2259, dation du nom, Paroles d'Afrique, Cécile Leguy (LACITO)
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La voix des médias
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La parole en Afrique, c'est fondamental. Et les médias ont largement réinvestit la parole. La radio demeure le média le plus répandu sur le continent, mais d’autres comme la télévision ou l’internet prennent de plus en plus d’importance. La parole circule alors, grâce à eux, avec autant d’efficacité, mais plus d’envergure qu’en recourant au crieur public. La circulation de la parole se fait mondiale et ces médias – instruments de socialisation – permettent une ouverture au monde.Avec Annie Lenoble-Bart, professeur émérite en Sciences de l'Information et de la
Communication Université Bordeaux-Montaigne
Mot(s) clés libre(s) : communication, crieur public, kikanga, journal kenyan kikanga, science des médias et de l'information, Annie Lenobre Bart, journaux, UPS2259, LLACAN, Paroles d'Afrique
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L'écriture au quotidien
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la parole est aussi écrite et si le continent africain est souvent présenté comme continent de l’oralité, l’écriture y est présente de longue date et sa place est de plus en plus prégnante, non seulement du fait de l’urbanisation galopante du continent, mais aussi parce qu’au quotidien, on rencontre aujourd’hui des "écrits ordinaires» (cahiers de comptes,enseignes, inscriptions sur les véhicules, SMS, etc.)Avec Aïssatou Mbodj-Pouye, (IMAF) Mot(s) clés libre(s) : écriture, Afrique, UPS2259, Paroles d'Afrique, Aïssatou M'Bodj, LACAN
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