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La Chapelle
/ Canal-u.fr
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Fragment du film "La Chapelle"
Réalisé par Ada Kerserho, Anthropologie (M2)
"Regardez qu'est ce qu'il y a dans la rue, à part moi, dans la rue Marx Dormoy... Nan mais qu'est ce qu'il y a... Des cabines téléphoniques, des chiches-kebabs, des marchands de frites, des mecs qui vendent des casses-croutes sur le trottoir sur des tapis, qui vendent des téléphones, qui vendent des chaussettes..." Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, espace urbain, communautés, multicultiralisme, court-métrage
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Mémoire en friche
/ Canal-u.fr
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Auteurs, réalisateurs : Laurent Ménochet, Malika Regaïa, Olivier Thomas
Ce programme s’inscrit dans le cadre des Ateliers « Création cinéma documentaire et recherches en sciences humaines » : « Territoires : lieux, corps, langage » qui ont bénéficié du jumelage d’éducation artistique et culturelle 2014/2015 entre l’Université de Caen Basse-Normandie (programme FRESH MRSH Caen/MSHB Rennes-et Mission culture) et la Maison de l’Image Basse-Normandie, avec le soutien de la DRAC Basse-Normandie, de l’Université Caen Basse-Normandie et de la Région Basse-Normandie.
Les ateliers, coordonnés par Benoît Raoulx (MRSH) et Jean-Marie Vinclair (Maison de l’Image Basse-Normandie), ont réuni des jeunes réalisateurs en voie de professionnalisation et des étudiants/chercheurs. Ils se sont déroulés en plusieurs journées entre novembre 2014 et mars 2015 à la Maison de la Recherche en Sciences Humaines et à la Maison de l’Etudiant de l’université. Chantal Richard, cinéaste, a accompagné l’écriture et la réalisation de ces films.
Daniela de Felice et Maxime Letissier sont intervenus au stade du montage. Quatre courts-métrages documentaires sont issus de ces échanges.
Le film invite à cheminer à travers des friches industrielles pour interroger l’histoire ouvrière en Normandie. Quelles traces en restent-ils et que deviennent ces espaces ? Le passé des femmes et des hommes qui ont travaillé dans ces usines a t-il encore sa place dans la société d’aujourd’hui ? La mémoire ouvrière est-elle effacée ou réécrite sur les nouveaux territoires ? Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, industrie, lieux de mémoire
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Nourrir les villes demain - Ch. Aubry, AgroParisTech
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : changement climatique, agriculture urbaine, nourriture, culture alimentaire, systèmes agricoles
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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L'urbanisme face à une nouvelle révolution urbaine
/ Mission 2000 en France
/ 13-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ASCHER François
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"L'urbanisme est véritablement né au cours de la seconde moitié du XIXème siècle, comme un ensemble disparate de réflexions et de propositions d'action sur la conception des villes, confrontées alors à une croissance rapide et à des mutations très profondes. La pensée et l'action urbanistiques qui se développèrent tout au long du XXème siècle furent très fortement marquées jusqu'à une période récente par les manières de gérer la société deTaylor, Ford, Keynes et Le Corbusier. Ces conceptions dites ""modernes"" se révélant de plus en plus inadaptées à l'évolution des sociétés ""occidentales"" firent l'objet de critiques variées. Aujourd'hui, les villes sont à nouveau confrontées à des mutations majeures, économiques, sociales, techniques, culturelles et politiques. Il devient nécessaire de développer de nouvelles approches de l'urbanisme, dans un contexte marqué par la globalisation, la concentration urbaine dans des métropoles de plus en plus grandes, le développement accéléré des technologies nouvelles, la diversification des modes de vie, la préoccupation croissante pour la préservation de l'environnement, l'émergence de nouvelles inégalités sociales. De grandes questions se posent : -comment maîtriser l'urbanisation contemporaine, dans un contexte marqué par la décentralisation et par la concurrence entre villes ? -peut-on échapper à une uniformisation des villes, des formes urbaines, des styles architecturaux, des modes de vie, dans un contexte marqué par la globalisation ? -comment répondre à la diversité et à la variabilité croissante des besoins des individus et des entreprises, dans un domaine comme l'urbanisme qui ne se conçoit et ne se réalise que dans le moyen et le long terme ? Les réponses à ces questions nécessitent des efforts sans précédents de recherche et d'expérimentation... " Mot(s) clés libre(s) : agglomérations urbaines, méta-urbanisme, métropolisation, urbanisme, urbanisme et mondialisation, villes (croissance), villes (effets des innovations)
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Le mouvement dans les sociétés hypermodernes - François ASCHER
/ UTLS - la suite
/ 04-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ASCHER François
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La modernité a toujours eu indissolublement partie liée avec le mouvement, qu'il s'agisse du mouvement des idées, des biens, des personnes, des informations, des capitaux
. Mais l'entrée dans la « troisième modernité » - c'est ainsi que François Ascher caractérise les évolutions contemporaines- suscite des développements considérables dans les techniques de transport et de stockage (le stockage est le corrélat du mouvement) des personnes, des biens et surtout des informations. De fait, ces dernières jouent un rôle central dans la dynamique de passage au capitalisme cognitif. Cette extension quantitative et qualitative du mouvement s'ajoute aux dynamiques d'individualisation et de différenciation, et contribue à faire émerger de nouvelles formes de structuration de la société. François Ascher utilise à ce propos la métaphore de l'hypertexte pour rendre compte de ce nouveau type de société constituée d'une sorte de feuilletés de champs sociaux (le travail, la famille, le quartier etc.) qui ont chacun ont chacun leurs propres valeurs et règles sociales et qui sont reliés par des individus qui appartiennent simultanément à ces différents champs. Ainsi, la société est doublement structurée, par les champs sociaux et par les individus, comme les hypertextes sont doublement structurés par les syntaxes des textes et par les mots qui font lien entre les textes. Le préfixe « hyper » de l'hypermodernité exprime ainsi à la fois l'exagération de la modernité et sa structure à « n » dimensions. Mot(s) clés libre(s) : individualisation, métropolisation, mobilité, modernité, transports urbains
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Mourir à Tokyo / Natacha Aveline
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
AVELINE Natacha
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La bulle foncière des années 1985-1990 a profondément modifié le visage de Tokyo. Une bonne partie du tissu pavillonnaire s’est brutalement verticalisé pour donner à la capitale nippone l’allure d’une capitale mondiale. Pris dans la tourmente, les cimetières ont également connu des mutations, parfois même assez spectaculaires. Reste t-il une place pour les cimetières dans la capitale nippone, considérant les fortes contraintes foncières auxquelles elle est soumise ?Le film Mourir à Tokyo témoigne de la résistance opiniâtre des espaces de la mort en dépit de l'explosion urbaine et des mutations, parfois radicales, qui les affectent. L'éclatement du modèle rural de la tombe familiale au profit de tombes individuelles a accru la demande d'emplacements funéraires, rendant ce marché très lucratif. Celui-ci fonctionne désormais selon des logiques très proches des marchés immobiliers, d'où l'intervention très remarquée des sociétés immobilières, en particulier dans deux domaines : l'aménagement de grands cimetières privés en banlieue et l'assistance technique auprès des communautés bouddhiques pour l'aménagement de nouveaux espaces funéraires dans l'enceinte de leurs temples.Version japonaise sous-titrée en français. Mot(s) clés libre(s) : cimetières, croissance urbaine, économie urbaine, spéculation foncière, Tokyo (Japon), urbanisme, utilisation du sol
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Canaux et entrepôts : le rayonnement économique au XIXe - 1/3
/ 04-10-2011
/ Canal-u.fr
BACKOUCHE Isabelle
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L’aménagement des canaux au nord-est de Paris au début du XIXe siècle a fait perdre à la Seine son rôle prédominant dans l’économie urbaine. À partir des années 1820, l’activité du bassin et des canaux, conjuguée avec celle du chemin de fer après 1850, transforment le Nord Est parisien en haut lieu économique. Il accueille les matières premières nécessaires à l’industrie et aux transformations de la ville, et d’importantes activités industrielles s’y développent. Ces mutations provoquent la transformation accélérée de l’espace urbain, bien avant l’annexion de 1860 ainsi que celle de la population qui y trouve aisément du travail et un logement.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Bassin Parisien, développement urbain, Canaux, chemin de fer
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Canaux et entrepôts : le rayonnement économique au XIXe - 2/3
/ 04-10-2011
/ Canal-u.fr
BACKOUCHE Isabelle
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L’aménagement des canaux au nord-est de Paris au début du XIXe siècle a fait perdre à la Seine son rôle prédominant dans l’économie urbaine. À partir des années 1820, l’activité du bassin et des canaux, conjuguée avec celle du chemin de fer après 1850, transforment le Nord Est parisien en haut lieu économique. Il accueille les matières premières nécessaires à l’industrie et aux transformations de la ville, et d’importantes activités industrielles s’y développent. Ces mutations provoquent la transformation accélérée de l’espace urbain, bien avant l’annexion de 1860 ainsi que celle de la population qui y trouve aisément du travail et un logement.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Bassin Parisien, développement urbain, Canaux, chemin de fer
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Canaux et entrepôts : le rayonnement économique au XIXe - 3/3
/ 04-10-2011
/ Canal-u.fr
BACKOUCHE Isabelle
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L’aménagement des canaux au nord-est de Paris au début du XIXe siècle a fait perdre à la Seine son rôle prédominant dans l’économie urbaine. À partir des années 1820, l’activité du bassin et des canaux, conjuguée avec celle du chemin de fer après 1850, transforment le Nord Est parisien en haut lieu économique. Il accueille les matières premières nécessaires à l’industrie et aux transformations de la ville, et d’importantes activités industrielles s’y développent. Ces mutations provoquent la transformation accélérée de l’espace urbain, bien avant l’annexion de 1860 ainsi que celle de la population qui y trouve aisément du travail et un logement.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Bassin Parisien, développement urbain, Canaux, chemin de fer
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