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043 - Un cas : militants anticolonialistes dans le Gard (1954-1962)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En 1954, les habitants du Gard, comme la plupart des Français, pensent que « l’Algérie c’est la France ». Seule une petite minorité accepte l’idée d’indépendance. L’aspiration à la paix cependant y est forte et un terrain favorable existe pour que se développe la conscience de la nécessité de la décolonisation dans ce département profondément marqué par le souvenir des Camisards et par la Résistance au nazisme.L’année 1955 ne connaît pas d’action marquante contre cette nouvelle guerre. Les élections sénatoriales du mois de juin ne s’en font même pas l’écho. Mais la guerre et son issue constitueront la toile de fond des élections législatives du 2 janvier 1956 avec les questions laïques et les revendications « poujadistes ». Le PCF, sans prononcer le mot « indépendance » dans sa première déclaration officielle du 8 novembre 1954, reconnaissait « le bien fondé de la revendication à la liberté du peuple algérien » et dénonçait la répression. Ses candidats font campagne contre « les opérations en Afrique du nord » et pour « la négociation avec les représentants qualifiés du peuple algérien ». Ceux du parti socialiste SFIO se prononcent pour « la négociation » et le Parti radical et radical-socialiste dénonce « les conséquences dramatiques » en Algérie. Deux députés communistes sont élus, un socialiste, un MRP et un « poujadiste ».Quelles furent les incidences, dans ce département marqué à gauche, du vote des pouvoirs spéciaux au Président du Conseil socialiste Guy Mollet, le 12 mars 1956 ? Très peu de voix s’élèvent alors dans le Gard contre cette décision prise par les socialistes, les communistes, les radicaux et le MRP. Le député « poujadiste » se prononce contre comme la droite et l’extrême-droite. Pourtant, les deux députés communistes, bien que présents le jour du vote, ne participent pas au scrutin, sans qu’on puisse en déduire qu’ils étaient en désaccord avec la décision de leur parti. Dans le bassin houiller des Cévennes la réaction sera au contraire très vive parmi les mineurs algériens (1 264 sur 14 764 mineurs au total) très politisés avec le MTLD et, dans leur majorité, syndiqués à la CGT. Mais cela n’entraînera pas de rupture et les liens perdureront entre le FLN, la CGT et les communistes. Le MNA ne réussira pas à s’implanter dans les Cévennes et le FLN sera massivement soutenu lors des grèves patriotiques, y compris pendant la grève de huit jours de janvier-février 1957 et au travers de l’ichtirâk. La répression fut terrible. Des patriotes algériens furent torturés dans le Gard en 1960.En 1956, le rappel sous les drapeaux des jeunes « disponibles », suscite un fort mouvement de colère avec occupation des gares SNCF. Les communistes et les protestants, y compris de nombreux pasteurs, sont en pointe dans ce mouvement initié par les mères de soldats. Les socialistes, élus et militants, y sont également nombreux et l’on peut affirmer que le vote des pouvoirs spéciaux par la gauche a permis ce rapprochement. Il n’en reste pas moins que ce vote a été utilisé par Guy Mollet pour aggraver la guerre. Trois maires communistes sont révoqués à la suite de ces actions et 36 militants poursuivis devant les tribunaux militaires. Une crise profonde va secouer le parti socialiste et entraîner la création du PSA qui deviendra le PSU auquel adhéreront neuf conseillers généraux socialistes gardois en 1958 et 1959.Le 4 mai 1958, un jeune ouvrier communiste d’Aigues-Mortes, Marc Sagnier, écrit au Président de la République son refus de combattre le peuple algérien « qui lutte pour son indépendance ». Il paiera son acte de 11 mois de bagne à Timfouchy. Lorsque des actions armées sont entreprises en 1958 contre des installations gardoises jugées stratégiques par le FLN, les deux députés communistes, anciens résistants eux-mêmes, ne les condamnent pas, contrairement à la direction nationale du PCF qui, ainsi que Francis Jeanson, avait mis en garde le FLN. Les années 1960, 1961 et 1962, sont rythmées par les crimes de l’OAS et les ripostes de plus en plus unitaires et massives des Gardois comme de l’ensemble des Français.Les accords d’Évian sont approuvés dans le Gard à 91 % (90,06 % au plan national), le pourcentage atteignant 94,5 % et 95 % dans les localités où les luttes pour la paix ont été les plus intenses. C’est une approbation massive de la paix sur la base de progrès de l’idée de décolonisation. 158 jeunes gardois ont perdu la vie dans cette guerre et nombreux sont ceux qui sont revenus marqués physiquement et moralement. Partis sans enthousiasme à une guerre qui n’était pas la leur, un certain nombre n’a pu échapper au climat de haine et de racisme dans lequel ils ont baigné durant 18 mois.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : accords d'évian (1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), décolonisation, FLN, front de libération nationale (algérie), mouvements anti-impérialistes (gard), opinion publique, paix, partis politiques (france), relations extérieures
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042 - Politiques, militaires, intellectuels français.
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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De la guerre d’Indochine à la guerre d’Algérie : continuités et ruptures par Alain RuscioColonialisme et anticolonialisme français : session thématique (prés. Michelle Zancarini-Fournel)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Cela peut paraître aller de soi : avant la guerre d’Algérie (1954-1962), les Français, civils et militaires, responsables et « hommes de la rue », ont agi et réagi lors de la guerre d’Indochine (1945-1954). L’Empire colonial, comme le Premier Empire, a connu ses « Cent-Jours » : ceux qui ont séparé la signature des accords de Genève (20 juillet 1954) de la Toussaint algérienne. Et pourtant, assez rares sont les études qui mettent en relief ces parcours.Que ce soit pour les politiques, les intellectuels ou, ô combien, les militaires, la description des actions et réactions de la période de cette première guerre de décolonisation et la comparaison avec les actions et réactions des mêmes à propos de l’Algérie sont riches d’enseignements. Si certains hommes ont disparu de la scène publique après 1954, d’autres, actifs pendant la guerre d’Indochine, ont eu un rôle de premier plan durant celle d’Algérie.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonies, décolonisation, impérialisme, indochine française, intellectuels (activité politique), opinion publique
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041 - Guerre d’Algérie et vie politique française (1954-2005)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Franck Renken (Université de Heidelberg)Colonialisme et anticolonialisme français : session thématique (prés. Michelle Zancarini-Fournel)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La Guerre d’indépendance d’Algérie a amené en France une polarisation sociale aiguë qui a conduit le pays maintes fois au bord de la guerre civile. La réaction des gouvernements de la IVe et de la Ve République a consisté à nier la réalité coloniale et la réalité même de la guerre. Cela n’a pas pu empêcher que sur le plan de la politique intérieure, la métropole connaisse de vastes mouvements contre la mobilisation du contingent, puis contre la torture, et enfin contre la guerre même.Bien que le conflit colonial ait signifié dans l’histoire française un changement d’époque, l’État le traita pendant plus de trente-cinq ans comme un non-événement. À l’origine de cette stratégie de refoulement se trouve l’impossibilité pour l’État d’intégrer la défaite en Algérie dans le grand livre de la tradition nationale. Le gaullisme resta divisé quant à son rapport à l’Algérie française et à l’indépendance de l’Algérie. De la même manière, à cause de leur politique contradictoire entre 1954 et 1962, les courants dominants à gauche se montrèrent incapables de faire rétrospectivement de la guerre d’Algérie un objet de débat public.Les débats des années 2000-2001 sur la torture et la controverse autour de la loi du 23 février 2005 ont montré que la guerre d’Algérie, comme tout événement historique, peut dans un autre contexte devenir un point de référence dans la perception historique collective. L’Algérie n’est plus un sujet tabou. Pour autant, l’espoir d’une réconciliation des mémoires antagonistes s’est révélé illusoire. La guerre d’Algérie continue à diviser la Ve République.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie ), charles de gaulle (1890-1970), colonisation, mouvements anti-impérialistes (france), opinion publique française, politique et gouvernement (france), relations france-algérie
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040 - L'affaire Audin
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Pierre Vidal-Naquet, Directeur de recherche émérite (Ecole des Hautes études en Sciences sociales)Colonialisme et anticolonialisme français : session thématique (prés. Michelle Zancarini-Fournel)Communication enregistrée au domicile de Pierre Vidal-Naquet le 16 mai 2006 par léquipe du Service commun audiovisuel et multimédia (SCAM) de l’ENS Lettres et Sciences humaines Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : affaire audin (1957-1958), algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), maurice audin (1932-1957)
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039 - La guerre d'indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955).
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Débat et questions par Jim House De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1) La guerre d’indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955) : session thématique (prés. Jim House) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), colonisation, guerre d'indépendance, histoire
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038 - La répression de l’« insurrection » du 20 août 1955 dans le Constantinois
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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:un problème d’archives ? par Claire Mauss-Copeaux (Groupe de recherche et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)La guerre d’indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955) : session thématique (prés. Jim House)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Le 20 août 1955 est un fait important de l’histoire de la guerre d’Algérie. Les violences perpétrées par les nationalistes dans le Constantinois ont été utilisées de manière polémique par les partisans de l’Algérie française pour condamner définitivement leur projet et pour justifier la guerre totale menée par les « forces de l’ordre ». De leur côté, les partisans de l’indépendance, parce qu’ils jugeaient ces violences injustifiables, ont occulté l’événement et se sont interdit ainsi d’évoquer la répression qui a suivi.Mon intervention s’attachera à préciser les obstacles qui s’opposent à l’étude de cette période sombre de la longue guerre coloniale. Elle évaluera également les apports et les silences des archives et des témoignages et donnera un bilan provisoire des opérations qui ont suivi.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), constantinois (algérie), émeutes, guerre d’indépendance, nationalisme
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037 - Le nationalisme algérien vu par les services de renseignements français (1947-1954)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Du statut de l’Algérie à la veille de la guerre de libération (1947-1954) par Jean-Charles Jauffret (Institut d’études politiques, Aix-en-Provence)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)La guerre d’indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955) : session thématique (prés. Jim House)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne À partir de deux services de renseignement dont le Service historique de l’armée de terre a conservé les synthèses mensuelles sur le long terme, et qui ont déjà fait l’objet, sous notre direction, d’une publication de documents d’archives, le Service de liaisons nord-africaines - SNLA - du colonel Schoen, et le Deuxième Bureau, il s’agit de s’interroger sur ce que savaient les responsables militaires et politiques à propos de la nation en devenir algérienne, encore qu’il ne faille point faire d’anachronisme puisque, à l’époque, on ne parlait encore que de nationalisme.Or, il ressort que si bien des particularités des partis nationalistes algériens restent ignorées, les différentes sensibilités, les modes d’action, les revendications, les menaces supposées ou réelles - le Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA) -, sont nettement perçus. Il conviendra plus particulièrement de s’interroger sur l’Organisation spéciale - OS -, son démantèlement et la survivance des « lourds », et enfin d’examiner les mois qui ont précédé le déclenchement de la guerre d’indépendance. Le tout en tenant compte qu’il s’agit alors, côté français, de vrais services de renseignement et non d’officines préfigurant les sinistres Détachements opérationnels de protection - DOP.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 guerre d'algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, comité révolutionnaire d'unité et d'action (algérie), détachements opérationnels de protection - DOP, histoire, mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (algérie
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036 - Un couple de notables guelmois : Marcel Lavie, Smaïl Lakhdari
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Jean-Pierre Peyroulou (Ecole des Hautes études en Sciences sociales)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1) La guerre d’indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955) : session thématique (prés. Jim House)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’échelle locale et les approches micro-historiques et monographiques permettent de décrire et d’expliquer avec plus de nuances que si l’on se situait à d’autres échelles, le fonctionnement et la reproduction du système colonial quand ce dernier se trouvait grippé, comme en 1945 dans l’arrondissement de Guelma.Ce système reposait pour une large part à Guelma sur un réseau d’alliances et d’allégeances autour de deux notables, l’un européen, l’autre musulman, disposant d’un monopole de la représentation de leur communauté respective auprès des pouvoirs publics. Ils formaient un couple singulier, tour à tour allié et ennemi. Marcel Lavie, colon dont la famille est installée depuis le milieu du XIXe siècle et minotier, cumulait influences économiques et fonctions politiques de conseiller général et de délégué financier. Smaïl Lakhdari, médecin, membre de la Fédération des élus du Constantinois, multipliait les mandats électifs : conseiller général, délégué financier, député. Ils contrôlaient, chacun dans leur camp, la ville de Guelma, sans être en première ligne dans le combat municipal. La poussée nationaliste plaçait Smaïl Lakhdari en situation de faiblesse depuis 1944. Leur situation explique une partie des événements de mai et de juin 1945 dans la région.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1945), algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), guelma (algérie), marcel lavie, massacres de sétif et de guelma, nationalisme, smaïl lakhdari
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035 - La répression de Mai 1945 dans le Constantinois : synthèse historique
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Boucif Mekhaled Présentation par Jean Charles Jauffret, en l'absence de l'intervenantDe la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)La guerre d’indépendance algérienne : prémisses et débuts (1945-1955) : session thématique (prés. Jim House) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1945), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), émeutes, histoire, massacres (constantinois), massacres de sétif et de guelma
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034 - Présentation de la session thématique : La guerre d'indépendance algérienne, 1954-1957
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Khaoula Taleb-IbrahimiColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonisation, guerre d'indépendance, histoire
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