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Le filet de chasse (Ekata, Ogouée-Ivindo, Gabon, 2008)
/ 12-02-2008
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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La chasse au filet est une technique de chasse collective pratiquée par les Pygmées, à laquelle participent hommes, femmes et enfants. Les filets peuvent mesurer plusieurs mètres. Ils sont attachés aux arbres formant ainsi un cercle dans lequel se trouvent des rabatteurs. Les céphalophes (Cephalophus sp.) sont les animaux qui sont le plus souvent capturés. Le gibier est ensuite distribué entre les participants suivant les règles de partage du groupe.
Les Pygmées Bakoya du Gabon ne pratiquent quasiment plus la chasse au filet (abwema). Cette technique est tombée en désuétude à partir des années 1960. Quelques familles ont gardé leur filet, mais ne les utilisent que très rarement. Certains les ont vendus à des étrangers de passage. Ce film présente Raphaël Benga, chef du village Akebe à Ekata, dans le nord-est du Gabon, un des derniers hommes du village à savoir fabriquer le filet. Il retrace les différentes étapes de la fabrication du filet de chasse (di.oti) depuis la collecte de la ressource végétale jusqu'au tissage.
Réalisation/ CaméraBeatriz Soengas
Son
Damien CrosMontageBeatriz Soengas Mot(s) clés libre(s) : végétal, céphalophe, abwena, di.oti, collecte, tissage, capture, technique, mort, Akebe, filet, gibier, fabrication, animal, vidéo, Gabon, film ethnographique, Afrique centrale, Bakoya, pygmée, chasse, Ekata
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Chronique des Pygmées Bakoya, juillet 2007, Ekata, Ogooué-Ivindo, Gabon :
trois jours au campement de collecte de graines de “Panda oleosa”
(Pandacées)
/ 19-07-2007
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Nous sommes le 12 novembre 2007. Accompagnée d’Yves (l’homme à la chemise bleue), de sa femme Claire, sa sœur Henriette et son mari Vincent, sa mère Jeannette et son frère Alexis, je me rends à un campement en forêt avec pour objectif la collecte des fruits de l’arbre appelé u.panda en koya (Panda oleosa), qui abondaient en cette période de l’année. Nous aurions pu envisager de faire de simples allers-retours, mais vu la distance à parcourir et le travail qui nous attendait, il était préférable de camper pour éviter de fatigants allers-retours au village.Un mot sur le Panda oleosa (Pandacées) Le Panda oleosa produit plusieurs fois dans l’année. Son fruit est une drupe verte globuleuse qui contient un noyau très dur et poreux extérieurement, garni de trois ou quatre cavités pour les graines qui renferment un abondant albumen huileux. Même si la pulpe du fruit est pourrie, son noyau peut rester à terre pendant un certain temps renfermant des graines propres à la consommation. Ces graines oléagineuses sont très appréciées car elles servent à élaborer une sauce savoureuse pour accompagner le gibier et le poisson. Pour ce faire elles sont soigneusement fumées avant d’être pilées et mélangées avec un peu d’eau. Une fois fumées, elles peuvent être conservées un temps sur le fumoir enveloppées dans des feuilles de marantacées. D’un point de vue alimentaire, les produits de collecte ne font office que de complément, le manioc étant aujourd’hui l’aliment principal. C’est également une question de stratégie et d’envie. Les graines de Panda oleosa bien que fort valorisées ne sont plus autant recherchées. Le temps que l’on consacre à l’agriculture se fait au détriment de leur collecte. Le même sort est subi par les fruits du manguier sauvage (Irvingia gabonensis, Irvingiacées ; o.petche en koya) ou chocolat, qui fournissent également des graines oléagineuses qui servent à l’élaboration d’une sauce dont la couleur rappelle celle du chocolat.
Outre leur fonction alimentaire, les graines de Panda oleosa font parfois l’objet d’un commerce et sont recherchées sciemment par les citadins car elles sont peu courantes (la quantité de graines collectées est en général peu abondante et consommée au sein du foyer des collecteurs). Ainsi, selon les besoins et la quantité obtenue, elle sont vendues au village ou en ville (Mékambo). Elles peuvent se négocier à des prix relativement importants. Elles sont vendues en paquet ou en poignée, leur prix variant entre 100 à 500 franc CFA selon la quantité.
1ère journéeAvec mes compagnons, nous nous rendons dans un campement distant de 6 km environ de leur lieu de résidence, le village d’Ekata (Ogooué-Ivindo, Gabon). Nous nous installons dans un campement existant qui appartient au père du gendre d’Yves. Comme tous les autres campements, celui-ci se trouve proche d’une rivière afin de pouvoir s’approvisionner en eau pour boire, se laver, mais également, à l’occasion, pour nettoyer le gibier à consommer.
Une fois arrivés, le camp est déblayé (feuilles sèches, termitières), le feu allumé. Chacun vaque à ses occupations : Vincent et Yves s’occupent de la réfection des abris (nouvelle toiture en feuilles de marantacées, préparer le couchage), Alexis fabrique un « casque » en lianes pour porter sa torche qu’il utilisera lors de la chasse de nuit et les femmes font la cuisine. Elles préparent des tubercules de manioc récoltés dans la plantation avant de partir, des champignons cueillis le long de la piste en forêt et un morceau d’antilope budu (Cepahlophus sp.) offert par un neveu d’Yves rencontré sur le chemin du campement. En attendant la cuisson des aliments les femmes fendront les premiers fruits de Panda oleosa trouvés autour du campement. Ensuite repos !
2ème journée
Le deuxième jour, Alexis et Vincent sont partis à la chasse avec le fusil prêté par un villageois de l’ethnie ngom. Avec les femmes et Yves je suis partie du campement pour atteindre un site, au bout de 2 km, où se trouvaient un grand nombre de Panda oleosa. Après avoir réuni et fendu un grand nombre de fruits, nous avons regagné le campement en rejoignant les deux chasseurs sur le chemin. Fendre l’u.panda est en général une activité féminine, mais les hommes également le font si les quantités sont importantes et pour aider les femmes si elles sont fatiguées ou lorsqu’il y a un surcroît de travail, comme c’est le cas ici.
Au campement les femmes continuent à fendre les noyaux, préparent les aliments et Vincent découpe un mwala (Cephalophus leucogaster) dont une partie sera consommée le soir même. Une gazelle (Cephalophus monticola) a également été abattue mais ne sera pas consommée au campement. Elle sera amenée au village, découpée et partagée entre le propriétaire du fusil, celui qui a fournit les cartouches et le chasseur. Yves prépare un fumoir pour sécher les graines collectées dans la journée. Il le disposera au-dessus du feu installé entre ma couchette et celle où il dort avec son épouse.
3ème journée
Dès le matin, Claire et Jeannette continuent à fendre les noyaux des fruits ramassés la veille et Henriette empaquette dans des feuilles de marantacées celles qui ont été fumées la veille. Celle qui ne seront pas fumées au campement seront traitées au village.
Trois jours plus tard, le 14 novembre, après avoir amassé un nombre jugé suffisant de graines nous décidons de regagner le village. Mais avant de partir, le campement sera nettoyé, les détritus jetés aux abords de celui-ci, le sol balayé à l’aide de feuilles, le fumoir détruit.
Une partie des graines sera distribuée entre mes compagnons pour leur consommation personnelle et une autre partie sera vendue au sein du village.
Chronique des pygmées bakoya, juillet 2007, Ekata, Ogooué-Ivindo, Gabon,
Trois jours au campement de collecte de graines de “Panda oleosa” (Pandacées)
Acteurs : Alexis Itchika, Yves Mwesi, Claire Nabwadi, Henriette Otombi, Vincent Yengoï, Janette Zemene
Montage : Annie Marx, Mireille Gruska
Réalisation : Beatriz Soengas
© 2009 Beatriz Soengas, SMM CNRS MNHN Paris & MINAPYGA UOB Libreville Mot(s) clés libre(s) : afrique, découpe antilope, préparation culinaire, construction abri, graine de panda oleasa, collecte, fumoir, campement, pygmée, Bakoya, film ethnographique, Gabon, vidéo, alimentation, mort de l’animal
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006.
Mime d'accouchement, Imbong, Gabon
/ 23-02-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Dorénavant les accouchements se déroulent dans la chambre de la maison, au village, et à de rares occasions à l'hôpital de Mékambo quand il y a des complications. La parturiente est assistée par des femmes auxquelles elle est apparentée ou des voisines. Le cordon ombilical et le placenta sont en général enterrés à la maison et non plus en brousse comme autrefois. (Pour des raisons de tournage ce mime a été réalisé dans une cuisine).
Mot(s) clés libre(s) : afrique, Imbong, pygmée, cordon ombilical, travail, Bakoya, toilette, Gabon, placenta, parturiente, mime, naissance, vidéo, nouveau-né, accouchement, enfouissement placenta
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : sortie de réclusion de la mère des jumeaux
/ 20-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Cette cérémonie se déroule à Ibéa (Ogooué-Ivindo) pour fêter la fin de la réclusion d'une mère de jumeaux. Les villageois considèrent les jumeaux comme des génies et attribuent également des pouvoirs à leurs parents. Après l'accouchement la mère reste recluse chez elle pendant un laps de temps qui peut durer parfois plusieurs mois.
Lors de cette fête officialisant la fin de l'enfermement, les parents se préparent soigneusement (tressage, épilation, ...) avec l'aide des membres de leur famille et des offrandes sont adressées aux jumeaux, toujours à part égale pour conjurer le malheur. Mot(s) clés libre(s) : afrique, nourriture, fête, pygmée, partage, tressage, jumeaux, mère, danse, Ibea, réclusion, offrande, musique, vidéo, cérémonie, chant, Gabon, rituel, film ethnographique, petite enfance, Bakoya, naissance
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : premiers baptêmes d'un pasteur pygmée
/ 16-07-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Premiers baptêmes d'un pasteur pygmée, Imbong (Ogooué-Ivindo, Gabon), juillet 2006 Jean-Jacques Tansi est le premier pasteur pygmée bakoya du Gabon de l'Eglise de la Bonne Semence, l'une des deux églises évangélistes du village d'Imbong (l'autre étant l'Alliance chrétienne). Il officie ici ses premiers baptêmes par immersion complète de Bakoya, mais également de Mwesa du même village. Les Bakoyas vivent dans le village d'Imbong avec des Mwesa, des Kwele, des Kota et des Ongom, parlant tous des langues bantoues différentes.
Le pasteur immergé jusqu'au ventre, aidé d'un assistant bascule les candidats en arrière sous l'eau, après leur avoir fait boucher le nez avec la main droite, l'autre main tenant l'avant bras droit.
La cérémonie se déroule dans la rivière Itaba non loin du village. C'est un lieu de baignade pour se laver, laver le linge ou pour jouer. C'est aussi un espace des esprits autochtones de l'eau et de la forêt que le rituel chrétien a pour but de tenir à distance.
Acteurs : Jean-Jacques Tansi, le pasteur et les habitants bakoya, kwele et mwesa d’Imbong
Réalisation, caméra, son, montage : Beatriz Soengas
2006 Beatriz Soengas, SMM CNRS-MNHN & MINAPYGA & UOB Libreville Mot(s) clés libre(s) : afrique, église évangéliste, pasteur, rivière, Imbong, pygmée, fête, prière, baptême, film ethnographique, rituel, Gabon, chant, vidéo, immersion, musique, danse, eau
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : Mbélé, la chasse aux oiseaux
/ 11-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Mbélé, la chasse aux oiseaux, Bakoya, Imbong, Gabon, 2006
"Mbélé" est le nom donné au latex extrait d'une liane. Les enfants le font chauffer et le mélangent avec de la cendre. La colle ainsi obtenue est mise sur des tiges qui seront fichées dans les rivières à faible débit, proche des endroits repérés comme étant ceux utilisés par les oiseaux pour se laver. Ces derniers, se posent sur les tiges et se retrouvent englués et pris au piège. Cette « chasse aux oiseaux » est uniquement pratiquée par les garçons.
En brousse, une fois l’emplacement choisi, ils installent un feu auprès duquel ils se réchauffent en attendant la fin de l’après-midi, moment où ils iront parcourir la rivière pour planter les bâtonnets de colle. Ils en profitent pour réchauffer le mbélé, raconter des histoires et chanter : « Damasambe apulimapúba » ce qui signifie : « Damasambe ne connaît pas trop se laver à l’eau, ou plonger dans l’eau ». Damasambe est le nom donné au martin-pêcheur (Alcedo leucogaster).
Ce jour là ils n’ont rien attrapé… Mot(s) clés libre(s) : afrique, Imbong, chasse, brousse, rivière, latex, liane, piège, colle, eau, pygmée, Bakoya, ethnobotanique, plante, feu, forêt, alimentation, vidéo, Gabon, cendre, oiseau, film ethnographique, Mbélé
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : jeu de cuisine de feuilles de manioc
/ 20-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Jeu de cuisine de feuilles de manioc, Bakoya, Imbong, Gabon, 2006avec Angélina, Célia, Vanessa, Madeleine, Adeline
Les petites filles bakoya aiment se réunir et jouer à la dînette. Elles cuisinent des feuilles de manioc pilées dans des boîtes de sardines, posées sur des petits feux de bois. Elles ajoutent ensuite du jus de noix de palme après les avoir pilées, comme le font leur mamans. Mot(s) clés libre(s) : afrique, Bakoya, pygmée, Imbong, fille, noix de palme, pilage, manioc, dînette, apprentissage, film ethnographique, Gabon, plante, feu, alimentation, cuisine, enfant, vidéo, imitation, jeu, mortier
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : cérémonie Ngoya (reconstitution)
/ 18-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : cérémonie Ngoya (reconstitution), Bakoya, Imbong, Gabon 2006Acteurs : Albertine Mabomadouendje, Adel MossoMisère MoitissangouPaulin Ngadiet les habitants d'ImbongRéalisation/caméra/sonBeatriz SoengasMontage:B. Soengas, Annie Marx & A. EpelboinCette cérémonie a été organisée à ma demande. Auparavant elle se déroulait la nuit, la veille du départ pour la chasse aux potamochères (ngoya). Les hommes munis de lances partaient en brousse pour plusieurs jours. Le troupeau, une fois repéré, était encerclé par les chasseurs. L'un d'entre eux rentrait dans le cercle pour faire fuir les potamochères tandis que les autres les piquaient avec leurs lances (les pointes étaient fabriquées par les Kwele, peuple bantou). Le produit de la chasse était partagé.
Lors de la cérémonie les femmes dansaient aussi. Etait également présent le "maître de la chasse" qui prédisait, pour chacun des chasseurs, le nombre de prises qu'il allait tuer.
La chasse aux potamochères tomba en désuétude dans les années 1960 avant la chasse au filet, qui n'a plus lieu aujourd'hui également. Mot(s) clés libre(s) : afrique, potamochère, chasse, Imbong, pygmée, Bakoya, ethnomusicologie, film ethnographique, rituel, Gabon, tradition, chant, cérémonie, vidéo, musique, danse, coutume
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Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : Indigence et équité d’accès
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 15-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
RIDDE Valéry
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Titre : Indigence et équité d’accès aux services obstétricaux au Burkina Faso.Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir. 4ème session : accouchement à domicile, choix ou nécessité.Objectifs : analyser les effets et leur distribution de la subvention du prix de l’accouchement eutocique au Burkina Faso, analyser la faisabilité et l’efficacité d’une approche communautaire de sélection des indigents pour l’exemption du paiement direct, réduire la mortalité et la morbidité maternelles et néonatales par la réduction significative des coûts financiers directs des services d’accouchements et de prise en charge des urgences obstétricales.Auteur :RIDDE Valéry. Modérateur : Halima MOUNIRI (AMDD – Columbia University)Organisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP Mère-Enfant du Ministère des Affaires Etrangères.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : accouchement eutocique, Afrique, CMA, CSPS, fonds d'indigence, mortalité maternelle, RMM Dakar 2010
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Le feu et le gras : utilisation du feu et du beurre de cacao dans les techniques du corps et de la petite enfance à la Réunion
/ 14-04-1999
/ Canal-u.fr
POURCHEZ Laurence
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Les utilisations du feu et du gras dans les soins du corps qui suivent la toilette de l’enfant, façonnage du visage et massage du corps. Mot(s) clés libre(s) : afrique, beurre de cacao, Créole, Sainte-Marie, façonnage, gras, La réunion, petite enfance, toilette, film ethnographique, massage, visage, vidéo, feu, soin
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