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Favoriser l'adhésion des élus locaux à un plan de paysage
/ Juliette Guénard
/ 01-10-2014
/ Canal-u.fr
Gansinat Juliette
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La mise en place de démarches participatives modifie la gouvernance des projets dans lesterritoires (Torre, 2011 ; Berlan-Darqué, Lunginbülh, Terrasson, 2007). Quelle place accorder aux acteurs traditionnels que sont les élus communaux ? Cette question est d’autant plus importante que d’une part, la légitimité des actions portées par le Parc repose sur l’adhésion des communes (Fleury, Prévot-Julliard, 2012) et d’autre part, le portage politique des projets paysagers est indispensable à leur mise en oeuvre (Lardon, Moquay, Poss, 2007 ; Trognon et al., 2012).Dans cette communication, nous présenterons la démarche de médiation paysagère menée auprès des vingt-deux élus de la Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat (CCCLM) dans le cadre de l’élaboration du diagnostic du plan de paysage et plus particulièrement dans la phase de diagnostic du projet. La question posée dans la phase de diagnostic est de savoir si l’accompagnement des élus à partager leurs regards et leurs représentations du paysage favorise leur adhésion au plan de paysage ? Mot(s) clés libre(s) : paysage, architecture et paysage
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Sous le signe du saturnisme : Paris 1991-1993
/ 14-11-1993
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Sous le signe du saturnisme : Paris 1991-1993
Témoignage sur les conditions de vie insalubres d'immigrés afiricains à Paris et sur les problèmes de santé graves (satumisme) provoqués chez les enfants par l'ingestion de sels de plomb contenus dans les peintures des cages d'escaliers et des appartements.
Suivi des enfants concernés sur un terrain vague aménagé en terrain d'aventures, puis visite à domicile rue des Vignolles.
Un historien du quotidien parle de l'origine de ces immeubles dits "de rapport" et explique ainsi leur état de vétusté prononcée.
La visite de familles habitant ce genre de logements montre leurs conditions de vie très précaires lors de scènes de la vie quotidienne (jeux d'enfants, goûters) et permet de comprendre comment les enfants vivent dans ces lieux et les accaparent. Ceux-ci montrent les murs où ils mangent la peinture. Les parents inquiets de cette situation tentent de "sécuriser" ces lieux en recouvrant certaines parties de murs par de la moquette.
3 chapitres :
01 La bande des petits Pierrots 3 mn 44s
Suivi des enfants concernés sur un terrain vague aménagé en terrain d'aventures, puis visite à domicile rue des Vignolles.
02 Visite d'un immeuble de la rue de Charonne avec R.H Guerrand 3 mn 9s
Visite en compagnie de Roger-Henri Guerrand, historien du quotidien et du logement social, et de François Calas, logisticien MSF, d'un immeuble insalubre rue de Charonne en 1991.
Rencontre d'enfants intoxiqués par les peintures au plomb et de leur mère.
03 les petites mangeuses de peinture 10 mn 7s
La visite de familles habitant ce genre de logements montre leurs conditions de vie très précaires lors de scènes de la vie quotidienne (jeux d'enfants, goûters) et permet de comprendre comment les enfants vivent dans ces lieux et les accaparent. Ceux-ci montrent les murs où ils mangent la peinture. Les parents inquiets de cette situation tentent de "sécuriser" ces lieux en recouvrant certaines parties de murs par de la moquette. Mot(s) clés libre(s) : plomb, film ethnographique, bambara, quotidien, vétusteté, saturnisme, insalubrité, soninké, Paris, France, précarité, vidéo, peinture, immigration, alimentation, maladie, histoire, architecture, santé publique, migration, enfant, Europe
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Paysages d’après photographie
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
Ehrmann Sabine, Besse Jean-Marc
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En regard de quelques images, il s’agit de se demander ce que la
photographie a fait au paysage. Sous cette question se love l’hypothèse
que la photographie aurait fait époque pour le paysage ; une époque
moderne. Qu’on pense à la photographie comme à un des outils désormais
familier des paysagistes, comme à un référent visuel qui aura su faire
entrer sous le référent « paysage » des espaces en marge des canons
traditionnels de reconnaissance (zone industrielle, friche urbaine,
espace infrastructurel, etc.) ou que l’on considère le cortège
sémantique (le banal, le fragment, la révélation, etc.), abondamment
réactivé par nos manières actuelles de voir, de dire et peut-être aussi
de faire des paysages ; l’hypothèse est que la photographie aura, si ce
n’est déterminé, du moins imprégné profondément la définition du
paysage moderne. Elle aurait, a minima, fait cela au paysage : le tenir
pour un moment d’espace. Il convient de mesurer les conséquences de
cette proposition qui formule paradoxalement le paysage dans l’ordre des
événements plus que dans celui des images. Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze / Laurent Duport (texte lu par Catherine Compain-Gajac)
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DUPORT Laurent
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Les 50 ans des Escanaux à Bagnols sur Cèze. Laurent DUPORT (texte lu par Catherine Compain-Gajac). In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Laurent Duport, architecte spécialiste de Le Corbusier et du mouvement architectural de la Team X, évoque la conception du nouvel ensemble urbain des Escanaux, à Bagnols-sur-Cèze, conçu par le cabinet d’architectes Candilis-Josic-Woods pour accueillir les employés du site de Marcoule, un des premiers sites nucléaires de France.Extrait du texte accompagnant les archives du fonds Candilis (236 Ifa) de la Cité du Patrimoine et de l'Architecture : "Les travaux de la nouvelle cité commencent en avril 1956, avec le lancement par le CEA, au quartier de « La Citadelle », d'une première tranche de 371 logements (terrain acheté en janvier 1956), en même temps qu’une commission spécialisée du plan (constituée principalement par R. Coquerel, urbaniste en chef du Ministère de la construction en mission spéciale, Ch. Delfante, urbaniste du plan régional, G. Candilis et son équipe) entreprend l’élaboration d’un projet d’ensemble pour l’extension de la ville, « capable de prendre le relais de cette première initiative ». Ainsi, la transformation d’un petit centre commercial et administratif d’une région agricole en une ville industrielle est devenue un objectif national, un véritable symbole de la reconstruction nationale.En 1959, quand le nouvel ensemble de Bagnols-sur-Cèze est récompensé par le Prix d’urbanisme du gouvernement français (décerné pour la première fois en France), 35 ha ont été déjà aménagés et la population de Bagnols est passée de 4500 en 1956 à environ 12 000 habitants (la perspective étant alors d’atteindre le nombre de 18 000 habitants avec l’achèvement de la nouvelle ville).Principes d’implantation et de composition :L’extension de la ville vers le sud a été dictée par les données géographiques du site (topographie, climat), en même temps que pour rechercher des éléments de liaison entre les deux villes et créer une continuité. La structure de la vieille ville a déterminé directement la structure de la nouvelle :- le système de liaison des anciennes rues, jamais orthogonales, est repris sur un mode plus large et inspire le mode d’implantation varié des unités de logements. Les groupements (articulés de façon à créer de micro-ensembles de caractères différents) forment des décrochements et se caractérisent par des ruptures systématiques de l’alignement en ligne droite ;- l’utilisation des immeubles-tours comme symbole et identité de la nouvelle ville, mis en rapport symbolique avec les flèches gothiques des églises et des tours médiévales existantes, symbole et identité de la vieille ville ;- la préservation et la mise en valeur des éléments du passé artificiels ou naturels, comme éléments de composition d’ensemble : théâtre en plein air, vieux parcs et jardins, ruines ;- l’utilisation de la polychromie traditionnelle du Midi (bleu, ocre, rouge, ocre jaune, gris), un chromatisme à la fois chatoyant et très nuancé sur un fond blanc.La nouvelle ville comporte une densité périphérique assez forte. Elle est limitée par une route extérieure (la nouvelle route des Rocades unifiant le sud à l’est de la ville) sur laquelle s’implantent les parkings, tandis que l’espace intérieur des zones d’habitations est libéré de toute circulation automobile.En effet, dans les aménagements de Bagnols, on retrouve des éléments concrets des recherches typologiques normalisées précédentes, fruit des réflexions architecturales entreprises au sein de l’équipe de Candilis à l’occasion du concours lancée sous l’égide du Ministère de la Construction pour créer un nouveau type de logement économique, dans le cadre de l’opération million : les trois plans de masse (perpendiculaire, en rond, en « V »), une certaine ordonnance en domino des façades et un type d’immeuble bas à quatre ou cinq niveaux, associés cette fois à une composition contextuelle en plan masse". Mot(s) clés libre(s) : Atelier AAA, Bagnols-sur-Cèze (Gard, France), Mouvement moderne (architecture)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DEVABHAKTUNI Sony
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Mot(s) clés libre(s) : architecture et littérature, influence littéraire, ville (thèmes et motifs), Walter Benjamin (1892-1940), Walter Benjamin (critique et interprétation)
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Gilles Desevedavy : une nouvelle Architecturicité
/ 24-05-2016
/ Canal-u.fr
Desevedavy Gilles
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Parce que le nouveau doctorat en architecture, issu d'une décision
politique, transforme l'architecture de pratique à discipline, celle-ci,
naissante et en construction, devrait répondre non seulement à une
exigence de scientificité, mais également, en complément ontologique, à
une exigence d'architecturicité toute nouvelle. Mot(s) clés libre(s) : architecture, doctorat
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Expériences de réhabilitation dans des réalisations de l'agence Candilis en PACA / Sylvie Denante
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DENANTE Sylvie
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Deux expériences en cours de "connaissance-réhabilitation patrimoniale" dans des réalisations de l'agence Candilis en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sylvie DENANTE. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Sylvie Denante présente deux expériences de conservation du patrimoine architectural moderne, deux réalisations "sœurs" labellisées "Patrimoine du XXe siècle" : le lotissement "Les Muriers" à Manosque et la résidence "le Petit Nice" à Aix-en-Provence, conçus en 1962-1963 par les architectes Georges Candilis, Alexis Josic et Shadrach Wodds.Ces deux chantiers de réhabilitation sont représentatifs de la difficulté d'intervenir pour protéger les réalisations du XXe siècle hors d'un cadre règlementaire car il ne résulte aucune protection particulière de l'obtention du label. Dans les deux cas, l'intervention a consisté tout d'abord à "documenter" les bâtiments (étude historique, expertise architecturale...), à poser un partenariat avec les copropriétaires pour les aider à l'entretien de l'édifice, à les sensibiliser sur l'esprit architectural d'origine... Mot(s) clés libre(s) : Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône), architecture moderne, logement (réhabilitation), Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), politique de rénovation urbaine
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La musique
/ Mission 2000 en France
/ 22-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DANDREL Louis
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La musique multiple par Louis Dandrel Faire un état de la musique aujourd'hui oblige à dresser un inventaire abondant et disparate. On peut tenter d'y voir ou d'y entendre plus clair en observant les transformations des situations d'écoute, les techniques de traitement et diffusion du son, ou encore les évolutions de l'architecture. L'extrême diversité de la musique semble en effet coïncider avec le fractionnement et le mélange des espaces où elle prend forme et se propage. Des ethnologues et des historiens ont déjà mis en évidence des relations entre des développements de musiques traditionnelles ou savantes et leur milieu acoustique. La production et la consommation de musique paraissent à ce jour doublement liées à leur environnement qu'elles contribuent à façonner mais dont elles sont étroitement dépendantes. Mot(s) clés libre(s) : acoustique architecturale, acoustique et physique, écoute musicale, musique, musique et architecture, perception de la musique, style musical
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture / Catherine Compain-Gajac
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
COMPAIN-GAJAC Catherine
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Introduction à la notion de conservation-restauration de l'architecture. Catherine COMPAIN-GAJAC. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pour donner les éléments nécessaires à la compréhension de la notion de conservation du patrimoine architectural, Catherine Compain-Gajac retrace à grands traits l'historique de la politique de préservation du patrimoine architectural en France, du XVIIe siècle au lendemain de la Révolution française jusqu'au XXe siècle en passant par le rôle des inspecteurs des monuments historiques, Ludovic Vitet et Prosper Mérimée et la politique d'André Malraux qui, en 1958, fait dresser un classement des édifices modernes. Depuis 1980, s'est développé un intérêt pour l'architecture moderne et la mise en oeuvre de sa protection, avec, notamment, plusieurs dates importantes : les rencontres de Paris et Grenade en 1985, qui voient la rédaction de la recommandation pour la protection et la mise en valeur du patrimoine du XXe siècle. En 1988, sera créé un organisme pour la documentation et la conservation de l'architecture moderne, Docomomo International. A partir des années 1990, les différents organismes multiplient les rencontres d'experts, les colloques internationaux et les programmes d'études, ce qui ne va cependant pas suffire à faire reconnaître la valeur patrimoniale des édifices modernes. « Bien que l'architecture se soit développée de manière spectaculaire au 20ème siècle du fait de la très rapide explosion démographique, bien que pendant cette période on ait construit plus que pendant tous les siècles antérieurs, si on le compare au patrimoine ancien, celui du 20e est largement sous-représenté dans la liste du patrimoine mondial ». Catherine Compain-Gajac explique les raisons multiples de cette sous-représentation, parmi lesquelles la difficulté d'appliquer les critères fixés par la Convention du patrimoine mondial de l'Unesco, habituellement destinés à protéger des bâtiments anciens. Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne (1945-1970), France (20e siècle), Mouvement moderne (architecture), patrimoine architectural, politique culturelle (protection du patrimoine), protection patrimoniale
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1. Energie hydraulique : historiques et ressources
/ Université Perpignan Via Domitia, UVED
/ 15-01-2015
/ Canal-u.fr
COLLOMBAT François
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Dans cette vidéo, François Collombat propose un historique de l'usage de l'énergie hydraulique par les sociétés humaines et montre la diversité des architectures associées. Il insiste sur le développement de la filière hydroélectrique en France au cours du dernier siècle. Mot(s) clés libre(s) : histoire, architecture, aménagements, énergie hydraulique
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