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Colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration" - 1/2
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Enregistrements de la première partie du colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration", tenu à l'auditorium de l'INHA les 17 et 18 avril 2014.L'Institut national d'histoire de l'art et la Cité de l'architecture et du Patrimoine accueilleront du 16 au 18 avril la XXe
Rencontre de la Fondation Le Corbusier. Trois journées de conférences, tables-rondes, d'études de cas et de visites de chantiers qui
permettront d'engager une réflexion sur le bilan que l’on peut dresser
des nombreuses restaurations de l'œuvre de Le Corbusier. L'œuvre
architecturale de Le Corbusier vit aujourd'hui une époque charnière qui
connaît un double phénomène : la mutation importante des propriétaires
et/ou des usages ainsi que la prise de conscience de l’importance et de
la qualité de son œuvre.
Le regard porté sur l’œuvre de Le
Corbusier - et sur l’architecture moderne en général - a
considérablement évolué au cours de ces années. Plusieurs bâtiments ont
connu des changements d’affectation ou subi des aménagements importants.
D'autres ont connu leur "achèvement" et certains projets restés oubliés
ou dont l'existence fut éphémère font régulièrement l'objet de
velléités de réalisation posthume, reposant ainsi la question de la
finitude de l'œuvre… La dimension universelle du legs de Le Corbusier a
été mise en évidence, notamment au cours du long processus de
préparation de la candidature de l’œuvre architectural à l’inscription
sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO au travers d’une série
transcontinentale. Dans le même moment, les politiques, les stratégies,
les techniques, l’éthique de la restauration des monuments historiques
du XXe siècle ont connu des évolutions, des réinterprétations
qui ont fait largement évoluer les pratiques. Des cas exemplaires de
restauration du moderne peuvent aujourd’hui servir de référence… Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), architecture, colloque, architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), Le Corbusier, INHA, architecte, mies van der rohe
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 3/3
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Enregistrement issu de la troisième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 1/3
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Enregistrement issu de la première journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Beyrouth, imaginaires urbanistiques
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A partir des ouvrages "Beyrouth sous mandat français. Construction d’une ville moderne" de Marlène Ghorayeb (Éd. Karthala, 2014), "Intensive Beyrouth" de Youssef Tohme (Ed. Norma, 2014) et "Beyrouth et ses urbanistes. Une ville en plans (1946-1975)" d’Eric Verdeil (Presses de l’IFPO, 2010).
L'urbanisme de Beyrouth saisi à trois moments-clés de l'histoire moderne de la ville : la gouvernance mandataire (à partir de 1918), l'euphorie de l'Indépendance (après 1946) et les excès du libéralisme après la fin de la guerre civile en 1990. Plus riches en intentions qu'en réalisations, les successives mises en plan de la capitale libanaise invitent à une réflexion sur les temporalités de l'action publique, ainsi que sur les sédimentations et résiliences qui fondent l'urbanité libanaise; en retour, les plans offrent l'opportunité de s'intéresser aux processus d'internationalisation des concepts, des outils et des milieux professionnels de l'urbanisme au XXe siècle.
En présence des auteurs.
Modératrice: Mercedes Volait, historienne de l'architecture, spécialiste de l'Egypte moderne, directeur de recherche au CNRS et directeur du laboratoire InVisu à l'Institut national d'histoire de l'art. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, architecture, Liban, Beyrouth
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Atelier 2. Inachèvement - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
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2. Inachèvement
– Salle Vasari –
Responsable : Ada Ackerman (THALIM / CNRS)
Bertrand Madeline
(EHESS / CRAL)
Non finito,
carnosità, vivacità. Figures de l’émergence à fleur de pierre
Le non finito des sculptures de Michel-Ange fournit un
paradigme pour penser le procès des formes inchoatives : comme l’esquisse, il
est ce qui ne dégage pas complètement une forme du matériau, un sujet du
subjectile. En accord avec la symbolique néoplatonicienne d’une lutte de l’âme
contre la prison de la matérialité, le degré d’inachèvement de certains Prigioni
manifeste aussi le vivant de l’Idée, la vivacité du geste artistique et il
permet à l’œuvre de dévoiler les moyens mêmes de son émergence.
Raul C. Sampaio
Lopes (université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
L’imperfection
n’est pas de ce monde : l’inachèvement impensé de la façade de l’église de la
Miséricorde de Penafiel (Portugal) (1764-1769)
Sans fortune critique, de paternité incertaine, l’ouvrage
éclaire les liens entre reconnaissance artistique et pensée de l’inachèvement, en
un temps et un lieu où celui-ci se traduit par imperfeição.
Vincenzo Mancuso
(Institut national d’histoire de l’art)
« La maniera
argentea di Guido ».La question du non finito dans la dernière production de
Guido Reni
La dernière période de la production de Guido Reni
(1575-1642) est caractérisée par une touche diaphane qui évoque la question du
« non finito ». Il s’agit d’une démarche artistique singulière car la
dissolution de la matière picturale correspond à une forme d’ascèse religieuse. Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Michel-Ange
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