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Atelier 2. Inachèvement - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
/ Canal-u.fr
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2. Inachèvement
– Salle Vasari –
Responsable : Ada Ackerman (THALIM / CNRS)
Bertrand Madeline
(EHESS / CRAL)
Non finito,
carnosità, vivacità. Figures de l’émergence à fleur de pierre
Le non finito des sculptures de Michel-Ange fournit un
paradigme pour penser le procès des formes inchoatives : comme l’esquisse, il
est ce qui ne dégage pas complètement une forme du matériau, un sujet du
subjectile. En accord avec la symbolique néoplatonicienne d’une lutte de l’âme
contre la prison de la matérialité, le degré d’inachèvement de certains Prigioni
manifeste aussi le vivant de l’Idée, la vivacité du geste artistique et il
permet à l’œuvre de dévoiler les moyens mêmes de son émergence.
Raul C. Sampaio
Lopes (université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
L’imperfection
n’est pas de ce monde : l’inachèvement impensé de la façade de l’église de la
Miséricorde de Penafiel (Portugal) (1764-1769)
Sans fortune critique, de paternité incertaine, l’ouvrage
éclaire les liens entre reconnaissance artistique et pensée de l’inachèvement, en
un temps et un lieu où celui-ci se traduit par imperfeição.
Vincenzo Mancuso
(Institut national d’histoire de l’art)
« La maniera
argentea di Guido ».La question du non finito dans la dernière production de
Guido Reni
La dernière période de la production de Guido Reni
(1575-1642) est caractérisée par une touche diaphane qui évoque la question du
« non finito ». Il s’agit d’une démarche artistique singulière car la
dissolution de la matière picturale correspond à une forme d’ascèse religieuse. Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Michel-Ange
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Beyrouth, imaginaires urbanistiques
/ Canal-u.fr
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A partir des ouvrages "Beyrouth sous mandat français. Construction d’une ville moderne" de Marlène Ghorayeb (Éd. Karthala, 2014), "Intensive Beyrouth" de Youssef Tohme (Ed. Norma, 2014) et "Beyrouth et ses urbanistes. Une ville en plans (1946-1975)" d’Eric Verdeil (Presses de l’IFPO, 2010).
L'urbanisme de Beyrouth saisi à trois moments-clés de l'histoire moderne de la ville : la gouvernance mandataire (à partir de 1918), l'euphorie de l'Indépendance (après 1946) et les excès du libéralisme après la fin de la guerre civile en 1990. Plus riches en intentions qu'en réalisations, les successives mises en plan de la capitale libanaise invitent à une réflexion sur les temporalités de l'action publique, ainsi que sur les sédimentations et résiliences qui fondent l'urbanité libanaise; en retour, les plans offrent l'opportunité de s'intéresser aux processus d'internationalisation des concepts, des outils et des milieux professionnels de l'urbanisme au XXe siècle.
En présence des auteurs.
Modératrice: Mercedes Volait, historienne de l'architecture, spécialiste de l'Egypte moderne, directeur de recherche au CNRS et directeur du laboratoire InVisu à l'Institut national d'histoire de l'art. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, architecture, Liban, Beyrouth
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 1/3
/ Canal-u.fr
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Enregistrement issu de la première journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 3/3
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Enregistrement issu de la troisième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration" - 1/2
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Enregistrements de la première partie du colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration", tenu à l'auditorium de l'INHA les 17 et 18 avril 2014.L'Institut national d'histoire de l'art et la Cité de l'architecture et du Patrimoine accueilleront du 16 au 18 avril la XXe
Rencontre de la Fondation Le Corbusier. Trois journées de conférences, tables-rondes, d'études de cas et de visites de chantiers qui
permettront d'engager une réflexion sur le bilan que l’on peut dresser
des nombreuses restaurations de l'œuvre de Le Corbusier. L'œuvre
architecturale de Le Corbusier vit aujourd'hui une époque charnière qui
connaît un double phénomène : la mutation importante des propriétaires
et/ou des usages ainsi que la prise de conscience de l’importance et de
la qualité de son œuvre.
Le regard porté sur l’œuvre de Le
Corbusier - et sur l’architecture moderne en général - a
considérablement évolué au cours de ces années. Plusieurs bâtiments ont
connu des changements d’affectation ou subi des aménagements importants.
D'autres ont connu leur "achèvement" et certains projets restés oubliés
ou dont l'existence fut éphémère font régulièrement l'objet de
velléités de réalisation posthume, reposant ainsi la question de la
finitude de l'œuvre… La dimension universelle du legs de Le Corbusier a
été mise en évidence, notamment au cours du long processus de
préparation de la candidature de l’œuvre architectural à l’inscription
sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO au travers d’une série
transcontinentale. Dans le même moment, les politiques, les stratégies,
les techniques, l’éthique de la restauration des monuments historiques
du XXe siècle ont connu des évolutions, des réinterprétations
qui ont fait largement évoluer les pratiques. Des cas exemplaires de
restauration du moderne peuvent aujourd’hui servir de référence… Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), architecture, colloque, architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), Le Corbusier, INHA, architecte, mies van der rohe
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Colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration" - 2/2
/ Canal-u.fr
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Enregistrements de la deuxième partie du colloque "Le Corbusier : l’œuvre à l'épreuve de sa restauration", tenu à l'auditorium de l'INHA les 17 et 18 avril 2014.L'Institut national d'histoire de l'art et la Cité de l'architecture et du Patrimoine accueilleront du 16 au 18 avril la XXe
Rencontre de la Fondation Le Corbusier. Trois journées de conférences, tables-rondes, d'études de cas et de visites de chantiers qui
permettront d'engager une réflexion sur le bilan que l’on peut dresser
des nombreuses restaurations de l'œuvre de Le Corbusier. L'œuvre
architecturale de Le Corbusier vit aujourd'hui une époque charnière qui
connaît un double phénomène : la mutation importante des propriétaires
et/ou des usages ainsi que la prise de conscience de l’importance et de
la qualité de son œuvre.
Le regard porté sur l’œuvre de Le
Corbusier - et sur l’architecture moderne en général - a
considérablement évolué au cours de ces années. Plusieurs bâtiments ont
connu des changements d’affectation ou subi des aménagements importants.
D'autres ont connu leur "achèvement" et certains projets restés oubliés
ou dont l'existence fut éphémère font régulièrement l'objet de
velléités de réalisation posthume, reposant ainsi la question de la
finitude de l'œuvre… La dimension universelle du legs de Le Corbusier a
été mise en évidence, notamment au cours du long processus de
préparation de la candidature de l’œuvre architectural à l’inscription
sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO au travers d’une série
transcontinentale. Dans le même moment, les politiques, les stratégies,
les techniques, l’éthique de la restauration des monuments historiques
du XXe siècle ont connu des évolutions, des réinterprétations
qui ont fait largement évoluer les pratiques. Des cas exemplaires de
restauration du moderne peuvent aujourd’hui servir de référence… Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et restauration), architecture, colloque, architecture (Mouvement moderne), architecture (XXe siècle), Le Corbusier, INHA, architecte, mies van der rohe
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Colloque "Microarchitecture et figures du bâti : l'échelle à l'épreuve de la matière" - 3/5
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Le colloque organisé par l’Institut national d’histoire de l’art,
l’université de Nantes et les Archives nationales a l’ambition d’aborder
les problématiques liées à la représentation miniature de l’espace bâti
dans une optique différente de celles ayant prévalu jusqu'alors. Le
phénomène d' « architecturation » qui voit la prolifération du
vocabulaire architectural dans toutes les formes d'art ne cesse en effet
d’interroger les historiens du Moyen Âge. Or, ce phénomène ne peut être
véritablement compris que si l'on prend en compte les transformations
que le changement d’échelle implique pour le travail des artisans et
dans la réception de leurs œuvres.
Plus d'informationsMardi 9 décembre 2014Orfèvrerie et mobilier Elisabeth Taburet-Delahaye, présidente de séanceSebastian Fitzner (Ludwig-Maximilians-Universität München) : Tiles stoves as buildings and symbolic forms. Remarks on a largerly unexplorated field of microarchitectures in late medieval times. Anita Paolicchi (Università di Pisa) : Examples of miniaturized architecture: the chivots at the time of Constantin BrâncoveanuDiscussionDany Sandron (Paris-Sorbonne) : La châsse de Saint-Marcel et l'architecture de Notre-Dame de Paris : renvoi et empruntsFrédéric Tixier (Université de Lorraine) : Dextérité de l'orfèvre, symbolisme de la forme : remarques sur quelques crosses «architecturées» médiévales (XIIIe-XVIe siècle)Matthew James Sillence (University of East Anglia, Norwich) : Compositions and Associations of Architectural Frameworks on Cardinals' Seals 1378-1533 Mot(s) clés libre(s) : architecture, colloque, symposium, INHA, microarchitecture, medieval
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Colloque "Microarchitecture et figures du bâti : l'échelle à l'épreuve de la matière" 1/5
/ Canal-u.fr
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Le colloque organisé par l’Institut national d’histoire de l’art,
l’université de Nantes et les Archives nationales a l’ambition d’aborder
les problématiques liées à la représentation miniature de l’espace bâti
dans une optique différente de celles ayant prévalu jusqu'alors. Le
phénomène d' « architecturation » qui voit la prolifération du
vocabulaire architectural dans toutes les formes d'art ne cesse en effet
d’interroger les historiens du Moyen Âge. Or, ce phénomène ne peut être
véritablement compris que si l'on prend en compte les transformations
que le changement d’échelle implique pour le travail des artisans et
dans la réception de leurs œuvres.
Plus d'informationsLundi 8 décembre 2014Echelle Paul Binski, président de séanceJulian Gardner (University of Warwich) : Who where the microarchitects? Javier Ibàñez Ferbandez (Universidad de Zaragoza) et Arturo Zaragozá Catalán (Universidad de Valencia) : Microarchitectures et architectures dans le monde ibérique aux XVe et XVIe siècles DiscussionJames Alexander Cameron (The Courtauld Institute of Art, London) : Sedilia in English churches: microarchitectural innovation in function and form Sabine Berger (Paris-Sorbonne) : Edifices miniaturisés et figures de bienfaiteurs à la période médiévale : iconologie de la maquette d'architecture Mot(s) clés libre(s) : architecture, colloque, INHA, microarchitecture, sedilia, medieval, maquette
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Colloque "Microarchitecture et figures du bâti : l'échelle à l'épreuve de la matière" 2/5
/ Canal-u.fr
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Le colloque organisé par l’Institut national d’histoire de l’art,
l’université de Nantes et les Archives nationales a l’ambition d’aborder
les problématiques liées à la représentation miniature de l’espace bâti
dans une optique différente de celles ayant prévalu jusqu'alors. Le
phénomène d' « architecturation » qui voit la prolifération du
vocabulaire architectural dans toutes les formes d'art ne cesse en effet
d’interroger les historiens du Moyen Âge. Or, ce phénomène ne peut être
véritablement compris que si l'on prend en compte les transformations
que le changement d’échelle implique pour le travail des artisans et
dans la réception de leurs œuvres.
Plus d'informationsMardi 9 décembre 2014Modèle(s) Elisabeth Antoine, présidente de séanceGiovanni Santucci (Università di Pisa) : Architectural paper models in Early Modern Italy Peter Kurmann (ETH, Zurich) : Les modèles miniaturisés et leur rôle de transfert d'idées au XIIIe siècle Discussion Circulations et transferts
Elisabeth Antoine, présidente de séanceFelipe Serrano Estrella (Universidad de Jaén) : Circulation of Classicist Models between Spain and Italy through the «Eucharistic Microarchitecture» Farah Makki (EHESS, Paris) : Figures scripturales de la microarchitecture au palais de l'Alhambra (XIVe siècle) : préceptes d'une architecture relationnelle en Islam médiéval Discussion Mot(s) clés libre(s) : architecture, colloque, INHA, microarchitecture, sedilia, medieval, maquette
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Colloque "Microarchitecture et figures du bâti : l'échelle à l'épreuve de la matière" 4/5
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Le colloque organisé par l’Institut national d’histoire de l’art,
l’université de Nantes et les Archives nationales a l’ambition d’aborder
les problématiques liées à la représentation miniature de l’espace bâti
dans une optique différente de celles ayant prévalu jusqu'alors. Le
phénomène d' « architecturation » qui voit la prolifération du
vocabulaire architectural dans toutes les formes d'art ne cesse en effet
d’interroger les historiens du Moyen Âge. Or, ce phénomène ne peut être
véritablement compris que si l'on prend en compte les transformations
que le changement d’échelle implique pour le travail des artisans et
dans la réception de leurs œuvres.
Plus d'informationsMercredi 10 décembre 2014Peter Kurmann, président de séancesRenovatioAnne-Orange Poilpré (Paris 1 Panthéon-Sorbonne) : Bâtir et figurer la royauté chrétienne au IXe siècle : les trônes architecturés des manuscrits de Charles le ChauveMatt Ethan Kavaler (University of Toronto) : Microarchitecture as the Paradigme of Antique Architecture in the Low Countries: 1515-1540Discussion Symbole(s)Achim Timmermann (University of Michigan, Ann Arbor) : City, Cathedral, scopic labyrinth: scalar travels in medieval microarchitecture Renzo Chiovelli (Università La Sapienza, Roma) : Materials, space and time in the microarchitecture of the Holy SepulchreDiscussion Mot(s) clés libre(s) : architecture, colloque, INHA, microarchitecture, medieval
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