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L'OBSERVATOIRE DE PARIS AU 19e SIÈCLE

/ Jean MOUETTE / 06-01-2015 / Canal-u.fr
Lequeux James
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Conférence de l'Institut d'astrophysique de Paris (IAP) présentée par James Lequeux (astronome émérite à l'Observatoire de Paris), le 6 janvier 2015 à l'IAP.L'Observatoire de Paris au 19e siècle a été dominé par deux fortes personnalités, aussi différentes que possible : François Arago de 1810 à 1853, et Urbain Le Verrier de 1854 à 1877. Très ouvert, Arago a fait de l'Observatoire un centre de la physique, et créé l'astrophysique : ses travaux personnels, un peu oubliés, méritent d'être réhabilités. Il a cependant laissé se dégrader l'institution en raison d'un certain népotisme, de ses nombreuses autres occupations, politiques notamment, et aussi parce qu'il était sous la coupe du Bureau des longitudes. Le Verrier, scientifique éminent mais solitaire, l'a remontée efficacement, mais ses méthodes dictatoriales ont conduit à sa révocation en 1870 (il a été réintégré trois ans après !). L'astrophysique naissante a périclité sous son règne et a eu bien des difficultés à se développer après sa mort. C'est contraint et forcé que Le Verrier a engagé Foucault comme physicien de l'Observatoire. Foucault y a créé le télescope moderne à la fin des années 1850, et y a fait sa magnifique mesure de la vitesse de la lumière en 1862 : c'est de cela, en plus des travaux personnels de Le Verrier, dont se souvient l'histoire.
Mot(s) clés libre(s) : système solaire, astrophysique, polarisation, histoire des sciences et techniques, télescopes, planètes, astronomie, Histoire de l'Observatoire de Paris
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La cosmologie moderne : les nouveaux outils d'observation de l'univers

/ Mission 2000 en France / 02-07-2000 / Canal-U - OAI Archive
VIGROUX Laurent
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La nuit semble être noire. Il n'en est rien. L'univers baigne dans un rayonnement aux multiples origines. Dès le 17e siècle, le physicien Olberg montre tout le parti pouvant être tiré de la brillance du ciel. Si l'univers était uniforme et infini, la brillance du ciel due à la superposition de l'émission de toutes les sources qui le composent, devrait être infinie. Le fait qu'elle ne le soit pas, montre que l'univers n'est ni uniforme, ni infini. Il faut attendre le début du XXe siècle pour comprendre les implications profondes du paradoxe de Olberg. Grâce aux observatoires spatiaux, les astrophysiciens modernes élargissent leur champ d'investigation à tout le domaine du rayonnement électromagnétique. Les satellites américains permettent d'achever la mesure complète du spectre du rayonnement présent dans l'univers. Ces observatoires permettent également d'identifier les origines de ce rayonnement. Le recensement de l'univers est en passe d'être achevé. C'est en soi un résultat spectaculaire, qui marque la fin d'une recherche qui a commencé il y a plus de deux mille ans. Les résultats obtenus montrent que comme l'a supposé Olberg, l'univers n'est ni uniforme, ni infini, mais qu'en plus lui et ses constituants ont évolué très fortement depuis leur origine. La prochaine génération de télescopes, au sol, et dans l'espace va s'attaquer à la compréhension de cette évolution. Mais l'univers n'est pas fait que de rayonnement. Il contient aussi des particules. Depuis les années 1930 on sait que plus de 90% de cette matière échappe à la détection. Des recherches sont activement poursuivies par les astrophysiciens et les physiciens des particules pour élucider ce problème. Par contre des progrès spectaculaires ont été très récemment obtenus sur la répartition de cette matière dans l'univers, en utilisant la propriété de déflexion de la lumière par une masse gravitationnelle prédite par la relativité générale d'Einstein. L'univers lointain nous apparaît déformé car la lumière émise par les galaxies lointaines ne se propage pas en ligne droite. Son parcours s'infléchit en passant à proximité de masses importantes. Les astrophysiciens ont mis au point des techniques permettant de calculer ces déformations, et donc de calculer la distribution de la matière noire responsable de ces déformations. C'est un domaine en plein développement.
Mot(s) clés libre(s) : astronomie extragalactique, astrophysique, Big Bang, cosmologie, fond diffus cosmologique, galaxie, infrarouge, observation du ciel, radioastronomie, rayon cosmique, rayonnement électromagnétique, rayonnement fossile, télescope, univers
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La géodésie : figure de la Terre, cartographie et géolocalisation

/ 11-04-2015 / Canal-u.fr
BOUCHER Claude
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La Géodésie est une discipline qui remonte à la haute Antiquité mais qui reste néanmoins méconnue. Cette présentation s’efforce d’en illustrer sa diversité et son impact pour la science mais également la société. Elle esquissera le cadre historique de développement, et insistera sur l’apport fondamental des nouvelles technologies, notamment les techniques spatiales ou les horloges atomiques. Trois grandes visions seront successivement présentées : la détermination de la Figure de la Terre, de l’évolution des représentations cosmologiques à la connaissance dynamique du champ de potentiel terrestres et l’apport des missions de gravimétrie spatiale, la représentation cartographique de la Terre et l’information géographique moderne, et enfin la localisation à la surface terrestre, de la localisation astronomiques aux techniques modernes de positionnement, notamment les systèmes de navigation par satellites (GPS, Galileo…).
Mot(s) clés libre(s) : cartographie, géodésie, astronomie
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La longitude, muse oubliée de l'astronomie classique

/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Jean MOUETTE, CERIMES, Institut D'Astrophysique de Paris (IAP) / 14-06-2011 / Canal-U - OAI Archive
GIRAUD-RUBY Alain
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Conférence donnée à l'IAP le 14 juin 2011, par par Alain Giraud-Ruby, scientifique et écrivain.On montre comment, à l'âge classique, les problèmes stratégiques liés à la mesure de la longitude, à l'origine notamment de la construction des premiers observatoires optiques, succèdent à ceux du calendrier et de l'astrologie comme principal moteur des progrès de l'observation astronomique. La cartographie terrestre, spécialité des astronomes et géodésiens de l'observatoire de Paris comme Picard et La Caille, utilisera pendant près de deux siècles la méthode des éclipses des satellites de Jupiter développée par Galilée et Cassini, tandis que le point en mer par la méthode des distances lunaires de Werner occupera plusieurs générations d'Astronomes Royaux à Greenwich, de Flamsteed à Maskelyne. Le perfectionnement des chronomètres de marine ne marquera pas la fin du rôle fondamental de la longitude comme muse de la science au dix-neuvième siècle : l'utilisation du télégraphe et de la radio inspirera à Poincaré, au Bureau des Longitudes, une nouvelle conception du temps à la base de la théorie de la relativité. Et ce n'est pas par hasard si les applications les plus répandues de cette théorie sont les systèmes de positionnement par satellite.
Mot(s) clés libre(s) : astronomie ; longitude
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LA MISSION PHILAE / ROSETTA : PREMIÈRE EXPLORATION COMÉTAIRE IN SITU

/ Jean MOUETTE / 03-03-2015 / Canal-u.fr
BIBRING Jean-Pierre
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Conférence de l'Institut d'astrophysique de Paris (IAP) présentée par Jean-Pierre Bibring  (astrophysicien à l'Institut d'Astrophysique Spatiale), le 3 mars 2015 à l'IAP.Jean-Pierre Bibring est le responsable scientifique français de Philae, l'atterisseur de la sonde Rosetta. Rosetta est une mission de l’ESA avec des contributions de ses États membres et de la NASA. Philae, l’atterrisseur de Rosetta, est fourni par un consortium dirigé par le DLR, le MPS, le CNES et l'ASI. Rosetta est la première mission dans l'histoire à se mettre en orbite autour d’une comète, à l’escorter autour du Soleil, et à déployer un atterrisseur à sa surface.
Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, origines du système solaire, exploration spatiale, planétologie, molécules, Comètes, chimie, astronomie
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La palette des grands équipements d'observations en astrophysique

/ UTLS - la suite / 18-07-2001 / Canal-U - OAI Archive
ROUAN Daniel
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Les regards neufs de l'astrophysicien : grands équipements et moyens nouveaux de l'astronomie Cantonné au seul domaine de la lumière visible pendant des siècles, le regard que l'astronome a posé sur l'Univers s'est aiguisé essentiellement en augmentant la taille des télescopes pour voir toujours plus loin. Puis arrive au vingtième siècle le spectrographe qui permet d'analyser cette lumière en la décomposant pour en déduire la teneur et les propriétés physiques des astres qui l'émettent. Jusqu'au milieu de ce siècle, c'est cette combinaison d'outils relativement simples qui permet d'avancer dans notre connaissance de l'Univers, à grands pas cependant, tant la lumière est porteuse d'une information riche. Aujourd'hui la palette des moyens d'investigation de l'astrophysicien s'est considérablement enrichie et permet de percevoir la musique des sphères sur une gamme devenue immense. Cette gamme, c'est en fait celle du rayonnement électromagnétique qui comprend, outre le modeste octave de la lumière visible, des dizaines d'octaves de rayonnements d'autre nature : ceux des domaines de la radio, des micro-ondes, de l'infrarouge, de l'ultraviolet, des rayonnements X et gamma. Avec l'entrée dans l'ère spatiale et l'évasion hors de l'atmosphère - le plus souvent un écran opaque à ces émissions -, d'immenses fenêtres se sont ainsi ouvertes au chercheur pour appréhender l'Univers autrement : des voiles sombres de poussières deviennent transparents, l'émission ténue de gigantesques bulles de gaz dilué est captée, des densités inouïes d'énergie ou de matière se divulguent, des températures glaciales ou infernales sont mesurées, des masses colossales de matière invisible sont traquées. Toujours habité par le désir de voir mieux et plus loin, l'astrophysicien demande aux ingénieurs de le doter d'yeux toujours plus grands, plus sensibles, plus perçants. Ces nouvelles machines, parfois coûteuses mais aux performances remarquables, remplissent effectivement leurs promesses comme le témoigne le rythme des découvertes dont les journaux nous informent presque quotidiennement. C'est ce panorama des moyens les plus récents dont s'est dotée l'astronomie moderne qui sera balayé, en évoquant les nouveaux télescopes géants et leur instrumentation, ainsi que les récepteurs et les télescopes propres à tous ces autres domaines du spectre électromagnétique qui ont commencé à être explorés, depuis la radio jusqu'aux rayons gamma. On essaiera de montrer l'apport unique de ces domaines nouveaux dans la compréhension des astres. On montrera aussi que l'Astronomie, gourmande de performances extrêmes pour ses instruments, est également un moteur du progrès technique en exigeant toujours plus : les caméras infrarouges, l'optique adaptative sont des exemples où s'est fait cet échange avec la recherche plus appliquée, pour le profit de tous.
Mot(s) clés libre(s) : astre, astronomie, astrophysique, infrarouge, objet céleste, observation, optique adaptative, rayonnement électromagnétique, rayons X, télescope, univers
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La planète Mars photographiée depuis la Terre, à l'heure de l'exploration spatiale

/ 09-03-2013 / Canal-u.fr
PELLIER Christophe
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Alors que Mars est sous surveillance constante des sondes spatiales, on peut se demander quel est encore l'intérêt de l'observer depuis la Terre. Mais si la science se réalise effectivement mieux depuis la proche banlieue de la planète rouge, l'observateur terrestre dispose aujourd'hui de moyens photographiques très performants qui lui autorisent des vues détaillées de la planète.  Ainsi, tempêtes de poussières, nuages orographiques au-dessus des anciens volcans, sublimation des calottes polaires, sont autant de phénomènes passionnants à suivre et que l'on peut admirer depuis la Terre, que ce soit grâce aux images du télescope spatial Hubble ou bien à celles que prend l'amateur au fond de son jardin avec son propre télescope et les moyens informatiques modernes...
Mot(s) clés libre(s) : Mars, astronomie, planète, observation astronomique, photographies spatiales, observation de l'espace
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La Terre et son environnement

/ Université Paris 6 - Sevice d'Aéronomie CNRS/IPSL et Université Nancy2 - Vidéosc / 01-01-2003 / Canal-U - OAI Archive
LEVASSEUR-REGOURD Anny-Chantal
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La vie sur Terre est assurée par le soleil, dont le rayonnement permet la présence d'eau liquide à la surface du globe et par l'atmosphère terrestre. Cette dernière constitue une protection indispensable contre les rayonnements ou les particules énergétiques, les variations climatiques et même les impacts extraterrestres. Voir les autres vidéos de la collection : Echelle de distance dans l'univers Les étoiles et le soleil Planétologie comparée Formation et évolution du système solaire La terre et son environnement Générique LA TERRE ET LE SYSTEME SOLAIRE DANS L'UNIVERS -------------- La Terre et son environnement Emission réalisée avec le soutien des Ministères de l'Education Nationale et de la Recherche Direction de la Technologie Conception Université Pierre et Marie Curie, Paris VI Service d' Aéronomie CNRS /IPSL A. Chantal Levasseur-Regourd Production Université Nancy 2 - Vidéoscop Projet initié par Philippe Perrey, Agnès Divoux Réalisateur Dominique Morque Cadreur Julien Decollogne Preneur de son Thierry Hurault Maquilleuse Jocelyne Schwartz Chargée de production Deborah Arnold Assistante de production Claire du Crest Illustration musicale SL son Remerciements particuliers Monique Aubier (UVSQ), Patrick Boissé (UPMC), Pierre Encrenaz (UPMC), Marie-Christine Willaime (UPMC) Crédits iconographiques : ESA ESO GSFC, NASA HST, NASA ISS, NASA JSC, NASA NASA NGDC NOAA TRACE, NASA USGC A Sky Filled with Leonids © Chen Huang-Ming Noctilucent Clouds © Pekka Parviainen (NCWG/U. Colorado) A Yukon Aurora © Yuichi Takasaka Image aérienne dun fleuve © ESA 1999 Survol de Mars en 3D © ESA Le trou dozone © CNES 1999 Envol dune sonde-ballon © CNES 1999 Aurora Through a Moonlit Sky © Jan Curtis (U. Alaska), ACRC Gemini North © Jay Le Blanc/Gemini Observatory/NOAO/AURA/NSF A Perseid Aurora © Jimmy Westlake (Colorado Mountain College) © Université Nancy 2 2002
Mot(s) clés libre(s) : astronomie, atmosphère, galaxie, Terre
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LE CALENDRIER MAYA ET LE MYTHE DE LA FIN DU MONDE

/ Jean MOUETTE / 01-06-2015 / Canal-u.fr
BRAVO-ALFARO Hector
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Cette conférence est proposée comme un voyage dans le monde ancien des Mayas, en visitant principalement leur façon - très intéressante - d'approcher le concept du temps. Le temps et les différents calendriers chez les Mayas étaient au centre de leur idée philosophique de la vie qui se renouvelait en permanence. Dans la période dite Classique, les Mayas avaient réussi à développer un calendrier plus précis que ceux qui étaient utilisés en Europe à la même époque, une réussite due aux observations astronomiques effectuées de manière très systématique. Ce calendrier et ses différentes "Roues", qui comportent des périodes de plus en plus longues, a été à la base d'un mythe apocalyptique très répandu dans le monde, tout au long de l'année 2012.
Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, Calendriers, Mayas, astronomie, mythes
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Le métier d'astronome : du chapeau pointu à la salle de contrôle (IAP)

/ Jean MOUETTE, Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur, Institut d'Astrophysique de Paris / 03-12-2013 / Canal-u.fr
VIGROUX Laurent
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Conférence de l'Institut d'Astrophysique de Paris présentée par Laurent Vigroux, directeur de l'IAP, le mardi 3 décembre 2013.
Mot(s) clés libre(s) : astronome
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