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L’identité, mais de quoi parle-t-on ? Regard d’une biologiste - Catherine Dargemont
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“Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre“. Comment cette vision poétique de l’identité peut-elle être déclinée le long des différentes échelles biologiques, de l’espèce à la cellule, de l’individu à son ADN ? Les déterminants biologiques de l’identité suffisent-ils à nous identifier, à construire et définir notre pensée, notre comportement? Gardent-ils en mémoire notre histoire collective et individuelle ? Catherine Dargemont est directeur de recherche au CNRS, responsable d’une équipe à l'Hôpital Saint Louis et coordonne le Labex “Who Am I?” avec J. Weitzman Mot(s) clés libre(s) : cellule, pareil que, différent de, êtres humains, identité d'une cellule, fonction de la cellule, pore nucléaire, ATGC, chromosome, cellule fille, cellule mère, paire de base, sélection positive, individualité, carte d'identité, acquis, noyau, ADN, polymère, épigénétique, mutation, embryon, régénération, adaptation à l'environnement, LABEX, inné, identité mathématique, concept biologique, identité moléculaire
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Holothuries, un potentiel inexploité !
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L’holothurie, encore appelée concombre de mer, trépang ou bêche de mer, est un animal méconnu. Cet organisme, à l’allure bizarre, est un échinoderme tout comme l’oursin ou l’étoile de mer. L’holothurie a un rôle majeur dans le fonctionnement des écosystèmes en homogénéisant et enrichissant le sédiment, un peu comme les vers de terre en milieu terrestre. En d’autres termes, cet animal détermine la structure de l’habitat d’autres espèces. Animal souvent grégaire, il forme une part non négligeable de la biomasse de l’écosystème. L’holothurie présente également un fort intérêt dans les pêcheries. En effet, les bêches de mer sont un mets très prisé dans les pays asiatiques crues ou cuites (plusieurs milliers de tonnes consommées par an). Elles sont également utilisées dans la pharmacopée traditionnelle chinoise. De nombreuses études scientifiques ont mis en évidence, entre autres, des substances aux propriétés anti-tumorales, antifongiques. Toutes ces caractéristiques font de l’holothurie un organisme modèle pour la co-culture. Par Nadia AMEZIANE, professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle, chef de la Station Marine de Concarneau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, invertébres
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Abderrazak BENCHAÂBANE - 17 décembre 2015
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 17 décembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane.
Quelle joie de vous accueillir ce soir à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane, vous enfant de Marrakech, ville que connaissent et aiment un grand
nombre d’entre nous dont vous nous apportez, si j’ose dire la nature et les
parfums
Vous y êtes né, en effet, en 1959, y avez poursuivi des
études secondaires, continuées à l’Université de Rabat-Casablanca en biologie,
d’où vous avez migré vers la botanique. Ces études furent couronnées en 1986
par un Doctorat de Troisième cycle en Ecologie végétale, sous la direction du
Professeur Jean Jacques Corre de l’Institut botanique de Montpellier.
De là, ensuite, vous vous êtes orienté vers une variante de
l’anthropologie, l’ethno-botanique, qui vise la relation entre les plantes et
les hommes, et avez soutenu une thèse d’Etat en 1995 sous la direction du professeur
Abdelmalek de l’Institut Nationale des Eaux et Forêts à Salé. Vous êtes
aujourd’hui professeur d’écologie à l’Université Cadi Ayad de Marrakech.
C’est au titre de botaniste qu’Yves Saint Laurent vous a
demandé, en 1998 , de restaurer ses fameux Jardins Majorelle dans l’esprit
du peintre français Jacques Majaurelle (1886-1962) qui avait mis 43 ans, à
partir de 1919, à créer ce lieu enchanteur, racheté ensuite par la Fondation
Pierre Bergé-Yves Saint laurent. Dans une séquence tout à fait logique, Yves
Saint Laurent, qui diffusait déjà des parfums à sa marque, comme nombre de
grands couturiers, vous a demandé de créer un parfum « Jardin
Majorelle », ce qui vous a conquis, et conduit ensuite à devenir un
« parfumeur » au sens noble, un botaniste qui est aussi un
« nez ». Vous vous inspirez, pour créer vos parfums, des préparations
traditionnelles et des huiles végétales marocaines.
Mais votre avez aussi poursuivi votre activité de botanique
pure, en créant, dans votre domaine à Marrakech, une ancienne ferme coloniale
que vous avez baptisée Musée de la Palmeraie, avec d’un côté un splendide
ensemble de cactus, jouxtant un magnifique jardin, et de l’autre, passant de l’esthétique
naturelle à l’esthétique picturale, un très beau musée d’art contemporain.
Nous nous réjouissons de vous écouter ce soir nous parler, à
votre gré, de cet additif olfactif, utilisé depuis l’Egypte ancienne, d’abord pour
honorer les feux offerts aux dieux d’où l’étymologie per fumare, parfum puis
pour rendre les femmes encore plus attractives, Cléopâtre, dit-on en étant la
première grande utilisatrice. Les noblesses des Cours renaissantes après la
fermeture médiévale des routes d’Orient, d’où arrivaient les principales plantes,
arômes, et fragrances, furent ensuite des utilisatrices de plus en plus
intenses de parfums pour masquer les effluves corporelles, ce qui explique, dit-on
qu’à l’époque, la mode était aux parfums les plus capiteux comme l’ambre, le
musc, le jasmin, les tubéreuses.
J’arrête évidemment là ce bref historique, étant bien
incapable d’aller plus loin d’ailleurs, pour vous céder la parole. Je voudrais
juste ajouter que je puis témoigner de votre effort assez exceptionnel de
recherche en parfumerie. En 2015, vous avez fait un voyage spécial à Cuba pour
y mettre au point de nouvelles fragrance, peut-être à base de café et de tabac.
Quand je vous ai rencontré en juin, votre dernière invention était un parfum
dénommé « Soir de Marrakech » qui embaume mon appartement. En
avez-vous un nouveau venu des Caraïbes. Nous vous écoutons, conquis d’avance. Mot(s) clés libre(s) : biologie végétale, botanique, biologie (recherche), cosmétique, parfums, botaniste
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Assia ASRIR, championne en 180 secondes ! MT180 - Édition régionale 2015
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Assia Asrir est une jeune doctorante de l’École doctorale Biologie, Santé, Biotechnologies de l’Université Toulouse - III Paul Sabatier au sein du Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan. Ce mardi 07 avril 2015, devant près de 200 personnes, elle a conquis un jury d’experts du monde de l’entreprise, de la recherche et des médias et a remporté le « prix du jury » de l’édition régionale 2015.Relever un défi qui consiste à expliquer en 3 minutes un projet d'études intitulé « Caractérisation in vivo des différentes sous-populations de Lymphocytes T CD4 folliculaire mémoires », peut sembler impossible. Pourtant, la doctorante l'a fait avec brio, usant de concision et de vulgarisation pour être des plus compréhensibles et rendre son sujet pointu accessible au plus grand nombre. Le tout en jouant la carte de l'humour et en mettant en exergue sa « relation passionnelle » avec les cellules mémoires.Lauréate de l'édition régionale midi-pyrénéenne, Assia Asrir remporte son billet pour la finale nationale qui se tiendra le 3 juin prochain à Nancy et affrontera - peut-être - une concurrence internationale lors de la grande finale qui se déroulera le 1er octobre 2015 dans le Grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris. Mot(s) clés libre(s) : biologie
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