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Assia ASRIR, championne en 180 secondes ! MT180 - Édition régionale 2015
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Assia Asrir est une jeune doctorante de l’École doctorale Biologie, Santé, Biotechnologies de l’Université Toulouse - III Paul Sabatier au sein du Centre de physiopathologie de Toulouse Purpan. Ce mardi 07 avril 2015, devant près de 200 personnes, elle a conquis un jury d’experts du monde de l’entreprise, de la recherche et des médias et a remporté le « prix du jury » de l’édition régionale 2015.Relever un défi qui consiste à expliquer en 3 minutes un projet d'études intitulé « Caractérisation in vivo des différentes sous-populations de Lymphocytes T CD4 folliculaire mémoires », peut sembler impossible. Pourtant, la doctorante l'a fait avec brio, usant de concision et de vulgarisation pour être des plus compréhensibles et rendre son sujet pointu accessible au plus grand nombre. Le tout en jouant la carte de l'humour et en mettant en exergue sa « relation passionnelle » avec les cellules mémoires.Lauréate de l'édition régionale midi-pyrénéenne, Assia Asrir remporte son billet pour la finale nationale qui se tiendra le 3 juin prochain à Nancy et affrontera - peut-être - une concurrence internationale lors de la grande finale qui se déroulera le 1er octobre 2015 dans le Grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris. Mot(s) clés libre(s) : biologie
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Abderrazak BENCHAÂBANE - 17 décembre 2015
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 17 décembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane.
Quelle joie de vous accueillir ce soir à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane, vous enfant de Marrakech, ville que connaissent et aiment un grand
nombre d’entre nous dont vous nous apportez, si j’ose dire la nature et les
parfums
Vous y êtes né, en effet, en 1959, y avez poursuivi des
études secondaires, continuées à l’Université de Rabat-Casablanca en biologie,
d’où vous avez migré vers la botanique. Ces études furent couronnées en 1986
par un Doctorat de Troisième cycle en Ecologie végétale, sous la direction du
Professeur Jean Jacques Corre de l’Institut botanique de Montpellier.
De là, ensuite, vous vous êtes orienté vers une variante de
l’anthropologie, l’ethno-botanique, qui vise la relation entre les plantes et
les hommes, et avez soutenu une thèse d’Etat en 1995 sous la direction du professeur
Abdelmalek de l’Institut Nationale des Eaux et Forêts à Salé. Vous êtes
aujourd’hui professeur d’écologie à l’Université Cadi Ayad de Marrakech.
C’est au titre de botaniste qu’Yves Saint Laurent vous a
demandé, en 1998 , de restaurer ses fameux Jardins Majorelle dans l’esprit
du peintre français Jacques Majaurelle (1886-1962) qui avait mis 43 ans, à
partir de 1919, à créer ce lieu enchanteur, racheté ensuite par la Fondation
Pierre Bergé-Yves Saint laurent. Dans une séquence tout à fait logique, Yves
Saint Laurent, qui diffusait déjà des parfums à sa marque, comme nombre de
grands couturiers, vous a demandé de créer un parfum « Jardin
Majorelle », ce qui vous a conquis, et conduit ensuite à devenir un
« parfumeur » au sens noble, un botaniste qui est aussi un
« nez ». Vous vous inspirez, pour créer vos parfums, des préparations
traditionnelles et des huiles végétales marocaines.
Mais votre avez aussi poursuivi votre activité de botanique
pure, en créant, dans votre domaine à Marrakech, une ancienne ferme coloniale
que vous avez baptisée Musée de la Palmeraie, avec d’un côté un splendide
ensemble de cactus, jouxtant un magnifique jardin, et de l’autre, passant de l’esthétique
naturelle à l’esthétique picturale, un très beau musée d’art contemporain.
Nous nous réjouissons de vous écouter ce soir nous parler, à
votre gré, de cet additif olfactif, utilisé depuis l’Egypte ancienne, d’abord pour
honorer les feux offerts aux dieux d’où l’étymologie per fumare, parfum puis
pour rendre les femmes encore plus attractives, Cléopâtre, dit-on en étant la
première grande utilisatrice. Les noblesses des Cours renaissantes après la
fermeture médiévale des routes d’Orient, d’où arrivaient les principales plantes,
arômes, et fragrances, furent ensuite des utilisatrices de plus en plus
intenses de parfums pour masquer les effluves corporelles, ce qui explique, dit-on
qu’à l’époque, la mode était aux parfums les plus capiteux comme l’ambre, le
musc, le jasmin, les tubéreuses.
J’arrête évidemment là ce bref historique, étant bien
incapable d’aller plus loin d’ailleurs, pour vous céder la parole. Je voudrais
juste ajouter que je puis témoigner de votre effort assez exceptionnel de
recherche en parfumerie. En 2015, vous avez fait un voyage spécial à Cuba pour
y mettre au point de nouvelles fragrance, peut-être à base de café et de tabac.
Quand je vous ai rencontré en juin, votre dernière invention était un parfum
dénommé « Soir de Marrakech » qui embaume mon appartement. En
avez-vous un nouveau venu des Caraïbes. Nous vous écoutons, conquis d’avance. Mot(s) clés libre(s) : biologie végétale, botanique, biologie (recherche), cosmétique, parfums, botaniste
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Holothuries, un potentiel inexploité !
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L’holothurie, encore appelée concombre de mer, trépang ou bêche de mer, est un animal méconnu. Cet organisme, à l’allure bizarre, est un échinoderme tout comme l’oursin ou l’étoile de mer. L’holothurie a un rôle majeur dans le fonctionnement des écosystèmes en homogénéisant et enrichissant le sédiment, un peu comme les vers de terre en milieu terrestre. En d’autres termes, cet animal détermine la structure de l’habitat d’autres espèces. Animal souvent grégaire, il forme une part non négligeable de la biomasse de l’écosystème. L’holothurie présente également un fort intérêt dans les pêcheries. En effet, les bêches de mer sont un mets très prisé dans les pays asiatiques crues ou cuites (plusieurs milliers de tonnes consommées par an). Elles sont également utilisées dans la pharmacopée traditionnelle chinoise. De nombreuses études scientifiques ont mis en évidence, entre autres, des substances aux propriétés anti-tumorales, antifongiques. Toutes ces caractéristiques font de l’holothurie un organisme modèle pour la co-culture. Par Nadia AMEZIANE, professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle, chef de la Station Marine de Concarneau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, invertébres
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L’identité, mais de quoi parle-t-on ? Regard d’une biologiste - Catherine Dargemont
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“Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre“. Comment cette vision poétique de l’identité peut-elle être déclinée le long des différentes échelles biologiques, de l’espèce à la cellule, de l’individu à son ADN ? Les déterminants biologiques de l’identité suffisent-ils à nous identifier, à construire et définir notre pensée, notre comportement? Gardent-ils en mémoire notre histoire collective et individuelle ? Catherine Dargemont est directeur de recherche au CNRS, responsable d’une équipe à l'Hôpital Saint Louis et coordonne le Labex “Who Am I?” avec J. Weitzman Mot(s) clés libre(s) : cellule, pareil que, différent de, êtres humains, identité d'une cellule, fonction de la cellule, pore nucléaire, ATGC, chromosome, cellule fille, cellule mère, paire de base, sélection positive, individualité, carte d'identité, acquis, noyau, ADN, polymère, épigénétique, mutation, embryon, régénération, adaptation à l'environnement, LABEX, inné, identité mathématique, concept biologique, identité moléculaire
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Conférence de François Flahaut : "L’anthropologie générale entre biologie et sciences humaines"
/ Dimitri BASTARD
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Cycle de conférence de la fondation Institut d'Etudes Avancées de Nantes : «L’anthropologie générale entre biologie et sciences humaines » par François FLAHAULT, philosophe et anthropologue, chercheur au Centre de Recherches sur les Arts et le Langage (CNRS-EHESS), directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique et membre du conseil de rédaction de la revue L’Homme.. Mot(s) clés libre(s) : biologie, anthropologie, François Flahaut
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Taille-Vent, le pétrel des montagnes
/ Emmanuel PONS, Serge MONTAGNAN
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La Réunion est la seule île au monde à abriter deux espèces de pétrels strictement endémiques. Comme dans de nombreuses îles, un grand nombre d’espèces sont en danger d’extinction, d’autres ont déjà disparu.
Le pétrel de Barau (Pterodroma baraui) est un emblème de la valeur exceptionnelle de la biodiversité réunionnaise. Cet oiseau marin est soumis à des pressions importantes d’origines humaines, principalement la prédation par les prédateurs introduits et la pollution lumineuse des villes. Il est malheureusement classé en danger d’extinction sur la liste rouge de l’UICN.
Les pétrels de Barau nichent dans les plus hautes montagnes de l’île, et c’est à plus de 2600 m d’altitude, dans des falaises presque inaccessibles, que les chercheurs du laboratoire ECOMAR de l’Université de La Réunion vont, saison après saison, étudier ce pétrel peu connu afin de comprendre sa biologie et percer le mystère de son écologie en mer.
Maintenant inscrit sur la liste des Biens du Patrimoine mondial de l’UNESCO, le Parc National de La Réunion s’engage aussi bien localement qu’internationalement pour protéger cette espèce exceptionnelle. C’est donc grâce à une étroite collaboration avec l’Université de La Réunion et la SEOR que des actions de conservation d’envergures sont menées à l’échelle de l’île, pour enrayer la disparation programmée des pétrels de Barau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, Taille-vent, Grand Bénard, SEOR, espèce endémique, Observation des oiseaux, pollution lumineuse, Pétrels, île de La Réunion, espèces menacées, ECOMAR
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Changements globaux : la synergie des menaces sur la biodiversité
/ Frédéric HULLIN
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Franck Courchamp présente des recherches menées au laboratoire d'Ecologie, systématique et évolution (ESE - CNRS/Université Paris-Sud) dans le domaine de la disparition des espèces Mot(s) clés libre(s) : biologie prospective, biodiversité des espèces, disparition des espèces
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2012- Evolution : l'adaptation et ses alternatives
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
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• 23 mai 2012 à 18h30
Evolution : l’adaptation et ses alternatives
Guillaume Lecointre est Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle et Directeur du Département Systématique et Evolution.
Sa recherche concerne les relations évolutives entre les êtres vivants. En d’autres termes, elle consiste à préciser, dans le « grand arbre de la vie », les relations d’apparentement entre les espèces.
Il est l’auteur de nombreux livres, notamment la Classification Phylogénétique du Vivant (en collaboration avec Hervé Le Guyader) qui a été traduit en plusieurs langues.
L’évolution est souvent vue comme une adaptation des êtres vivants à leur milieu, ce qui n’est pas faux, mais incomplet. Dans cette conférence, Guillaume Lecointre explorera d’autres explications possibles de la forme de nos organes. Mot(s) clés libre(s) : variabilité génétique, Charles Darwin, adaptation biologique, evolution
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Mégafaune marine de l’océan Indien
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Richard TOPCZYNSKI
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- Etude - Protection - Valorisation -La mégafaune marine regroupe des espèces telles que les mammifères marins, les tortues et les oiseaux marins. Composantes spectaculaires de la biodiversité de l’océan Indien tropical, ces espèces sont cependant menacées.Face à ce constat des scientifiques de La Réunion ont décidé de collaborer avec des partenaires de la région sur l’étude, la conservation et la valeur socio-économique de la mégafaune marine tropicale.Prospections scientifiques, actions de formation et de sensibilisation, se succèdent en différents lieux de la zone : des îles Nosy Ve et Sainte-Marie à Madagascar, en passant par Mohéli aux Comores et à La Réunion.
En mutualisant les données recueillies par les différents partenaires le « programme mégafaune » aura permis de déterminer, dans l’océan Indien, les hots spots de migration indispensables à la survie et la reproduction de ces animaux emblématiques. Ces résultats, croisés aux pressions environnementales liées aux activités humaines, permettront de mieux les protéger. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, baleine à bosse, Mohéli, Nosy Ve, puffin, tortue marine, paille-en-queue, baleine, biodiversité des espèces, île de La Réunion, migration, espèces menacées, whale watching
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Cogito -Recherche médicinale
/ Serge BONIN, ÆLIÉS Chaire publique de l’Université Laval
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Sous la loupe des
chercheurs de l’Université Laval (Québec)
ÉMISSION 4 - RECHERCHE MÉDICINALE
Nous observons le rôle d'un gène précis dans la résistance aux médicaments pour traiter le parasite qui cause la Leishmaniose. Nous tentons de cerner le rôle d'une protéine dans le développement de la sclérose latérale amyotrophique. Nous souhaitons venir en aide aux bébés prématurés en cherchant des solutions à leurs difficultés respiratoires.
Participants :
Marie-Claude Laffitte, étudiante au doctorat en biologie cellulaire et moléculaire
Bastien Paré, étudiant à la maîtrise en médecine expérimentale
Catherine Potvin, étudiante à la maîtrise en médecine expérimentale Mot(s) clés libre(s) : biologie, prématuré, sclérose latérale amyotrophique (SLA), Leishmaniose, médecine, difficutés respiratoires
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