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Aspects de la vie intellectuelle et culturelle Chinoise
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
XIAO-QUAN CHU
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Dans l'époque dite post-idéologique, la question de la culture assume une importance toute particulière en Chine d'aujourd'hui, car, pour les Chinois, la culture constitue leur dernier repère identitaire. Un aperçu rapide de l'état actuel de la vie culturelle en Chine peut révéler l'existence déjà omniprésente de l'influence occidentale, ce qui conduit souvent à des questions ou même des inquiétudes sur l'avenir de la culture chinoise : sera-t-elle complètement submergée et altérée par une culture étrangère ? Ou bien connaîtra-t-elle un renouvellement à même de relever les défis du nouveau millénaire ? Bien des intellectuels et des artistes chinois, ceux qui sont directement impliqués dans la création, manifestent un optimisme prudent à ce propos. En effet, notre tradition culturelle, dérivée entre autres des grandes idées confucéennes, nous fournit des possibilités d'intégrer des éléments nouveaux en s'adaptant à un nouveau contexte social. Le fait qu'il n'y a jamais eu en Chine un mouvement intégriste confucéen est une preuve de son esprit large et généreux envers l'inconnu. Sans doute la culture chinoise traverse-elle actuellement une profonde crise, mais elle se trouve en même temps dans une phase extrêmement féconde de diversification : coexistent sur la même scène une culture traditionnelle et une culture occidentalisée, une culture d'élite et une culture populaire, une culture officielle et une culture indépendante, une culture du nord et une culture du sud, une culture ancienne et une culture moderne
Le risque de fragmentation est bien réel mais justement dans cette hétérogénéité vertigineuse réside la vivacité de la culture chinoise actuelle qui, par son refus de se réfugier dans un modèle figé, construira peut-être une réponse intéressante à la mondialisation galopante. Mot(s) clés libre(s) : Chine, civilisation, influence occidentale, traditions culturelles, vie culturelle
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Beyond the Imperial Court: the changing role of European astronomy in late imperial China
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
KIM Yung Sik, LÜ Lingfeng
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Plenary Lecture
Chair: KIM Yung Sik
LÜ Lingfeng, Beyond the Imperial Court: the changing role of European astronomy in late imperial China Mot(s) clés libre(s) : astronomie, Chine impériale
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C. Pat Giersch (Wellesley College), "Patterns of Inclusion and Exclusion Along Twentieth-Century China’s Southwestern and Tibetan Borderlands"
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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In recent years, increasingly sophisticated work has traced the remarkable changes in early twentieth-century state-building along China's southwestern and Tibetan borderlands. During this same period, however, the tentacles of global commerce were reaching into these regions, too, but we do not yet fully understanding the links between state and commerce, on one hand, and the long-term trajectories of change that left many borderlands communities with less and less control over their own political and economic futures. Rather than conceiving of these regions as autonomous until after 1945, as James Scott would have it, this paper argues that significant changes were already underway by the early twentieth century. These changes included the organization of trade, as new types of shareholder firms as well as state-owned companies emerged; control over resources and profits, as outside traders and officials gained access to land, mineral rights, commodities, and trade routes. To chart these changes, the paper focuses on two regions--southern Yunnan and western Sichuan's Tibetan (Kham) areas--and the commodities that they produced, including rubber, pack animals, medicinal materials for Chinese Traditional Medicine, and gold dust. While these areas had been involved in trading these commodities for, in some cases, centuries before the twentieth century, the paper explores how the unique combination of modern commerce and state-building began to transform these regions.
International conference “Territories, Communities, and Exchanges in the
Sino-Tibetan Kham Borderlands,” Februray 18-20, 2016. This conference is
an outcome of a collaborative ERC-funded research project (Starting
grant no. 283870).
For more information, please visit the project's
Website: http://kham.cnrs.fr Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, CEH, Centre d'Etudes Himalayennes, C. Pat Giersch, Patterns of Inclusion and Exclusion Along Twentieth-Century China’s Southwestern and Tibetan Borderlands, Territories, Communities, and Exchanges in the Kham Sino-Tibetan Borderlands, ERC (European Research Council)
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Chine-Algérie : Une relation singulière en Afrique par Thierry Pairault
/ Boris SVARTZMAN
/ Canal-u.fr
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L’Algérie
socialiste entretenait déjà des relations amicales avec la Chine
maoïste, mais c’est paradoxalement dans les années 1990 et 2000, alors
que l’Algérie abandonnait la référence officielle au socialisme, que les
échanges entre les deux pays connaissent une expansion sans précédent,
aux plans économique, commercial, humain…, tellement rapide qu’elle a pu
alimenter des fantasmes sur la présence et les visées chinoises en
Algérie. C’est cette accélération brutale de l’histoire des relations
entre les deux pays qui est interrogée dans cet ouvrage. D’abord pour
tenter d’en évaluer l’ampleur et les contours, puis, dans une
perspective comparative, pour relativiser le phénomène au regard de ce
qui se passe sur le continent africain, en distinguant les aspects
contingents de cette présence de ceux qui s’inscrivent dans la longue
durée, les traits singuliers de ceux que l’on retrouve ailleurs en
Afrique.Socialist Algeria had
friendly relations with Maoist China; it is paradoxically during the
1990s and the 2000s, while Algeria abandoned the official reference to
socialism, that economic, commercial and human relations between the two
countries began experiencing an unprecedented expansion in such a way
that it could feed fantasies about the Chinese presence and expectations
in Algeria. This book examines the sudden acceleration of the relations
between the two countries. It aims first at assessing the extent and
outlines of these relations, then at putting this phenomenon into
perspective relatively to what is taking place on the African continent;
it therefore distinguishes casual aspects of this presence from those
which may last more permanently, singular features from those which are
more commonly met in Africa.[中文]社会主义时代的阿尔及利亚与毛泽东时代的中国保持良好关系。矛盾的是在1990年和2000年期间,阿尔及利亚官方放弃了社会主义时,而两国之间的经济、
贸易及人际关系却有了一场从没有过的发展。使中国对阿尔及利亚的期望及影响引起了人门的幻想。本书首先描写、评估这些关系;然后比较中国在阿尔及利亚与在
非洲大陆的异同现象。
Thierry Pairault et Fatiha Talahite, Chine-Algérie : Une relation singulière en Afrique, Riveneuve Éditions, 2014, 256 p.
Page personnelle de Thierry Pairault http://cecmc.ehess.fr/index.php?2635
Sommaire
Avant-propos
Introduction
Fatiha TALAHITE Présences chinoises : des marchandises, des entreprises, des hommes
Les relations entre la Chine et l’Algérie
Thierry PAIRAULT Les relations économiques entre la Chine et l’AlgérieKarima FACHQOUL et Thierry PAIRAULT L’Algérie et la « diplomatie pétrolière » de la Chine
Claude ZANARDI Les relations militaires sino-algériennes
La présence chinoise en Algérie
Thierry PAIRAULT Entreprises chinoises en AlgérieRachid MIRA et Fatiha TALAHITE Huawei, le géant chinois des télécoms en Algérie
Dzifa KPETIGO L’autoroute Est-Ouest
Hicham ROUIBAH Une entreprise chinoise à Sétif vue de l’intérieur
Samia HAMMOU et Thierry PAIRAULT Commerçants et travailleurs chinois en Algérie
La Chine, le Maghreb, l’Afrique
Alice EKMAN La vision chinoise du MaghrebThéophile DZAKA-KIKOUTA, Francis KERN et Chiara GONELLA Aide chinoise et transferts de technologie en Afrique centrale et au Maghreb
Hongwu LIU La Chine et le développement de l’Afrique
Carine PINA-GUERASSIMOFF La diaspora chinoise : fer de lance de la Chine en Afrique ?
Zhe ZHANG Les relations économiques sino-africaines vues par une citoyenne chinoise
Riveneuve éditions, 75 rue de Gergovie – 75014 Paris http://www.riveneuve-editions.com/ Mot(s) clés libre(s) : Chine, Algérie, échanges internationaux, développement de l'Afrique
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Comment définir le régime politique chinois aujourd'hui ?
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BONNIN Michel
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Depuis le lancement des réformes, il y a plus de 20 ans, la Chine a connu de profonds changements économiques et sociaux. Elle s'est modernisée, son économie a connu des taux de croissance très rapides et fonctionne partiellement sur un mode « capitaliste ». Pourtant, de façon surprenante, son régime politique est resté fondamentalement le même. Le Parti communiste dirige toujours la Chine, selon des méthodes héritées de Lénine, Staline et Mao Zedong, mais adaptées par Deng Xiaoping, à la fin des années 1970. Pour des raisons d'efficacité économique, le pouvoir a alors laissé plus d'initiative aux acteurs sociaux et, n'ayant plus la prétention utopique de former « l'homme nouveau », il s'est en partie retiré de la vie privée des citoyens. Il a également accordé un peu plus de liberté aux intellectuels, aux écrivains et aux artistes. Il a cependant conservé l'essentiel des institutions existantes de contrôle des idées, des personnes et des groupes : propagande, censure, certificat de résidence, dossier personnel, prise en charge complète de chacun par son unité de travail, etc. Si le pouvoir ne cherche plus à surveiller ce que chacun pense ou dit en privé, s'il laisse une assez grande marge de manoeuvre aux entrepreneurs privés, il continue à vouloir contrôler totalement l'espace public. Se concentrant sur l'essentiel, il continue à régner sur l'information, la communication et, surtout, l'organisation politique et sociale. Son refus d'accepter l'existence de toute organisation sociale autonome (association, syndicat, église, parti politique ou autre) le distingue nettement d'un banal autoritarisme. On pourrait définir ce type de pouvoir comme un totalitarisme « replié ». En effet, s'il laisse subsister des zones d'indifférence dans lesquelles sa présence ne se fait pas directement sentir, c'est qu'il s'est replié sur un noyau dur du totalitarisme (symbolisé par les Quatre principes fondamentaux de Deng Xiaoping). À partir de ce noyau, l'État-Parti peut à tout moment, si besoin est, se déplier et frapper toute personne ou toute force sociale considérée comme dangereuse. C'est ce qu'a montré, par exemple, la répression de la « secte » Falungong. La croissance économique de type capitaliste va-t-elle nécessairement entraîner la Chine vers la démocratie ? Certes, il existe une aspiration à plus de démocratie dans la population, mais, dans la mesure où le Parti communiste interdit l'existence de la moindre organisation autonome, il est difficile d'imaginer quelle force sociale pourrait être à même de contraindre le pouvoir à prendre cette direction. La question est donc plutôt de savoir si le Parti lui-même (ou une fraction importante en son sein) voudra faire évoluer le système politique pour le rendre mieux adapté à l'évolution économique et sociale ou, simplement, à ses propres intérêts. Des transformations sont évidemment possibles, mais, il n'est pas du tout certain qu'elles aillent dans le sens de la démocratie. La classe dirigeante s'est énormément enrichie et n'a certainement aucun désir de partager ses privilèges avec les laissés-pour-compte de la réforme, ni de se soumettre à la surveillance de contre-pouvoirs. Elle a su, par une habile utilisation de la carotte et du bâton, neutraliser la classe intellectuelle des villes. Un éventuel abandon du dogme communiste, ou une profonde modification, ne déboucherait donc pas nécessairement sur une démocratisation. La priorité donnée au nationalisme comme moyen de légitimation, les liens intimes entre le Parti et une couche de grands capitalistes issus du sérail, ainsi que la répression des intellectuels libéraux et des activistes syndicalistes sont des traits que l'on a connus dans d'autres systèmes totalitaires, de type fasciste. Une nouvelle métamorphose du totalitarisme n'est donc pas exclue. Mot(s) clés libre(s) : Chine, culture, secte
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Comparaison des politiques internationales d'économie circulaire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez présente les spécificités des politiques d'économie circulaire mises en oeuvre dans quatre pays pionniers en la matière : l'Allemagne, les Pays-Bas, la Chine et le Japon. Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Allemagne, Pays-Bas, économie circulaire
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Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques
/ Mission 2000 en France
/ 30-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Même si elle apparaît à bien des égards comme accessoire dans les tourmentes révolutionnaires qui ont secoué la Chine tout au long du XXe siècle, la question de la survie du confucianisme dans une société qui se veut moderne, voire post-moderne, ne manque pas de provoquer une certaine perplexité. Comme chacun sait, le confucianisme a fourni pendant deux mille ans un soubassement idéologique et institutionnel à un régime impérial qui n'a définitivement disparu qu'en 1912. À ce titre, l'héritage confucéen, rendu responsable de l'arriération de la Chine et perçu comme la source de tous ses maux, a été la cible privilégiée du mouvement iconoclaste du 4 mai 1919, avant de faire l'objet, entre 1966 et 1976, de destructions systématiques au cours de la Révolution Culturelle. Comment expliquer alors que ce même confucianisme, à partir de la fin des années 1970, soit apparu au contraire comme le moteur de l'essor économique du Japon et des " quatre petits dragons ", jusqu'à devenir, dans la bouche de certains dirigeants connus pour leur autoritarisme, un atout central du discours sur les " valeurs asiatiques " ? Parallèlement à cette instrumentation de toute évidence idéologique s'est développée depuis le début du siècle une réflexion sur la réappropriation de la tradition et des valeurs confucéennes émanant d'intellectuels en Chine d'abord, puis, après la prise du pouvoir par les Communistes en 1949, à Hong Kong et Taiwan, avec un retour actuel en Chine Populaire accompagné d'une diffusion dans la diaspora de culture chinoise, notamment aux États-Unis. En fin de compte, le confucianisme a-t-il perdu définitivement toute assise dans les sociétés chinoises ou sinisées, et a-t-il encore une chance de compter dans les débats de notre " monde global et éclaté " ?. Mot(s) clés libre(s) : Asie, Chine, confucianisme, confucianisme contemporain, religion
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Découper l’histoire. Qu’est-ce qu’une période historique ?
/ Serge BLERALD, Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 19-03-2014
/ Canal-u.fr
ANHEIM Étienne, SEBASTIANI Silvia, BOUCHERON Patrick, LAMOUROUX Christian, LE GOFF Jacques
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"Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut
être lu comme l’aboutissement d’une longue recherche. Et d’une réflexion
sur l’histoire, sur les périodes de l’histoire occidentale, au centre
de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s’agit donc
d’un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me
tiennent à cœur.
Écrit en 2013, à
l’heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en
plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses
manières de concevoir les périodisations dans l’histoire : les
continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de
l’histoire.
Traitant du problème
général du passage d’une période à l’autre, j’examine un cas particulier
: la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen
Âge auquel j’ai consacré avec passion ma vie de chercheur.
Reste
le problème de savoir si l’histoire est une et continue ou sectionnée
en compartiments ? ou encore : s’il faut vraiment découper l’histoire en
tranches?"
Jacques Le Goff
Intervenants :
Étienne Anheim, Université Saint-Quentin-en-Yvelines ;
Patrick Boucheron, Université Paris I ;
Christian Lamouroux,EHESS ;
Silvia Sebastiani, EHESS. Mot(s) clés libre(s) : Chine, historiographie, continuité, Renaissance, Moyen-Âge, Jacques Le Goff, Lumières
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Destruction du patrimoine humain et historique en Chine
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUDERLOT Charles
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Artiste voyageur, Charles Chauderlot est tombé sous le charme de la Chine où il vit désormais depuis plusieurs années. Amoureux de Pékin, il n'a de cesse de peindre les beautés de cette ville. Mais depuis 2002, le paysage qui s'offre à son oeil d'artiste disparaît sous les coups des bulldozers. Témoin privilégié de ces changements, Charles Chauderlot dépeint dans ces dessins cette disparition du patrimoine humain et historique de la Chine. Mot(s) clés libre(s) : arts graphiques, charles chauderlot (1952-....), dessin, patrimoine culturel, pékin (chine), politique culturelle
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Droit et rites en Chine
/ UTLS - la suite
/ 10-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
VANDERMEERSCH Léon
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Comme mécanisme institutionnel assurant l'ordre social, la tradition chinoise a privilégié les rites sur le droit. Pour régler les rapports sociaux, alors que le droit formalise les actes de la vie sociale au moment où ceux ci sont pleinement effectués, les rites les formalisent par avance. Dans le cadre de liturgies et de cérémonies savamment calculées, ils opèrent par construction a priori de modèles formels de comportements dans lesquels se moulera par la suite spontanément la volonté du sujet agissant. L'acte juridique est un acte plein. L'acte rituel est un acte purement extérieur, vide, mais qui figure la norme sociale dont la volonté du sujet doit prendre le pli. Le rite, quoique purement extérieur est d'autant plus efficace que le pli qu'il opère est renforcé par le sentiment de la face, le souci de ne pas perdre la face. Fonctionnant très bien dans la Chine ancienne en milieu aristocratique hors des contraintes économiques, le mécanisme des rites n'a pu dispenser la société chinoise ni du mécanisme répressif de la loi pénale- originellement instituée pour le peuple, inaccessible à la subtilité des rites mais étendue à l'aristocratie par les légistes (IV-IIIe siècle av J.C.), ni du mécanisme synallagmatique des contrats dont le développement a été entraîné par l'essor de l'économie marchande surtout depuis les Han. Mot(s) clés libre(s) : Chine, moeurs et coutumes, rites et cérémonies
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