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Le cinéma à l'école
/ Roland LAVERGNE, ENS Fontenay/St Cloud
/ 01-01-1975
/ Canal-u.fr
LEFRANC Robert
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A l’intention des enseignants, ce film, réalisé par Robert Lefranc, présente deux exemples de réalisation de films en super 8mm muets à l’école, l’un en fin de primaire, l’autre au collège. Dans une classe de garçons d’école primaire, on décide de faire un film. Le film montre différentes étapes de la réalisation de leur entreprise : choix du sujet : le chêne, écriture du scénario sous forme de dessins qui représentent les différents plans du film, tournage des différentes séquences, montage (utilisation de la colleuse). Enfin les élèves regardent le film terminé sur une visionneuse à manivelle. Dans une classe de collège, un groupe d’élèves fait un film sur la biologie du hamster, on voit la préparation du scénario sous forme d’une succession de dessins. Des instituteurs et des professeurs qui ont participé à cet exercice pédagogiques donnent leurs impressions. Lieux de tournage, la classe, la forêt. Les dessins préparatoires sont présentés, mais pas le film. Les élèves ont répété la leçon avant le tournage de ce film.>> à voir aussi: Témoignage de Robert LEFRANC Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, activités pédagogiques, éducation au cinéma
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031 - Du cinéma direct au documentaire : les évolutions du cinéma militant
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LECLER Romain
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Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine Le cinéma militant, formalisé comme genre à part entière aux Etats Généraux du cinéma en Mai 68, naît véritablement un an avant, avec des films comme Loin du Vietnam ou A bientôt j’espère. Diffusé dans un circuit non commercial, et en particulier auprès d’un public déjà politisé, le genre entre en crise au début des années 1980 avec la disparition de ce public. Notre travail a porté sur le collectif Slon-Iskra, le principal collectif de diffusion militante de la période. Au cours des années 1970, le genre du cinéma militant y a été marqué par des évolutions formelles et thématiques, qui renvoient aux évolutions militantes de la décennie : d’abord focalisé sur les ouvriers, il s’ouvre progressivement aux paysans, à la police, à la psychiatrie, puis aux nouvelles revendications féministes, écologistes, éducatives, et enfin à des thématiques moins revendicatives et plus documentaires. Au niveau international, l’intérêt exclusif pour les luttes révolutionnaires laisse place à des thèmes plus éclectiques. En outre, issu du cinéma direct, le cinéma militant trouve une filiation dans le documentaire. L’analyse des trajectoires des cinéastes militants permet d’expliquer une telle évolution.Bibliographie Darley, Catherine, (1983), « De Slon à Iskra. Quinze ans de cinéma militant, 1967-1982. », maîtrise, Paris 1, (sous la direction de A. Prost). Fleckinger, Hélène (2007) « Caméra au poing : Cinéma et vidéo au service des luttes féministes (France, années 1970) », Colloque international sur le patriarcat comparé et les institutions américaines. Université de Savoie. Foltz, Colin, (2001), « L’expérience des Groupes MEDVEDKINE – SLON, 1967-1974 », maîtrise, Paris 1, (sous la direction de N. Brenez). Hatzfeld, Nicolas, Gwenaelle Rot, et Alain Michel (2004), « Le travail en représentation dans les films militants. Caméras et micros dans les usines automobiles, 1968-1974 » in Revue européenne d’histoire sociale, n°9 (Histoire et sociétés). Hennebelle, Guy (1975). Quinze ans de cinéma mondial 1960-1975. Paris, les éditions du Cerf. Layerle, Sébastien, (2005), « Le cinéma à l’épreuve de l’événement. Mémoires croisées de quelques pratiques militantes en Mai 68 », doctorat, Paris III, (sous la direction de J.-P. Bertin-Maghit). Lecler Romain (2007) « Cinéma militant et cinéastes militants en France après Mai 68. De l’adhésion militante à l’autonomie artistique : la réhabilitation de l’auteur », master 2, Paris 1, (sous la direction de F. Matonti).Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : chris marker (1921-....), cinéma engagé, cinéma et politique, cinéma militant, films documentaires, france (1968), mai 68, slon-iskra
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Philosophie et vie quotidienne
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 07-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAUGIER Sandra
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Eminent philosophe et auteur du Tractatus logico-philosophicus (1921), Ludwig Wittgenstein joue un rôle considérable dans le développement et la diffusion de « la philosophie du langage ordinaire », un courant de la philosophie analytique.Prenant le contrepoint de la philosophie « traditionnelle » qui développe des grandes théories sur le monde, Wittgenstein trouve dans la philosophie un principe apte à aider l’homme à clarifier ses propres pensées. Il ramène la philosophie à une pensée du quotidien et du langage ordinaire car c’est par le langage que l’homme peut comprendre l’ordinaire.La question fondamentale de la philosophie se déplace ainsi, avec l’avènement de « la philosophie de l’ordinaire » d’une recherche transcendantale à un fondement strictement pragmatique. Le philosophe américain Stanley Cavell se réapproprie quelques années plus tard les fondements de cette philosophie de l’ordinaire et en réinterprète les principes dans son ouvrage The Claim of Reason (1979).Spécialiste de Cavell et de la « philosophie de l’ordinaire », Sandra Laugier nous explique le développement de cette pensée outre-Atlantique.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2008-2009 sur le thème "Actualités". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : cinéma, Etats-unis, langage ordinaire, Ludwig Wittgenstein, philosophie, philosophie analytique, philosophie du langage, philosophie linguistique, Stanley Cavell
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Hommage à Stanley Cavell - L’éthique transformée par la pensée du cinéma.
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 06-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LAUGIER Sandra
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L’importance de l’importance.Éducation, morale et cinémaPrésidence : Jean-Loup Rivière Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique. Mot(s) clés libre(s) : Cavell, éthique, philosophie du cinéma
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Projet Jean Rouch ? J2.3 : Communications 1 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 17-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAMARQUE Pierre, MERCIER Annie, CANALS Roger
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifiqMardi 17 novembre : Une anthropologie partagéeCommunications (11h45-13h) - Modérateur/discutant : Laurent Pellé (France), coordinateur de manifestations, Comité du film ethnographique, anthropologue. - Intervenants : Pierre Lamarque (France), cinéaste, anthropologue. - Le roi ne meurt jamais : le retour au roi. De l’anthropologie partagée à l’anthropologie partageable.Roger Canals (Espagne), chercheur, Université de Barcelone, anthropologue. - Partage des espaces – espaces de partage, sur les traces de « Petit à petit ». Annie Mercier (France), ethnologue, cinéaste, chercheuse associée à Phanie, Centre de l’ethnologie et de l’image. - La construction du regard de l’ethnographe-cinéaste. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie partagée, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 17-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAMARQUE Pierre, MERCIER Annie, CANALS Roger
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie partagée, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Homme, femme, et autres. Conférence de Jean-Marc Lalanne
/ La Cinémathèque française
/ 26-09-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Lalanne Jean-Marc
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Qu'est-ce qu'un homme selon Blake Edwards ? Qu'est-ce qu'une femme ? Quels sont les points de contact de ces deux entités ? Comment se télescopent-elles ? Comment deviennent-elles perméables ? Mot(s) clés libre(s) : Blake Edwards, cinema
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Microcinéma
/ Alain LABOUZE, Cité des Sciences et de l'Industrie, Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Sciences Actualités
/ 03-01-1994
/ Canal-U - OAI Archive
LABOUZE Alain
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Une caméra derrière le microscope pour filmer les cellules en créant le mouvement : Marcel Pouchelet est le dernier microcinéaste français à traquer les mystères du vivant. Cinq cents séquences sont répertoriées dans son laboratoire de l'I.N.S.E.R.M.GénériqueRéalisation : Alain Labouze Production : CSI / Sciences Actualités / INSERM Mot(s) clés libre(s) : cellule, cinéma scientifique, cinématographie accélérée, microcinéma, microscope
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Easy Rider et les routes paradoxales du Nouvel Hollywood. Conférence de Jean-Baptiste Thoret
/ La Cinémathèque française
/ 31-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Thoret Jean-Baptiste
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Réalisé en 1969, coup d'envoi d'un âge d'or du cinéma américain baptisé le Nouvel Hollywood, Easy Rider invente l'une des formes reines de la décennie à venir (le road movie), impose une représentation du hippie et de ses aspirations, et s'achève par une réplique énigmatique de Peter Fonda improvisée sur le tournage : « We blew it! » (« On a tout foutu en l'air ! »). Au cinéma, la révolution contre culturelle débute à peine mais l'un de ses initiateurs prophétise déjà son échec. Il s'agit donc de s'interroger sur les possibilités de cette mort annoncée (genèse, triomphe et postérité d' Easy Rider) et de comprendre comment, en dix années magnifiques, un acte de naissance s'est transformé en acte de décès. Mot(s) clés libre(s) : cinéma (1960-1990), contre-culture, dennis hopper (1936-....), easy rider, états-unis, mouvements cinématographiques, nouvel hollywood, production et réalisation
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Cinéma et littérature, qui influence qui ? Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 06-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Tabucchi Antonio, Vecchio Sergio, Delay Florence
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La parole sera ainsi donnée à plusieurs auteurs, autour d'Antonio Tabucchi, pour discuter des liens qui se tissent sans cesse entre l'écriture de leur œuvre et le cinéma. Une rencontre animée par Bernard Comment (écrivain et éditeur).Intervenants :- Antonio Tabucchi (écrivain)- Sergio Vecchio (écrivain)- Florence Delay (écrivain) Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et littérature, langage cinématographique, littérature (histoire et critique), roman moderne
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