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(CERSE) - 04 - Table ronde 1 : Cultures juvéniles et culture scolaire
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Journées scientifiques du CERSE organisées par l’équipe Enfances, Jeunesses et Cultures, CERSE EA 965(Centre d’études et de Recherche en Sciences de l’éducation)Pôle Formation Éducation Travail Emploi
Pôle pluridisciplinaire de la MRSH de CaenPartager les responsabilités de l’éducation des enfants et des jeunesDe modèles pour penser à des propositions pour agirUniversité de Caen Basse-NormandieAmphithéatre de l'ESPEmercredi 12 février 2014Table ronde 1Responsabilité et autorité des adultes en fonction d’une certaine représentation de l’enfancePrésidée par Anne-Laure Le GuernAnne BarrèreCERLIS, Université Paris DescartesCultures juvéniles et culture scolaireL’école et la famille doivent aujourd’hui partager de plus en plus longtemps une co-responsabilité éducative, mais également faire une place à d’autres instances : le groupe de pairs, dont l’importance est aujourd’hui très grande dans la vie des enfants et adolescents, mais aussi tout un ensemble de supports et d’industries culturels dans lesquels ils grandissent, particulièrement depuis la diffusion du numérique. Ces nouvelles instances sont parfois contestées dans le rôle éducatif et même souvent considérées comme une menace contre l’autorité des parents, enseignants, et adultes chargés de l’éducation des jeunes. Mot(s) clés libre(s) : modèle, acteurs, responsabilité, jeune, éducation, proposition, projet éducatif, cultures juvéniles, culture scolaire
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01 - Culture, altérité, relation sociale et parenté : des notions au service de questions professionnelles (CERSE)
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6 ème journée d'étude sur l'enfance au quotidienJournée d’étude organisée par l’équipe EJC. Enfances, Jeunesses et CulturesCERSE EA 965 (Centre d’études et de Recherche en Sciences de l’éducation)Différences culturelles dans les relations éducatives : compréhension et acculturationIntroduction :
Julie DELALANDE et Nathalie DUPONT
(Université de Caen Basse-Normandie, CERSE, équipe EJC)
Culture, altérité, relation sociale et parenté : des notions au service de questions professionnellesMercredi 10 décembre 2014Amphithéâtre chimie, bâtiment A, campus 1
Université de CaenA r g u m e n t a i re : Cette sixième journée d’étude sur l’enfance au quotidien, organisée par l’équipe Enfances, Jeunesses et Cultures du CERSE, propose une réflexion sur la manière dont les différences culturelles réelles ou imaginaires interrogent les relations éducatives.Les enfants et les jeunes issus de l’immigration de différentes générations ont parfois avec leurs familles des pratiques culturelles, des modèles d’autorité, des normes et des valeurs décalées par rapport à celles des professionnels qui travaillent auprès d’eux.Enseignants, éducateurs, assistants sociaux, animateurs, soignants peuvent être déroutés pour comprendre leurs codes culturels et pour expliquer les comportements qui en découlent.Des malentendus et tensions naissent de ces décalages culturels, entre ces jeunes acteurs et lesprofessionnels, mais aussi des écarts de représentations entre parents et institutions sur les manières de prendre soin des enfants et des jeunes, de les éduquer, en fonctionde modèles éducatifs distincts.Les deux invitées proposeront des éclairages pour travailler ces situations d’altérité riches mais délicates : présentations de situations familiales concrètes à partir d’enquêtes dans desfamilles issues de l’immigration, mais aussi réflexions sur la manière dont ces familles construisent leurs relations à leur culture d’origine et à celle du pays d’accueil.Deux approches disciplinaires, l’anthropologie et la sociologie, permettront le croisement des regards.La journée laisse une large place aux échanges entre les intervenants et les participants. Mot(s) clés libre(s) : altérité, acculturation, cerse, ejc, culture, relation sociale, parenté
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 1/3
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Enregistrement issu de la première journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 3/3
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Enregistrement issu de la troisième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : architecture byzantine, gabriel gee, todd porterfield, hélène le meaux, dominique jarrassé, maria cruz villalon, sarah laporte, sabine du crest, nicolas schaub, giorgio poti, mourad betrouni, Méditerranée, architecture, colloque, culture méditerranéenne, INHA, Langues et civilisations, civilisations, david wengrow, milan pelc
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Conférence d'ouverture : Le numérique et les industries de la culture et de la communication : logiques en cours et enjeux.
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Conférence d'ouverture du colloque par Philippe Bouquillion : Professeur, LabSIC, Paris 13. Le 4 mai 2015 à l'Institut de la Communication et des Médias (Université Stendhal Grenoble 3). Conférence au colloque international "La communication numérique au cœur des sociétés : dispositifs, logiques de développement et pratiques". Mot(s) clés libre(s) : Numérique - Communication - Industries de la culture et de la communication
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Conférence d'ouverture : Le numérique et les industries de la culture et de la communication : logiques en cours et enjeux.
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Conférence d'ouverture du colloque par Philippe Bouquillion
: Professeur, LabSIC, Paris 13. Le 4 mai 2015 à l'Institut de la
Communication et des Médias (Université Stendhal Grenoble 3). Conférence
au colloque international "La communication numérique au cœur des sociétés : dispositifs, logiques de développement et pratiques".Seule la version audio est disponible. Mot(s) clés libre(s) : Numérique - Communication - Industries de la culture et de la communication
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Des algues dans notre assiette - C. Boyen, CNRS
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : nutrition, Algues, culture alimentaire, santé, écosystèmes marins
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L'intercompréhension des langues cultures dans l'espace créolophone : la situation du créole en République Dominicaine
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Alcira Minaya s'intéresse à l'intercompréhension dans l'oralité. Elle se penche également sur la question du créole en Haïti, ainsi qu'en République Dominicaine. Elle met ensuite en exergue les conditions d'apprentissage difficile en Haïti. Un état de fait qui donne lieu à un mouvement de la population d'apprenants vers la République Dominicaine. Cette situation crée un besoin nouveau d'intercompréhension. Mot(s) clés libre(s) : communication, apprentissage, intercompréhension, Créole, Culture, Langue
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Le Maalouf Tunisien, la musique traditionnelle tunisienne arabe-andalou
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Le Maalouf est un patrimoine musical immense et remarquable en qualité et en quantité, mais sa place dans le paysage culturel français, européen et même arabe demeure très sous-représentée.
Nous sommes convaincus aujourd’hui encore de l’énorme qualité de ce véritable trésor oublié ou en voie de disparition, et sommes conscients de l’intérêt pour tous de la nécessité de sa présence vivante dans notre espace culturel… « Pas d’avenir sans mémoire ! »
En Ressuscitant des œuvres lointaines et inconnues, c’est une véritable richesse de notre patrimoine que nous ferons découvrir à un public en soif de découverte et de voyage... Ce sont ces œuvres de grandes qualités qui mettent en lumière la spécificté si profonde de ce patrimoine.
Ce répertoire est éprouvé et délaissé, car la compétition ne se déchaîne pas pour assurer sa survie et sa promotion. C’est pourtant une mission digne d’un « Service Public ».
Ce choix est motivé d’abord par un parcours personnel d’une formation classique et traditionnelle complétée par des études universitaires à la découverte des musiques authentiques des autres.
Cette véritable passion s’est construite dans une approche plurielle, associant :
Le chant et la parole
Les instruments traditionnels
La découverte de la profondeur du répertoire classique maghrébo-andalou de Tunisie
La participation au sein de plusieurs ensembles d’amateurs et professionnels.
L’organisation et la participation à des concerts, des présentations publiques, des fêtes associatives, des concours et festivals régionaux, nationaux et internationaux." Mot(s) clés libre(s) : Sahel tunisien, arabe, culture arabo-andalouse (Espagne), Malouf, Maalouf, Tunisie, arabo-andalou, oud
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Le Nian Gao, gâteau du nouvel an chinois
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Le
Nian Gao est un gâteau à base de farine de riz gluant qui est
traditionnellement confectionné lors du nouvel an chinois. Cette
recette de gâteau a différentes variantes mais a toujours une base
de farine de riz gluant. Par exemple on peut faire ce gâteau salé
ou bien sucré, on peut y ajouter des fruits confits ou encore le
mettre dans une soupe. Cette pratique est très importante car lors
du nouvel an chinois, les chinois rendent hommage aux dieux et aux
ancêtres. Or le Nian Gao fait partie intégrante de ce qui doit être
mis dans les offrandes pour les dieux et les ancêtres. Il semblerait
que cette pratique existe depuis le temps de la dynastie Han (-207;
+220JC). Cependant, depuis la dynastie Ming (1368-1644), ce gâteau
est vendu tout au long de l'année même si il est évidemment bien
plus mangé et confectionné lors du nouvel an du calendrier lunaire.
Si ce
gâteau est très populaire c'est aussi grâce à sa signification.
Il faut savoir que les chinois jouent beaucoup avec le son des mots.
Nian Gao en chinois s'écrit ainsi : 年糕
, qui signifie gâteau de l'an. Or on pourrait
aussi l'écrire 黏糕
qui signifie alors gâteau collant/glutineux (le
gâteau est effectivement très collant) car le mot a exactement la
même prononciation que celui-ci : 年糕.
Enfin, toujours avec la même prononciation, on pourrait l'écrire 年高
qui signifie année haute. Pour les chinois,
cette dernière signification est la plus importante car elle veut
dire que l'année suivante sera meilleure que la précédente.
Les ingrédients : Farine de riz gluant 300gSucre noir 200g (ou sucre roux)Eau 240gUne boîte de conserve de haricots rouges cuits sucrés Lexique (par ordre d'apparition dans la vidéo) :-年糕 nian gao = gâteau à base de farine de riz gluant-春秋战国 chunqiu zhanguo = la guerre des printemps et automnes (-770 avant JC; -221 avant JC)-伍子胥 Wu Zixu = nom d'un grand général et politicien pendant la période des printemps et automnes-福建 Fujian : province du sud-est de la Chine-红豆 hong dou = haricots rouges-龙 眼 long yan = longane, fruit tropical-黑糖 hei tang = sucre noir (sucre de canne très fort en goût)-发糕 fa gao = gâteau généralement fait à base de farine de riz-年夜饭 nian ye fan = repas du nouvel an chinois Mot(s) clés libre(s) : histoire, tradition, art culinaire, civilisation chinoise, culture asiatique, gâteau du nouvel an chinois, recette, nian gao
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