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La concentration économique et ses limites
/ Mission 2000 en France
/ 24-05-2000
/ Canal-u.fr
CHEVALIER Jean-Marie
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La concentration économique recouvre un processus dynamique de regroupement des entreprises, qui tend à conférer aux firmes concernées un certain pouvoir d'influence sur les marchés dont l'aboutissement extrême serait un pouvoir de monopole. Selon la théorie économique, la meilleure forme d'organisation des marchés est celle de la concurrence pure et parfaite. Pour préserver l'intérêt général, il faut donc surveiller la concentration et les conséquences qu'elle peut avoir sur la vigueur de la concurrence. C'est aux États-Unis que cette fonction de surveillance a été établie, dès 1890 à la suite de la première loi antitrust, le Sherman Act. La concentration économique a une longue histoire qui se déroule dans une problématique qui demeure invariante. En revanche les changements qui interviennent dans l'environnement de l'entreprise nous obligent à revoir notre approche opérationnelle de la concentration. Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, économie, marché, monopole, croissance, production, pouvoir, antitrust
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Marché et concurrence
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 27-04-2000
/ Canal-u.fr
ALPHANDERY Edmond
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Le thème du "marché" et de la "concurrence" a mobilisé les esprits des plus grands économistes depuis Adam Smith : Ricardo, Cournot, Walras, Pareto. À l'époque contemporaine il faudrait citer notamment les Prix Nobel : G. Stigler, M. Friedman, G. Debreu, M. Allais, R. Coase, J. Hicks... Le mot "marché" forme toute une branche de l'économie enseignée sous le vocable de microéconomie qu'il apparaît présomptueux de vouloir traiter en une seule leçon. Le sujet se prête en outre volontiers au débat politique. Les marchés sont en effet au coeur du fonctionnement de nos sociétés. Ils conditionnent la production des biens et des services tout comme leur consommation, la répartition des revenus, les échanges économiques. Ils façonnent les conditions de vie des hommes et ont un rôle déterminant dans notre organisation sociale. Quoi d'étonnant à ce que les hommes et les femmes déterminent souvent leur positionnement politique par le jugement qu'ils portent sur l'économie de marché. Aussi pour tenter d'éviter le piège que pose inévitablement le traitement d'une question aussi sensible, on partira de la fameuse distinction établie par J.N. Keynes, le père du grand Keynes, entre l'économie positive (ce qui, pour notre sujet, revient à la description analytique des comportements des agents économiques et de leur imbrication sur les marchés), l'économie normative (c'est-à-dire l'usage qui peut-être fait de cet "" outil "" par chacun pour se faire son propre jugement sur le fonctionnement de l'économie de marché) et enfin un art, c'est-à-dire comme le fait l'artisan, l'utilisation de ce puissant instrument que sont les mécanismes des prix pour mieux comprendre les phénomènes économiques réels et aider ainsi à la prise de décision. Mot(s) clés libre(s) : économie, marché, concurrence, investissement
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