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De la qualité taylorienne à la qualité totale
/ Université Nancy 2, Dominique MORQUE
/ 01-01-1999
/ Canal-u.fr
BOUTRY Michel
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Michel Boutry nous présente, à l'aide d'exemples précis, la définition de la qualité aujourd'hui, sa construction dans l'entreprise et sa mise en oeuvre. Cela passe par la réponse à deux questions : - Quelles caractéristiques doit recouvrir la qualité ? - Comment faire pour obtenir ces caractéristiques ? Détermination de la qualité entre le client et le fournisseur, respect des engagements dans le processus de fabrication, représentation des formes de la qualité (selon P.Y. Gomez), organigramme de l'entreprise selon une représentation systématique, la qualité facteur de succès en terme de stratégie de différenciation, mise en place d'un système qualité de la production, maîtrise technique et socio-organisationnelle de la qualité, relation client-fournisseur et manuel qualité sont autant de réponses à ces questions.
GénériqueÉmission réalisée avec le soutien du Ministère de l'Éducation Nationale de la Recherche et de la Technologie. Conception : Michel Boutry Université Nancy 2 Institut d'Administration des Entreprises Production : Université Nancy 2 Vidéoscop Directeur de production : Philippe PERREY Réalisateur : Dominique MORQUE Cadreur : Amélie DUMONT Preneur de son : Thierry HURAULT Maquilleuse : Jocelyne SCHWARTZ Responsable de Production : Agnès DIVOUX Remerciements particuliers à Françoise THIBAULT © Université Nancy 2 1999. Mot(s) clés libre(s) : entreprise, client, qualité, stratégie, engagement, fabrication, fournisseur
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Des systèmes productifs locaux aux pôles de compétitivité
/ Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Claire SARAZIN, UOH - Université Ouverte des Humanités, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 15-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
GUILLAUME Régis, VIDAL Franck
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A travers l'exemple des systèmes productifs locaux et des pôles de compétitivité, l'auteur développe un argumentaire non seulement économique mais aussi géographique sur le passage d'une structuration industrielle locale et régionale à un système européen et mondial en France au début des années 2000. Dès lors, quel est alors le rôle et quelles sont les conséquences des politiques de soutien des organismes régionaux, nationaux et transnationaux sur le développement du tissu des PME et PMI en France ? (entretien enregistré le 15 décembre 2006)GénériqueInterview : Franck Vidal - Rélisation et post-production : Bruno Bastard - Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin - Production et Moyens techniques : Centre Audiovisuel et Multimédia, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31 058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aide au développement économique régional, aménagement du territoire, compétitivité (économie politique), développement économique, europe, france, industrie, labellisation, petites et moyennes entreprises, pôles de compétitivité, politique industrielle
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Diversité : comment l’aborder ?
/ 20-05-2013
/ Canal-u.fr
MALINBAUM Soumia
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Développer les diversités c’est avant tout prévenir les
discriminations dans les entreprises. Il faut considérer que tous les
préjugés procèdent delà même démarche, le but est de combattre la
discrimination en général.
Develop diversity is above all prevent discrimination in business. We
must consider that all prejudices proceed beyond same approach, the
goal is to combat discrimination in general.
Pour aller plus loin :
Diversité plurielle – le blog de Soumia Malinbaum
Retrouvez plus de vidéos de Soumia Malinbaum sur TVDMA.org Mot(s) clés libre(s) : responsabilité, progrès social, minorité, société civile, action volontaire et positive, afmd, managament de la diversité, tvdma, préjugés, diversité, commission, discrimination, prévention, engagement, entreprise, soumia malinbaum
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Entreprises, mondialisation et gestion de la main d’œuvre
/ UTLS - la suite
/ 11-07-2003
/ Canal-u.fr
MOULIER-BOUTANG Yann
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Les approches néo-libérales qui défendent inconditionnellement la mondialisation post-nationale, celles, diversifiées, quelles soient polanyiennes, souverainistes, keynésiennes, de défense d'une régulation nationale épuisent-elles le champ des savoirs, rendent-elles compte des transformations effectives, dessinent-elles les possibilités d'action nouvelles en matière d'emploi, de protection sociale ? À l'âge d'une transformation profonde des concepts politiques de la souveraineté, de la représentation que d'aucuns nomment « impériale », la présente conférence se propose d'explorer un autre chemin. Nous appuyant sur trois éléments majeurs qui correspondent à nos recherches ; - la mobilité de la main d'oeuvre à l'échelle mondiale ; - les transformations actuelles que nous caractérisons au-delà de l'écume de la « nouvelle économie » comme le passage à un troisième capitaliste ; - L'émergence d'un usage de plus en plus diffusé des nouvelles technologies de l'information et de la communication s'appuyant sur le réseau, troisième terme irréductible à l'État et au marché ; nous entendons proposer un cadre de lecture renouvelé des transformations stratégiques des entreprises, des problèmes de gestion des ressources humaines en leur sein et dans les nouveaux territoires productifs, et plus globalement de la mutation du salariat et du système de sa gouvernance par les mécanismes de la protection sociale. Mot(s) clés libre(s) : entreprise, mondialisation, salariat, capitalisme, gouvernance, main d'oeuvre
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Existe-t-il un management au féminin ?
/ 07-02-2013
/ Canal-u.fr
GAYMARD Clara
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Lorsque les femmes sont nommées à des postes de Direction, elles
doivent démontrer leurs compétences. L’important est d’assumer sa
différence et d’utiliser cette adversité comme une force.
When women are appointed as executive officiers, they have to show
their skills. The important thing is to accept one’s difference and use
this adversity as a strength.
Pour aller plus loin :
Yves Rivoal, Le management au féminin à l’épreuve de la crise,
L’AGEFI Hebdo, mars 2012 (accessible en ligne).
Anne Cherret de la Boissière, Leadership au masculin et au féminin, le management aux valeurs mixtes : l’avenir de l’entreprise,
Dunod, 2009.
Retrouvez plus de vidéos sur TVDMA.org
Mot(s) clés libre(s) : droit, assas, tvdma, gaymard, clara, dirigeance, dirigeant, General Electric, féminin, entreprenariat, gouvernance, économie, entreprise, mba
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Forum Nîmois - Charles GIDE - BEFFA 05 janvier 2015
/ 05-01-2016
/ Canal-u.fr
BEFFA Jean-Louis
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 5 janvier 2016, au Lycée Alphonse DAUDET de Nimes Jean-Louis BEFFA
Est-il encore utile de présenter Jean Louis Beffa,
aujourd’hui Président d’honneur d’une des plus anciennes, elle a été créée en
1665, et plus grande, entreprise
française : Saint-Gobain. Après Polytechnique et l’Ecole des mines, il y
est entré, sauf erreur, en 1974, après sept ans au Ministère de l’industrie
dans les carburants. Très vite il progresse et devient président de la filiale
Pont à mousson, en même temps que directeur des canalisations et de la
mécanique du groupe Saint-Gobain. Il aura dans cette fonction à gérer le
difficile problème de l’amiante dont on découvre alors la nocivité sournoise,
et qui, malheureusement, est incluse dans de nombreuses constructions.
Il devient directeur général du groupe en 1982, puis
président directeur général en 1986
Ce n’est pas qu’un grand ingénieur et grand dirigeant. Il est
aussi un collègue économiste éminent puisqu’il fonde avec le prix Nobel Robert
Solow, le centre Saint-Gobain pour la recherche en économie en 2002.
Il a été président de Saint-Gobain jusqu’en 2007.
En tant qu’ancien haut fonctionnaire, et contre le vent
dominant du libéralisme à tout crin, il rédige à la demande de Jacques Chirac, un
rapport prônant une nouvelle politique industrielle, dans laquelle l’Etat doit
jouer une rôle moteur ou central, à lui de nous le dire. Puis il fonde l’outil
d’une telle relance de l’industrie sous forme de l’Agence de l’innovation
industrielle
Il récidive en quelque sorte en 2012, avec un livre
intitulé : « La France doit choisir », toujours dans le sens
d’une vraie stratégie industrielle menée par l’Etat, pour résorber un déficit
commercial récurrent qu’il attribue, comme nous tous, à la lente
désindustrialisation qui se poursuit toujours. Et il recommande de revenir sur
les orientations trop libérales des
dernières décennies.
Toujours dans le même sens, il a publié au Seuil en 2015
« Les clés de la puissance ». Situant son analyse dans le cadre
géopolitique d’un duopole sino-américain dominant le monde, il propose ces
quatre « clés » qui sont l’industrie exportatrice, les nouvelles
technologies, l’énergie et les capacités militaires.
Je dois dire que je partage assez bien ses vues, mais je lui
propose ce soir, et soumets à sa critique, une analyse différenciée. Je combats
la vision faussement marxiste d’un capitalisme qui aurait commencé avec
l’industrialisation à la fin du XVIIIème siècle en Grande Bretagne, laquelle a
dominé le monde économique après l’effondrement français suite à la guerre de Sept
ans et la défaite militaire napoléonienne. Le capitalisme est bien plus ancien,
à mon sens.
En fait dès que les serfs ont commencé à sortir des domaines
seigneuriaux, à partir du XII-XIIIème siècle, pour vendre dans les villes les
surplus qui leur restaient après les prélèvements des seigneurs, il y a eu
capitalisme car chacun d’entre eux cherchaient à accumuler leurs bénéfices sur
leur tête, caput, capitis, capitalisme. Certains quittèrent les domaines et
s’installèrent à demeure dans les bourgs, formant les premiers bourgeois. Le
capitalisme est donc un phénomène naturel dès le début, et des centaines de milliers
de petites entreprises en sont la base. Qu’ensuite avec, effectivement
l’industrialisation, les entreprises aient grossi, soient devenues, dans
certains cas, des bagnes pour les ouvriers, et même leurs enfants, aucun
doute ! Mais le principe d’accumulation pour investir, lui, a toujours
existé. Marx le décrit d’ailleurs fort bien et fort justement, mais ceux qui
ont prétendu faire doctrine politique à partir de ses analyses, et faire
disparaître le profit, ont échoué et échoueront toujours. Il n’y a pas de
croissance économique donc d’emploi sans entreprises privées qui investissent
et embauchent, ce pour quoi elles doivent faire des profits, accumuler.
La structure de l’économie est toujours la même. A la base
des millions de très petites entreprises, avec moins de 10 salariés, puis en
France du moins, environ 165.000 PME, dont certains deviennent, selon la
classification moderne de l’INSEE, des Entreprises de taille intermédiaires (250
à 5.000 salariés et jusqu’à un milliard de chiffre d’affaires), enfin une
centaine de grandes et très grandes entreprises, dont les fameuses 40
d’Euronext, qui en fait structurent plus ou moins sous elles, le tissu
industriel.
Différence France-Allemagne. Nous n’avons, selon les chiffres
de notre ami Patrick Artus, environ 5.000 ETI en France contre 25.000 en Allemagne.
Or, ce sont elles qui sont au cœur de l’exportation. C’est l’explication de
notre déficit commercial récurrent, alors, notons le bien, que la facture
pétrolière française est bien plus faible que celle de l’Allemagne.
Les raisons de ce faible nombre d’ETI en France, toujours
selon Artus ? 1). Ayant, comme toutes nos entreprises, de trop faibles
fonds propres, elle sont vite absorbés par les grands groupes, qui savent mal
gérer d’en haut ces entreprises normalement familiales.2) Il y a en France des
obstacles évidents à l’accumulation, donc à l’investissement et l’emploi, que
l’actuel gouvernement tente de lever aujourd’hui, 3) enfin, la faiblesse des
fonds propres entraîne des difficultés de financement. J’ajoute, et j’en
termine, un facteur anthropologique. Nous sommes un pays, sauf en Alsace,
Bretagne, Pays Basque, de familles nucléaires égalitaires, alors que
l’Allemagne est un pays de famille souche. Chez nos voisins il y a toujours un
enfant pour reprendre l’entreprise, comme autrefois les terres. L’horizon du
chef d’entreprise est donc plus long qu’en France, ou dans un grand nombre de
cas, les enfants préfèrent la finance, les professions libérales. Horizon plus
long égale plus d’investissements plus lourds, et plus d’emplois !
On comprend donc bien qu’effectivement l’Etat doit pallier
ces défauts fondamentaux et jouer un rôle central dans le pilotage de
l’industrie. Mais, pour innover, rien de vaut la petite structure. Qui,
malheureusement, chez nous, ne trouve pas de fonds propres. Notre épargne est
moins entrepreneuriale, plus foncière, immobilière, boursière ! Comment ce pilotage étatique peut-il faire
éclore et fleurir, plus grossir, les « startup » qui devraient
devenir les géants de l’informatique et du net, qu’elles sont devenues aux
Etats-Unis ? C’est par cette question Jean Louis Beffa que je vous passe
avec beaucoup d’intérêt, la parole. Mot(s) clés libre(s) : entreprises, géopolitique, start-up
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Furigraphier le vide : art et poésie touareg pour le IIIe millénaire / Hélène Claudot-Hawad
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail, Portique nomade (Agadez)
/ 01-06-2009
/ Canal-u.fr
CLAUDOT-HAWAD Hélène
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Comment exister hors des modèles hégémoniques imposés par la mondialisation ? Comment être touareg aujourd'hui ? Comment poursuivre la marche nomade qui multiplie les horizons ? Comment occuper le vide ? Ces questions douloureuses se posent avec une violence accrue dans les espaces arides du Sahara et du Sahel à l'économie asphyxiée, à la population criminalisée et aux territoires âprement convoités pour leurs richesses minières.Pour résister au chaos et au non-sens, pour lutter contre l'ultime dépossession de soi : celle de l'imaginaire, quarante-quatre poètes touareg de l'Aïr, de la Tagama, de la Téshilé et de l'Azawagh, se sont réunis à Agadez pendant trois nuits et trois jours en novembre 2006. Dessinant des parcours sonores libérés des entraves qui immobilisent aujourd'hui leur société, ils réinventent à leur manière les trames du présent.A travers un langage esthétique de l'intime, au plus près des visages, des corps, des regards, des gestes, des voix, ce film s'attache à saisir les émotions et la logique des acteurs en action. Il présente une facette ignorée du monde touareg, celle qui provient de l'intérieur de la société et fait découvrir la richesse insoupçonnée des productions poétiques et artistiques de cette culture originale et de ses cheminements esthétiques et éthiques dans la modernité. [Poésies et entretiens en tamajaght (touareg, langue amazighe), sous-titrés en français].
> Visionner la version anglaise : Furigraphing the Void: Touareg Art and Poetry for the IIIrd Millennium. Mot(s) clés libre(s) : Arlit (Niger), littérature touareg, art touareg, nomadisme (Sahel), poésie touareg, tamajaght (langue), civilisation amazighe (touareg), entreprises multinationales de production d'énergie, nomadisme (Sahara), résistance politique, dépossession territoriale, Agadès (Niger), politique et littérature, uranium (mines et extractions), littérature amazighe (tamajaght)
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Gouvernance et compliance
/ 07-02-2013
/ Canal-u.fr
TRICOT Daniel
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Gouvernance et compliance : deux notions récentes issues d’un
mouvement anglo-saxon. 1) Problématiques de la gouvernance :
organisation interne des sociétés, recherche de bons usages
professionnels efficaces et fructueux pour l’entreprise. 2)
Conformité/compliance : respect notamment des lois et règlements.
Recherche de la protection de l’image de l’entreprise. But : éviter
responsabilité pénale et civile des dirigeants.
Governance and compliance: two new Anglo-Saxon concepts. 1)
Governance issues: internal firms structuring, finding good practices
which are efficient and fruitful for firms. 2) Compliance: compliance
with Acts of parliament and Decrees. Looking for protection of
perception of the firms. Purpose: avoiding civil and criminal liability
of Directors.
Retrouvez plus de vidéos de Daniel Tricot sur TVDMA.org Mot(s) clés libre(s) : entreprise, entreprenariat, durable, conformité, gouvernance, croissance, développement, innovation, économie, compliance
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L'atout doctorat. Innovation et recherche dans les entreprises et la fonction publique
/ 03-06-2015
/ Canal-u.fr
FRIDENSON Patrick, FREMEAUX Philippe, MAMOU-MAMI Guy, TILLOY Bénédicte
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L’EHESS alumni organise une table ronde autour de
Patrick Fridenson, directeur d'études à l’EHESS, chargé par le Ministère
de l’Enseignement supérieur d’un rapport et de propositions sur
l’insertion du doctorat dans les entreprises et la haute fonction
publique. Elle sera animée par Philippe Frémeaux, rédacteur en chef
d'Alternatives Économiques.
Un(e) diplômé(e) de doctorat, ça sert à quoi?
Contrairement aux idées reçues pas seulement à chercher, mais aussi à
penser hors des sentiers battus, à produire autrement ou comprendre les
nouveaux mondes et usages de consommation, etc. C'est évident en Europe
et ailleurs. C'est moins vrai en France où le diplôme est moins valorisé
sur le marché du travail : 1,7% de la population active en France
contre 2,7% en Allemagne et 2,4% au Royaume-Uni. Comment mieux valoriser
les compétences? Comment encourager un besoin nouveau de sciences
sociales, particulièrement dans l’économie de la connaissance, des
services ou du numérique ?
En 2014, Patrick Fridenson, directeur d'études
EHESS, était chargé par le Ministère de l’Enseignement supérieur d'un
rapport sur l’insertion professionnelle du doctorat dans les entreprises
et la haute fonction publique. Il en livrera les conclusions et pistes,
appuyées par les témoignages et les points de vue du Ministère du
Travail, de plusieurs entreprises, privées et publiques (SNCF, SYNTEC
Numérique, etc.). Mot(s) clés libre(s) : insertion professionnelle, entreprises, doctorat, fonction publique
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L'économie verte : un nouveau modèle pour l'entreprise - Benoit de Guillebon
/ UTLS - la suite
/ 04-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence du cycle : "Développement durable, la croissance verte : comment ?"L'économie verte : un nouveau modèle pour l'entreprise par Benoit de Guillebon, Collège des hautes études de l'environnement et du développement durable Mot(s) clés libre(s) : développement durable, économie verte, entreprise
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