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Clôture des journées
/ Canal-u.fr
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Simone BONNAFOUS, Directrice Générale de l’Enseignement supérieur et de l’Insertion Professionnelle
Roger GENET, Directeur Général de la recherche et de l’innovation
Patrick FRIDENSON, Chargé de mission, EHESS
André NIEOULLON, Président du Conseil scientifique de la FRC Mot(s) clés libre(s) : insertion professionnelle, entreprises, doctorat
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La formation doctorale en Europe : bonnes pratiques et démarche qualité
/ Canal-u.fr
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Table ronde
Présentation : Frédéric DARDEL, Président de l’Université Paris Descartes
David BOGLE, Pro-Provost of the Doctoral College, University College London, League of European Research Universities (LERU)
Thomas JORGENSEN, European Universities Association - Director of the College for Doctoral Education
Michael MULVANY, Denmark, Organization for PhD Education in Biomedicine and Health Sciences in the European System (ORPHEUS)
Filomena PARADA, The European Council of Doctoral candidates and Junior researchers (EURODOC) Mot(s) clés libre(s) : entreprises, doctorant, recrutement
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Les compétences conférées par la formation doctorale et la demande des entreprises
/ Canal-u.fr
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Table ronde
Présentation: René-Luc BENICHOU, AEF
Vincent MIGNOTTE, Directeur de l’ABG
Pierre MUTZENHARDT, Président de l’Université de Lorraine et de la commission recherche de la CPU
Laurent GOUZENES, MEDEF
Bénédicte TILLOY,DRH SNCF Réseau Mot(s) clés libre(s) : insertion professionnelle, entreprises, doctorat
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ANDès Table ronde 2
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 29-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Abbès Ramzi, Martin Gérard, Portier-Fozzani Fabrice, Robinault Lionel, Roy François
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Matinée ANDès, « Docteurs, acteurs de l’innovation ? L’exemple Rhônalpin »29 mai 2010, de 9h30 à 13h30, dans les locaux de l’INRP à Lyon. En ce début de XXIème siècle qui voit disparaitre le monde d’après-guerre, dans lequel les marchés sont saturés et les consommateurs moins passifs et aussi moins solvables, les entreprises font face à « l’impérieuse nécessité » d’innover. Qui dit « innover » évoque inévitablement la recherche et donc les chercheurs. Lorsqu’on demande aux entreprises d’expliquer leur politique d’innovation, la plupart répondent qu’elles consacrent X% de leur CA à la R&D, comme si c’était l’évidente démonstration de leur capacité à innover. Reste toujours présent dans les esprits, le modèle marquant de l’innovation des « Trente glorieuses », fondé sur la séquence linéaire :« recherche – technologie - innovation- accroissement du bien-être des utilisateurs » Pourtant, science et innovation ne sont pas nécessairement liées. Aujourd’hui, l’innovation est un processus complexe et collectif, impliquant des interactions quelquefois continues entre concepteurs, financeurs, réalisateurs et utilisateurs. En outre, plus de la moitié des innovations récentes est de type social, organisationnel ou commercial donc déconnectée des sciences exactes et de la technologie. En quoi, la contribution d’un professionnel formé par la recherche scientifique (issu des sciences exactes ou des sciences humaines), est déterminante pour ce processus d’innovation? C’est ce qui fait l’objet de notre débat : « Docteurs, acteurs de l’innovation » : une « évidence » à redécouvrir ou à revisiter.Pour avancer sur le sujet, nous donnons la parole aux professionnels qui font l’innovation ou qui accompagnent l’innovation en Rhône-Alpes. Mot(s) clés libre(s) : andès, docteur, emploi, entreprise, innovation, Lyon
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Présentation du dispositif CIFRE
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 14-11-2014
/ Canal-u.fr
Angelier Clarisse
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Présentation du dispositif CIFRE
Intervenante : Mme Clarisse Angelier, chef du service CIFRE
Les conventions CIFRE associent autour d’un projet de recherche, qui conduira à une soutenance de thèse de doctorat, trois partenaires: une entreprise, un jeune diplômé et un laboratoire.
Elles s’adressent aux entreprises qui s’engagent à confier à un jeune diplômé (bac+5) un travail de recherche en liaison directe avec un laboratoire extérieur.
L’intérêt d’une telle convention pour un doctorant est de lui permettre de financer sa thèse tout en travaillant l’équivalent d’un temps partiel dans un cadre professionnel lié à ses recherches .De fait, l’étape la plus ardue est celle du recrutement : c’est l’entreprise qui fait les démarches en vue d’obtenir la convention avec l’ANRT et c’est donc elle que l’étudiant doit persuader en premier. Mot(s) clés libre(s) : conventions, entreprises, laboratoire, recrutement, doctorants
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Le système documentaire
/ Dominique MORQUE, Université Nancy 2
/ 01-01-2000
/ Canal-u.fr
ANTOINE Alain
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La gestion documentaire répond à des exigences et des besoins définis par l'activité et l'objectif visé à travers la démarche qualité de l'entreprise. Le système documentaire est l'ensemble des données ou informations qui ont une influence sur la qualité des produits, la maîtrise des processus et le système qualité d'une entreprise. Ce sont les documents internes à l'entreprise, relatifs à son domaine, sa politique et son engagement, et les documents externes pour pouvoir prendre en compte les exigences et les évolutions externes à l'entreprise. Ces règles de gestion, adaptées à la situation et aux exigences de la norme, garantissent sa disponibilité. Cette gestion peut être informatisée et efficace. Enfin, les procédures d'établissement du système documentaire doivent s'inscrire dans la démarche qualité de l'entreprise.
GénériqueÉmission réalisée avec le soutien du Ministère de l'Education Nationale de la Recherche et de la Technologie. Conception : Université Nancy 2 Institut d'Administration des Entreprises Alain ANTOINE avec Karine FISCHER, Pascale DELLEA-WARIN Remerciements : Jean-Jacques BRETON Production : Université Nancy 2 Vidéoscop Directeur de production : Philippe PERREY Réalisateur : Dominique MORQUE Cadreur : Aurélia BAUDETTE Preneur de son : Thierry HURAULT Maquilleuse : Jocelyne SCHWARTZ Responsable de Production : Agnès DIVOUX Remerciements particuliers à Françoise THIBAULT © Université Nancy 2 2000. Mot(s) clés libre(s) : entreprise, client, déploiement, qualité, stratégie, TICE, gestion documentaire, information
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50ème Semaine Médicale de Lorraine Nancy 2015 : Exemple de violence interne en PME
/ 16-11-2015
/ Canal-u.fr
APTEL Audrey
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Titre : 50ème Semaine Médicale de Lorraine Nancy 2015 : Exemple de violence interne en PME
Intervenant : Audrey APTEL
Objectifs
: - Connaître la dynamique d’apparition de la violence en milieu de travail
-
Connaître l’état des lieux actuel
-
Appréhender des exemples de violence
-
Appréhender les recommandations en matière de prévention
---- PROGRAMME Lundi 16 Novembre ----
10h15
- 11h00 Conférences
C0107
Les infections de la main
Pr
G. DAUTEL - Dr G. POMARES
Objectifs
: - Diagnostiquer les différentes formes cliniques d’infections de la main
-
Connaître les bases du traitement médical
-
Savoir quand orienter vers une équipe chirurgicale
11h15
- 12h15 Conférences
C0110
L’enfant à haut potentiel (enfant surdoué).
Dr
L. BONNEMAINS - Dr F. LIGIER
Objectifs
: - Connaître les principales caractéristiques d’un enfant à haut potentiel
pour pouvoir le dépister
-
Mettre en oeuvre la démarche diagnostique
-
Identifier l’intérêt d’une prise en charge précoce et adaptée pour ces enfants
14h00
- 16h00 Séance
thématique
T0204
Violence au travail.
Dr
C. COLLOMB – Dr M. FAVARO - Dr M. LEONARD
Mme
A. APTEL – M. M. BENOIT
Objectifs
: - Connaître la dynamique d’apparition de la violence en milieu de travail
-
Connaître l’état des lieux actuel
-
Appréhender des exemples de violence
-
Appréhender les recommandations en matière de prévention
16h15 - Inauguration officielle
M. le Doyen Jacques ROLAND, Ancien Responsable du Département de Formation Permanente
M. le Doyen Marc BRAUN, Doyen de la Faculté de Médecine de Nancy
De l’institut lorrain à la Semaine Médicale de Lorraine : évocation des pionniers.
Conférence
inaugurale
Modérateur
: Pr Francis RAPHAËL
Loi
relative aux droits des personnes malades en fin de vie.
M.
le Député Jean LEONETTI M. le Député Alain CLAEYS
17h15
- Table ronde
Réponses
aux questions de la salle.
Madame
Lydie ERR (Co-auteur de la loi luxembourgeoise sur l’euthanasie et le suicide
assisté, votée en 2009)
Monsieur
Jean HUSS (Co-auteur de la loi luxembourgeoise sur l’euthanasie et le suicide
assisté, votée en 2009)
Docteur
Maryse FLAMMANG (MG d’Esch sur Alzette - Enseignante à l’Université du
Luxembourg)
Docteur
Patrick BOUET (Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins)
Docteur
Gilles MUNIER (Conseiller National représentant la Lorraine à l’Ordre National
des Médecins)
Réalisation, production : Canal U/3S.
Tous droits réservés. Mot(s) clés libre(s) : conditions de travail, entreprises, violences, droit du travail, Nancy, 2014, Semaine Médicale de Lorraine, SML, DPC, CHU, Université de Lorraine, DPC Lor – Santé U, UDL, cancer, colo-rectal, prostate, ovarien, sein, voyage en zone tropicale, l’hypertension artérielle, L’hygiène, les infections urinaires, sommeil, Migr, 2015, professionnel
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ANDès Table ronde 1
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 29-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Béati Angelo, Besson Davy, Laayoun Ali, Martinat Jacques
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Matinée ANDès, « Docteurs, acteurs de l’innovation ? L’exemple Rhônalpin »29 mai 2010, de 9h30 à 13h30, dans les locaux de l’INRP à Lyon. En ce début de XXIème siècle qui voit disparaitre le monde d’après-guerre, dans lequel les marchés sont saturés et les consommateurs moins passifs et aussi moins solvables, les entreprises font face à « l’impérieuse nécessité » d’innover. Qui dit « innover » évoque inévitablement la recherche et donc les chercheurs. Lorsqu’on demande aux entreprises d’expliquer leur politique d’innovation, la plupart répondent qu’elles consacrent X% de leur CA à la R&D, comme si c’était l’évidente démonstration de leur capacité à innover. Reste toujours présent dans les esprits, le modèle marquant de l’innovation des « Trente glorieuses », fondé sur la séquence linéaire :« recherche – technologie - innovation- accroissement du bien-être des utilisateurs » Pourtant, science et innovation ne sont pas nécessairement liées. Aujourd’hui, l’innovation est un processus complexe et collectif, impliquant des interactions quelquefois continues entre concepteurs, financeurs, réalisateurs et utilisateurs. En outre, plus de la moitié des innovations récentes est de type social, organisationnel ou commercial donc déconnectée des sciences exactes et de la technologie. En quoi, la contribution d’un professionnel formé par la recherche scientifique (issu des sciences exactes ou des sciences humaines), est déterminante pour ce processus d’innovation? C’est ce qui fait l’objet de notre débat : « Docteurs, acteurs de l’innovation » : une « évidence » à redécouvrir ou à revisiter.Pour avancer sur le sujet, nous donnons la parole aux professionnels qui font l’innovation ou qui accompagnent l’innovation en Rhône-Alpes. Mot(s) clés libre(s) : andès, docteur, emploi, entreprise, innovation, Lyon
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Forum Nîmois - Charles GIDE - BEFFA 05 janvier 2015
/ 05-01-2016
/ Canal-u.fr
BEFFA Jean-Louis
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 5 janvier 2016, au Lycée Alphonse DAUDET de Nimes Jean-Louis BEFFA
Est-il encore utile de présenter Jean Louis Beffa,
aujourd’hui Président d’honneur d’une des plus anciennes, elle a été créée en
1665, et plus grande, entreprise
française : Saint-Gobain. Après Polytechnique et l’Ecole des mines, il y
est entré, sauf erreur, en 1974, après sept ans au Ministère de l’industrie
dans les carburants. Très vite il progresse et devient président de la filiale
Pont à mousson, en même temps que directeur des canalisations et de la
mécanique du groupe Saint-Gobain. Il aura dans cette fonction à gérer le
difficile problème de l’amiante dont on découvre alors la nocivité sournoise,
et qui, malheureusement, est incluse dans de nombreuses constructions.
Il devient directeur général du groupe en 1982, puis
président directeur général en 1986
Ce n’est pas qu’un grand ingénieur et grand dirigeant. Il est
aussi un collègue économiste éminent puisqu’il fonde avec le prix Nobel Robert
Solow, le centre Saint-Gobain pour la recherche en économie en 2002.
Il a été président de Saint-Gobain jusqu’en 2007.
En tant qu’ancien haut fonctionnaire, et contre le vent
dominant du libéralisme à tout crin, il rédige à la demande de Jacques Chirac, un
rapport prônant une nouvelle politique industrielle, dans laquelle l’Etat doit
jouer une rôle moteur ou central, à lui de nous le dire. Puis il fonde l’outil
d’une telle relance de l’industrie sous forme de l’Agence de l’innovation
industrielle
Il récidive en quelque sorte en 2012, avec un livre
intitulé : « La France doit choisir », toujours dans le sens
d’une vraie stratégie industrielle menée par l’Etat, pour résorber un déficit
commercial récurrent qu’il attribue, comme nous tous, à la lente
désindustrialisation qui se poursuit toujours. Et il recommande de revenir sur
les orientations trop libérales des
dernières décennies.
Toujours dans le même sens, il a publié au Seuil en 2015
« Les clés de la puissance ». Situant son analyse dans le cadre
géopolitique d’un duopole sino-américain dominant le monde, il propose ces
quatre « clés » qui sont l’industrie exportatrice, les nouvelles
technologies, l’énergie et les capacités militaires.
Je dois dire que je partage assez bien ses vues, mais je lui
propose ce soir, et soumets à sa critique, une analyse différenciée. Je combats
la vision faussement marxiste d’un capitalisme qui aurait commencé avec
l’industrialisation à la fin du XVIIIème siècle en Grande Bretagne, laquelle a
dominé le monde économique après l’effondrement français suite à la guerre de Sept
ans et la défaite militaire napoléonienne. Le capitalisme est bien plus ancien,
à mon sens.
En fait dès que les serfs ont commencé à sortir des domaines
seigneuriaux, à partir du XII-XIIIème siècle, pour vendre dans les villes les
surplus qui leur restaient après les prélèvements des seigneurs, il y a eu
capitalisme car chacun d’entre eux cherchaient à accumuler leurs bénéfices sur
leur tête, caput, capitis, capitalisme. Certains quittèrent les domaines et
s’installèrent à demeure dans les bourgs, formant les premiers bourgeois. Le
capitalisme est donc un phénomène naturel dès le début, et des centaines de milliers
de petites entreprises en sont la base. Qu’ensuite avec, effectivement
l’industrialisation, les entreprises aient grossi, soient devenues, dans
certains cas, des bagnes pour les ouvriers, et même leurs enfants, aucun
doute ! Mais le principe d’accumulation pour investir, lui, a toujours
existé. Marx le décrit d’ailleurs fort bien et fort justement, mais ceux qui
ont prétendu faire doctrine politique à partir de ses analyses, et faire
disparaître le profit, ont échoué et échoueront toujours. Il n’y a pas de
croissance économique donc d’emploi sans entreprises privées qui investissent
et embauchent, ce pour quoi elles doivent faire des profits, accumuler.
La structure de l’économie est toujours la même. A la base
des millions de très petites entreprises, avec moins de 10 salariés, puis en
France du moins, environ 165.000 PME, dont certains deviennent, selon la
classification moderne de l’INSEE, des Entreprises de taille intermédiaires (250
à 5.000 salariés et jusqu’à un milliard de chiffre d’affaires), enfin une
centaine de grandes et très grandes entreprises, dont les fameuses 40
d’Euronext, qui en fait structurent plus ou moins sous elles, le tissu
industriel.
Différence France-Allemagne. Nous n’avons, selon les chiffres
de notre ami Patrick Artus, environ 5.000 ETI en France contre 25.000 en Allemagne.
Or, ce sont elles qui sont au cœur de l’exportation. C’est l’explication de
notre déficit commercial récurrent, alors, notons le bien, que la facture
pétrolière française est bien plus faible que celle de l’Allemagne.
Les raisons de ce faible nombre d’ETI en France, toujours
selon Artus ? 1). Ayant, comme toutes nos entreprises, de trop faibles
fonds propres, elle sont vite absorbés par les grands groupes, qui savent mal
gérer d’en haut ces entreprises normalement familiales.2) Il y a en France des
obstacles évidents à l’accumulation, donc à l’investissement et l’emploi, que
l’actuel gouvernement tente de lever aujourd’hui, 3) enfin, la faiblesse des
fonds propres entraîne des difficultés de financement. J’ajoute, et j’en
termine, un facteur anthropologique. Nous sommes un pays, sauf en Alsace,
Bretagne, Pays Basque, de familles nucléaires égalitaires, alors que
l’Allemagne est un pays de famille souche. Chez nos voisins il y a toujours un
enfant pour reprendre l’entreprise, comme autrefois les terres. L’horizon du
chef d’entreprise est donc plus long qu’en France, ou dans un grand nombre de
cas, les enfants préfèrent la finance, les professions libérales. Horizon plus
long égale plus d’investissements plus lourds, et plus d’emplois !
On comprend donc bien qu’effectivement l’Etat doit pallier
ces défauts fondamentaux et jouer un rôle central dans le pilotage de
l’industrie. Mais, pour innover, rien de vaut la petite structure. Qui,
malheureusement, chez nous, ne trouve pas de fonds propres. Notre épargne est
moins entrepreneuriale, plus foncière, immobilière, boursière ! Comment ce pilotage étatique peut-il faire
éclore et fleurir, plus grossir, les « startup » qui devraient
devenir les géants de l’informatique et du net, qu’elles sont devenues aux
Etats-Unis ? C’est par cette question Jean Louis Beffa que je vous passe
avec beaucoup d’intérêt, la parole. Mot(s) clés libre(s) : entreprises, géopolitique, start-up
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Accompagnement de l'entreprise et gestion du changement : la transition vers l'économie de fonctionnalité
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini présente l'intérêt de la méthode NOVUS pour aider les entreprises à s'engager sur la voie de l'économie de fonctionnalité. Mot(s) clés libre(s) : gestion, entreprise, économie de fonctionnalité, méthode NOVUS
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