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Les vies multiples de l'Homme nouveau : 1914-1945
/ 24-09-2015
/ Canal-u.fr
Michaud Eric
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Séminaire dispensé par Eric Michaud Mot(s) clés libre(s) : corps, esthétique, tyrannie, Première Guerre Mondiale, Révolutions, Europe
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOEVE Sacha
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques. L'inscription d'une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010. Plutôt qu’un paradigme scientifique ou une nouvelle révolution industrielle, les nanotechnologies ne seraient-elles pas avant tout un phénomène esthétique ? Si cette hypothèse mérite d’être prise au sérieux, il convient toutefois de préciser ce que l’on entend par "esthétique". Afin d’éviter tout esthétisme, ou "esthétisation" dépolitisante des productions scientifiques et techniques, ce terme est pris dans son acception étymologique de théorie de la connaissance sensible (du grec, sensation).Ainsi la question du « nano-art » est-elle considérée comme symptôme d’une transformation plus profonde des relations de l’humain et de la matérialité : la montée d’un nouveau sensible induite par les nano-dispositifs à partir d’un fond a-sensible. Ce processus est caractérisé comme : 1) régime d’imagination distinct de la représentation ; 2) promotion d’un ensemble transmodal en soi ; 3) manière de sentir travaillée par une tension entre deux modalités affectives de valuation (Dewey) : « banalisation » et « étrangement » de notre rapport à la matérialité. Abordées comme question esthétique, les nanotechnologies se révèlent être une imagotechnologie où l’image participe d’un schématisme débordant la seule vision. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels (20e siècle), connaissance (philosophie), esthétique (philosophie), imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation)
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Tentatives de définitions du film documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon 2)
/ Pascal CESARO, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 01-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LIOULT Jean-Luc
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Leçon 1 : définitionsPartie 1 : Tentatives de définition du film documentaire- définir le documentaire occasionne un débat sans fin :- est-ce simplement l’« interprétation créative de la réalité » ?- le documentaire n’est pas un genre au sens des films de genre, caractérisés par leurs sujets ou leurs effets sur les spectateurs- il a une généalogie, il évolue au cours de l’histoire- il a une finalité particulière : donner à connaître- il véhicule bien souvent des valeurs (même contestables !), il a un but sérieux- ses caractéristiques formelles ne suffisent pas à le définir- on constate empiriquement qu’il correspond à certaines pratiques sociales (de production, de diffusion par exemple)- au plan anthropologique, c’est une production symbolique d’un type particulier [voir leçon 3 : "Théorie du documentaire" ]- dont il faut interroger la fonction à l’intérieur des groupes humains.- synthèse : le documentaire a pour objet de transmettre des connaissances, ce qui pose la question de ses modalités discursives et de sa poétique ; il relève de la non-fiction [voir leçon 3: "Théorie du documentaire"] ; il propose des images adéquates du réel.Partie 2 : Pour élargir la réflexion- pourquoi distinguer fiction et non-fiction ? la pensée post-moderne s’y refuse plutôt, mais une approche pragmatique prend acte de spécificités- la critique du dispositif cinématographique a été faite, on peut aujourd’hui la dépasser- en revanche le documentaire a bien une fonction politique : il s’agit en définitive d’interroger le monde- les images du réel sont toutefois l’objet d’une certaine ambivalence : on les juge fiables ou non selon les contextes où on les reçoit. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, définition, documentaire, esthetique, fiction, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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SFCO 2011 - Pourquoi reconstruire : aspects fonctionnels, aspects esthétiques
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 15-09-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEYMARIE Nicolas
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SFCO 2011 - Pourquoi reconstruire : aspects fonctionnels, aspects esthétiquesIntervenant(s) : Nicolas LEYMARIE (Institut Gustave Roussy, Villejuif)Résumé : Aspects fonctionnels et esthétiques de la reconstruction. Principaux objectifs de la reconstruction en chirurgie oncologique.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Cours National l’Association des Jeunes Chirurgiens Oncologues (AJCO) au Centre Régional de Lutte contre le Cancer (CLCC) de Nancy. Modérateurs : Jean-Marc CLASSE (Centre de Lutte Contre le Cancer René Gauducheau de Nantes) & Frédéric MARCHAL (Centre de Lutte Contre le Cancer Alexis Vautrin, Nancy)Réalisation, production : Canal U/3S – CERIMESMots clés : Cours National, SFCO, CRCL Nancy, chirurgiens, oncologues, qualité, esthétique, plasticien Mot(s) clés libre(s) : chirurgiens, Cours National, CRCL Nancy, esthétique, oncologues, plastic, qualité, SFCO
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé
/ Samir BOUHARAOUA, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
LAURICHESSE Jean-Yves, MACÉ Marielle
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Style et colère : juger les formes de vie / Marielle Macé, in séminaire Poéthiques organisé par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire Laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire, équipe Littérature et Herméneutique- PLH-ELH) et Nathalie Cochoy (laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes-CAS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 27 novembre 2015.
Dans cette conférence, Marielle Macé tente de comprendre "en littéraire" la revendication qui lui semble
être la plus communément la nôtre aujourd'hui : celle qui consiste à
réclamer "d'autres manières de vivre", "d'autres formes de vie". Elle propose pour cela de réfléchir aux deux dispositions qui sous-tendent
cette revendication, et qui engagent la stylistique : celle qui consiste
à regarder la vie comme un engagement de formes (des manières d'être et
de faire, des gestes, des rythmes, des modes relationnels...), et celle
qui consiste à se risquer à poser sur ces formes un regard critique, à
engager son jugement et, souvent, sa colère. De Baudelaire à Boltanski,
d'Adorno à Pasolini, voir les formes de vie, ce fut toujours
les juger et en réclamer d'autres. C'est donc à cette critique
stylistique de l'existence que Marielle Macé s'attache, pour la
comprendre, la situer, en esquisser une histoire, en dire l'actualité.
* Illustration : "Your Words are my Power", peinture de William Sharpe (2015). Mot(s) clés libre(s) : littérature (esthétique), réception des oeuvres, lecture (influence), manière d'être (philosophie), style (esthétique), Pier Paolo Pasolini (1922-1975)
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Éthiques environnementales et wilderness / Catherine Larrère
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
LARRÈRE Catherine
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Éthiques environnementales et wilderness / Catherine Larrère, in "Espaces sanctuarisés aux États-Unis", Journée d'études organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain (axe « Poéthiques », laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : éthique environnementale, philosophie de la nature, nature (esthétique)
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America at Large : grands espaces, peintures murales et recherche de l'utopie. (Matthieu Orléan)
/ La Cinémathèque française
/ 13-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Orléan Matthieu
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Dans le cinéma américain des années 70, dont Easy Rider est un emblème, la reconquête physique de l'espace (territoires vierges ou frontaliers, en bordure des mégalopoles) s'accompagne d'une recherche spirituelle. Une recherche qui croise ou rencontre bien des expériences plastiques des artistes de la même époque (Ed Ruscha, Jasper Johns, Allan Kaprow, Roy Lichtenstein). Trois femmes de Robert Altman, réalisé en 1977, est un film hanté par cette question du territoire, et s'y mêlent, dans un débordement chromatique inédit, la folie (version schizophrénie), l'onirisme (version dédoublement), et la création artistique (version peinture murale at large). Mot(s) clés libre(s) : art et cinéma, cinéma (1970-….), cinema (thèmes et motifs), dennis hopper (1936-….), easy rider (1969), espace au cinéma, esthétique, états-unis, robert altman (1925-2006), trois femmes (1977)
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Starfighter / Alain Josseau
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JOSSEAU Alain
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Starfighter / Alain Josseau. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 2 : Les outils du visible. Les microscopes et leur imagerie : les filtres du réel et du visible, 9 décembre 2010. De la même manière que les objets nanométriques ont un rapport d’échelle avec notre monde appréhensible (1/1 000 000 000 ème de mètre), les outils de visualisation embarqués dans les opérations de combat ont un rapport de 1/10.000ème avec le mètre. L’appréhension des formes aux travers d’interfaces électroniques est sujette à caution et l’artiste prendra pour exemple l’événement surnommé "Collateral murder" survenu dans le quartier de Al Amin à Bagdad le 12 juillet 2007.> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (XXIe siècle), arts visuels et sciences, création (esthétique), imagerie scientifique (réception), nanosciences (influence)
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La photo contre l’image / Laurent Jenny
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 13-10-2014
/ Canal-u.fr
JENNY Laurent, COCHOY Nathalie
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La photo contre l’image / Laurent Jenny. Conférence organisée, dans le cadre du
séminaire Poéthiques "La vérité en images", par Nathalie Cochoy (axe "Poéthiques", laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) et par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire", Équipe Littérature et Herméneutique, PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès - campus Mirail, 13 octobre 2014.
Depuis son invention, en très peu de temps, la photographie a submergé le monde et forgé avec succès une nouvelle culture de l'image alors même que, paradoxalement, la photographie n'a cessé d'être contestée au motif qu'elle ne pouvait pas constituer de véritables images... S'adossant aux écrits critiques sur la photographie, Siegfried Kracauer, Charles Baudelaire, Clément Greenberg qui écrivit sur Walker Evans (Allie Mae Burroughs, 1936) et Edward Weston (Artichoke,
1930), Laurent Jenny questionne notre rapport aux images et l'essence de la photographie en convoquant la peinture, Eugène Delacroix (La
mort de Sardanapale, 1827) et Paul Delaroche (L'Hémicycle des Beaux-arts, 1841), la littérature et la philosophie, notamment Proust, Guibert et Georges Didi-Huberman à propos de sa lecture phénoménologique de quatre photos d'Auschwitz en août 1944.
Il illustre ses propos d'images de Gustave Le Gray (La grande vague, Navires au port de Sète, 1857), Eugène Adolphe Disdéri (portraits-cartes de visites), de daguerréotypes de nus, William Klein (Moscou 1er mai 1959), André Kertész (The Blind violonist, Ebony, 1921), Duane Michals (Andy Warhol, 1958), le portrait de la mère de Marcel Proust et la photographie de la mère de Roland Barthes...
* Illustration : photographie de Jean Kempf, The Ogdon Museum of Southern Art, La Nouvelle Orléans, 2010. Mot(s) clés libre(s) : réalité (dans l'art), esthétique (philosophie), critique photographique, esthétique de la réception (photographie), image (philosophie), photographie (19e-20e siècles)
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037 - Débat
/ ENS-LSH/SCAM
/ 24-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
HANNA Christophe
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Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine Résumé A propos des écritures contemporaines (disons des années 90-2000) on a pu parler de désimplication, dépolitisation, désengagement, c’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui que j’allais réfléchir sur différents modèles possibles de l’action par l’écriture et l’écrit et m’attarder en particulier sur quelques nouveaux modèles qui me plaisent dans leur version actuellement reconstruite comme ceux d’action directe, de tactique critique, de ré-instrumentations documentales. Je vais m’efforcer de dessiner la figure du sujet producteur littéraire qu’elles supposent et si j’ai le temps je parlerai aussi des ajustements méthodologiques et théorétiques qu’elle implique. Je ne ferai pas vraiment d’histoire des idées.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : art, art d'écrire, art politique, cartographie, création (esthétique), description, documents, écriture, france (1968), littérature française, mai 68, militantisme
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