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6. Philosophie et développement durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 21-04-2015
/ Canal-u.fr
DICKS Henry
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Dans cette vidéo, Henry Dicks présente les trois champs majeurs de la philosophie environnementale, à savoir l'éthique environnementale, la métaphysique environnementale et l'esthétique environnementale. Il conclut par une discussion sur la philosophie même d'un développement durable. Mot(s) clés libre(s) : environnement, éthique, esthétique, développement durable, métaphysique, philosophie
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Formes contemporaines et environnement
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 01-10-2015
/ Canal-u.fr
DEPEAU Sandrine, CHELKOFF Gregoire, NAGELEISEN Sébastien, LIEGEY Edith
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Présentation par Sandrine Depeau - psychologue CNRS ESO
Edith Liégey - chercheur, sciences de l’écologie et de l’art contemporain - Muséum National d'Histoire Naturelle (France): Nuages et écomorphisme dans l'art contemporain, objets-symboles d’alerte écologique
Xavier Amelot, Aurélie Bousquet, Sébastien Nageleisen, Matthieu Noucher, Laurent
Couderchet, MartinBlazek, ClaureGruhier, JuliePerson, géographes, ADESS, Université Bordeaux Montaigne (France) : Pour une cartographie plurielle des continuités écologiques
Grégoire Chelkoff - architecte ENSA Grenoble/CRESSON (France) : Formation d’ambiance et enjeux écologiques - les jardins familiaux peuvent-ils suivre la voie ? Mot(s) clés libre(s) : environnement, écologie, esthétique, critiques, théorie
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L'invention de la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon1, 2/2)
/ Gilles DELAVAUD
/ 19-12-1994
/ Canal-U - OAI Archive
DELAVAUD Gilles
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Robert Flaherty et l'invention de la mise en scène documentaire"Documentaire"L'adjectif qualificatif est attesté dès 1876 (Dictionnaire Robert). Appliqué au film , il apparaît en 1896. Le mot, en langue française, devient substantif en 1915. L'abréviation "docu" est attestée en 1967, mais on peut supposer qu'elle existait bien auparavant dans le langage parlé. Le familier (et péjoratif) "docucu" est encore plus récent.En langue anglaise, "documentary" apparaît en 1926, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson sur Moana de Flaherty : "Moana, being a visual account of events in daily life of polynesian youth and family, has documentary value." D'après Paul Rotha, le mot est emprunté au français, et sert alors à qualifier "des films de voyage et d'expédition qui ne seraient pas d'ennuyeux comptes rendus de voyage".Sans doute cet article de Grierson a-t-il contribué à donner à Robert Flaherty la figure mythique de "père du documentaire".Historiquement, cette statufication est sujette à examen: dès 1895, des films pourraient être qualifiés de documentaires. Le débat historique et théorique sur la question risque d'être infini et inextricable, sauf à se tenir aux observations suivantes: Comme pour la littérature, on devra dater l'apparition d'un genre cinématographique au moment où il est reconnu et identifié. Les films qui précèdent cette date seront à voir comme des promesses, des prémices, des frayages que seule une conception téléologique de l'histoire de l'art permettrait d'annexer a posteriori au genre , et qu'on valorise alors arbitrairement sous la rubrique des origines. Il n'y aurait pas une origine, mais des commencements. Il est donc vain de chercher à tout prix un "premier documentaire de l'histoire du cinéma français". Le genre naît progressivement, et apparaît entre 1915 (France) et 1926 (Grande - Bretagne)."Documentaire", comme tous les mots de la langue, a subi des glissements de sens, au point qu'un spectateur d'aujourd'hui a une certaine difficulté à accepter comme tels, par exemple, L'homme d'Aran ou Louisiana Story; pour un oeil contemporain, la direction d'acteurs non-professionnels, le procédé du slight narrative (expression de Paul Rotha), rangeraient plutôt ces films du côté de la fiction. Il faut donc admettre que des films classés comme documentaires peuvent maintenant ne plus être perçus selon les mêmes catégories, et que ce changement fait partie de l'histoire du genre. "Documentaire": film didactique montrant des faits réels et non imaginaires" (Robert)La veine didactique du documentaire est inscrite dans son nom même, étymologiquement dérivé du latin docere : enseigner, instruire, montrer, faire voir. Un documentum est un exemple, un modèle, une leçon, un enseignement, une démonstration. ici encore, le glissement historique des mots est à prendre en compte. Actuellement, on en vient à considérer que la transmission des connaissances, dans un documentaire, est peut être un effet secondaire, et pas forcément indispensable, l'essentiel étant alors la donation d'un point de vue à propos d'une réalité. Notes extraites d'un article de Pierre Baudry : Quelques notions de base pour réflechir sur le documentaire, in La mise en scène documentaire, textes réunis par Gilles Delavaud, TOTEM Productions, 1994. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, documentaire, esthétique, Flaherty, histoire du cinéma, invention du documentaire, mise en scène
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Qu'est-ce que le style
/ Mission 2000 en France
/ 30-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DARRIEUSSECQ Marie
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Style : " manière d'écrire ". C'est la définition que l'on trouve que l'on trouve dans la plupart des dictionnaires. " Style " est un mot fourre-tout qui semble désigner ce qu'on ne sait pas nommer dans l'écriture. Tenu à distance par la critique universitaire contemporaine, souvent utilisé par la critique journalistique à défaut d'un mot plus juste, " style " embarrasse plus qu'il n'éclaire. Occupons nous de son cas. Mot(s) clés libre(s) : esthétique, philosophie, style
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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
COIGNARD Anne
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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le
laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. Dans le prolongement des travaux sur la lecture subjective menés autour du "Texte du lecteur" et du séminaire "Réception des oeuvres et créativité des lecteurs-auditeurs-spectateurs", les différents intervenants de la seconde saison ont interrogé, sans souci d'inventaire, les autres du
lecteur. Par ce vocable, dont l'emploi peut sembler énigmatique, nous
entendons, entre autres, les souvenirs enfouis issus de l'histoire
personnelle du lecteur, les scénarios fantasmatiques tissés par son
inconscient et activés par les oeuvres de fiction, le bruissement des
diverses communautés interprétatives auxquelles il participe, le frayage
des langages et des langages qui médiatisent son apport aux autres et
au monde. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), réception des oeuvres, lecture (appréciation), esthétique de la réception, philosophie et littérature, Marcel Proust (1871-1922), herméneutique littéraire
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L'architecture, entre image et usage
/ Mission 2000 en France
/ 24-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Jean-Louis
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Art spatial, l'architecture forme le cadre de la vie quotidienne. La tension entre le jeu sur les formes et l'attention aux attentes des habitants traverse toute la production du XXe siècle. Support d'identité pour les citoyens, l'architecture suscite des expérimentations techniques et plastiques laissant entrevoir l'avenir des villes. Discipline d'observation autant que d'action, elle constitue des savoirs sur les transformations concrètes des territoires. La nostalgie historiciste du postmodernisme a désormais laissé la place à un jeu plus complexe et parfois opaque entre les courants et les démarches de projet. Dresser une cartographie des principales orientations coexistant dans le monde permettra de comprendre les clivages irrémédiables et les convergences implicites entre architectes, à un moment où les scènes nationales semblent perdre une partie de leur spécificité. Mot(s) clés libre(s) : architecture, architecture et paysage, art spatial, esthétique, le corbusier (1887-1965), projets d'architecture, urbanisme
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Du roman comme laboratoire d'une conscience critique du langage / Jérôme Cabot
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CABOT Jérôme
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Du roman comme laboratoire d'une conscience critique du langage. Jérôme CABOT. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème III : L'utilité de la littérature, passé modélisé et fonctions des modèles, 27 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : esthétique de la réception, littérature (étude et enseignement), littérature (histoire et critique), oeuvre littéraire (roman)
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Le sens de l'art
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 20-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BUREN Daniel
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Artiste à l’origine de nombreuses polémiques notamment concernant la réalisation des « Colonnes de Buren » au Palais Royal de Paris, Daniel Buren nous livre lors de cette conférence son sens de l’art. Il décrit, décrypte certaines de ses réalisations, reflets de ses convictions artistiques. Mot(s) clés libre(s) : art (1945-….), art (thèmes et motifs), art conceptuel, art éphémère, art in situ, daniel buren (1938-….), esthétique, mouvements artistiques, philosophie de l'art, scandales artistiques
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La parole poétique
/ Mission 2000 en France
/ 17-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BONNEFOY Yves
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Une réflexion sur la poésie, ce quelle est, ce qu'elle devrait être. Existe-t-il une unité de l'objet de cette réflexion, unité qu'il est nécessaire de rappeler, d'indiquer ? Il est certain que sous ce nom de « poésie » se présente, à nous qui les reconnaissons sans hésiter, des oeuvres ou des actions d'apparences souvent diverses ou contradictoires. Quelle ressemblance y a-t-il entre un poème de François Villon, où un coup de dé n'a jamais aboli le hasard, entre la majesté sereine du texte de l'Odyssée ou les cris d'Antonin Artaud. Beaucoup de façons donc d'être poète, beaucoup de pensées qui ne se raccordent pas. Si cela avait été Rimbaud qui se fut donné la tache devant ses contemporains de définir la poésie, il aurait pris appuie sur la révolte, sur la dénonciation des hypocrisies et des démissions de la société, il aurait défini le poème comme une transgression des valeurs et des habitudes qui emprisonnent et appauvrissent la vie des individus. Si cela avait été Mallarmé, qui forma ce même projet, et il s'y livra d'ailleurs, il aurait au contraire porté ses yeux aussi loin que possible de la personne particulière. Les formes de la poésie diffèrent vraiment à l'extrême à première vue, mais constater cela ce n'est nullement cautionner l'idée d'une pluralité de l'intuition poétique. Le langage est un monde presque infini, il passe par nombre de voix. La pensée et le sentiment peuvent cheminer vers un même centre. Il ne faut pas oublier non plus les circonstances historiques qui imposent aux poètes des priorités bien vite changeantes dans l'appréhension des urgences et l'interprétation de la société. Toutefois, il existe au sein de notre parole une expérience fondamentale enracinée si profond sous l'emploi des mots qu'elle peut assurer une spécificité authentiquement commune aux manifestations de la poésie. Mot(s) clés libre(s) : langage poétique, poésie (esthétique), poésie (histoire), poétique
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Styles vingtième siècle : la chair de la mode
/ Mission 2000 en France
/ 10-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BENAIM Laurence
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La mode s'accompagne de soubresauts saisonniers qui marquent l'époque de façon éphémère, vivent et meurent comme des cellules, elle est aussi une forme d'ascèse, et cache derrière ses frivoles apparences, des obsessions, liées au corps, à la peau, à la "ligne", à une forme d'élévation et de dignité de soi. L'accélération des rythmes, la multiplication des collections fait aujourd'hui partie intégrante d'un système de valeurs périssables. L'été 2001, le premier du troisième millénaire s'est révélé à Paris, lors des dernières collections sous le signe de la déchirure, de la lacération et du fétichisme. Les grands créateurs du vingtième siècle ont prouvé que la mode était non pas une affaire de saison, mais de regard : de Chanel à Yves Saint Laurent, nous tenterons de montrer combien la mode, tout en s'identifiant à des décennies précises, les dépasse, dans une quête d'absolu et de vérité qui rend à la beauté sa part de tragique. Ces obsessions appartiennent-elles au monde d'hier, où peuvent elles survivre à un art de vivre qui érige l'instant en valeur sacrée, et la déchirure en signe "créatif"? Au coeur de cette question, demeure le "corps", véritable caméléon qui n'a cessé de provoquer des révolutions culturelles et technologiques, au nom de la libération, de la protection, et du confort. Mot(s) clés libre(s) : chirurgie esthétique, culte du corps, haute couture, mode
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