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Chronique aka 1988, Gouga: Le bébé malade et le chevrotain aquatique
/ 23-09-1998
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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A Gouga, dans une petite bananeraie pygmée en République centrafricaine, les activités quotidiennes et les chants qui accompagnent les sons émis par une harpe sont interrompus par les pleurs d'une petite fille saisie d'une crise de convulsions hyperthermiques. La maladie de l'enfant est attribuée à une rupture d'interdit alimentaire, kila, par la mère. La fillette est soignée en urgence par les femmes du campement qui insufflent la poudre d'os d'un gibier carbonisé dans ses narines et l'en frictionnent.
Un chevrotain aquatique est préparé pour le repas. La consommation de cet animal risquant de provoquer une maladie d'interdit alimentaire kila, on lui coupe la queue, afin de la conserver pour préparer éventuellement un remède. Ce chevrotain ci va être mangé par les hommes uniquement. Mot(s) clés libre(s) : afrique, gibier, nganga, mère/enfant, convulsion, thérapie, interdit alimentaire, aïeule, os, chevrotain aquatique, kila, aka, pygmée, remède, musique, alimentation, maladie, diagnostic, vidéo, ethnomédecine, film ethnographique, République Centrafricaine, petite enfance, guérissage, Gouga
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Mumbwiri, rite thérapeutique : initiation d’une femme et d’un enfant nzebi
/ 21-05-1995
/ Canal-u.fr
DUPUIS Annie
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Deux malades sont traités au cours de ce rituel, la jeune femme pour devenir féconde, l’enfant pour guérir d’une grave et ancienne toux à laquelle aucun traitement n’a pu remédier. Le rituel requiert la possession par les génies et la prise du bois sacré l’« iboga », qui doivent conduire à la guérison.
Le rituel se déroule sur deux jours et deux nuits au village et en forêt.
Le film commence avec la présentation de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie. Les génies sont appelés à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique (harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses. . Les membres de la société encadrent la postulante.
Des soins sont donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société : aspersions au moyen de plantes médicinales et massages. Les génies apportent leur « bénédiction » à la malade.
En forêt près de la rivière, un espace est débroussé. Les malades sont maquillés, ils absorbent l’iboga sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la transe par les sifflets. Ils reçoivent dans les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision. Ils sont invités à voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal.
La cérémonie se poursuit le lendemain matin au village.
Le soir et la nuit suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture dans le miroir. Des offrandes sont offertes.
Je remercie les participants du village de Lébamba, de m’avoir invitée à ce rituel et permis de le filmer.
Merci également à mon amie Madeleine Koundi qui m’a beaucoup appris.
montage : Mireille Gruska, Annie Marx, Annie Dupuis
Chapitres
01 - 1er jour au village, danses de possession au petit matin après la première nuit
Au village, présentation
de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie. Les génies sont appelés
à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique
(harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses.
.Les membres de la société
encadrent la postulante.
02 - 2ème jour au village, soins, aspersions, onctions et massages
Des soins sont
donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société :
aspersions au moyen de plantes médicinales et massages. Les génies apportent leur « bénédiction »
à la malade.
03 - 2ème jour en forêt,
Aménagement de l'espace, maquillage et mise en condition des nouveaux initié. En forêt près de
la rivière, un espace est débroussé.
Les malades sont
maquillés, ils absorbent l’iboga
sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la
transe par les sifflets.
Ils reçoivent dans
les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision.
Ils sont invités à
voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal.
04 - 2ème jour en forêt. Appel à la transe. Possession des initiés
Instillation dans les yeux et onctions sur le corps de sève médicinale.
Appel des esprits par les sifflets, les instruments de musique, les chants.
Prises répétitives d’iboga (décoction et râpures).
Le lendemain matin,
la cérémonie se poursuit au village.
05 - 2ème jour en forêt . Possession des nouveaux initiés
06 - 2ème jour en forêt .Possession d’une initiée soignante
07 - 2ème jour au village, soirée
divination par lecture dans le miroir
08 2ème Nuit : divination, offrandes
Le soir et la nuit
suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une
séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture
dans le miroir. Des offrandes sont offertes. Mot(s) clés libre(s) : afrique, corne, possession, offrande, tambour, Tabernanthe iboga, rituel thérapeutique, harpe, états modifiés de conscience, nzebi, percussion, initiation, bois sacré, aspersion, onction, sève médicinale, Lebamba, guérissage, guérisseur, transe, danse, musique, miroir, stérilité, maladie, plante médicinale, enfant, femme, vidéo, massage, maquillage, cérémonie, génie, chant, film ethnographique, divination, Sud Gabon
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Rituel funéraire d’une femme Brâhmane sur les rives de la Narmada, Omkareshwar, Madhya Pradesh, Inde, Janvier 2005
/ 23-11-2009
/ Canal-u.fr
CREMIN Emilie
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Le rituel funéraire hindou présenté dans cette séquence est réalisé sur les berges de la Narmada (ghâts) dans le site sacré d’Omkareshwar, 200 mètres en aval d’un grand barrage en cours de construction.
La femme défunte est issue de la caste des brâhmanes de la localité. Son fils aîné organise le rituel funéraire et la crémation avec l’assistance d’autres brâhmanes, entouré des proches venus du village de la défunte et de passants se promenant sur les rives du fleuve. Les femmes de l’entourage de la défunte ne sont pas présentes. Le fils ainé a d’abord commencé par raser ses cheveux en laissant une mèche et s’est vêtu d’un dothi blanc puis il purifie son corps en prenant un bain dans les flots du fleuve sacré.
Les brâhmanes et les membres de la famille organisent le bûcher. Ils agencent d’abord la structure de base composée de bûches de bois précieux et ajoutent du petit bois sec. Ils purifient le corps de la défunte dans l’eau du fleuve, transportent le corps entouré d’un sari rose sur un brancard de bambou et déposent son corps sur le bûcher en posant des galettes de bouse de vache (bousas) sous sa tête. Ils enduisent son corps de beurre clarifié (ghee) et déposent des copeaux de bois de santal sur son visage. Puis ils empilent des galettes de bouses de vache sur le corps de la défunte, ajoutent des broussailles et mettent le feu.
Les officiants réalisent des circumambulations autour du bûcher en récitant des mantras (vers sacrés). Enfin ils s’éloignent progressivement.
Le bûcher se consume et quelques heures plus tard, les employés des ghâts éteignent le feu à l’aide des branches de bambou utilisées pour le brancard et confient les derniers fragments d’os aux eaux célestes du fleuve Narmada.
Cette séquence a été réalisée avec l’accord de la famille pratiquant le rituel, dans le cadre d’une enquête de terrain sur la coexistence de l’espace sacré de la ville sainte d’Omkareshwar avec un grand barrage. Mot(s) clés libre(s) : feu, fleuve Narmada, Omkareshwar, Brâhmane, crémation, mort, eau, rite, bûcher, hindou, fleuve, rituel funéraire, film ethnographique, Inde, vidéo, purification, Asie, Madhya Pradesh
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“Les âmes sont venues manger des douceurs", Soukhwan pour Khamman
/ 15-04-2001
/ Canal-u.fr
COLLOMB Natacha
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"Les âmes sont venues manger des douceurs", Soukhwan pour Khamman, Oudomxay (Laos), Avril 2001. L'action se situe dans un village pluri-éthnique à la périphérie de Muang Xay, capitale de la province d'Oudomxay, Nord-Laos. Un couple lao-taï dam organise un rituel de "rappel des âmes" (principes vitaux multiples et volatiles) pour sa fille unique, Khamman, âgée de quatre ans. L'enfant a en effet été renversée par une mobylette conduite par une jeune fille hmong quelques jours plus tôt. Bien qu'elle ne présente aucune blessure apparente, ses parents craignent que son intégrité corporelle n'ait été entammée.Générique :
Nous nous trouvons dans un village de l’agglomération d’Oudomxay, une province du Nord-Laos.
Khamman, quatre ans est la fille d’un Taï Dam (groupe taï-kadaï, bouddhiste, majoritaire au Laos).
Alors qu’elle jouait sur la route, non loin de chez elle, la fillette a été renversée par une mobylette conduite par une jeune fille hmong (groupe mea-yao).
Bien que Khamman n’ait pas paru blessée, ses parents, inquiets, font appel à un spécialiste pour procéder à un soukhwan, rappel des âmes, qui doit restaurer l’intégrité corporelle de l’enfant.
Khamman dite Nang Noy (Mademoiselle Petite)
Mère de Khamman
Père de Khamman
Jeune fille hmong responsable de l’accident
Maître du rituel
Réalisation et montage
Natacha Collomb
SMM CNRS MNHN Mot(s) clés libre(s) : relations interethniques, RDP Lao, filet, capture d’âme, porte-bébé, composantes corporelles de la personne, ligature des poignets, banlieue de Muang Xay, Nord-Laos, prière, autel, guérissage, Asie, vidéo, accident, réparation, rituel, film ethnographique, toilette, petite enfance, Taï Dam
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Projet Jean Rouch ? J4.4 : Communications 2 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 19-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEYN Jean-Paul, TIRAGALLO Felice, CESARO Pascal, LINKE Irina, SHAKERIFAR Elhum, FAVRE-BULLE Laurence
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Jeudi 19 novembre : Cinéma direct et construction du réelCommunications (14h30-17h)Modérateur/discutant :Jean-Paul Colleyn (France), directeur d’études à l’EHESS, chargé de la division audiovisuelle de l’EHESS, anthropologue, cinéaste.Intervenants :Felice Tiragallo (Italie), enseignant chercheur, Université de Cagliari, anthropologueCadrer et filmer après RouchPascal Cesaro (France), ingénieur de recherche, secteur cinéma, Université de Provence, cinéasteDe le « mise en scène » à « la mise en jeu ». Jean Rouch, le cinéma direct et la spécificité du film documentaireIrina Linke (Allemagne), cinéaste, ethnologue, HambourgWhere are the Women on the Family Photographs in Sanaa, Yemen ? A Visual ExplorationElhum Shakerifar (Royaume-Uni, Iran), chercheuse associée, département d’anthropologie, Goldsmiths, University of London, directrice de Postcode Films, cinéaste, anthropologueNew Ethnographic Ventures : Portraying « the Other » and Explaining Self as OtherLaurence Favre-Bulle (Suisse), sociologue, cinéasteCinéma direct et visibilité en terrain sensible : significations de la non-image Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, cinéma direct, construction du réel, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 19-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEYN Jean-Paul, TIRAGALLO Felice, CESARO Pascal, LINKE Irina, SHAKERIFAR Elhum, FAVRE-BULLE Laurence
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, cinéma direct, construction du réel, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Master class de Jean-Paul Colleyn
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 08-11-2014
/ Canal-u.fr
COLLEYN Jean-Paul, JAMIN Jean
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La 33ème édition du festival international du film
ethnographique Jean Rouch, parrainé par le cinéaste, historien et
anthropologue Pascal Blanchard, aura lieu du 4 au 29 novembre 2014 à
Paris. La présence de ce spécialiste du colonialisme est la marque d’une
édition liant les questions d’actualité à l’histoire. Cette
manifestation est le rendez-vous annuel et unique dédié, d'une part aux
productions mondiales contemporaines du documentaire d'intérêt
anthropologique en présence de ses acteurs, d'autre part, au patrimoine
cinématographique.
Rencontre avec Jean-Paul Colleyn, directeur d’études à l’École des hautes études
en sciences sociales, cinéaste et anthropologue, animée par Jean Jamin,
directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales.
EHESS – École des hautes études en sciences sociales
Auditorium – 105, Boulevard Raspail, 75006 Paris Mot(s) clés libre(s) : documentaire, Jean Rouch, anthropologie visuelle, cinéma ethnographique
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Les fermiers du miel. Apicollecte et apiculture à Belitung, Indonésie.
/ 12-12-2011
/ Canal-u.fr
CÉSARD Nicolas
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Les Fermiers du miel. Apicollecte et apiculture à Belitung, Indonésie, décembre 2011Avec : Sahali, Zamin, Samsuri, Sar'iCaméra et réalisation : Nicolas Césard Montage : Alain Epelboin et Nicolas Césard Traduction : Pinas, Yanto, YuliRécolte des rayons de l'abeille géante asiatique (Apis dorsata) sur l'île de Belitung (Indonésie). Préparation des enfumoirs (chapitre 2 et chapitre 4), récolte d'un rayon sur arbre (chapitre 2) et récolte d'un rayon sur tronc à miel (chapitre 4), pressage des rayons pour en extraire le miel (chapitre 2 et chapitre 4), consommation des larves (chapitre 4).Sunggau : support artificiel (ici un tronc) sous lequel l'essaim va s'installer et construire son rayon.Sambit : arbre ou branche sous lequel l'essaim va s'installer et construire son rayon.Rendap : ouverture dans la végétation par laquelle les abeilles vont et viennent, située devant le sunggau.Rabas : végétation clairsemée (rendap rabas : ouverture clairsemée de la végétation).Pulas : arbre et fleurs du Syzygium palembanicum. Les arbres fleurissent massivement tous les trois quatre ans dans la région. Les abeilles en font un miel blanc. Gelam : arbre et fleurs du Melaleuca leucadendron. Les arbres fleurissent chaque année pendant plusieurs semaines. Mot(s) clés libre(s) : forêt, essaim, miel, arbre, tronc à miel, rendap, technique, Belitung, ethnozoologie, ethnoentomologie, entomophagie, apicollecte, apiculture, alimentation, vidéo, insecte, Indonésie, Asie du Sud-est, abeille, film ethnographique, larve, rayon, pressage, Apis dorsata
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Projet Jean Rouch ? J4.1:Introduction (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 19-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CAROU Alain, NINEY François
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Jeudi 19 novembre : CInéma direct et construction du réelOuverture (9h45) : Alain Carou, conservateur, département de l’audiovisuel, Bibliothèque nationale de France.Introduction (10h-10h15) : François Niney (France), philosophe, critique et documentariste, enseigne le cinéma à Paris III Sorbonne nouvelle et à la FEMIS. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, cinéma direct, construction du réel, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Projet Jean Rouch ? J1.4 : Communications 2 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BLOOM Peter J., BLANCHARD Pascal, COLLEYN Jean-Paul, PELLIGRA Daniel
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Lundi 16 novembre : Épreuve coloniale et ethnologie du contemporain Communications (14h30-16h30) Modérateur/discutant : Peter J. Bloom (USA), professeur associé, University of California Santa Barbara Intervenants : Pascal Blanchard (France), historien, groupe de recherche ACHAC Le cinéma : le mirage colonial sur grand écran Jean-Paul Colleyn (France), directeur d’études à l’EHESS, chargé de la division audiovisuelle de l’EHESS, anthropologue, cinéaste L’anthropologie et ses « exotes » Daniel Pelligra (France), enseignant Université Lumière Lyon 2, anthropologue, cinéaste Nous avons osé ! Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, cinéma colonial, colonialisme, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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