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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : Mbélé, la chasse aux oiseaux
/ 11-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Mbélé, la chasse aux oiseaux, Bakoya, Imbong, Gabon, 2006
"Mbélé" est le nom donné au latex extrait d'une liane. Les enfants le font chauffer et le mélangent avec de la cendre. La colle ainsi obtenue est mise sur des tiges qui seront fichées dans les rivières à faible débit, proche des endroits repérés comme étant ceux utilisés par les oiseaux pour se laver. Ces derniers, se posent sur les tiges et se retrouvent englués et pris au piège. Cette « chasse aux oiseaux » est uniquement pratiquée par les garçons.
En brousse, une fois l’emplacement choisi, ils installent un feu auprès duquel ils se réchauffent en attendant la fin de l’après-midi, moment où ils iront parcourir la rivière pour planter les bâtonnets de colle. Ils en profitent pour réchauffer le mbélé, raconter des histoires et chanter : « Damasambe apulimapúba » ce qui signifie : « Damasambe ne connaît pas trop se laver à l’eau, ou plonger dans l’eau ». Damasambe est le nom donné au martin-pêcheur (Alcedo leucogaster).
Ce jour là ils n’ont rien attrapé… Mot(s) clés libre(s) : afrique, Imbong, chasse, brousse, rivière, latex, liane, piège, colle, eau, pygmée, Bakoya, ethnobotanique, plante, feu, forêt, alimentation, vidéo, Gabon, cendre, oiseau, film ethnographique, Mbélé
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : jeu de cuisine de feuilles de manioc
/ 20-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Jeu de cuisine de feuilles de manioc, Bakoya, Imbong, Gabon, 2006avec Angélina, Célia, Vanessa, Madeleine, Adeline
Les petites filles bakoya aiment se réunir et jouer à la dînette. Elles cuisinent des feuilles de manioc pilées dans des boîtes de sardines, posées sur des petits feux de bois. Elles ajoutent ensuite du jus de noix de palme après les avoir pilées, comme le font leur mamans. Mot(s) clés libre(s) : afrique, Bakoya, pygmée, Imbong, fille, noix de palme, pilage, manioc, dînette, apprentissage, film ethnographique, Gabon, plante, feu, alimentation, cuisine, enfant, vidéo, imitation, jeu, mortier
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : cérémonie Ngoya (reconstitution)
/ 18-04-2006
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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Chronique des Pygmées Bakoya 2006 : cérémonie Ngoya (reconstitution), Bakoya, Imbong, Gabon 2006Acteurs : Albertine Mabomadouendje, Adel MossoMisère MoitissangouPaulin Ngadiet les habitants d'ImbongRéalisation/caméra/sonBeatriz SoengasMontage:B. Soengas, Annie Marx & A. EpelboinCette cérémonie a été organisée à ma demande. Auparavant elle se déroulait la nuit, la veille du départ pour la chasse aux potamochères (ngoya). Les hommes munis de lances partaient en brousse pour plusieurs jours. Le troupeau, une fois repéré, était encerclé par les chasseurs. L'un d'entre eux rentrait dans le cercle pour faire fuir les potamochères tandis que les autres les piquaient avec leurs lances (les pointes étaient fabriquées par les Kwele, peuple bantou). Le produit de la chasse était partagé.
Lors de la cérémonie les femmes dansaient aussi. Etait également présent le "maître de la chasse" qui prédisait, pour chacun des chasseurs, le nombre de prises qu'il allait tuer.
La chasse aux potamochères tomba en désuétude dans les années 1960 avant la chasse au filet, qui n'a plus lieu aujourd'hui également. Mot(s) clés libre(s) : afrique, potamochère, chasse, Imbong, pygmée, Bakoya, ethnomusicologie, film ethnographique, rituel, Gabon, tradition, chant, cérémonie, vidéo, musique, danse, coutume
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Les rondes de saint Antoine. Culte, affliction et possession à Puliyampatti (Inde du Sud)
/ 16-06-2004
/ Canal-u.fr
SEBASTIA Brigitte et Christian
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Les rondes de saint Antoine. Culte, affliction et possession à Puliyampatti (Inde du Sud)
auteurs/réalisateurs : Brigitte et Christian Sébastia
Lorsque les patients et leur famille arrivent à Puliyampatti, c’est souvent après un long parcours thérapeutique infructueux auprès des services de biomédecine, des sorciers, des prêtres devins. Les échecs thérapeutiques auxquels s’ajoutent les avis des devins, l’incompréhension des symptômes, le sentiment d’impuissance et le dépouillement financier sont autant de facteurs qui justifient le choix d’un séjour dans ce village dont le saint patron de son église est réputé pour annihiler les effets des maléfices et des esprits possédants. Comme dans de nombreuses sociétés singularisées par des cultes de possession et une forte croyance en la sorcellerie, les Tamouls considèrent que certaines maladies violentes, incurables, incompréhensibles peuvent être infligées par des divinités au tempérament ambivalent ou par des esprits malveillants manipulés par la sorcellerie ou agissant en réaction à des actes transgressifs. C’est notamment le cas des troubles mentaux et psychogènes singularisés par des comportements en inadéquation avec les règles de la vie sociale et familiale. Confrontée à l’émergence de tels troubles, la famille se doit de tout mettre en œuvre pour découvrir rapidement l’origine du mal de manière à rétablir l’ordre social et familial perturbé et à protéger la parentèle. Si l’absence d’amélioration des symptômes après les nombreuses tentatives thérapeutiques corrobore l’origine surnaturelle des troubles, une telle présomption demande à être confirmée de manière à conforter le bon choix du séjour au sanctuaire et à espérer une possible guérison. Cette confirmation est rendue possible par l’orchestration quotidienne de rituels d’exorcisme usant de sévices corporels et d’injonctions dont l’objectif est de conditionner le patient jusqu’à ce qu’il manifeste les signes de possession. Selon la nature des troubles, des patients finissent par répondre au désir de leurs proches en adoptant les gestuelles de possession calquées sur les prouesses des possédés qui les entourent. Dans tous les cas, il s’agit de personnes blessées et traumatisées par un environnement familial et/ou social violent et assujettissant. Et cette première expérience de la possession marque le commencement d’une longue série de manifestations de possession qui tendent à devenir de plus en plus fréquentes et violentes. Même si ces personnes se plaignent des douleurs engendrées par leurs gesticulations et les meurtrissures qu’elles s’infligent, elles considèrent que leurs possessions les soulagent. Le bienfait ainsi ressenti favorise leur adhésion à l’étiologie sorcière prédite par leurs proches.
Doctorat d’Anthropologie de l’EHESS Les rondes de saint Antoine
Cette recherche concerne l’étude d’un sanctuaire catholique fréquenté par des personnes affectées de troubles psychiques interprétés comme résultant d’un acte maléfique ou d’une intervention surnaturelle.
Les thèmes abordés sont:
- L’indigénisation des pratiques religieuses :
Cette étude, déjà au cœur des deux précédents travaux, est complétée par l’observation des pratiques et des rites spécifiques à cet endroit. La singularité des pratiques religieuses est due à la figure du saint qui siège dans ce sanctuaire. Saint Antoine détient la fonction de ‘divinité de famille et de caste’, de ‘divinité de village’ et aussi celles de thaumaturge et d’exorciste.
- Pluralisme médical et psychiatrie :
La médecine occidentale et le système asilaire ont été implantés en Inde par le biais de la colonisation. Leur recevabilité auprès des populations a été très mitigée du fait de craintes engendrées par des pratiques très différentes de celles utilisées par les médecines indiennes savantes et populaires. Malgré ce, le recours en première instance à la psychiatrie apparaît dans plus de la moitié des trajets thérapeutiques des patients rencontrés à Puliyampatti, la thérapie populaire ou religieuse n’étant choisie que par la suite. Quant aux médecines indiennes savantes, elles sont peu sollicitées pour soigner les troubles psychiques, alors même qu’elles possèdent une thérapeutique et une nosographie très élaborée en la matière.
- Les récits de vie et la genèse des troubles
Les récits de vie collectés auprès des patients à Puliyampatti éclairent sur les conceptions des troubles psychiques. Ils font généralement référence au contexte social et aux évènements au sein desquels les troubles sont apparus. Cela invite à s’intéresser aux obstacles auxquelles les individus, notamment les femmes, se sont confrontés durant leur vie sociale : difficulté à respecter les alliances préférentielles qui entraîne des ruptures familiales, violences conjugales physiques et morales, pressions pour obtenir une meilleure dot, une descendance mâle, etc.
- Rituels d’exorcisme et possession
L’observation des rapports entre les patients et leur famille durant les rituels d’exorcisme montre que les premiers signes de possession par des entités malveillantes ne sont pas spontanés mais induits par la pression et les sévices exercés sur les patients. Les patients répondent à cette incitation selon leur pathologie, les personnes déprimées, ayant vécu de nombreux traumatismes, étant plus disposées. Pour ces patients, les manifestations de possession deviennent un exutoire pour évacuer des tensions trop oppressantes, une protection pour échapper à la vie sociale génératrice des troubles, une mise en scène pour attirer les regards, un pouvoir pour inciter la crainte et le respect de l’entourage. Ainsi, définir les intérêts de la possession permet de reconnaître la singularité de la thérapie religieuse par rapport aux systèmes de soin disponibles en Inde.
Pour en savoir plus, consultez : Les rondes de saint Antoine. Culte, affliction et possession en Inde du Sud. Paris, Aux Lieux d’être, ‘Sous prétexte de médecines’.
http://amades.revues.org/396 Mot(s) clés libre(s) : religion, thérapie, divinité, Inde Sud, Puliyampatti, maléfice, Tamoul, sorcellerie, possession, rituel thérapeutique, culte, film ethnographique, maladie mentale, vidéo, Pey
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7 - ARTS ET CONNAISSANCE - Arts et savoirs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 20-06-2015
/ Canal-u.fr
SAPIRO Gisèle, JUDET DE LA COMBE Pierre, BENSA Alban
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Arts, littérature et sciences socialesColloque organisé à l’occasion du 40e anniversaire de l’EHESS7 - ARTS ET CONNAISSANCE- Arts et savoirs
Modération : Gisèle Sapiro
avec :
Pierre Judet de la Combe La forme comme savoir, sur Homère et la tragédie grecque
Alban Bensa En quoi l'écrivain peut-il être aussi ethnographe ?Antoine Lilti La littérature est-elle une science sociale ? Retour sur « Les savoirs de la
littérature » (2010)
Si les sciences humaines et sociales se sont constituées en s'arrachant à la littérature, celle-ci est devenue, tout comme l'art, la musique, le théâtre et le cinéma, à la fois une source et un objet à part entière de l'histoire, de la sociologie, de l'anthropologie, de la philosophie, du droit, voire de l'économie, qui dialoguent plus ou moins avec les disciplines spécialisées dans ces domaines, à savoir les études littéraires, l'histoire de l'art, la musicologie, les études théâtrales et cinématographiques. Mais l'apport des arts et de la littérature aux sciences humaines et sociales ne se limite pas à leur usage comme source ou leur constitution comme objet. Ils contribuent à structurer notre perception, nos catégorisations cognitives et nos valeurs, donc notre connaissance du monde et nos formes de vie. A l'inverse, les arts et la littérature n'ont cessé de se nourrir des sciences humaines et sociales. L'EHESS a joué et joue encore aujourd'hui un rôle pivot dans ce dialogue interdisciplinaire. Son anniversaire est l'occasion de dresser un état des lieux des acquis de ce dialogue.
OrganisateursEsteban Buch (musicologie, EHESS-CRAL)Dinah Ribard (histoire, EHESS-GRIHL)Karine Le Bail (histoire, EHESS-Centre Georg Simmel)Gisèle Sapiro (sociologie, EHESS-CESSP)Jean-Marie Schaeffer (études littéraires, esthétique, EHESS-CRAL)
Colloque co-organisé par le CESSP, le CRAL, le GRIHL et le Centre Georg Simmel Mot(s) clés libre(s) : fiction, narration, ethnographie, poésie grecque
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The Science of Snow, Nautijaur, Lapland , 12 November 2010
/ 12-11-2010
/ Canal-u.fr
ROTURIER Samuel
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Swedish version with english subtitles :
In
Sápmi, a vast region of northern Europe also referred to as Lapland, Sami
reindeer herders are experts about snow. To reach the ground lichen on which
they feed in winter, reindeer need to dig through a snowpack whose properties
constantly change throughout the winter period. For this reason, the Sami have
developed a ‘snow science’ that not only encompasses, as linguists have often
exclaimed, an exceptional diversity of terms to name and classify snow. They
have also cultivated an intimate understanding of physico-chemical processes
affecting the snowpack. In this film, a Sami herder digs a hole in the snow to
analyze and describe how thermal exchanges have transformed the properties of
the snow since the beginning of the season. He explains how an ice layer, which
formed over the ground surface, disappeared subsequent to a period of warming
to once more render the lichen accessible to grazing reindeer.
Swedish version with french subtitles :
Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010
http://www.canal-u.tv/video/smm/science_de_la_neige_nautijaur_laponie_suedoise_12_novembre_2010.21374
Version suédoise :
Snöns vetenskap, (version suédoise de "Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010")
http://www.canal-u.tv/video/smm/snons_vetenskap_version_suedoise_de_science_de_la_neige_nautijaur_laponie_suedoise_12_novembre_2010.21543 Mot(s) clés libre(s) : animal, Lapland, ethnographic film, Europe, Sami, breeding, ice, feeding, reindeer, pasture, indigenous and local knowledge, lichen, snow, ecology, climate change, video, film ethnographique, vidéo, Sweden
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Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010
/ 12-11-2010
/ Canal-u.fr
ROTURIER Samuel
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Version suèdoise, sous-titrée en français :
Dans le Sápmi, vaste région du nord de l’Europe encore appelée Laponie, les Samis
éleveurs de rennes sont des experts de la neige. Pour atteindre le lichen dont
ils se nourrissent, les rennes doivent creuser le manteau neigeux, dont les
propriétés n’ont cesse de se transformer tout au long de l’hiver. La science de
la neige samie ne se limite pas à l’immense diversité des mots qu’ils utilisent
pour nommer et classifier la neige qui a été soulignée maintes fois par les
linguistes, elle montre également une compréhension intime des processus
physico-chimiques qui sont à l’œuvre. Dans ce film un éleveur décrit les
échanges thermiques dans le manteau neigeux depuis le début de la saison. En
creusant un trou, il explique pourquoi la couche de glace formée sur le sol à
la suite d’un redoux a disparu, rendant à nouveau le lichen accessible pour les
rennes.
Version suédoise, sous titrée en anglais :
Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010
http://www.canal-u.tv/video/smm/the_science_of_snow_nautijaur_lapland_12_november_2010.21384
Version suédoise :
Snöns vetenskap, (version suédoise de "Science de la neige, Nautijaur, Laponie suédoise, 12 novembre 2010")
http://www.canal-u.tv/video/smm/snons_vetenskap_version_suedoise_de_science_de_la_neige_nautijaur_laponie_suedoise_12_novembre_2010.21543 Mot(s) clés libre(s) : glace, savoirs traditionnels écologiques, renne, lichen, processus physico-chimiques, échanges thermiques, Sami, Laponie, Suède, pâturage, film ethnographique, tradition, plante, neige, écologie, changement climatique, alimentation, animal, élevage, vidéo, Europe
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Kosai : massages traditionnels pour bébés
Tunisie - Inde
/ 06-03-2001
/ Canal-u.fr
Rahal Ahmed
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1 - massages traditionnels pour bébés, (2 mois) pratiqués dans un orphelinat à Nabeul en Tunisie (15 mn)
2 - massages traditionels pour bébés, (4 mois), pratiqués par une soignante traditionelle sur la place publique dans la ville de Varanassi en Inde (3 mn) Mot(s) clés libre(s) : Tunisie, Varanasi, Nabeul, orphelinat, massage traditionnel, évier, bassine, petite enfance, toilette, film ethnographique, puéricultrice, tradition, vidéo, Inde du Nord
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Les rites de l’enfance à La Réunion : Sévé mayé
/ 20-09-1997
/ Canal-u.fr
POURCHEZ Laurence
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La cérémonie dite des "cheveux maillés", présente à l’île de La Réunion dans la majeure partie de la population, permet d’observer comment, au travers des différentes versions d’un rite de la petite enfance, les réunionnais affirment, par la recherche puis le refus d’une mémoire ancestrale, une nouvelle identité créole. Cette pratique rituelle apparaît comme le support d’une gestion de l’ethnicité particulière qui tient compte des diverses origines des habitants de l’île par la manifestation possible d’ancêtres issus des différents groupes en présence. Mais au delà de ce "marquage ancestral ", la pluralité des communautés concernées exprime la mixité, l’interpénétration des différents groupes, et révèle un processus de créolisation qui reconnaît les données issues des différentes origines ethniques des réunionnais, les intègre et les "mixe" selon un modèle nouveau, original et syncrétique. Mot(s) clés libre(s) : danse, Sévé Mayé, rasage, deviner, malbar, baptème, vierge noire, mixité ethnique, ancêtre, chant, cheveux maillés, rituel thérapeutique, musique, maladie, religion, vidéo, Réunion, syncrétisme, film ethnographique, petite enfance, devin guérisseur, Sainte-Marie
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Le feu et le gras : utilisation du feu et du beurre de cacao dans les techniques du corps et de la petite enfance à la Réunion
/ 14-04-1999
/ Canal-u.fr
POURCHEZ Laurence
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Les utilisations du feu et du gras dans les soins du corps qui suivent la toilette de l’enfant, façonnage du visage et massage du corps. Mot(s) clés libre(s) : afrique, beurre de cacao, Créole, Sainte-Marie, façonnage, gras, La réunion, petite enfance, toilette, film ethnographique, massage, visage, vidéo, feu, soin
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