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Les limites de l'expérience du vivant : l'enfant, son cancer, ses parents, ses soignants
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
OPPENHEIM Daniel
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Les limites du vivant / sous présidence de Gabriel GachelinLe cancer confronte l’enfant à des traitements éprouvants, qui peuvent le faire approcher des limites du supportable, et de l'idée de sa possible mort. Ces situations suscitent chez l’enfant, chez ses parents ainsi que chez ses soignants des interrogations existentielles majeures dont la prise en compte est nécessaire pour que ces différents acteurs ne se trouvent pas complètement déstabilisés. L’enfant s’interroge en particulier sur le rapport à son corps, sur sa famille, sur sa place sociale et sur la mort. Afin de mieux comprendre la psychopathologie des enfants, des parents et des soignants, il serait souhaitable de développer une structure qui mette en commun différentes spécialités pour qu'elles travaillent ensemble.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Cancer -- Aspect psychologique, Cancer -- Douleur, Cancer chez l'enfant, Douleur néoplasique, Enfants cancéreux -- Famille, Enfants cancéreux -- Psychologie, Mort, Théories du vivant
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La biodiversité à Paris
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MORET Jacques
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Les scientifiques distinguent trois niveaux d'organisation de la biodiversité : la biodiversité au niveau des écosystèmes (les grands systèmes de fonctionnement de la planète, comme l'écosystème forêt tropicale, ou l'écosystème Camargue, par exemple), la biodiversité au niveau des espèces (l'ensemble des espèces animales, végétales, microbiennes qui peuplent un écosystème) et, enfin, la biodiversité au niveau génétique (qui exprime les différences génétiques entre les individus d'une même espèce). En général quand on parle de biodiversité, c'est souvent en référence aux milieux dits « naturels » et peu perturbés par l'homme. Qui n'a pas entendu parler de l'extraordinaire richesse en biodiversité des forêts tropicales ou de la « crise de la biodiversité » que traverse aujourd'hui le monde, du fait de la déforestation, de la disparition des milieux naturels ou des pollutions ? Pourtant la biodiversité est aussi présente dans des espaces très peu naturels où l'action de l'homme est prépondérante, comme les villes. On retrouve en ville, et à Paris, les trois niveaux d'organisation de la biodiversité : - le niveau de l'écosystème. Les villes sont peu à peu devenues des objets d'études pour les scientifiques pour essayer d'appréhender comment les espèces animales, végétales et microbiennes s'organisent pour constituer un véritable écosystème urbain, en réaction, en accompagnement, ou à la faveur de la présence de l'homme et au modelage du paysage qu'il réalise ; - le niveau des espèces. Un autre objet d'étude, en milieu urbain, consiste à recenser la flore et la faune qui peuplent les villes, à analyser leurs fonctionnements, leurs migrations et leurs adaptations à l'écosystème urbain ; - le niveau infra-spécifique. Dans des espaces aussi confinés que les villes, les populations des espèces sont souvent très diversifiées. Etudier les différences génétiques entre individus des différentes espèces, c'est étudier le troisième niveau de la biodiversité. Paris n'est bien entendu pas un milieu purement minéral qui n'héberge que des hommes ! C'est un véritable écosystème avec un fonctionnement complexe, sa flore et sa faune, ses flux entrant et sortant, son évolution au cours du temps. Le niveau de la biodiversité sur lequel on possède le plus d'informations est celui de la diversité spécifique. Quelle biodiversité à Paris aujourd'hui ? Difficile de répondre à cette question, d'une part car certains groupes animaux (comme les invertébrés) ou végétaux (comme les algues) sont mal connus, mais aussi car chaque jour des espèces arrivent ou disparaissent de Paris ! Pour évoquer des groupes sur lesquels on possède des informations fiables, on peut donner les chiffres suivants : - 1382 plantes supérieures (ce qui est à rapprocher des 1800 espèces présentes en Ile-de-France, ou des 6000 espèces de la flore française), - 28 espèces de poissons dans la Seine, - 9 espèces d'amphibiens et 3 de reptiles, - 90 espèces d'oiseaux (dont 49 espèces nicheuses), - 25 espèces de mammifères ; On constate que Paris est loin d'être un désert pour les plantes et les animaux ! Comment est organisée la biodiversité à Paris ? Bien entendu les milieux dits « naturels » n'existent plus à Paris. Même les bois de Boulogne et de Vincennes sont très anthropisés. Les espèces ont donc principalement tendance à se répartir dans les milieux les moins perturbés et il n'étonnera personne de savoir que la biodiversité augmente quand on s'éloigne du centre. Ainsi, pour les plantes, les arrondissements les plus pauvres en espèces sont le 2ème et le 9ème arrondissement. Les 7 arrondissements les plus riches en plantes sont tous situés sur la périphérie. Les bois comportent plus de 300 espèces de plantes, soit plus que beaucoup des communes de banlieue ! Une autre tendance consiste pour la faune et la flore à coloniser des milieux propres aux villes et qui offrent des conditions de vie locales différentes des conditions générales ambiantes. Ainsi, le grillon domestique, qui s'accommodait par le passé du four du boulanger, a rejoint le métro. Le renard aussi a su tirer parti du réseau souterrain métropolitain pour se maintenir en ville. L'humidité et la chaleur dispensées par nos appareils managers ont générés des conditions de vie idéales pour la blatte germanique qui s'y installe. La biodiversité n'est donc pas distribuée au hasard à Paris, elle est organisée en un véritable écosystème urbain. Quelles tendances pour l'évolution de la biodiversité à Paris ? Sur le plan historique nous avons la chance de disposer d'informations relativement précises depuis le 17ème siècle qui permettent de reconstituer l'évolution de la biodiversité à Paris. Les publications anciennes, mais aussi les collections principalement conservées au Muséum national d'Histoire naturelle, nous renseignent bien. Pour la flore, nous disposons pour le 17ème siècle de descriptions très précises, comme dans les ouvrages de CORNUT (1635) ou de TOURNEFORT (1698) qui dressent de véritables « états des lieux » de référence pour apprécier l'évolution de la biodiversité. La description de la flore du secteur « à côté du Cours la Reine, dans le Bois qu'on appelle les Champs Elysées » est d'une rare précision. Mais l'apogée des observations se situe vers le milieu du 19ème siècle, où la ville n'a pas encore le visage moderne que lui donneront les transformations du baron HAUSSMANN. Paris dispose, avec ces observations, de photographies de sa biodiversité au cours des temps. En fait, deux tendances contradictoires s'affrontent au niveau l'évolution de la biodiversité à Paris. La première est bien entendu la disparition des espèces les plus fragiles, celles qui nécessitent des conditions de vie très particulières ou de grands espaces. Les plantes des milieux humides du « bois dit des Champs Elysées » n'existent plus et Paris n'héberge plus que 50% de la faune des grands mammifères, 50% de la faune des amphibiens ou 20% de la faune des reptiles qui étaient présentes au 18ème siècle. Le dernier chevreuil a été observé au bois de Boulogne en 1935. Le blaireau vivait au niveau de l'actuel jardin des Tuileries au 12e siècle, il a disparu du bois de Boulogne dans les années 40-50. Pour la salamandre tachetée et lézard vert, les disparitions datent de la première moitié du 20eme siècle
Et la disparition de ces espèces semble difficile à enrayer. Dernière en date, une espèce de fougère observée aux arènes de Lutèce et disparue en 2000. C'était la seule station connue de cette espèce pour toute l'Ile-de-France ! Mais une deuxième tendance, plus surprenante, s'observe en parallèle : c'est l'arrivée à Paris, puis la dissémination en Ile-de-France, puis souvent dans toute la France d'espèces « exotiques » ! De nombreuses espèces sont arrivées de tous temps en France par Paris, que ce soient par exemple les espèces de plantes amenés dans les fourrages des armées d'occupation après la guerre de 1870, ou plus récemment la Renouée du japon ou de la Vergerette de Sumatra. Les termites sont arrivées à Paris en gare d'Austerlitz dans des pins des Landes, avant de coloniser toute l'Ile-de-France. Sans compter avec toutes les espèces dites « de compagnie » qui constituent l'univers quotidien de nombreux parisiens et qui sont parfois relâchées dans le milieu urbain quand elles deviennent trop encombrantes. On ne compte plus, par exemple, les tortues de Florides dans les points d'eau parisiens ! Fennec, genette, écureuil de Corée ou encore maki ont été observés plus ou moins longuement dans Paris. « Paris terre d'asile », également pour la biodiversité ! Quel bilan ? Le bilan est mitigé. Le nombre global d'espèces présentes à Paris n'a pas tendance à trop diminuer. Par contre, si on analyse en détail la composition de la biodiversité de Paris aujourd'hui par rapport à ce qu'elle était il y a un siècle, on constate que ce ne sont pas les mêmes espèces : bon nombre d'espèces indigènes n'existent plus, remplacées par des espèces exotiques. Ceci pose d'ailleurs quelques problèmes : l'analyse des situations d'introduction d'espèces au cours des siècles a montré que peu d'entre-elles arrivent à se stabiliser à long terme dans le milieu, mais, a contrario, certaines espèces en se naturalisant deviennent parfois « envahissantes », perturbant fortement les écosystèmes autochtones. Parallèlement à cette tendance, les efforts entrepris pour améliorer la qualité de certains milieux (comme par exemple les eaux de la Seine) depuis quelques années, ceux destinés à protéger activement certains biotopes favorables (comme les aires de nidification de certains rapaces), ou ceux mis en oeuvre pour réduire l'apport des désherbants dans les parcs et jardins, conduisent à une recolonisation de Paris par des espèces qui l'avaient déserté dans les années soixante. Ainsi, une trentaines d'espèces de poissons s'observent dans la Seine, la fouine et le renard sont de retour dans Paris intra-muros, les pigeons ramiers et les mouettes rieuses volent sur la capitale
Certes Paris n'est pas encore à l'image de certaines autres capitales européennes pour lesquelles on a désigné des secteurs protégés destinés à préserver des espèces (comme Bruxelles pour les chauve-souris) ou d'autres où vivent en pleine ville d'abondantes populations viables de renard (comme Genève), mais peu à peu des tendances positives s'observent pour un maintien, voire une augmentation, de la biodiversité à Paris. Sauver la biodiversité, c'est bien sûr mettre en place des réglementations, mettre en oeuvre des plans d'action et mettre à disposition des moyens financiers, mais cela passe aussi par une prise de conscience de tous les citoyens : la préservation de la biodiversité c'est l'affaire de chacun d'entre-nous ! Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, diversité biologique, écologie, écosystème, espèce vivante, faune, flore, génétique, Paris, ressource biologique
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B5 - Les nouveaux programmes de japonais Langue vivante par L. Mérand (2/2)
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MERAND Lionel
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008.L’exposé présente les nouveaux programmes de japonais au collège parus en 2007 en soulignant les difficultés rencontrées pour traduire les descripteurs définis dans le Cadre Européen de Référence pour les Langues (CEFRL) en termes de compétences langagières spécifiques. Mot(s) clés libre(s) : cadre européen commun de référence des langues (CECRL), didactique des langues, japonais (langue), programmes d'enseignement, programmes de langues vivantes
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Les origines de la vie
/ Université de Nice Sophia Antipolis
/ 08-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Maurel Marie-Christine
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Lundi 8/06/2009, Marie Christine Maurel : les origines de la vie Mot(s) clés libre(s) : ARN, bactérie, biologie cellulaire, évolution, fossile, génétique, moléculaire, origines de la vie, stromatolithe, vie primitive, vivant
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Suivre les réactions entre les atomes en les photographiant avec des lasers
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 29-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MARTIN Jean-Louis
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"Les progrès de l'optique ont conduit à des avancées significatives dans la connaissance du monde du vivant. Le développement des lasers impulsionnels n'a pas échappé à cette règle. Il a permis de passer de l'ère du biologiste-observateur à l'ère du biologiste-acteur en lui permettant à la fois de synchroniser des réactions biochimiques et de les observer en temps réel, y compris in situ. Ce progrès indéniable a néanmoins eu un coût. En effet, à cette occasion le biologiste est (presque) devenu aveugle, son spectre d'intervention et d'analyse étant brutalement réduit à celui autorisé par la technologie des lasers, c'est à dire à quelques longueurs d'onde bien spécifiques. Depuis peu, nous assistons à la fin de cette époque obscure. Le laser femtoseconde est devenu "" accordable "" des RX à l'infrarouge lointain. Il est aussi devenu exportable des laboratoires spécialisés en physique et technologie des lasers. Dans le même temps, la maîtrise des outils de biologie moléculaire et l'explosion des biotechnologies qui en a résulté, ont autorisé une modification à volonté des propriétés - y compris optiques - du milieu vivant. Une imagerie et une spectroscopie fonctionnelles cellulaire et moléculaire sont ainsi en train de se mettre en place. L'exposé présentera à travers quelques exemples, la nature des enjeux scientifiques et industriels associés à l'approche "" perturbative "" du fonctionnement des structures moléculaires et en particulier dans le domaine de la biologie. " Mot(s) clés libre(s) : biologie moléculaire, catalyse, cinema moléculaire, échelle femtoseconde, état de transition, femto-biologie, interaction rayonnement-matière, laser, lumière, macromolécule biologique, matière vivante, spectroscopie
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Pourquoi et comment faire des formes de vie nouvelles ?
/ UTLS - la suite
/ 07-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MARLIERE Philippe
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?par Philippe Marlière Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, biologie synthétique, biotechnologie, dissémination biologique, évolution dirigée, génétique, génie génétique, génome, ingénierie du vivant, OGM, pollution génétique
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La chimie du et pour le vivant : la Recherche face aux enjeux du début du 21ème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MANSUY Daniel
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La compréhension des mécanismes associés à la vie, au niveau moléculaire et cellulaire aussi bien qu'au niveau des organismes, des populations et des écosystèmes, et la mise au point de composés ou de méthodes pour les réguler, sont des enjeux de recherche majeurs pour le début du 21ème siècle. Les retombées attendues concernent aussi bien la santé humaine et animale (médicaments, vaccins, matériaux biocompatibles pour prothèse, diagnostic) que l'agroalimentaire, les biotechnologies ou l'environnement. Le développement spectaculaire des sciences du vivant au cours de ces 20 dernières années, avec, en particulier, le décryptage des séquences de très nombreux génomes, a ouvert la voie. Les chimistes ont un rôle très important à jouer dans ce contexte du post-génome. Ils ont tout d'abord à faire progresser de façon considérable notre connaissance de la chimie du vivant, en découvrant les nouveaux schémas de biosynthèse et les nouveaux médiateurs qui dépendent des gènes "orphelins" (dont on ne connaît pas la fonction à l'heure actuelle). Ils se doivent aussi d'élaborer de nouvelles méthodes et de construire de nouveaux objets (molécules, matériaux
) pour permettre ou faciliter la compréhension du vivant et pour intervenir sur certains dysfonctionnements du vivant (chimie pour le vivant). Ces recherches devraient aussi conduire à des retombées en chimie au sens large, avec des applications en dehors du vivant, l'observation de la biodiversité devenant alors une source d'inspiration pour la création d'une chimiodiversité beaucoup plus large (nouvelles molécules, nouveaux catalyseurs, nouveaux matériaux
) (chimie d'après le vivant). Ces différents rôles des chimistes seront illustrés dans chaque cas à l'aide de résultats récents. Mot(s) clés libre(s) : ARN, biosynthèse, catalyse, chimie du vivant, médicament, molécule, pharmacogénétique, Recherche, séquençage du génome
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C1 - Allocutions d'introduction
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MACE François, FOUCAULT Marc, MONNANTEUIL François, IIMURA Yutaka
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enseignants (France), japonais (langue), langues vivantes-étude et enseignement, méthodes d'enseignement, pédagogie (France)
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C2 - Le japonais dans la France du 21ème siècle : défis et perspectives par E. Lozerand
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LOZERAND Emmanuel
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, japonais (langue), langues vivantes (étude et enseignement), méthodes d'apprentissage (France)
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèse (11)
/ groupe ouest audiovisuel, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 05-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LEHN Jean-Marie
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèseFrom Synthetic Chemistry to Synthetic BiologyConférence internationalemardi 5 mai 2009amphithéâtre Maurice HalbwachsCollège de France11 place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris16h10 Jean-Marie LEHN (Collège de France)Par-delà la synthèse : l’auto-organisation Mot(s) clés libre(s) : auto-organisation, Big-Bang, biologie synthétique, chimie de synthèse, chimie moléculaire, évolution vivante, matière vivante, nanotechnologies, reconnaissance moléculaire
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