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« Je suis ton père » : histoire d’une filiation galactique
/ Canal-u.fr
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Mme Delphine Porcheron
Mme Anne-Laure Nachbaum-Schneider
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
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Théorie du film documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon 3)
/ Pascal Cesaro
/ 01-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LIOULT Jean-Luc
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THEORIE DU FILM DOCUMENTAIRE Jean Luc Lioult Professeur à l'Université de ProvenceFilms sociaux, ethnographiques, scientifiques ou politiques, développant des formes autobiographiques, portrait, journal filmé : les formes du documentaire sont tellement variées qu’il serait réducteur de l’assimiler à un “genre”. “C’est un champ complexe qui relève aussi bien de critères économiques que de réseaux de fabrication, de diffusion, de références cinématographiques. C’est une zone de travail, un geste : celui d’aller vers le réel... Cette réflexion introductive propose de s'appuyer sur la fausse distinction entre documentaire et fiction pour reposer la question de la partition entre le vrai et le faux et pour montrer que la production de sens spécifique au film documentaire peut se développer dans différents cas...- il n’existe au fond qu’une seule modalité de représentation du monde réel, auquel l’immense majorité des films renvoient en dernière analyse - il existe néanmoins diverses formes de mimesis qui remplissent différentes fonctions- ainsi, les activités fictionnelles ont partie liée avec une dimension ludique de la mimesis : on accepte de suspendre les règles usuelles de la réalité- le cadre pragmatique de la fiction est celui de la feintise ludique partagée- le cadre pragmatique du documentaire est celui de l’assertion sérieuse consentie- un pacte spécifique s’établit entre auteur et spectateur de documentaires- le spectateur de documentaires est un spectateur vigilant- suspicion ou foi dans les images ?- le vocabulaire courant, en matière de réalité et de vérité, est riche mais imprécis- au plan théorique il y a deux “ordres“ de réalité : celui du réel concret avec ses propriétés objectives, celui des significations et des valeurs qu’on lui accorde- ces deux ordres sont en constante interrelation ; le second ne peut être objectivé- ce second ordre ne peut être abordé que sur un registre intersubjectif- même l’intersubjectivité ne peut garantir qu’un jugement soit unanime- le documentaire vise à la fois ces deux ordres, celui du réel concret et celui des réalités symboliques- ce que permet le documentaire est un consensus intersubjectif portant sur des assertions sérieuses ; ce qui suppose toutefois une présomption de validité de ces assertions Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinéma, documentaire, fiction, film, intersubjectivité, mimésis, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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Tentatives de définitions du film documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon 2)
/ Pascal CESARO, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 01-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LIOULT Jean-Luc
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Leçon 1 : définitionsPartie 1 : Tentatives de définition du film documentaire- définir le documentaire occasionne un débat sans fin :- est-ce simplement l’« interprétation créative de la réalité » ?- le documentaire n’est pas un genre au sens des films de genre, caractérisés par leurs sujets ou leurs effets sur les spectateurs- il a une généalogie, il évolue au cours de l’histoire- il a une finalité particulière : donner à connaître- il véhicule bien souvent des valeurs (même contestables !), il a un but sérieux- ses caractéristiques formelles ne suffisent pas à le définir- on constate empiriquement qu’il correspond à certaines pratiques sociales (de production, de diffusion par exemple)- au plan anthropologique, c’est une production symbolique d’un type particulier [voir leçon 3 : "Théorie du documentaire" ]- dont il faut interroger la fonction à l’intérieur des groupes humains.- synthèse : le documentaire a pour objet de transmettre des connaissances, ce qui pose la question de ses modalités discursives et de sa poétique ; il relève de la non-fiction [voir leçon 3: "Théorie du documentaire"] ; il propose des images adéquates du réel.Partie 2 : Pour élargir la réflexion- pourquoi distinguer fiction et non-fiction ? la pensée post-moderne s’y refuse plutôt, mais une approche pragmatique prend acte de spécificités- la critique du dispositif cinématographique a été faite, on peut aujourd’hui la dépasser- en revanche le documentaire a bien une fonction politique : il s’agit en définitive d’interroger le monde- les images du réel sont toutefois l’objet d’une certaine ambivalence : on les juge fiables ou non selon les contextes où on les reçoit. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, définition, documentaire, esthetique, fiction, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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Synthèse des ateliers du colloque « Histoire et littérature » 2/4
/ Christian Bailly, École Normale Supérieure de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 28-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Grossir Claudine
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Intervention pour la synthèse des ateliers A3 et B3 Entre fiction et réalité ; manuels et programmes ; parler de la Shoah à l’école. Mot(s) clés libre(s) : enseigner, Entre fiction et réalité, manuels et programmes, Shoah
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Star Wars : une représentation du système juridique international
/ Canal-u.fr
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M. Raphaël Maurel
M. Valère Ndior
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique.
Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
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Rencontre avec Alain Cavalier
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
CAVALIER Alain
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Dans le cadre du cycle organisé autour de son œuvre, Alain Cavalier a accepté de venir à l'EHESS nous parler de son expérience cinématographique. Depuis plusieurs décennies, il construit une œuvre singulière et puissante. Cinéaste métamorphosé en filmeur, il contemple inlassablement le réel à travers sa caméra. Dans ses films, l’image n’est pas un donné fini, elle se construit dans
le temps, celui du filmage, mais également celui du regard du
spectateur. À la frontière entre documentaire et fiction, ses films
s'interrogent sur la tension entre trace, interrogation du réel et
proposition imaginaire qui est constitutive des images, ainsi que sur le
cheminement qui mène de la vie à l'image et de l'image à la vie.
Fabriquer un cinéma immédiat sorti tout fraîchement du fond de soi et auquel la raison et l’intelligence n’ont pas encore coupé les ailes.
Alain Cavalier Mot(s) clés libre(s) : cinéma, documentaire, image, fiction
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Réflexions sur le pouvoir de police administrative des Jedi
/ Canal-u.fr
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M. Alexandre Ciaudo
Quel rapport entre Star Wars et le droit ? A priori, aucun. Et pourtant, les membres de l’association MédiaDroit font le pari de prendre Luke Skywalker, Han Solo, maître Yoda et autre R2-D2 comme objets d’étude sous un prisme juridique. Le projet a bénéficié du soutien des IdEx dans le cadre du programme d’Investissements d’avenir. Mot(s) clés libre(s) : droit, fiction
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Reflections of 1980s Sindhi Society in Amar Jaleel’s Dil Je Duniya: A Commentary on Aror Jo Mast
/ Serge BLERALD
/ Canal-u.fr
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Kamran Khumber, CEIAS (CNRS-EHESS) Mot(s) clés libre(s) : fiction, hindou, Littérature vernaculaire, nouvelles
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Quand la colère fait tomber les masques
/ Thomas Grosperrin
/ 25-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
Pellissier-Tanon Arnaud, Jacquinot Philippe
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"Quand la colère fait tomber les masques" est un cas pédagogique filmé. Ce moyen métrage s'accompagne d'une notice pédagogique, disponible sur l'espace pédagogique interactif associé : Quand la colère fait tomber les masques.Présentation du contenu :Sonia Ricard est recrutée comme chef de produit par la filiale d'une multinationale de l’alimentation, une ancienne entreprise familiale, qui a conservé sa culture paternaliste. Mais voici que le groupe juge sa rentabilité insuffisante, renouvelle l’équipe de direction et amorce une restructuration. Le nouveau directeur marketing glace Sonia par son « masque souriant » mais le nouveau directeur général joue la proximité et gagne sa confiance. Pourtant, quelques mois plus tard, le DRH annonce à Sonia qu’elle va être licenciée, sans les ménagements qu’elle aurait désirés. Elle se sent trahie par ses chefs, la colère la gagne et elle profite d’un délai pour s’engager dans le syndicalisme. Cette décision suscite, chez ses chefs, de l’incompréhension et de la colère en retour. S’en suivront trois ans de combat acharné. Le cas pédagogique filmé rassemble ainsi le retour d’expérience d’une personne blessée dans son besoin d’amour, au sens de Maslow. Il se concentre sur le moment de cette blessure, précisément l’évitement de la rencontre, ressentie comme une injustice interpersonnelle, au moment où une décision aux conséquences graves est annoncée (les théories du comportement organisationnel parlent d’effet Churchill). Il en esquisse les conséquences tant sur le plan personnel que collectif. Il suggère des pistes de solution. Mot(s) clés libre(s) : éthique en entreprise, étude de cas filmée, fiction, ressources humaines
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Quand la colère fait tomber les masques
/ Thomas Grosperrin, AUNEGE, Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 25-01-2012
/ Canal-u.fr
PELLISSIER-TANON Arnaud, JACQUINOT Philippe
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Quand la colère fait tomber les masques est un cas pédagogique filmé. Ce moyen métrage s'accompagne d'une notice pédagogique, disponible sur l'espace pédagogique interactif associé : Quand la colère fait tomber les masques.
Prix de la meilleure expérimentation filmée au Festival du film universitaire pédagogique (FFUP2012).Grand prix MEDEA (MEDEA AWARDS 2012).
Présentation du contenu :
Sonia Ricard est recrutée comme chef de produit par la filiale d'une multinationale de l’alimentation, une ancienne entreprise familiale, qui a conservé sa culture paternaliste. Mais voici que le groupe juge sa rentabilité insuffisante, renouvelle l’équipe de direction et amorce une restructuration. Le nouveau directeur marketing glace Sonia par son « masque souriant » mais le nouveau directeur général joue la proximité et gagne sa confiance. Pourtant, quelques mois plus tard, le DRH annonce à Sonia qu’elle va être licenciée, sans les ménagements qu’elle aurait désirés. Elle se sent trahie par ses chefs, la colère la gagne et elle profite d’un délai pour s’engager dans le syndicalisme. Cette décision suscite, chez ses chefs, de l’incompréhension et de la colère en retour. S’en suivront trois ans de combat acharné. Le cas pédagogique filmé rassemble ainsi le retour d’expérience d’une personne blessée dans son besoin d’amour, au sens de Maslow. Il se concentre sur le moment de cette blessure, précisément l’évitement de la rencontre, ressentie comme une injustice interpersonnelle, au moment où une décision aux conséquences graves est annoncée (les théories du comportement organisationnel parlent d’effet Churchill). Il en esquisse les conséquences tant sur le plan personnel que collectif. Il suggère des pistes de solution. Mot(s) clés libre(s) : ressources humaines, fiction, éthique en entreprise, étude de cas filmée
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