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Mots-clefs > H > histoire
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Atelier 6. Érotisme - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert

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6. Erotisme  – Salle Vasari – Responsable : Emmanuel Ussel (INHA)   Charlotte Chrétien (université Paris-Sorbonne) La représentation du travestissement et de l’ambiguïté sexuelle du héros à travers le mythe de la découverte d’Achille sur l’île de Skyros dans l’art romain aux époques des Julio-Claudiens, des Flaviens et de l’Antiquité tardive Dans son épopée, l’Achilléide, le poète latin Stace s’est employé à retracer cet épisode mythique dans une narration attrayante et dynamique, combinant à la fois la finesse psychologique des personnages, l’ironie, la légèreté et l’humour. Tous ces éléments sont perceptibles dans le domaine littéraire et iconographique grâce à la représentation de l’ethos, de la ruse, du travestissement et de l’ambiguïté sexuelle du futur héros de Troie.   Hélène Leroy (Institut national du patrimoine) Thibault Boulvain (Institut national d’histoire de l’art) Mapplethorpe, « the boy who loved Michelangelo » Dans les photographies de Robert Mapplethorpe, l’hommage à Michel-Ange résonne avec une esthétique du corps contraint influencée par les pratiques underground des milieux homosexuels new-yorkais.
Mot(s) clés libre(s) : photographie, histoire de l'art, étude du genre, Michel-Ange
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Aude Mairey (LaMOP, CNRS-Paris 1), « Hoccleve et Lydgate étaient-ils antiféministes ? »

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LE GENRE TEXTUEL, LE GENRE SOCIAL : NORMES, DISCOURS ET PRATIQUES Journée d’étude d’Histoire Textuelle du LaMOP coorganisée par Christopher Fletcher, Emmanuelle Vagnon, Aude Mairey et Benoît Grévin le 17 décembre, de 9h30 à 16h30 au CNRS LAMOP (Institut des Traditions Textuelles) 7 rue Guy Môquet, BP 8 94801, Villejuif, (Salle de conférences, bâtiment D)
Mot(s) clés libre(s) : histoire médiévale, condition féminine
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Christopher Fletcher (LaMOP-CNRS - Université de Paris 1), « Entre masculinité nobiliaire et culture cléricale ? Le Livre de Seyntz Medicines de Henri de Grosmont, duc de Lancastre »

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LE GENRE TEXTUEL, LE GENRE SOCIAL : NORMES, DISCOURS ET PRATIQUES Journée d’étude d’Histoire Textuelle du LaMOP coorganisée par Christopher Fletcher, Emmanuelle Vagnon, Aude Mairey et Benoît Grévin le 17 décembre, de 9h30 à 16h30 au CNRS LAMOP (Institut des Traditions Textuelles) 7 rue Guy Môquet, BP 8 94801, Villejuif, (Salle de conférences, bâtiment D)
Mot(s) clés libre(s) : histoire médiévale, condition féminine
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 2/3

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Enregistrement issu de la deuxième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.  Ce colloque international organisé par le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes, de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire où, alors que la globalisation met en exergue un discours de civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire, ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation », une série de questions porte sur les références identitaires aux civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs, ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des « civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part. Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent.
Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, aylin kocunyan, roberto conduru, paolo girardelli, alesandra mascia, mucem, civilisations, Langues et civilisations, INHA, colloque, algérie (civilisation), afrique du Nord (civilisation), roger benjamin
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Conférences inaugurales des Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert

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Pour cette quatrième édition, la Galerie Colbert ouvre à nouveau ses portes au grand public. Lieu historique conservant la mémoire du xixe siècle et de ses fameux « passages », elle héberge depuis 2001 la plupart des établissements d’enseignement et de recherche d’Île-de-France en histoire de l’art, ainsi que l’Institut national du patrimoine. Selon le principe de cette manifestation, une œuvre a été choisie pour fédérer les réflexions et nourrir les débats : les Esclaves de Michel-Ange, un chef-d'œuvre de l’art européen, qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs. Si, par l’histoire même de leur conception et de leur devenir, ces deux œuvres représentent une matière fort riche à explorer, elles permettent également de couvrir de nombreux enjeux qui ne se limitent ni au contexte de leur création, ni au seul médium de la sculpture. Mot d'introduction et conférences inaugurales – Auditorium – Antoinette Le Normand-Romain, Directeur général de l’INHA Genevieve Bresc-Bautier, Conservateur générale du patrimoine honoraire, musée du Louvre Barthelemy Jobert, Président de l'Université Paris-Sorbonne
Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Musée du Louvre (Paris), Michel-Ange, Eugène Delacroix
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Cordelia Beattie, (Université d’Edimbourg), The historian as translator: Womens petitions to the English court of Chancery in the later Middle Ages

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LE GENRE TEXTUEL, LE GENRE SOCIAL : NORMES, DISCOURS ET PRATIQUES Journée d’étude d’Histoire Textuelle du LaMOP coorganisée par Christopher Fletcher, Emmanuelle Vagnon, Aude Mairey et Benoît Grévin le 17 décembre, de 9h30 à 16h30 au CNRS LAMOP (Institut des Traditions Textuelles) 7 rue Guy Môquet, BP 8 94801, Villejuif, (Salle de conférences, bâtiment D)
Mot(s) clés libre(s) : histoire médiévale, condition féminine
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CULTURE G Num

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Les ingénieurs-savants et la science en France
Mot(s) clés libre(s) : savants, ingénieurs, histoire, sciences
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: Les Passions du Caire, invitée : Mercedes Volait

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Nous voyageons avec Mercedes Volait dans le Caire du XIXe siècle, et particulièrement avec ce que les architectes européens et surtout français ont bâti, en s’inspirant de l’art arabe local, et surtout de la séquence mamelouke (fin XIIIe siècle – début XVIe siècle). Ces architectes, artistes, décorateurs, dilettantes, vulgarisateurs, savants, érudits, se sont passionnés des signes médiévaux de la ville, à partir de 1860, et s’en sont inspirés pour inventer une architecture néo-mamelouke, ou pour injecter des éléments de décor puisés dans cette mémoire, à travers des édifices soumis aux techniques et aux formes qui étaient à l’œuvre en Europe à la même époque. Ces passions, artistiques et architecturales, ont métamorphosé l’image de la ville, et ont pu ainsi ajouter un temps supplémentaire à l’histoire de la cité, qui avait déjà neuf siècles d’acquis, Le Caire ayant été fondé en 969 par les Fatimides, fondation du reste qui prolongea des établissements humains qui lui étaient antérieurs, Fustât ayant été créée par le conquérant arabe de l’Egypte ‘Amr Ibn Al-‘Aç dès avant le milieu du VIIe siècle.   Bibliographie : Mercedes Volait, Fous du Caire : Excentriques architectes et amateurs d’art en Egypte, 1867-1914, Montpellier : L’Archange Minotaure, 2009
Mot(s) clés libre(s) : le caire (egypte), histoire de l'art, architecture
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: L’orientalisme architectural. invitée: Mercedes Volait

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L’orientalisme appliqué à l’architecture a été un mouvement important au XIXe siècle. Cela a produit un style international qui a engendré des œuvres aussi bien en Orient qu’en Occident. Le phénomène n’est pas seulement lié à l’entreprise coloniale. Il constituait aussi un répondant au voyage en Orient des peintres et des écrivains. Il avait à voir avec la poétique et la sensibilité romantiques. C’est finalement un résultat de la découverte des arts de l’islam et particulièrement de son architecture médiévale. La volumétrie et le primat de l’ornement dans le décor ont provoqué la fascination d’une nouveauté qui se répercutera jusque dans l’enseignement de l’architecture et qui infléchira le choix des sujets pour les concours. Les réalisations des pavillons des pays islamiques dans les expositions universelles (Paris, Chicago) ont contribué à la diffusion de ce style néo-oriental dont la variété répercutait une diversité originelle qui distingue entre le monumentalisme mamlouk du Caire, beylical de Tunis, ou hispano-mauresque de Fès. Le goût pour ce style a fait rêver les architectes pour doter Paris d’une mosquée. Le projet de la fin du XIXe siècle qui proposait une mosquée néo-mamlouk au quai d’Orsay n’a pu voir le jour. Il fallait attendre Lyautey et la gestion de la question musulmane dans le cadre de l’empire colonial pour que la mosquée de Paris apparaisse en 1926 dans le style marocain qui nous éloigne du modèle cairote non réalisé, lequel signalait le persistant effet de l’expédition d’Egypte de Bonaparte où s’ensource l’égyptomanie française.   Bibliographie :  L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs, ouvrage collectif dirigé par Nabila Oulebsir et Mercedes Volait, éd. du CNRS et éd. Picard, col. D’une rive l’autre, Paris, 2009.
Mot(s) clés libre(s) : orientalisme, histoire de l'art
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Expériences du paysage

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La notion de Jardin en mouvement se réfère directement à la technique du jardinage, à l’entretien et au développement des espèces dans le temps ; elle procède d’une expérience de terrain. Sa théorisation et son renvoi à d’autres échelles de territoire que celles du jardin à proprement parler atteint, pour des raisons de logique écologique, la planète entière à travers cette attitude : «faire le plus possible avec le moins possible contre». D’où le Jardin planétaire valant comme projet politique d’écologie humaniste.Au sein même de ce jardin étendu à la planète, la biodiversité en souffrance se réfugie sur les seuls territoires à l’écart de l’activité humaine : le Tiers-paysage. Attirer l’attention sur cette richesse, au demeurant mal connue, devient une urgence. Cependant, l’ensemble des activités humaines, aveuglément orientées par une économie dérégulée devenue folle, menace cette richesse dont l’humanité entière dépend. D’où la nécessaire résistance à ces mécanismes suicidaires.Dans ce cadre où s’entrecroisent les données formelles, esthétiques, biologiques du paysage, la part active laissée à l’humanité dans le processus de l’évolution – transformant, pour certaines, notre ère en une nouvelle séquence : l’Anthropocène – acquiert une si grande importance qu’il devient difficile de séparer la question du paysage de la question économique et politique globale. La notion de Paysage du désendettement, plus précisément associée au paysage rural, traduit bien cette complexité.Gilles Clément
Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture et paysage
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