Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Clôture scientifique de la 1ere session
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HELMCHEN Jürgen
Voir le résumé
Voir le résumé
Séminaire international l'école et la nation. Clôture scienfique de la première session sur le romain scolaire de la nation par Jürgen Helmchen, professeur de sciences de l'éducation de l'université de Münster.Institut national de recherche pédagogique, le 1er avril 2010, Lyon Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
|
Accéder à la ressource
|
|
Colloque "La réception de Thucydide" : Introduction / V. Fromentin, S. Gotteland, P. Payen
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
Voir le résumé
Voir le résumé
Présentation du Colloque international "La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles". Colloque organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME : (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008. Le colloque qui se tient à Toulouse du 23 au 25 octobre 2008 clôt un programme de recherche international consacré à la réception de l'historien athénien Thucydide (Ve siècle avant J.-C.), de l'Antiquité jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. L'ensemble a pris la forme de trois colloques pluridisciplinaires. Les deux premiers colloques, qui se sont tenus à Bordeaux, en 2007 et 2008, ont eu pour objectif d'analyser comment Thucydide s'est imposé dans l'Antiquité, dès les décennies qui suivent sa mort, comme l'initiateur d'une forme d'histoire caractérisée à la fois par sa matière, qualifiée de "pragmatique" (c'est-à-dire essentiellement politique et militaire), par sa démarche, centrée sur la notion de cause historique, et par son style "élevé" (c'est-à-dire difficile, admirable et digne d'imitation). Les aléas qui accompagnent la fortune de Thucydide sont ensuite difficiles à reconstituer. Nous constatons qu'il est appréhendé, au XIXe siècle, comme une source documentaire de premier plan et comme le paradigme de l'histoire "véritable". Mais qu'en est-il lorsque les Grecs réapparaissent en Occident au début du XVe siècle et au cours des périodes qui suivent, dominées par l'historiographie latine (Salluste avant tout, César, Tite-Live) ?C'est pourquoi le troisième colloque tentera de répondre au problème principal suivant : pourquoi et comment Thucydide a-t-il été considéré, en Europe, depuis la Renaissance, semble-t-il, et plus encore au cours du XIXe siècle qui érige l'histoire en discipline reine, comme le modèle de l'historien épris d'objectivité, de rigueur, d'exactitude, de fidélité aux sources ? Le problème de la réception de Thucydide, à partir du XVe siècle (la traduction de Lorenzo Valla date de 1483 et est réimprimée dans toute l'Europe au cours du XVIe), peut être ramené à deux questions principales. - Quelle a été, d'une part, son influence sur la construction des connaissances et de l'image que nous possédons d'Athènes, à côté de l'autre grande source privilégiée jusqu'à la veille de la Révolution : les Vies parallèles de Plutarque ? Quelles lectures, à ce sujet, firent de Thucydide non seulement Machiavel, Bodin, Hobbes, son traducteur (1629), mais encore Benjamin Constant, George Grote, Victor Duruy et les tenants d'une "Athènes bourgeoise" ? Comment s'élabora, dans le même temps la figure d'un nouveau Périclès ? - D'autre part, comment, par un ensemble d'emprunts, mais surtout d'écarts, de ruptures, parfois de méprises, l'épistémologie et l'écriture de l'histoire des Modernes, telles qu'elles s'élaborent au XIXe, se sont-elles façonnées à partir des pratiques et des catégories de Thucydide : la "recherche de la vérité", l'akribeia, le concept de "grandeur", la préoccupation de "trouver" ou d'"établir" ( heurein) les faits ? -Le problème ainsi tracé concerne à la fois : - les modalités de l'intérêt porté au passé et, conjointement, de son étude ; - la nature même de la discipline historique, de sa formation, de sa propre histoire - la mise en perspective du présent et du passé, dans un double mouvement : étudier le projet et l'œuvre de Thucydide à partir des questions de la discipline historique moderne ; puis revenir de Thucydide au présent, lesté de ce que l'on aura compris de l'historien athénien. Mot(s) clés libre(s) : appréciation (Thucydide), histoire (science), méthode scientifique, Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), Thucydide (historiographie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 2/3
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Enregistrement issu de la deuxième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.
Ce
colloque international organisé par le Musée des civilisations de
l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire
de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous
l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une
interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur
ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles
entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et
aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment
l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son
champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes,
de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire
où, alors que la globalisation met en exergue un discours de
civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes
identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au
MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur
étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à
partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont
traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont
été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas
méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire,
ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de
rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de
terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est
de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation »,
une série de questions porte sur les références identitaires aux
civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent
détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs,
ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à
tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace
méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La
dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle
d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et
humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor
participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue
durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein
du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des «
civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une
réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut
établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de
civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part.
Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme
preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble
devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, aylin kocunyan, roberto conduru, paolo girardelli, alesandra mascia, mucem, civilisations, Langues et civilisations, INHA, colloque, algérie (civilisation), afrique du Nord (civilisation), roger benjamin
|
Accéder à la ressource
|
|
Colloque Dire, taire, masquer les origines dans la Péninsule ibérique : 15e-17e siècle / ouverture
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
Voir le résumé
Voir le résumé
Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique du Moyen Age au Siècle d'or : ouverture. Colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Intervenants : Daniel Filâtre (président de l'Université Toulouse II-Le Mirail), Michel Bertrand (directeur adjoint du laboratoire FRAMESPA, UTM), Alain Cozic (directeur de l'UFR Lettres, Langues et Civilisations étrangères, UTM), Enrique Fraga (directeur du département Études Hispaniques et Hispano-américaines, UTM). Mot(s) clés libre(s) : civilisation ibérique (17e siècle), civilisation ibérique (Moyen Age), conscience historique (péninsule ibérique), histoire des idées (péninsule ibérique), littérature ibérique (15e-17e siècle), mythe et littérature (Espagne), Siècle d'or espagnol
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment enseigner l’histoire balkanique ? le régional face au national
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Koulouri Christina
|
|
Comment l'EHESS a-t-elle capté la télévision soviétique?
/ Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 21-04-2015
/ Canal-u.fr
FERRO Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Historien, spécialiste de la Russie, Marc Ferro revient sur l'installation de la télévision soviétique à l'EHESS et son intérêt pour l'étude de l'URSS. Mot(s) clés libre(s) : histoire, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment lire un texte ? Perspectives critiques
/ Christian Bailly, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, ENS Cachan, Martine Watrelot
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHARTIER Roger
Voir le résumé
Voir le résumé
La littérature (dès le XIXe siècle quand le roman s’approprie la réalité historique et revendique sa place comme histoire non événementielle) permet d’entrer au plus profond du tissu social et affirme pouvoir traiter le document par l’imagination. Elle s’inscrit dans une pensée sur le monde par la contextualisation des récits qu’elle opère ; elle a pour ambition de faire parler les silences de l’Histoire, sa vérité pourrait donc être plus grande que la véracité documentaire de l’Histoire. Puisque l’historien utilise les mêmes structures (le récit) que le littéraire, qu’il fonde son écriture également sur des figures de rhétorique, la vérité produite dans les deux cas est comparable. Pourtant l’Histoire serait plutôt du côté des savoirs vérifiables, des preuves, des documents, des indices : si l’on considère, comme Carlo Ginzburg que la différence existe, puisque certaines opérations sont propres à l’Histoire (vérification des sources ; critères de validation par une communauté), alors la littérature serait du côté d’une vérité existentielle (elle relativiserait la vérité) et l’Histoire du côté d’une vérité épistémologique. Il faut donc porter l’attention sur le fait que la littérature se fonde sur le sentiment au quotidien mais à partir de la capture de la culture écrite de l’époque dans laquelle un texte littéraire apparaît, ainsi, des techniques narratives peuvent rendre compte de l’historicité des œuvres. Mot(s) clés libre(s) : contextualisation, enseignement, histoire, littérature
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment l’école a pris en charge et prend en charge la diversité à l’école ?
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HEINEN Jacqueline
|
|
Comment ont-ils su que la lumière avait une vitesse ?
/ Bruno FARNIER, Romuald DROT
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
De l'Antiquité au XVIIIe siècle, l'Histoire de la vitesse de la lumière n'est pas un long fleuve tranquille ! Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, vitesse de la lumière
|
Accéder à la ressource
|
|
Conclusion institutionnelle
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 22-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NUSSBAUM Lucile, HERNÀNDEZ Antònia, FALAIZE Benoît
|
|