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Sam Bardaouil, Plateforme Art reOriented, « The Art and Liberty Group and the disentangling of Art from Nationalism »
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Sam Bardaouil, Plateforme Art reOriented, « The Art and Liberty Group and the disentangling of Art from Nationalism »
Colloque International L’Egypte en ses miroirs. Art, architecture et critique, à demeure et au-delà (XIXe- XXe siècles)
26-27 juin 2013 - Auditorium de l’INHA - Galerie Colbert 2, rue Vivienne – Paris 75002 Mot(s) clés libre(s) : histoire contemporaine de l'Egypte, art moderne
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Stéphane Capot, Archives départementales du Lot-et-Garonne
"Les ostensions en Limousin à l’époque moderne et les confréries dans le sud-ouest de la France"
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Ostensions limousines, dévotions aux reliques et fait religieux
(Moyen-Age – Epoque contemporaine)
Colloque international
LE DORAT Salle du cinéma / Vendredi 29 et Samedi 30 avril 2016
CONTACT : lesrdvdelachapelle@laposte.net
"Les ostensions en Limousin à l’époque moderne et les confréries dans le sud-ouest de la France"
Stéphane Capot, Archives départementales du Lot-et-Garonne
Le lien entre les ostensions organisées en Limousin et les confréries religieuses mérite d'être mis en question pour la période du XVIe au XVIIIe siècle. Pour bien le replacer dans son cadre, il faut brièvement rappeler la géographie des ostensions à l'époque moderne - susceptible d'attirer au XVIIe siècle au-delà des frontières du Limousin, à l'exemple de Charles Maillasson, avocat général de Montmorillon - et le rôle joué par chacun des acteurs impliqués dans leur organisation, autorités religieuses mais aussi civiles. Parmi ces acteurs, quelques-unes des confréries existantes sont plus spécialement attachées au culte des reliques conservées dans les églises locales. Mais l'organisation des ostensions septennales concerne t'elle vraiment la majorité des confréries du Limousin ayant une activité entre le XVIe et le XVIIIe siècle ? Et peut-on parler à cette période-là d'une spécifité des confréries limousines par rapport à certains diocèses voisins du Sud-Ouest ?
Partenaires scientifiques :
Laboratoire d’Etudes sur les Monothéismes (LEM-CNRS)
Centre de Recherches Interdisciplinaire en Histoire, Histoire de l’Art et
Musicologie (CRIHAM, UNIVERSITE DE LIMOGES)
Institut Supérieur d’Etudes des Religions et de la Laïcité (ISERL, UNIVERSITE
DE LYON)
Partenaires financiers
LEM, CRIHAM, ISERL
Association « Les rendez-vous de la chapelle »
Conseil régional ALPC
Organisation : association « Les rendez-vous de la chapelle » Mot(s) clés libre(s) : reliques, Stéphane Capot, histoire religieuse, Ostensions limousines, Haute-Vienne, Limousin, faits religieux, Ostensions, LEM, LE DORAT, Ostensions limousines, dévotions aux reliques et fait religieux, Les ostensions en Limousin à l’époque moderne et les confréries dans le sud-ouest de la France
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Table ronde 1. L'effet Michel-Ange - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
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1. L'effet
Michel-Ange
– Salle Benjamin –
Modération : Giovanni Careri (EHESS)
L’objet de cette table ronde sera d’envisager « l’effet »
produit par l’art et le personnage de Michel-Ange dans la culture occidentale,
du xvie au xxe siècle (sculpture,
peinture, littérature, cinéma).
Nicolas Cordon
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
Michel-Ange et ses
simulacres
Sara Vitacca
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
« Sous les yeux
clos » : Regards croisés autour de l’Esclave mourant au xixe siècle
Abslem Azraibi
(EHESS / CEHTA)
Du corps prisonnier
à l’architecture libérée Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Michel-Ange
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Table ronde 2. Michelangelo Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
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2. Michelangelo
Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
– Salle Vasari –
Modération : Larisa Dryansky (Institut national
d’histoire de l’art)
De quelle manière le maniérisme de Michel-Ange, et
notamment les corps tourmentés de ses Esclaves, ont-ils pu constituer pour
l’artiste américain Robert Smithson un contre-modèle à un certain puritanisme
du modernisme ?
Nina Leger
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un idéalisme
monstrueux ». Méta et infra-physique des corps de Michel-Ange selon Robert
Smithson
Maud Maffei
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un rire
apathique» — au-delà de l’expression tragique des Esclaves de Michel-Ange : une
lecture de Robert Smithson
Riccardo Venturi (INHA)
« Some corners of hell ». Autour de Asphalt
Rundown de Robert Smithson Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, art contemporain, Michel-Ange
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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Daniel Odon Hurel : "La norme et la règle"
/ Céline Ferlita
/ Canal-u.fr
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La série "Rencontres" donne la parole aux chercheurs. 8 chercheurs du LEM inaugurent cette nouvelle collection.
Avec :
Daniel Odon-Hurel, Laboratoires d'Etudes sur les Monothéismes (LEM) Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, Histoire, monde monastique, Daniel Odon Hurel, laboratoire d'Etudes des Monothéismes, LEM, Histoire du monachisme, la norme et la règle, Benoît de Nursie
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Pierre-Olivier Dittmar
/ Claude (CNRS Images) DELHAYE
/ Canal-u.fr
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Historien, EHESSPierre-Olivier Dittmar, historien, est ingénieur d'études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales au sein du laboratoire "Groupement d'anthropologie historique de l'occident médiéval" (GAHOM). Dans ses recherches, il utilise les méthodes et outils de l'anthropologie et s'intéresse particulièrement à la façon dont évoluent les cultures. En se fondant sur un problème ou une question d'aujourd'hui, il essaie de comprendre les réponses propres au Moyen Age. Il étudie ainsi les relations entre hommes et animaux, la notion d'animalité et de bestialité hier et aujourd'hui. Son autre thème de recherche porte sur l'image : les représentations sur les chapiteaux d'églises romanes en Auvergne et les images présentes dans l'univers domestique comme celles du plafond peint du château de Capestang en Languedoc-Roussillon. Il rapproche ces images qui mettent en scène les individus et leurs familles des pratiques en cours sur les réseaux sociaux actuels.Tous les portraits d'enseignants-chercheurs Mot(s) clés libre(s) : animalité, histoire médiévale, anthroplogie, image
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Construire la mémoire, construire l’oubli.
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Serge Lifar et les Ballets Russes
Serge Lifar (1905-1986), danseur des Ballets Russes de Serge Diaghilev (1923-1929) et maître de
ballet à l’Opéra de Paris (1930-1945 ; 1947-1958), a bâti sa formidable renommée en se présentant
comme l’ « héritier » de Diaghilev. Grâce à l’écriture de nombreux textes, grâce à des expositions
d’objets sur les ballets russes et grâce à des ventes aux enchères, Lifar a « administré » la construction
de la mémoire de Diaghilev et de son répertoire. Son obsession pour les documents et l’archive (à
retenir, cacher, publiciser), son attachement au rôle crucial du mot et son recours à des « nègres »
(dont le plus prestigieux fut le fameux pouchkiniste et ami de Diaghilev, Modest Liudvigovich
Hofmann, le montrent comme un homme hanté par l’histoire et et soucieux de s’ancrer culturellement
dans la nouvelle patrie française.
Patrizia Veroli est historienne de la danse et chercheurse indépendante. Elle a écrit et dirigé plusieurs
livres, notamment sur la danse au XXème siècle et sur les Ballets Russes, privilégiant une approche
historique et issue des Cultural Studies. Elle est présidente d’AIRDanza depuis 2010.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, histoire, Russie, activités d'enseignement et de recherche
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Ezio Ornato - Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principes, parcours, exemples
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Conférence inaugurale de
la journée d'initiation
Le livre médiéval
au regard des méthodes quantitatives
du 28 mai 2015 organisée dans le cadre du
séminaire
Codicologie quantitative et sociologie du livre médiéval du LAMOP
(campus de Villejuif)
Autre intervenant :
Denis Muzerelle Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, LAMOP, Codicologie, Ezio Ornato, Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principe, parcours, exemples., Codification quantitative, Le livre médiéval, au regard des méthodes quantitative, Denis Muzerelle
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Enigma, ou comment les mathématiciens ont gagné la guerre 1939-45.
(Partie 2)
/ Géraud SÉNIZERGUES
/ Canal-u.fr
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Dans cet exposé, à la fois historique et technique, nous expliquerons
tout d'abord comment les machines à chiffrer Enigma ont pu être
cryptanalysées durant la deuxième guerre mondiale. Nous nous
efforcerons ensuite de dégager les grands principes qui sont à
l'oeuvre aussi bien dans l'analyse des machines à rotors historiques
que dans le chiffrement par blocs moderne. Dans les deux cas il
s'agit de constructions à base de combinaisons (non-commutatives!) de
permutations et il existe un certain nombre de stratégies qui
permettent de déjouer leur apparente complexité. Nous expliquerons le
rôle majeur joué par certaines propriétés et théorèmes clés sur les
permutations, qui concernent, notamment, les involutions, les cycles
courts et les points fixes. Mot(s) clés libre(s) : algèbre, histoire, cryptographie, information
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