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"La dénaturalisation par la comparaison internationale et historique", semi-plénière avec la participation d'Alessandro Stanziani, Anne-Marie Guillemard et Jean Claude Barbier
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La dénaturalisation par la comparaison internationale et historique
Coordination : Patrick Hassenteufel (Printemps, UVSQ/CNRS) et Odile Join-Lambert (Printemps,UVSQ/CNRS)
Intervenants :
- Alessandro Stanziani (Centre de recherches historiques de l'EHESS) : "Travail forcé, travail libre en Europe et dans le monde colonial (XIXe-XXe siècles)"
- Anne-Marie Guillemard (Paris-Descartes Sorbonne) : "Les politiques d'âge en Europe et au Japon"
- Jean Claude Barbier (Centre d'économie de la Sorbonne) : "La précarité en Europe : une comparaison impossible ?"
Un des apports épistémologiques majeurs de la comparaison internationale est le regard décentré qu’elle permet de porter sur les objets sociologiques analysés le plus souvent dans leur propre environnement national ou local. Les vertus de ce « détour », pour reprendre l’expression de G. Balandier, sont renforcées lorsque la comparaison est à la fois spatiale et temporelle. Le croisement de ces deux démarches est au coeur de cette semi-plénière dont l’objectif est de montrer en quoi elles permettent de déconstruire plusieurs type d’objets d’analyse.
Tout d’abord, nous mettrons en avant la dénaturalisation des « trajectoires historiques nationales », souvent construites comme le produit « naturel » de contextes nationaux spécifiques, ancrés dans l’histoire et une culture nationale, grâce à l’adoption d’une perspective historique transnationale centrée sur l'Empire, la colonisation et la décolonisation. Dans le cas du travail, qui fera l’objet de la première intervention, les comparaisons dans l'espace et dans le temps montrent que celui-ci est au XXe plus proche du XVIIIe que du XIXe, et que l'Etat social pose une problème pour l’analyse du travail non français et non européen.
Ensuite, on s’intéressera à la dénaturalisation des « modèles nationaux » de politique publique en adoptant une perspective croisée pour les déconstruire et montrer en quoi ils peuvent masquer des similitudes et des échanges entre eux. Le cas des politiques et culture d’âge en Europe et au Japon fera l’objet de la deuxième intervention.
Enfin, nous porterons l'attention sur la dénaturalisation des catégories statistiques et langagières en mettant l’accent sur les opérations de traduction que nécessitent les comparaisons européennes. Il s'agira de montrer, à travers le cas du concept de "précarité", que la comparaison statistique terme à terme mène à des impasses si elle ne prend pas en compte les normes sociales établies dans chaque langue. Mot(s) clés libre(s) : dénaturalisation, comparaison, comparaison internationale, comparaison historique
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Forum Nîmois - Charles GIDE - KAHN (2)
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 17 septembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Jean-François Kahn.L’ « invention des Français » IIème-IVème siècle. La tragédie de l’occident
C’est la deuxième fois que le Forum Charles Gide te reçoit. C’est dire si nous t’apprécions. Je ne vais pas, comme je le fais pour les invités qui viennent pour la première fois, redire ta carrière très mixte d’historien-philosophe-journaliste-politologue, que tout le monde connait déjà. J’irai droit au sujet.
Ta précédente prestation s’appelait « Comment s’en sortir ». C’était une critique au sens philosophique du mot, précisons-le, de la politique actuelle et tu avais donc exposé tes propositions, dont certaines nous avaient secoués, comme tu savais le faire dans tes chroniques de L’Evènement du jeudi puis Marianne.
Aujourd’hui, nous te recevons en historien critique d’une période bien plus lointaine, que les manuels d’histoire traitent peu, celle qui a vu se constituer ce qui devait devenir la France, avant Clovis... En général, les manuels font partir notre bon vieux pays de France de ce piètre souverain. Tu as rédigé deux tomes sous le titre général: « l’Invention des français » et fixé les limites de l’épure : 100- 430 après Jésus Christ.
Une remarque liminaire. Quelques années auparavant Emmanuel Todd et Hervé Le Bras, avaient publié l’ « Invention de la France », analyse anthropologique de notre pays, pour y distinguer les divers types familiaux, mais qui ne remontait qu’au XVII-XVIIIèime siècle, sur la base des archives paroissiales, pour distinguer famille souche, familles nucléaires et famille communautaires. Très intéressant, très fouillé, très utile pour l’économiste, notamment parce que nous français sommes plutôt du type nucléaire (sauf Bretagne, Alpes et Alsace) alors que les familles allemandes sont plutôt des familles souches. Comme les francs étaient des germains, peut-on imaginer que c’est notre gallo-latinité qui a fait de nous un peuple de familles nucléaires, avec tous les problèmes que cela implique. Peut-être t’y intéresseras-tu dans un autre ouvrage à partir de tous les documents que tu as amassés.
Revenons à toi ! La Gaule est alors romaine depuis que César l’a conquise entre 58 et 51 avant jésus Christ, partant de notre région qui l’était, elle, depuis 121 avant Jésus Christ. Mais comme tu le dis fort justement, s’étendant de l’Armorique aux Alpes, du Rhin aux Pyrénées, elle jouissait d’une grande autonomie, unifiée par une langue d’adoption. Chaque année des représentants de toutes les citées gauloises se réunissaient solennellement à Lyon, délibéraient de leurs affaires communes, et, comme on dirait aujourd’hui, « faisaient Gaule »
Tu soulignes aussi, à non moins juste titre qu’ensuite, considérée par Clovis comme son magot, divisé entre ses fils, qui la divisèrent encore, cette France en devenir, éclata en Neustrie, Austrasie Burgondie,…etc, comme, plus tard, quand, à nouveau, après qu’il l’ait réunifiée, les descendants de Charlemagne la redécoupèrent. Pour toi, donc la France a été inventée par les Romains, et elle s’est « inventée » entre 100 et 430 après jésus Christ, avant d’avoir, si j’ai bien compris , à se réinventer après la Guerre de cent ans !.
Tu as sous-titré, un premier tome, qui va de 100 à 180/90, disons de Trajan, qui a donné à l’Empire romain son extension maximale, à Commode. « Du temps de nos folies gauloises ».
Je ne résiste pas à lire ici le résumé de l’éditeur à ce premier tome, car il vaut aussi, en grande partie pour le second. « Entre 600 avant Jésus-Christ et 500 après, dans ce qu'on appelle aujourd'hui la France, que s'est-il passé ? Faites l'expérience, posez la question : au mieux on vous citera la défaite de Vercingétorix à Alésia et le baptême de Clovis. Le reste est comme un immense trou de plus de mille ans. Or, c'est au fond de ce trou, dans ce creuset, qu'en vérité tout se passe : que, d'un invraisemblable capharnaüm de bandes et de hordes, de tribus et de peuples, de cités et de nations, va peu à peu surgir, se cristalliser, s'affirmer quelque chose d'étrange, mille-pattes à mille têtes, qu'on appellera les Français. Aventure improbable, inouïe, parfois démentielle. Nul réalisateur hollywoodien n'oserait imaginer la dramaturgie de cette épopée dont Jean-François Kahn retrace la dynamique et l'effervescence, tant y tonitruent la fureur et l'hilarité, le fracas des armes et le sifflement des intrigues, l'héroïsme des sacrifices et l'ignominie des forfaitures », la fulgurance des intelligences et l'étalement des médiocrités. La France, déjà ! »
Ta conférence de ce soir. La « Tragédie de l’Occident » part donc de l’Empereur Commode (161-192), qui, comme tu le dis avec ton humour habituel , ne l’était pas tant que cela. Il n’eut rien à envier, à Caligula, Néron ou Domitien. Tu as ajouté un sous-titre « Nos ancêtres découvrent le christianisme, le nationalisme, le socialisme, la bureaucratie et l’oppression fiscale », trahissant là, dès le départ, ton parcours historico- politique fondamentalement anachronique mais totalement pertinent qui nous enchante.
Nous allons donc t’écouter avec notre attention habituelle. Mais puisque, ce soir, je suis dans les citations, et qu’il va s’agir d’une critique philosophique du passage d’un peuple du polythéisme au monothéisme, ce qui, dans la Maison du protestantisme revêt un aspect un peu provoquant, je ne résiste pas à lire une autre citation un peu longue d’un autre de nos amis, qui, je n’en doute pas est aussi le tien.
« Le Dieu unique et créateur est un Dieu jaloux et machiste, qui ne supporte pas la concurrence et ne tolère aucun rival ; Il n’aime pas les mariages mixtes, ni le mélange des genres, ni la prospérité des hérésies et, pour cause, puisqu’il se définit comme le seul vrai et que la vérité est unique et l’erreur multiple »
C’est de Régis Debray, dans leur dernier livre commun, « Du ciel à la terre » répondant au philosophe chinois Zhao Tingyang, confucéen, donc ouvert à toutes les religions dont les monothéistes. Comme ton sous-titre, c’est la tragédie de l’Occident, j’ai pensé, que peut-être, tu regrettais que nous n’ayons pas conservé la religion romaine polythéiste.
Quitte à être provoquant jusqu’au bout, moi qui suit plutôt de formation scientifique, je vais aussi citer la réponse du grand mathématicien Laplace, répondant à Napoléon qui lui parlait de Dieu : « Sire, je n’ai pas besoin de cette hypothèse ».
Au demeurant, n’y-a-t-il pas aujourd’hui, mais ce n’est pas propre à la France, une sorte de polythéisme général, au moins sous-jacent, de l’argent, bien sûr, et des sous-dieux auxquels il donne accès, la consommation, la bagnole, les objets connectés, internet, le sexe, le soleil et le bronzage, les jeux…On n’arrêterait pas ! Les églises se vident, les hypermarchés se remplissent. Les mosquées ne sont pleines que parce que trop de leurs fidèles n’ont pas, pas assez à leurs yeux, en tous cas, accès à tous ces dieux matériels ?
Jean François, fut-ce une tragédie réelle que ce passage au monothéisme des années 100-400 ? Ou le mot est-il une simple provocation de ta part ? A toi de nous éclairer ! Mot(s) clés libre(s) : anthropologie historique
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Les Ottomans en Méditerranée au XVIe siècle
/ Canal-u.fr
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Séminaire "Mers ottomanes, de la Méditerranée à l'Océan Indien"
Lundi 14 avril 2014 à 18h à l'IFEA
Nicolas Vatin (EPHE, Directeur d’études)
"Les Ottomans en Méditerranée au XVIe siècle"
Intervention en français Mot(s) clés libre(s) : Turquie, géographie historique, Empire ottoman
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Séminaire exceptionnel avec Erik Olin Wright
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Présenté par Laurent Jeanpierre, Professeur des Universités en science politique au Département de
science politique à l’Université Paris 8-Saint-Denis/Vincennes, Directeur du LabTop.Erik Olin Wright est un sociologue américain qui est connu depuis
plusieurs décennies pour avoir pris part au courant du marxisme
analytique et démontré la pertinence contemporaine d’une analyse des
classes sociales qui reste inspirée du marxisme. Parallèlement à des
recherches théoriques sur les conceptions de la structure sociale et de
l’exploitation, ses travaux empiriques ont porté sur les inégalités, la
pauvreté ou l’emploi. Depuis deux décennies, le travail de Wright s’est
concentré sur les possibilités contemporaines de transformation
historique du capitalisme et sur les voies effectives pouvant conduire à
une société plus égalitaire et plus épanouissante pour tous. Un des
enjeux de cette recherche menée collectivement est de penser à nouveau
l’articulation potentielle, quoique rare, entre démarches scientifiques
des sciences sociales et pratiques politiques de constitution de formes
de vie alternatives au capitalisme. Après avoir conduit des enquêtes sur
les expérimentations actuelles en matière de production et surtout de
démocratie, Wright a proposé il y a trois ans un cadre général pour
penser la sortie du capitalisme par l’anticipation puis le déploiement
de ce qu’il appelle des « utopies réelles ». Envisioning Real Utopias (2010,
traduction française en cours) propose ainsi un diagnostic critique du
capitalisme, une redéfinition du socialisme et de ses voies de
progression potentielle et une théorie générale de la transformation
sociale. Mot(s) clés libre(s) : marxisme analytique, inégalités, possibilités contemporaines de transformation historique du capitalisme, démarches scientifiques des sciences sociales, pratiques politiques de constitution de formes de vie alternatives au capitalisme, utopies réelles
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ARON Stephen
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Mot(s) clés libre(s) : conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité collective (Etats-Unis), identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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The West and the construction of American Identity / Stephen Aron
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 10-06-2010
/ Canal-u.fr
ARON Stephen
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Stephen Aron explore les évolutions que l'on observe dans les études historiques et diverses formes d'expressions culturelles, y compris les arts visuels, les Wild West Shows, le cinéma et les expositions des musées. Il explique ainsi comment les Américains ont trouvé dans l'expansion vers l'ouest une clé pour comprendre le développement de la nation et une base sur laquelle ils ont construit et reconstruit leur identité nationale. Il suggère que ces expressions qui servaient à conforter les Américains dans leur vision positive de l'histoire et d'eux mêmes ont été remplacées par une version de l'histoire de l'ouest destinée à induire en eux un sentiment de culpabilité. Tout récemment, il voit émerger une version révisée du mythe de la frontière et de l'ouest qui a pour but de réconforter les Américains et qui repose sur une version alternative de l'histoire qu'il nomme le "colonialisme Kumbaya" ( référence à un chant scout qui célèbre l'unité entre les hommes) dont l'émergence révèle l'état de l'opinion culturelle au moment de l'élection du président Obama.The West and the construction of American Identity. Stephen ARON. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : identité collective (Etats-Unis), conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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IPM 2006 - D'IPM 2000 à IPM 2006 la success story de l'UMVF"
/ 31-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BENHAMOU Albert-Claude
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Albert-Claude Benhamou clôture IPM 2006 par un petit historique et nous annonce qu'IPM 2007 aura lieu à Strasbourg le 23,30 et 31 juin 2007.
Origine
Canal-U Médecine et Santé IPM 2006 Tunis
Générique
Auteur: BENHAMOU Albert-Claude Réalisation: SPI-EAO & CERIMES Mot(s) clés libre(s) : historique, Internet et Pédagogie Médicale, IPM 2006, IPM 2007, UMVF
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Archéozoologie et paléopathologie animale
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 02-12-2015
/ Canal-u.fr
BINOIS-ROMAN Annelise
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L’archéozoologie, c’est
l’étude des restes animaux, souvent osseux, mis au jour sur les sites
archéologiques. Composante essentielle de la recherche archéologique, l’archéozoologie
est le plus souvent employée pour reconstituer les régimes alimentaires des
populations passées en caractérisant les animaux élevés ou chassés par
celles-ci.
Dans cette vidéo, Annelise Binois nous explique comment les
techniques de l’archéozoologie peuvent aussi être utilisées pour identifier les
dépôts de carcasses animales consécutifs à des crises de mortalité ou à des
épidémies, et comment, en combinant ces résultats à des données issues d’autres
champs de recherche, il peut être possible de poser un diagnostic quant aux
causes précises de mortalités. L’exemple d’un dépôt de six squelettes de moutons
datés du XIIIe siècle et mis au jour à Téteghem, dans le Nord de la France,
permet d’illustrer cette démarche. Cette recherche contribue à notre
connaissance des maladies dans les élevages du passé et à l’histoire des
pathogènes sur le temps long.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par
l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes :
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Historique : de Galilée à nos jours, évolution de la notion de vitesse de la lumière
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 12-09-2003
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Exposé historique de la mesure et de la définition de la vitesse de la lumière.
Un article du dossier « La vitesse de la lumière ». Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, historique, Fizeau, Foucault, Galilée, Michelson, définition du mètre
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La vitesse de la lumière
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 12-09-2003
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Dossier consacré à la vitesse de la lumière : aspects historiques,
origine et signification physique de l'indice, relativité et vitesse de la lumière... et
quelques exemples d'objets qui vont ou semblent aller paradoxalement « plus vite que la
lumière ». Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, historique, Fizeau, Foucault, Galilée, Michelson, définition du mètre, relativité restreinte, relativité générale, indices optiques, indice optique, équations de Maxwell, fréquence d'oscillateur, effet Cherenkov, tachyon, jet de plasma ultrarelativiste
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