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Ouverture du colloque Apprendre, Transmettre, Innover à et par l'Université
/ Fabrice BELMESSIERI
/ Canal-u.fr
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Ouverture du colloque Apprendre, Transmettre, Innover à et par l'Universitépar Anne Fraïsse, Présidente de l'Université Paul-Valéry Montpellier 3Patrick Bourgin, Agence Nationale de la Recherche (ANR)Patricia Arnault, Direction Générale de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle (DGSIP)Guy Barral, Montpellier Méditerrannée MétropoleNicolas Leroy, Université de NîmesLaure Echalier, Vice-présidente du CEVU, Université Paul-Valéry Montpellier 3Cécile Poussard, Mission IDEFI, Université Paul-Valéry Montpellier 3 Mot(s) clés libre(s) : innovation, LMD, idefi, réussir en licence, réussite en licence, L1, innovation pédagogique
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Déplacements et transports urbains
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 19-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WOLFF Jean-Pierre, LE CORRE Sébastien
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Il existe différents types de déplacements, et l’évolution technique des modes de transports a des conséquences directes sur la morphologie des villes. Afin de gérer au mieux la relation entre transports et villes, différentes politiques des déplacements et des transports sont menées, ceci afin d’assurer un fonctionnement économique optimum. Mot(s) clés libre(s) : circulation urbaine, infrastructures de transport, plans de déplacements urbains, politique des transports urbains, transports urbains (aspect économique), urbanisme, ville (effets des innovations)
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Les risques des nanotechnologies
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 17-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WEISBUCH Claude, WEILL Claire
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Point de vue pour le débat sur les nanotechnologies de Claude Weisbuch Alors qu'elles étaient associées au départ à des espoirs de percées majeures dans la plupart des secteurs scientifiques, technologiques et économiques, les nanotechnologies deviennent l'objet de critiques radicales, certains en appelant même à un moratoire sur ces recherches. Il convient d'en débattre publiquement, en commençant par rappeler certains faits de base: 1. Le concept de nanotechnologie a pris son essor a cause du programme américain conçu pour redonner un élan aux disciplines physico-chimiques, laissées en plan aux USA par la priorité donnée à la biologie par le parlement américain. 2. Il faut rappeler la différence entre nanosciences et nanotechnologies. La nanoscience vise à l'exploration des phénomènes nouveaux apparaissant aux dimensions nanométriques, les nanotechnologies à leur mise en oeuvre dans des produits, ces phénomènes nouveaux ayant des origines physiques très variées. Une différence majeure apparaît immédiatement: alors qu'en nanoscience l'objet nanométrique est tout a fait digne d'intérêt, pour les applications il faut ramener ces propriétés nouvelles à l'échelle humaine pour l'utilisateur. Par exemple, une molécule unique peut être passionnante et faire l'objet de nombreux travaux de recherche, elle ne sert à rien toute seule. 3. Il n'y a pas de nanotechnologie définie en tant que telle, mais un patchwork de technologies très disparates suivant les domaines, et l'impact de l'échelle du nanomètre peut être très général ou très spécialise. Ayant défini très rapidement les nanotechnologies, on peut alors essayer d'analyser les incertitudes et risques associés aux nanotechnologies. Un premier point: en général, les risques associés aux aspects nouveaux des nanotechnologies sont bien sûr à traiter de la même manière que toute les autres activités scientifiques, technologiques, industrielles (qui ne sont pas en butée par rapport a ce qu'il conviendrait de faire, on peut en convenir !):protection des opérateurs lors de l'élaboration, identification des risques (dangerosité et exposition) des utilisateurs, recyclage des objets en fin de vie. La polémique sur la nanotechnologie/les nanotechnologies vient de ce que les critiques radicaux disent qu'elles ne sont pas de même nature que les autres, et n'exposent pas aux mêmes risques, et que le paragraphe ci-dessus ne s'applique pas: 1. on ne voit pas les objets des nanotechnologies. Dans la plupart des cas, en fait, ces objets ne seront pas accessibles sous leur forme divisée, nanométrique, mais dans un matériau système a l'échelle humaine, bien visible: circuit intégré en nanoelectronique, matériau composite à très haute résistance, matériau pour turbines à haute température, matrice nanométrique pour purification ou dessalement de l'eau, biopuces pour diagnostic médical, ... 2. Les éléments nanométriques vont partout, et donc dans des endroits ou ils sont dangereux, par exemple les organes du corps humain. Ceci n'est vrai lors de l'utilisation que pour les médicaments et les cosmétiques ou l'efficacité nouvelle est apportée par l'utilisation de la matière divisée. En ce qui concerne les médicaments, on est dans une situation ou il faut effectivement étudier ce qui serait des effets secondaires, puisque le médicament irait ailleurs que la ou on souhaite qu'il aille. Ceci est la définition même des effets secondaires des médicaments, et la longue procédure habituelle de validation des médicaments est tout à fait adaptée à prendre en compte la spécificité des nanomédicaments. En ce qui concerne les cosmétiques, les tests habituels sont certainement à faire évoluer, avant la mise sur le marché. Les académies britanniques, poursuivant les travaux de leur remarquable rapport sur les potentiels et risques de nanotechnologies, appelent de leurs voeux une publication transparente des tests effectués par et pour les industriels. C'est certainement une excellente recommandation (on pourrait aussi le réclamer pour d'autres produits....). D'autres possibilités d'exposition à des nanoparticules existent lors de l'élaboration et de la dégradation. Lors de l'élaboration, avant la mise en oeuvre dans des objets macroscopiques, il faut savoir que l'on sait manipuler des substances autrement plus dangereuses dans l'industrie. Le problème sera là de mettre en oeuvre des nouvelles réglementations adaptées tenant compte de la dangerosité et du risque d'exposition, avec aussi des moyens de mesure et de contrôle. Pour ce qui est de la dégradation, on entre ici dans un problème important, urgent, pour tous les secteurs industriels existant. Nous avons de fortes lacunes dans l'analyse du cycle de vie des matériaux. Les critiques radicaux nous affirment que les nanomatériaux ne se dégraderont pas dans l'environnement. Rien ne permet de l'affirmer, ni le contraire d'ailleurs (comme pour beaucoup de produits fabriques de manière massive aujourd'hui). Ce que la nature nous montre, par contre, c'est que la dégradation de nombreux matériaux minéraux ou biologiques n'aboutit pas à des nanostructures se promenant librement. Il y a dans ce domaine de la dégradation des matériaux (nanos ou non) un grand domaine scientifique à maîtriser. 3. Les nanotechnologies permettront d'entrer dans des domaines ou il ne faut pas aller ( la maîtrise du vivant et le rêve/cauchemar de l'immortalité, le contrôle de l'individu par des nanorobots qu'on lui injecte à son insu), ou peuvent permettre in-fine la destruction de la planète par l'émergence d'une intelligence collective de nanoobjets auto reproducteurs qui échapperaient au contrôle de leurs créateurs dans une furie destructrice. On est la en pleine science fiction, avec zéro science et 100% de fiction. Ces phantasmes viennent de non scientifiques (romanciers, princes héritiers, ...) ou de scientifiques non-spécialistes (extrêmement souvent des informaticiens et roboticiens)ne connaissant pas les bases de la biologie, de la neurologie, de la chimie, de la physique, de la théorie de l'information, qui permettent de montrer simplement l'impossibilité de telles réalisations. Les nanotechnologies permettront plus sérieusement d'accéder à des connaissances qui poseront des problèmes accrus en matière de protection des libertés individuelles, en facilitant très largement des techniques aujourd'hui encore limitées: empreintes génétiques des individus, fichage informatique, ... Ces dangers existent déjà aujourd'hui, et il faudra d'une part veiller a la bonne application des protections individuelles prévues, d'autre part à la définition de nouvelles protections lorsque des risques nouveaux apparaîtront (à ce sujet le comite national d'éthique montre que l'on ne peut émettre de recommandations que sur des questions bien identifiées, et pas sur des sujets généraux). Il est certainement utile d'en débattre. Résumé de Claire Weill Le risque de ne pas savoir de quoi on parle Il y a une quinzaine d'années, l'apparition de la microscopie à champ proche a permis de « voir » et manipuler des atomes individuels. Depuis, l'industrie de la microélectronique a poursuivi sa démarche de miniaturisation conduisant à la fabrication de matériaux structurés à des échelles inférieures au millième de millimètre (micron). Ces approches respectivement ascendantes et descendantes pour l'étude de la matière ont légitimement ouvert de nouvelles voies pour la recherche scientifique à l'échelle du nanomètre, le millionième de millimètre. Parallèlement des développements industriels ont mis à profit ces deux approches. Dès lors, plusieurs facteurs concourent à la très grande instabilité des discours sur les « nanotechnologies » et les « nanosciences » aujourd'hui dans les media, voire même des informations dans des publications dans des revues spécialisées, y compris scientifiques : la science dont il s'agit est récente et une grande partie des développements industriels sont encore balbutiants et pour une grande part confidentiels. Du fait des promesses considérables formulées sur les potentialités des nanotechnologies dans les domaines de la santé, de l'énergie, de l'environnement, du traitement de l'information
, des moyens financiers très importants et en forte croissance ont été investis dans la recherche fondamentale et appliquée dans tous les pays industrialisés depuis 2000. Ces promesses sont à la mesure des impasses dans lesquelles se trouvent nos sociétés, dont l'impasse écologique (épuisement des ressources fossiles et ponction excessive des ressources renouvelables, changement climatique
). Ces promesses démesurées se sont nourries d'abus de langages, de glissements sémantiques, d'assertions peu, voire pas du tout étayées. Ainsi, pour les besoins de la cause, des pans entiers de certains champs scientifiques ont été rebaptisés « nanos ». Les sciences physiques, chimiques biologiques et de l'information investissent désormais l'échelle du nanomètre. Ceci ne signifie pas pour autant l'automaticité de synergies entre les développements technologiques issus de leurs applications éventuelles. Or, un tel argument a été largement utilisé, en regroupant les synergies annoncées sous le vocable inapproprié et trompeur de « convergence ». Celui-ci a néanmoins le mérite d'évoquer la notion de projets, ceux des différents lobbies qui ont construit puis promu le développement des nanotechnologies. Notons en outre qu'il est absurde de penser qu'un champ scientifique se définirait par une échelle de taille, or on n'hésite pas à parler de « nanoscience ». Enfin, le nanomètre n'est pas, et de loin, la plus petite échelle de la matière investie historiquement par les scientifiques, qu'il s'agisse des physiciens des particules ou des chimistes moléculaires. Le fantasme de manipuler des atomes tels les éléments d'un lego a été véhiculé par plusieurs ouvrages de science fiction aux Etats-Unis à caractère prophétique, voire apocalyptique (E. Drexler, « Engines of creation », Engins de création, 1986 ; M. Crichton, « Prey », La proie, 2002). Ceux-ci ont donné l'illusion au lecteur qu'il pouvait comprendre, voire palper par la pensée ce qui se jouait à l'échelle atomique. Ce fantasme fait fi toutefois des lois de la physique quantique, qui compliquent considérablement la donne. Il introduit également une confusion entre l'approche scientifique et celle de l'ingénieur. Il apparaît donc urgent de déconstruire un certain nombre de discours et de s'attacher à davantage de rigueur dès lors que l'on évoque la science et les développements technologiques qui se déroulent à l'échelle du nanomètre, et ce dans l'intérêt de tous : politiques, citoyens, scientifiques et industriels. Les risques sanitaires, environnementaux et éthiques des nanomatériaux Les nanomatériaux présentent pour les autorités publiques des difficultés spécifiques. Déjà commercialisés dans des produits, les nano - objets sont susceptibles de diffuser dans l'environnement de multiples manières et sous des formes variées (nanoparticules libérées par exemple lors de l'usure de matériaux renforcés comme les pneus verts) et de pénétrer dans le corps humain par les voies respiratoires ou par la peau (crèmes solaires). Or, les modes de production des nanoparticules en laboratoire tout comme en milieu industriel sont loin d'être stabilisés. En outre, on ne dispose pas aujourd'hui de méthodes satisfaisantes permettant d'avoir accès à leurs caractéristiques structurales, réactives, et par voie de conséquences à leurs propriétés toxicologiques et écotoxicologiques. Par suite, nous sommes encore très loin d'une harmonisation des normes à l'échelle internationale, pourtant nécessaire dans le contexte de la mondialisation du commerce. Le cadre réglementaire européen couvre en théorie les nanoparticules, isolées ou insérées dans des produits, sans toutefois les prendre précisément en compte. En particulier, le règlement sur les substances chimiques en passe d'être adopté en Europe, REACH, pourrait encadrer les risques liés aux nanoparticules en introduisant des critères de dangerosité tels que la forte réactivité potentielle due à leur très grand rapport surface sur volume et la diffusion potentielle dans le corps humain. Cependant, les outils juridiques resteront inefficaces aussi longtemps que des techniques de caractérisation des nanoparticules sur l'ensemble de leur cycle de vie encore une fois, de quoi parle-t-on ? ne seront pas accessibles aux régulateurs. L'étude, et par conséquent l'optimisation ab initio, du cycle de vie de certaines substances chimiques ou nanoparticules se heurte également à des problèmes méthodologiques majeurs. A cet égard, la production et la diffusion non contrôlée de nanoparticules pourrait être source de dommages pour lesquels l'imputation de la responsabilité est difficile, faute de tracabilité possible. Le développement industriel contrôlé et responsable des nanoparticules ne se fera donc pas sans franchir au préalable certaines étapes. Ceci exigera des efforts aussi bien des autorités publiques que des acteurs économiques, en particulier pour assurer l'existence et le maintien de ressources suffisantes en experts toxicologues et écotoxicologues dans leurs sphères respectives. Les questions éthiques associées à certains développements potentiels issus de nanotechnologies sont similaires à celles que posent des technologies existantes - en termes de protection de données privées notamment, mais aussi de brevetabilité du vivant, si l'on considère que les nanotechnologies recouvrent une partie des biotechnologies. Certes, les risques pourront être amplifiés par l'augmentation des capacités de stockage et de traitement de l'information qu'apporte la miniaturisation de la microélectronique, qui est d'ailleurs loin d'approcher l'échelle nanométrique. Cependant, l'arbre cachant souvent la forêt, certains usages de dispositifs non nanométriques mais rebaptisés « nano », comme l'utilisation de puces ADN, pourraient fragiliser les systèmes de santé des pays industrialisés, et accentuer encore s'il en était besoin les inégalités avec les pays en développement. Ainsi, l'exploitation de tests génétiques à fins de thérapies préventives personnalisées pourrait provoquer, si elle s'avérait fondée scientifiquement, l'apparition de traitements extrêmement onéreux inaccessibles au Sud et conduisant au Nord, soit à une augmentation considérable des coûts de santé publique, soit à une médecine à deux vitesses. Les nanotechnologies exemplifient une difficulté majeure pour nos sociétés technologiques : celle des rythmes différents Le développement de technologies conduisant à la mise sur le marché de nouveaux produits et systèmes s'effectue à un rythme si rapide qu'il ne permet pas aux Etats d'encadrer à temps les risques associés, lorsque cela est possible. En outre, les autorités publiques ne peuvent assumer seules la charge de développer les moyens techniques à cet effet. Par ailleurs, le paysage des risques avérés et potentiels qui résultent des activités économiques devient inextricable à un tel point que le gestionnaire de risques, en situation d'arbitrage impossible, se trouve confronté à des dilemmes sans fin. Le niveau d'indécidabilité augmentant, les gouvernements ont de plus en plus recours à des consultations de citoyens, afin d'estimer l'appréhension par la société de risques liés à des technologies émergentes. Ces nouveaux instruments de nos démocraties techniques, aussi intéressants et séduisants soient-ils soulèvent toutefois des questions difficiles. Ils ne pourront en particulier être utiles pour la progression des débats sur les questions aussi larges que disparates regroupées aujourd'hui sous le vocable de nanotechnologies qu'en sériant les problèmes. D'un autre côté, les bénéfices de technologies émergentes conduisant à des innovations radicales ne seront perceptibles bien souvent qu'à moyen ou long terme. Pour ce qui concerne les nanotechnologies, des pistes très intéressantes se dessinent dans le domaine médical, celui des économies d'énergie (lampes basse consommation, piles à combustibles, matériaux plus légers et plus résistants), du traitement des eaux et de la remédiation des sols. Il importe toutefois de garder à l'esprit que leur exploitation ne pourra survenir que dans les prochaines décennies, durant lesquelles les contraintes qu'exerce l'homme sur la planète s'intensifieront. A cet égard, un des risques politiques majeurs associé à l'engouement pour les nanotechnologies serait d'entretenir l'illusion que des solutions purement technologiques pourraient permettre de diminuer ces contraintes de manière significative à un horizon temporel pertinent. Mot(s) clés libre(s) : biopuce, éthique, innovation technologique, miniaturisation, nanomatériaux, nanosciences, nanotechnologies, protection de l'environnement, risque sanitaire, science des matériaux
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La vidéo, un art de l'espace et du temps
/ UTLS - la suite
/ 19-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
VAN ASSCHE Christine
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Nous assistons ces dernières années à l'expansion, dans et hors du champ des musées, du phénomène vidéo. Depuis que la vidéo est enseignée dans les écoles d'art et les facultés d'art plastiques, au même titre que la peinture, le dessin, la sculpture et la photographie, et parallèlement à la diffusion de celle-ci par l'intermédiaire du DVD, elle trouve sa place dans les salles de nos grands musées et dans des collections privées, mais rarement à la télévision. La création vidéo peut prendre la forme de l'installation occupant un espace bien spécifique ou de la cassette et du DVD se diffusant en projection ou sur un moniteur, rejoignant ainsi les modalités de diffusion du cinéma. La conférence retracera l'histoire de ce médium depuis les laboratoires expérimentaux des studios officiels de télévisions jusqu'aux écrans plats sur les murs des collectionneurs privés. Les grandes étapes de cette histoire nous conduiront des expérimentations, des performances filmées, des mouvements de contre information issus de 1968, des recherches d'un vocabulaire spécifique, de l'évolution de la bande vidéo vers l'installation et les tendances actuelles (performance, narration, documentaire). Nous nous intéresserons tant à l'évolution du médium lui-même et aux grands mouvements esthétiques qu'au développement des genres et aux modalités de diffusion. Nous aborderons rapidement quelques questions pragmatiques liées au support telles que l'évolution des machines et des supports de conservation, ou des conditions de diffusion dans des espaces publics. Cette présentation sera illustrée d'exemples issus des collections du Centre Pompidou. Seront présentées des extraits d'oeuvres des artistes Nam June Paik, Jean Luc Godard, Gary Hill, Mathieu Laurette, Bill Viola
) Et finalement des renseignements seront donnés sur les lieux de visionnage, de présentation et d'acquisition de ces oeuvres. Une courte bibliographie accompagnera cette conférence. Mot(s) clés libre(s) : art vidéo, art vidéo et espaces publics, audiovisuel, audiovisuel et art, espace et temps, innovations, installations vidéo, vidéo (applications dans les musées), vidéo et espace
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Le reengineering : comment passer d'un domaine à l'autre ?
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence du cycle : Qu'est-ce qu'un ingénieur aujourd'hui ? L'ingénieur, le génie, la machine du 10 au 14 janvier et du 16 au 19 janvier 2010, à 18h30 Le reengineering : comment passer d'un domaine à l'autre ? par Philippe Hedde, directeur général, IBM France et Franck Debouck, ingénieur Air France Mot(s) clés libre(s) : collaboration, culture scientifique, génie industriel, métier de l'ingénieur, processsus d'innovation, R&D, reengineering, technologies de l'information, transfert de technologie
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Face à la crise : développement durable et mondialisation -Luc Ferry
/ UTLS - la suite
/ 22-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
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Une conférence du cycle "La croissance verte, comment ?"Face à la crise : développement durable et mondialisation par Luc Ferry, philosophe Mot(s) clés libre(s) : bohème, crise, développement durable, innovation, mondialisation
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Gouvernance et compliance
/ 07-02-2013
/ Canal-u.fr
TRICOT Daniel
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Gouvernance et compliance : deux notions récentes issues d’un
mouvement anglo-saxon. 1) Problématiques de la gouvernance :
organisation interne des sociétés, recherche de bons usages
professionnels efficaces et fructueux pour l’entreprise. 2)
Conformité/compliance : respect notamment des lois et règlements.
Recherche de la protection de l’image de l’entreprise. But : éviter
responsabilité pénale et civile des dirigeants.
Governance and compliance: two new Anglo-Saxon concepts. 1)
Governance issues: internal firms structuring, finding good practices
which are efficient and fruitful for firms. 2) Compliance: compliance
with Acts of parliament and Decrees. Looking for protection of
perception of the firms. Purpose: avoiding civil and criminal liability
of Directors.
Retrouvez plus de vidéos de Daniel Tricot sur TVDMA.org Mot(s) clés libre(s) : entreprise, entreprenariat, durable, conformité, gouvernance, croissance, développement, innovation, économie, compliance
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PédagoTICE 2015. Plénières : conclusion et perspectives de recherche / André Tricot
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
TRICOT André
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PédagoTICE 2015. Plénières : conclusion et perspectives de recherche / André Tricot, in colloque organisé par la Direction des Technologies de l’Information et Communication pour l’Enseignement (DTICE) et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, Ergonomie, axe "Travail et Cognition" (CLLE-LTC)
de l’Université Toulouse Jean Jaurès campus Mirail, l'École Supérieure
du professorat et de l'éducation Midi-Pyrénées (ESPE) et le Service
interUniversitaire de Pédagogie (SiUP) de l’Université Fédérale de Toulouse. Toulouse, 29-30 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : technologies éducatives, usages du numérique dans l’enseignement supérieur, tests et mesures en éducation, évaluation en éducation, enseignement supérieur (effets des innovations)
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Technologies, innovations et risques - Didier Torny (2/2)
/ UTLS au lycée
/ 22-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
TORNY Didier
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Une conférence de l'UTLS au LycéeTechnologies, innovations et risquesPar Didier Torny, INRALycée René Cassin Mot(s) clés libre(s) : innovation technologique, principe de précaution, production industrielle, risques, sécurité publique, technologies
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Technologies, innovations et risques
/ UTLS - la suite, UTLS au lycée
/ 22-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
TORNY Didier
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Ces dernières années ont été marquées par une multitude de crises sanitaires, alimentaires, environnementales, technologiques qui ont envahies l’espace public et ont été annoncées comme une menace. Les interprétations de ce déferlement de crises sont nombreuses : le monde est moins sûr, la science est en crise…Chercheur à l’INRIA, Didier Torny nous propose son interprétation de ce phénomène.Une conférence de l'UTLS au lycée . Lycée Henri Brisson (18 Vierzon) Mot(s) clés libre(s) : évaluation du risque, innovation technologique, principe de précaution, risques pour la santé
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