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L'évolution démographique en Espagne
/ Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
PUEYO-CAMPOS Angel, LE CORRE Sébastien
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La population espagnole connaît de lourds changements structurels et conjoncturels. L'évolution de cette dynamique est ici saisie au travers d'une série d'indicateurs démographiques, afin d'analyser des processus comme le vieillissement, l'évolution de la natalité, la répartition spatiale des populations, l'exode rural et ses conséquences sociales. Parallèlement, d'un pays d'émigration massive, l'Espagne devient une terre d'accueil pour les populations étrangères d'origines multiples. Au-delà d'un simple constat, les conséquences ainsi que les enjeux futurs pour l'Espagne sont également abordés. (entretien réalisé le 22 janvier 2007)GénériqueInterview : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post-prodction : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : SCAM / Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : démographie, émigration et immigration, espagne, exode rural, intégration sociale, natalité, politique démographique, population, répartition (démographie)
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Intégration
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Pauly Marc
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Textes d'exercices sur l'intégration. Mot(s) clés libre(s) : intégration
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Examen de fin de semestre
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Pauly Marc
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Ce texte d'examen comporte 3 exercices et un problème Mot(s) clés libre(s) : FLE, français langue étrangère, vocabulaire français des mathématiques, géométrie, vecteurs, nombres complexes, dérivation vectorielle, fonctions usuelles, intégration, équations différentielles, coniques
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Examen de fin de semestre
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Pauly Marc
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Ce texte d'examen comporte 3 exercices et un problème Mot(s) clés libre(s) : FLE, français langue étrangère, vocabulaire français des mathématiques, géométrie, vecteurs, nombres complexes, dérivation vectorielle, fonctions usuelles, intégration, équations différentielles, coniques
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Devoir - Intégration
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Pauly Marc
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Ce texte de devoir aborde l'intégration Mot(s) clés libre(s) : FLE, français langue étrangère, vocabulaire français des mathématiques, intégration
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La laïcité vue par un musulman
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 21-04-2004
/ Canal-U - OAI Archive
OUBROU Tarek
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Le principe de laïcité, inscrit dans la constitution, représente aujourd’hui un des fondements de la République française. Il repose sur deux principes : l’obligation de l’État de ne pas intervenir dans les convictions de chacun et l’égalité de tous devant la loi, quelle que soit leur religion. Mais dans le contexte actuel de réémergence du fait religieux et des revendications identitaires, comment négocier la pratique musulmane en France?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2003-2004 sur le thème "Demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : coran, identification, intégration, islam, islam et état, laïcité, musulmans, religion, sécularisation
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Puces et biopuces
/ Mission 2000 en France
/ 07-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MORENO Roland
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La puce est un carré en silicium (seul matériau avec lequel on soit arrivé à faire des semiconducteurs), plus petit que l’ongle du petit doigt, avec de très nombreuses petites pattes qui font penser à une puce. On peut se faire une idée de la révolution qu’a introduit la puce, en consultant par exemple Internet, qui est de loin la manifestation la plus spectaculaire des possibilités. Il y a des microprocesseurs partout, c’est à dire l’intelligence ; il y a des mémoires. Je n’ai inventé que la carte à puces. Les biopuces sont une sorte de fantasme journalistique : il n’y en a pas qui fonctionne. Les grands de l’informatique comme Intel, Texas Instrument ne travaillent pas dessus. C’est trop différent des circuits intégrés.Il y a une différence spectaculaire entre mémoire informatique et mémoire humaine.Comment se fait-il qu’il est si difficile d’apprendre ? Qu’il soit impossible d’oublier sur commande ? Aujourd’hui j’ai une veste jaune, si demain vous voulez chasser cette image de votre mémoire, ça vous sera complètement impossible. Il n’y a pas d’intersection entre la volonté et la mémoire. La mémoire artificielle la plus simple : une feuille de papier, une vitre embuée sont des mémoires, au sens où l’on peut inscrire une information et elle reste. Toutes ces mémoires sont effaçables. Il suffit de frotter avec un chiffon et l’information s’évapore. Rien de tel n’est concevable avec notre mémoire. La mémoire humaine est infinie ; ce soir ayant déjà dans notre tête tout ce que nous avons, nous allons voir un film d’action, on sort avec le film dans la tête mais ça n’a pas chassé de précédent souvenir. Les mémoires artificielles sont finies, elles ont un espace délimité. Une cassette de magnétoscope, une fois remplie, ne peut prendre une seconde d’images supplémentaires. Sur cet étonnement, j’ai voulu créer une mémoire artificielle ayant les traits de fonctionnement de la mémoire humaine, son irréversibilité. Une information enregistrée est irréversiblement enregistrée. Les informaticiens adorent ce type de situation stable... Mot(s) clés libre(s) : carte à puce, circuit intégré, identification, information irréversible, mémoire informatique, microélectronique, microprocesseur, semi-conducteur, silicium
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Vous avez dit handicap ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 21-02-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MAZAUX Jean-Michel, BARUCQ Jean
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A partir des années 70, la représentation sociale du handicap se déplace d’un modèle individuel et biomédical à un modèle social. La société s’adapte à la personne handicapée et non plus l’inverse. Les associations et les familles ont joué un rôle fondamental dans cette mutation : les associations par leur rôle de pression politique sur la société et la famille moderne par sa combattivité. Ce mouvement aboutit le 11 février 2005 à la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées qui apporte plusieurs points positifs dont pour n’en citer que quelques-uns une définition du terme «handicap », absente de la loi de 1975 et la création des Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH). Ces structures, destinées à faciliter les démarches, offrent dans chaque département un accès unifié aux droits et prestations prévus pour les personnes handicapées.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : droit, handicap, handicapés, intégration, politique publique, protection, services aux handicapés
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La formation des ingénieurs aujourd'hui : continuités, comparaisons mutations
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MAURY Claude
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Une conférence du cycle : Qu'est-ce qu'un ingénieur aujourd'hui ? L'ingénieur, le génie, la machine de janvier 2010.La formation des ingénieurs aujourd'hui : continuités, comparaisons mutations.par Claude Maury, délégué général du Comité d'études sur les formations d'ingénieursIl est difficile d'évoquer en France la formation des ingénieurs sans avoir à répondre à des interrogations multiples sur le particularisme de notre dispositif, et à devoir tirer au clair un certain nombre de présupposés. La spécificité des solutions françaises, peu discutable sur certains aspects, est avant tout le fruit de notre histoire, même si le développement des formations d'ingénieurs dans les grands pays développés s'est fait de manière assez parallèle, pour l'essentiel après 1860.Les premières formations créées à cette époque, ont résulté pour l'essentiel d'une demande du monde économique, et ont généralement pris place à la périphérie du système universitaire traditionnel.C'est en fait en Allemagne, que s'est imposé en fin du 19ème siècle, un modèle d'école technique supérieure, reconnu ultérieurement (non sans peine) comme université technique. Celui-ci a servi d'inspiration majeure pour de nombreux pays européens et pour l'Amérique du Nord (mais non en France, marquée par la défaite de 1870). Depuis la seconde guère mondiale, on se réfère il est vrai plus couramment au modèle de l'université de recherche nord-américaine, richement dotée en fonds propres, et très fortement irriguée en contrats de recherche, dont l'un des traits distinctifs marquants est sans doute la proximité forte entre toutes les disciplines scientifiques et l'engineering.En ce début de 21ème siècle les formations d'ingénieur sont confrontées à des évolutions extrêmement rapides de leur environnement technologique et industriel, du fait en particulier du déplacement vers l'Asie d'une majorité des industries manufacturières, de l'émergence d'une nouvelle économie de la connaissance et des perspectives ouvertes par de nouvelles associations de technologies en mutation rapide, comme celles de l'électronique et des sciences de la vie. Elles ont aussi à tenir compte d'attentes et d'exigences sociétales nouvelles et de la réalité d'un monde fini, déstabilisé à la limite par la consommation sans frein des ressources naturelles.Dans ce contexte peu prévisible, de grande variabilité, où le succès dépend largement d'une capacité à faire, à bien faire et plus encore à innover, les formations d'ingénieur ont, à trouver un nouvel équilibre entre une vision créative de "supply push" (logique d'offre anticipatrice), par rapport à une tradition de "demand pull" d'ajustement à la demande.Trois lignes d'inspiration peuvent être proposées, qui constituent l'enveloppe potentielle d'une politique volontariste dans ce domaine :- Assurer, par des options institutionnelles adaptées une véritable réactivité stratégique, sans nécessairement passer par une grande taille (même si celle-ci peut devenir un atout décisif, voire incontournable), en s'assurant par contre de la perméabilité effective des interfaces, en particulier entre la technologie et la science, et la création de communautés mêlant hommes de savoir et hommes de réalisation, et d'un management adapté à cette nouvelle donne,- Prendre en compte les exigences imposées à l'ingénieur de maîtriser une complexité accrue, que ce soit une complexité concrète renvoyant au sens pratique, une complexité de modélisation, dont on sait trop qu'elle ne se suffit pas à elle-même, ou une complexité sociale impliquant une acceptation du débat contradictoire jusqu'à une amorce de sens politique,- Veiller à ne pas favoriser à l'excès une vision "fonctionnaliste" des formations, on pourrait même ajouter "gestionnaire", en pensant à l'avalanche de normes et de cadres de références supposés dire le vrai, pour redonner tout son sens et toute sa richesse au rapport entre le cadre de formation et un élève en formation, en attente de motivations et de valeurs, voire de modèles et d'encouragement à développer son potentiel.Si l'importance accordée par un pays à ses formations d'ingénieurs est souvent présentée comme une réponse réaliste à ses besoins, on peut la voir tout autant dans sa dimension symbolique, comme expression d'une foi dans nos capacités à dégager et mettre en oeuvre des solutions originales et efficaces à tous types de problèmes. Mot(s) clés libre(s) : classe préparatoire, Commission des Titres d'Ingénieur, CTI, cycle intégré, école technique supérieure, études scientifiques, formation d'ingénieur, génie, grande école, université technique
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Europe et migration - M. Khedimellah, D. Malingre
/ UTLS au lycée
/ 14-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MALINGRE Daniel, KHEDIMELLAH Moussa
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Une conférence de l'UTLS au LycéeIdentité et migration en Europe par Moussa Khedimellah et Daniel Malingredans le cadre du Festival des Lycéens (Marsac sur l'ISLE Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, identité, intégration, migrations
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