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Carrying the Feeling
/ 05-11-2015
/ Canal-u.fr
MANNING Erin
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Carrying the Feeling explores autistic Lucy Blackman’s use of “carrying” as an expressive force in herwriting. Continuing to delve into what I have called autistic perception theforce of perception that doesn’tyet parse out the environment but attends to the emergent qualities of an environmentality in act inthispaper I explore how else we might think conceptssuch as volition, intentionality and agency. Of particular interest here is the concept of facilitation, and theimprovisatory nature of what I call a “facilitation of facilitation.” If carrying is a force that already composeswith language, perhaps there is a productive way to consider an environmentally propulsive concept ofagencement as operator in experience rather than the ubiquitous firstpersonaccount of agency?Challenging what I call “neurotypicality as first identity politics,” I propose to open up a discussion of whereelse a conversation of relation might begin. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Joint Improvisation in Music and Dance: Some Preliminary Phenomenological Considerations
on Improvisation as an Enactive Process
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
MAGRIN-CHAGNOLLEAU Ivan
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"I have been a practitioner of soloandjointimprovisationin music and dance for a while. And I have alwayswondered what the main differences were between the two. What I am particularly interested in are the typeof experiences that allow me to cognitively function in a different way, that is, that allow me to explore new(cognitive) territories. In particular, there is always a moment, in an improvisation, be it solo or joint, when Iam in the « zone », that is, in a type of trance where my conscious mind is not in control anymore, or at leastseems not to be in control anymore. And my experience is that I reach that state faster in joint improvisationthan in solo improvisation. In this presentation that will be more in the form of a conversation, I would like totry to describe the experiences I have been through as an improviser from a phenomenologicalpointofview,and emphasize the differences between soloandjointimprovisation.I will formulate somehypotheses on brain remapping in both situations, soloandjointimprovisations,hypotheses that rely fornow only on my own phenomenological experiences and my own interpretation of them. I will also describehow I believe that soloandjointimprovisationsprovide an excellent framework to illustrate the concept ofenaction proposed by Francisco Varela, and how this concept is activated slightly differently in both cases." Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Histoire sociolinguistique de Paris
/ UTLS - la suite
/ 04-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LODGE Anthony
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Le "Français de Paris" s'identifie traditionnellement avec le français 'officiel' ou 'standard'. Ce français aurait évolué, à partir du latin, suivant des lois émanant de sa structure interne, secondée de temps à autre par l'intervention de gens cultivés hantant la capitale. Les écarts de la norme perpétrés par la population parisienne s'expliqueraient en général par la paresse ou par l'ignorance. La sociolinguistique historique offre une vision assez différente des choses. Elle soutient d'abord que la langue des villes est caractérisée, à toutes les époques, par une grande variabilité et que les variétés linguistiques en présence évoluent de manière symbiotique. Elle soutient ensuite que c'est la communauté des locuteurs qui fait évoluer la structure des langues et non pas l'inverse. Une histoire sociolinguistique de Paris se doit donc d'être multidimensionnelle et d'enchâsser l'évolution linguistique de cette très grande ville dans une analyse crédible de son évolution démographique et sociale. Ce beau programme bute néanmoins contre un problème fondamental, que certains jugent insurmontable - celui des preuves. Paris possède une documentation linguistique vraisemblablement plus riche que les autres villes d'Europe, mais même là les sources historiques restent inadéquates. L'historien sociolinguistique se trouve ainsi en situation de paradoxe: construire des systèmes hypothétiques est toujours dangereux, mais faire de l'histoire sans faire d'hypothèses est impossible. Dans cette conférence je propose un rapide survol de l'histoire sociolinguistique de Paris depuis le XIIe s. jusqu'au milieu du XXe s. Je vais rapprocher deux ordres d'idées, le premier tiré de la théorie de l'urbanisation proposée par Hohenberg et Lees (1985), et le second inspiré des travaux sur le contact de dialectes menés par Peter Trudgill (1986). Les premiers offrent une périodisation du développement urbain en Europe en trois phases : la période pré-industrielle (XIe-XIVe s.), la période proto-industrielle (XVe-XVIIIe s.) et la période industrielle (XIX-XXe s.). Peter Trudgill, part du principe que si les communautés linguistiques vivant en autarcie ne sont pas inconnues, elles sont rares à l'époque moderne, et tout à fait inconnues dans les grandes villes, les villes étant les endroits privilégiés de contacts de dialectes, de mélanges dialectaux. Trudgill isole trois processus qui entrent en jeu lorsque les locuteurs de dialectes différents se trouvent en situation d'interaction fréquente: 'koinéisation', ''réallocation' et 'nivellement'. Nous chercherons à établir des corrélations entre les trois phases de l'urbanisation, identifiées par Hohenberg & Lees, et les principaux processus observés dans les cas de contact dialectal analysés par Trudgill. Mot(s) clés libre(s) : attitudes linguistiques, dialectes urbains, français, langues en contact, sociolinguistique, variation linguistique
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Table ronde : Humanités et euro-méditerranée. Fonctions socio-culturelles des Humanités
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LEVET Jean-Pierre, SALHA Habib, VOISIN Patrick
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Table ronde "Humanités et euro-méditerranée". Dans "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème I : Humanités et sociétés, 27 mai 2010.- Philologie européenne et euro-méditerranéenne. Jean-Pierre Levet (professeur de grec, Université de Limoges).- Le feuilleté des langues : la Tunisie plurielle. Habib Salha (professeur, Faculté des Lettres de la Manouba, Tunis).- Les humanités sont aussi de la rive sud. Patrick Voisin (professeur de lettres en CPGE, Pau). Mot(s) clés libre(s) : civilisation classique (étude et enseignement), culture méditerranéenne, lettres classiques (enseignement supérieur), linguistique, littérature tunisienne de langue française
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Philosophie et vie quotidienne
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 07-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAUGIER Sandra
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Eminent philosophe et auteur du Tractatus logico-philosophicus (1921), Ludwig Wittgenstein joue un rôle considérable dans le développement et la diffusion de « la philosophie du langage ordinaire », un courant de la philosophie analytique.Prenant le contrepoint de la philosophie « traditionnelle » qui développe des grandes théories sur le monde, Wittgenstein trouve dans la philosophie un principe apte à aider l’homme à clarifier ses propres pensées. Il ramène la philosophie à une pensée du quotidien et du langage ordinaire car c’est par le langage que l’homme peut comprendre l’ordinaire.La question fondamentale de la philosophie se déplace ainsi, avec l’avènement de « la philosophie de l’ordinaire » d’une recherche transcendantale à un fondement strictement pragmatique. Le philosophe américain Stanley Cavell se réapproprie quelques années plus tard les fondements de cette philosophie de l’ordinaire et en réinterprète les principes dans son ouvrage The Claim of Reason (1979).Spécialiste de Cavell et de la « philosophie de l’ordinaire », Sandra Laugier nous explique le développement de cette pensée outre-Atlantique.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2008-2009 sur le thème "Actualités". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : cinéma, Etats-unis, langage ordinaire, Ludwig Wittgenstein, philosophie, philosophie analytique, philosophie du langage, philosophie linguistique, Stanley Cavell
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“Beneficial JI” - Short talk 2.2: Julien Laroche -
Being together when time is improvised: interactive coordination in pedagogical improvisations
/ 05-11-2015
/ Canal-u.fr
LARRAIN Pablo
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Improvising music toghether involves coping in realtimewith unprecedented patterns of behavior of another. The goal is to achieve and share a meaningful coperformance,and this is done by interacting.Therefore, processes underlying improvisation cannot be fully grasped by musical analysis only. Behavioralpatterns and collective dynamics that underlie joint improvisation encourage the scientific study of thecoperformanceitself. This is important to understand how improvisers can coordinate their behavior together in a meaningful fashion. However, improvising is first and foremost a practice that requires learning,experience and expertise. Objective measurements aren’t sufficient : integrating the phenomenologicalpoint of view of the improviser is also necessary. For this reason, we work as a dyad of researchers: acognitive scientist, and a professor of pedagogy who makes use of improvisation to foster learning. We thentrack interactive processes underlying joint improvisation during their very learning by novices and with theguidance of an expert. In this talk, we describe our pedagogical method of interactive improvisation (theKaddouch pedagogy) and its underlying system of thought. We present our system of qualitative analyses ofmusical interactionsand frame our observations during lessons in a dynamical, enactive framework. Then, we show how wecapture interaction processes by quantitative and dynamical analysis. More specifically, we are currentlyinterested in the coordination of tempo fluctuations during performance. On the basis of our concepts,observations and results, we discuss the role of the process of interaction as a source of coordinationbetween improvisers’ behavior. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Phonologie et cognition
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LAKS Bernard
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Conférence du 14 février 2000 par Bernard Laks. La phonologie analyse l'organisation de la composante sonore du langage. La conférence illustrera l'aspect cognitif et mental de ce fonctionnement phonologique. Les représentations mentales du signe sonore sont constituées par des catégories arbitraires et abstraites, les phonèmes. Selon les langues, le nombre et les limites de ces catégories sont très variables. On en donnera des exemples. Malgré cette diversité, les langues humaines sont extrêmement semblables. La conférence illustrera l'approche "Principes et Paramètres" qui rend compte à la fois de l'universalité de la compétence linguistique de l'espèce et de la paramétrisation singulière qu'on observe langue à langue. Enfin, les représentations mentales abstraites que manipule notre compétence de locuteur ne sont pas linéaires. Leur structure interne et leur architecture cognitive expliquent un grand nombre de processus phonologiques observés. On en prendra des exemples dans diverses langues. Mot(s) clés libre(s) : communication, langage et langues, langues (diversité), linguistique cognitive, phonologie (aspect cognitif), représentations mentales, sciences cognitives, signe (linguistique)
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Going into the unknown in science and art
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
KEYSERS Christian
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Scientists must grope into the undefined place beyond the known. So must improvisation theater actorswalking onto the stage with no idea what will happen next. Improvisation theater developed practices thathelp groups of actors create a new scene on the spot, by focusing on mutual support: saying yes to eachothers ideas and bypassing the inner critic that spoils our spontaneity. I’ll describe how as a scientist by dayand improvisation actor by night, I learned from theater how to do better science. The concepts are universaland can apply to unexpected situations across disciplines. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Brain to Brain approaches to joint actions
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
KEYSERS Christian
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Joint actions require an ability to understand and predict the actions of others far enough into the future to
have time to plan and execute matching motor programs. Here I will review experiments in which we have
tracked information flow from one brain to another to show that the motor system seems to play a key role in
these functions. I will embed this experimental data in a Hebbian learning model, which posits that
predictions are the result of synaptic
plasticity during selfobservation. Jointly this talk will aim to trigger thoughts on how we can study the
involvement of the motor system in coordinating actions across individuals Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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La modélisation mathématique des langues naturelles
/ UTLS - la suite
/ 03-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
KAHANE Sylvain
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L'objet central de la linguistique contemporaine est de modéliser les langues naturelles et leur fonctionnement, c'est-à-dire comment un locuteur exprime un sens dans une langue donnée ou comment à partir d'un énoncé linguistique il récupère son sens. De questions sur la langue sont nées des branches fondamentales des mathématiques : la modélisation du sens (et du raisonnement) a donné la logique et la modélisation de la syntaxe a donné la théorie des langages formels et les bases de l'informatique. Alors que ces objets mathématiques venus de la linguistique poursuivent une vie autonome, les modèles mathématiques de la langue continuent d'évoluer sur des architectures de plus en plus complexes intégrant un véritable calcul du sens et prenant en compte la diversité des comportements des mots et leur faculté de former toujours de nouveaux sens. Nous illustrerons notre propos par un fragment de modèle mathématique pour le français. Nous comparerons ces modèles symboliques avec les modèles statistiques basés sur l'analyse automatique de grands corpus textuels annotés. Nous nous intéresserons également aux (non) liens institutionnels entre linguistique et mathématique, ainsi qu'à la position de la linguistique mathématique par rapport à la linguistique informatique et au traitement automatique de la langue. Mot(s) clés libre(s) : grammaire générative, langue naturelle, linguistique informatique, linguistique mathématique, modèle statistique, modélisation mathématique, sémantique, structure syntaxique, traitement automatique de la langue
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