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From me and you to we: how our brain integrates our actions and emotions when we interact
/ 05-11-2015
/ Canal-u.fr
GAZZOLA Valeria
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It is now well known that areas in the brain that are active when we act or feel become active again when weobserve other people act and express their emotions – as if we would internally relivewhat the other personis doing and feeling. In our daily lives though we hardly behave as passive observers, but rather interact withothers. During my talk I will guide you through a series of experiments that try to investigate how our brainintegrates our perception of others within a more realistic dyadic interaction in which such perception istransformed into a behavioural response to the state of the other. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008
Questionnaire linguistique comparatif akélé, babongo, awanji et adouma, 15 avril 2008 Doumé
/ 15-04-2008
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique des Pygmées Babongo, avril - mai 2008 (Gabon)
05 Questionnaire linguistique comparatif akélé, babongo, awanji et adouma (7 mn 33)
15 avril 2008 : Doumé, Ogooué-Lolo, Gabon
ACTEURS
Malemba, chef de Doumé
ses enfants, petits enfants et épouses
Bernard Lomba, chef de Manenga
Sylvie Le Bomin, ethnolinguiste & ethnomusicologue
MONTAGE : Alain Epelboin & Annie Marx
CAMÉRA-SON : Alain Epelboin
AUTEURS-RÉALISATEURS : Alain Epelboin & Sylvie Le Bomin Mot(s) clés libre(s) : afrique, chef de village, malade mental, comparatif, linguistique, akélé, Ogooué-Lolo, Babongo, Awanji, Adouma, Doumé, pygmée, interaction mère-enfant, film ethnographique, Gabon, habitat, questionnaire, vidéo, langue
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Operationalizing Social Neuroscience through HumanHuman and HumanMachine Interactions
/ 05-11-2015
/ Canal-u.fr
DUMAS Guillaume
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How are neural, behavioral and social scales coordinated in real time so as to make possible the emergenceof social cognition? Answering this question requires to study the dynamics of coordination in real humaninteractions. However, even at the simplest dyadic scale, methodological and theoretical challenges remain.Several theories have been proposedto infer the link between neurobiology and social psychology, but the dynamical components of humaninteraction are still poorly explored because of the difficulty to record simultaneously the brain activity fromseveral subjects. This is the goal of hyperscanning methodology. I will first present how the combination ofsituated social paradigms with hyperscanning allowed to demonstrate that states of interactional synchronyat the behavioral level correlate with the emergence of interindividualsynchronization at the brain level(Dumas et al. PLoS ONE 2010). These interbrainsynchronization appeared to reflect in different frequencybands different aspects of social interaction, such as interactional synchrony, anticipation of other’s actionsand coregulationof turntaking.Then, I will present how such phenomena can be simulated with biologicallyinspired numerical simulations (e.g. using direct measures of brain connectivity with DTI) and how thehuman connectome facilitates interindividualsynchronizations and thus may partly account for ourpropensity to generate dynamical couplings with others (Dumas et al. PLoS ONE 2012). Finally, I willpresent another tool called the Human Dynamic Clamp (HDC) (Dumas et al. PNAS 2014). This HDCintegrates equations of human motion at the neurobehavioral level. A human and a “virtual partner” are thenreciprocally coupled in realtime,which allow controlling the dynamical parameters of the interaction whilemaintaining the continuous flow of interaction. This technique scaled up to the level of human behavior theidea of dynamic clamps used to study the dynamics of interactions between neurons. Combininghumanhumanand humanmachineinteractions thus presents new approaches for investigating theneurobiological mechanisms of social interaction, and for testing theoretical/computational modelsconcerning the dynamics at the neural, behavioral and social scales. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Le sens
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 17-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUCROT Oswald
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Conférence du 17 février 2000 par Oswald Ducrot. On admet que la description d'un mot, d'une expression ou d'une phrase ne saurait se réduire à celle de sa prononciation ou de son écriture. Ce que l'on appelle ""sens"", c'est cette insuffisance reconnue à la description de la seule face visible des êtres linguistiques. De là on conclut d'habitude à l'existence d'une face cachée du signe linguistique. De même, ayant observé que le locuteur ou l'écrivain sentent souvent l'impropriété, l'inadéquation de tel ou tel mot d'abord envisagé, on conclut quelquefois qu'il y a, derrière la parole et l'écriture, une pensée, une intention qui obligent à préférer certains mots à d'autres. L'étude du sens viserait ainsi à découvrir une arrière-boutique de la langue, en supposant, au delà des mots, des entités qui ne relèvent pas de la langue. Ces entités supposées, on peut les appeler ""choses réelles"", ou bien "idées", " croyances", "notions", ou encore "attitudes sociales". La description sémantique semble ainsi exiger que l'on sorte de la langue si l'on veut expliquer qu'elle ne se réduit pas à son aspect perceptible. Par définition, la sémantique imposerait donc de renoncer au principe structuraliste, qui interdit de décrire les objets d'un domaine à partir des objets d'un autre domaine. A l'opposé de ces idées, on essayera d'esquisser une autre conception du sens, plus compatible avec le projet structuraliste. Selon celle-ci, l'insuffisance de la description d'un être linguistique par son aspect "visible" tient à ce que cet être est constitué par ses rapports avec d'autres entités de la langue, plus précisément par les rapports qu'il entretient avec elle dans certaines formes de discours. Il se s'agit plus alors de remplir ce vide appelé habituellement "sens", mais de le décrire comme un appel au discours - et non comme le pressentiment d'une chose absente. Mot(s) clés libre(s) : langage et langues, linguistique structurale, sémantique, sens, signe, signifiant et signifié, signification, structuralisme
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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Linguistique et informatique : la traduction automatique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 16-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DANLOS Laurence
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Conférence du 16 février 2000 par Laurence Danlos. La linguistique informatique est un domaine scientifique neuf, né du développement conjoint des modèles mathématiques et informatiques (théorie des langages formels) et de la formalisation des descriptions linguistiques. Il a pour objectif le traitement automatique du langage naturel et il se situe au carrefour de la linguistique et de l'intelligence artificielle ou des sciences cognitives dans leurs recherches sur le langage naturel.Les recherches en linguistiques informatiques débouchent sur des applications qui relèvent des Industries de la Langue. L'application la plus connue et la plus ancienne est la Traduction Automatique. Nous exposerons les principales difficultés rencontrées en Traduction Automatique et nous dresserons un bilan sur les systèmes existants et sur les perspectives. Nous présenterons ensuite un panorama des autres applications, en particulier celles issues de l'émergence du Web (La Toile) dans lesquelles les calculs statistiques se combinent avec les calculs linguistiques. Mot(s) clés libre(s) : ambiguité lexicale, intelligence artificielle, langage naturel, lemmatisation, linguistique informatique, modèle mathématique, sciences cognitives, sémantique, traduction assistée par ordinateur, traduction automatique
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La théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 17-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CULIOLI Antoine
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La Théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli. Journée d'études organisée conjointement par le Cercle d'Étudiant Pour l'Étude du Langage (CEPEL) et l'UFR d'Études du monde anglophone de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 17 avril 2000. Ouverture et présentation assurée par une étudiante et par la présidente du CEPEL ; modération par M. Jacques Durand, professeur de linguistique anglaise à l'Université Toulouse II-Le Mirail.Antoine Culioli explique la manière dont il appréhende et manie certains concepts qu'il utilise dans ses recherches théoriques sur la communication, notamment au regard de certains courants linguistiques (référentialisme, représentationnalisme...). Il apporte ainsi des précisions sur les notions de "valeur référentielle" versus "référent", "énonciateur" et "locuteur". Interrogé sur des aspects précis de sa théorie de l'énonciation, par exemple sur les "propriétés et les relations primitives", Antoine Culioli développe une argumentation qui révèlent par ailleurs sa démarche scientifique en tant que chercheur en linguistique et sa détermination à ne pas séparer la linguistique de la syntaxe, la sémantique, la logique, la rhétorique, la grammaire ou bien encore des aspects anthropologiques. Mot(s) clés libre(s) : actes de langage, cognition et langage, énonciation (linguistique), linguistique (théorie), opérations énonciatives (théorie des), structure profonde (linguistique), théorie de la communication
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Improvising in Sign Language and Gestures
/ 06-11-2015
/ Canal-u.fr
CITRON Ati
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The Sign Language Theatre Laboratory is a practicebasedartistic research group that began operating in2014 as part of the Grammar of the Body (GRAMBY) Interdisciplinary Research Project led by University ofHaifa linguist Wendy Sandler and funded by the European Research Council. Most of the nine Lab actorsare deaf and hardofhearing,and all of them use Israeli Sign Language (ISL) on a daily basis. We use ISLcombined with expressive gestures and physical theatre in order to develop a form of visual theatre that isaimed at both deaf and hearing spectators. Improvisation is our principal method of operation. We play withthe mimetic component of ISL, highlighting facial expressions and body language, and experimenting withgestures that are normally performed and understood by hearing and deaf people alike. We are inspired bydeaf culture as well as by the work of 20th Century theatre experimentalists such as Meyerhold, Artaud,Grotowski and the Living Theatre. We also draw from the language of two forms of traditional Indian dancetheatre, Kutiyattam and Kathakali, which employ combinations of codified hand movements (mudras) andfacial expressions (rasas) to present the dramaticaction. When our group was introduced to these genres in a workshop, we discovered a surprising affinitybetween the signs of traditional Indian theatre and those used in ISL. From this potpourri we devise ourtheatrical materials. We improvise within certain movement routines and exercises, realizing that free groupimprovisation can only stem from clear, at times even rigid structures and rules. Also necessary, of course,are “comprehensive listening”, which deaf actors practice visually, the ability to lead and be led, and finally,the skill of contributing to a collective creation. These will be demonstrated in my presentation through ananalysis of a few short videos of our work. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Contes en quechua sur le massif de l'Ausangate
Région de Cusco, Pérou
/ Valérie LEGRAND
/ 06-09-2011
/ Canal-u.fr
CHOQUE CCAHUANA Santiago, CHOQUE CRUZ Augustina, LEGRAND Valérie
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Cette vidéo présente la pratique orale de contes quechuas - willakuykuna - de la communauté paysanne de Chaupimayo, dans la région du massif de l'Ausangate, département de Cusco (Pérou).
Santiago CHOQUE CCAHUANA et sa femme Augustina CHOQUE CRUZ nous relatent deux récits importants de leur région : la guerre de l'Ausangate et l'histoire de l'origine du lac Sigrinaqucha, référant à des éléments importants de l'histoire locale et du paysage environnant.
L’Ausangate, montagne culminant à 6300 m, est reconnu comme le plus haut sommet du sud-Pérou et est considéré dans les croyances andines comme un « Apu » (seigneur de la montagne) majeur pour la région de Cusco. Cette qualité d’être (sur)naturel puissant, avec qui les populations d’altitude communiquent et co-habitent, explique le fait que dans les contes il puisse agir et apparaître sous les traits d’un être humain. .
Les contes (ou "willakuykuna" en quechua) sont des formes littéraires qui proviennent de la tradition orale andine quechua. Dans les Andes, les contes constituent un élément essentiel du savoir oral, étant à la fois un mode d'apprentissage des comportements sociaux, des évènements historiques et des éléments importants du paysage. Les contes enseignent ainsi aux jeunes générations des connaissances fondamentales concernant la culture andine et son environnement naturel et social (plantes, animaux, phénomènes naturels, organisation sociale, etc.) Les contes quechuas constituent donc une ressource littéraire fondamentale pour la compréhension des cultures andines, de leurs modes de pensée et d'expression. A la fois formes littéraires, modes de divertissement et pratiques didactiques, ils représentent ainsi une part importante de l'identité andine quechuaphone actuelle. Mot(s) clés libre(s) : Pérou, conte, littérature orale, quechua, linguistique
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Renouveau et perspectives sur la langue française
/ Mission 2000 en France
/ 15-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CERQUIGLINI Bernard
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Une action en faveur de la langue française semble naturelle dans notre pays ; elle est plus que jamais nécessaire à l'heure de la mondialisation des échanges. On doit la fonder, cependant, non pas sur un attachement sentimental, mais sur une analyse scientifique de son histoire et des conditions de son progrès. Forte d'une tradition pluriséculaire, d'une vitalité mesurable, de nombreuses institutions d'encadrement, la langue française peut relever le défi de la modernité. Il faut pour cela : - relativiser la norme stricte qui la constitue, comprendre les dangers du purisme, percevoir les faiblesses du monolinguisme ; - moderniser les formes et structures qui requièrent un progrès. Par exemple, corriger régulièrement la graphie, inscrire dans le lexique la parité entre hommes et femmes ; - profiter des technologies nouvelles de la communication : bases de données textuelles et lexicales, dictionnaires en lignes, outils grammaticaux de toutes sortes sur Internet. Un rayonnement maintenu, voire accru de la langue française ne devra rien à une ""défense"" frileuse, mais tout au savoir et au mouvement.Conférence du 15 février 2000 par Bernard Cerquiglini. Mot(s) clés libre(s) : français (langue), france, langage et langues (france), langues et mondialisation, normalisation, politique linguistique, préservation des langues, purisme (linguistique)
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