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L'écriture palimpseste chez Chamoiseau : transposition et invention générique dans "Texaco" / Béatrice N'Guessan-Larroux
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
N'GUESSAN-LARROUX Béatrice
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L'écriture palimpseste chez Chamoiseau : transposition et invention générique dans "Texaco" / Béatrice N'Guessan-Larroux. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 5 : Explorations génériques. [Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....)
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"Nord", un travail photographique sur les lieux de mai 40 / Pascal Mougin
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MOUGIN Pascal
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"Nord", un travail photographique sur les lieux de mai 40 / Pascal Mougin. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), littérature et photographie, littérature française (20e siècle)
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Nouveaux avatars de l'écrivain / Lydie Moudileno
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-10-2014
/ Canal-u.fr
MOUDILENO Lydie
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Nouveaux avatars de l'écrivain / Lydie Moudileno. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 2 : Le livre et la parole. Cette
communication s'attache à cerner l'évolution du discours de Patrick
Chanoiseau quant aux statut et mission de l'écrivain dans l'univers antillais. Lydie Moudileno propose d'examiner d'abord la multiplicité des différents avatars de
l'écrivain qui traversent l'œuvre, pour ensuite tenter de tracer une éventuelle évolution du discours
métalittéraire, des premiers récits comme Chroniques des sept misères et Texaco
à des textes plus récents tels qu'Archéologie du Chaos. Il s'agit d'y déceler
non seulement les récurrences et échos qui permettent de conclure à un discours
singulier, mais aussi les tensions entre ces "avatars" et les limites
que ces tensions impliquent.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : écrivain, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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L'Empreinte à Chamoiseau / Lorna Milne
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
MILNE Lorna
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L'Empreinte à Chamoiseau / Lorna Milne. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 3 : Bibliothèque et sentimenthèque.
Dans "L'Empreinte à Crusoé" (2012), Patrick Chamoiseau se détache enfin quelque peu de ses préoccupations identitaires et antillaises pour explorer ce qu'il appelle "l'aventure intérieure" d'un Robinson qui "se met à penser l'impensable" dans un espace -une île anonyme- apparemment neutre. Certes, dans l'économie du livre la narration principale de L'Empreinte représente un récit oral livré par le protagoniste, tandis que l'histoire du livre fait allusion aux origines africaines de celui-ci ainsi qu'à sa participation à la traite négrière. Malgré la présence de ces éléments habituels de l'univers chamoisien cependant, c'est l'écriture qui s'impose comme question centrale du livre, aussi bien thématiquement dans les références aux actes d'écrire et de lire, qu'à travers les échos intertextuels rappelant Defoe, Saint-John Perse, Tournier, et tant d'autres. Le roman constitue donc aussi une aventure littéraire qui nous amène bien loin des figures du conteur créole et du marqueur de paroles, éléments essentiels de "l'oraliture" qu'examinent Chamoiseau et Confiant dans leur essai littéraire Lettres créoles (1991). Cette communication juxtapose les empreintes -celle de Crusoé sur la plage et celle de l'auteur sur la page- afin de nous demander quelle est la situation de Patrick Chamoiseau aujourd'hui par rapport à la littérature.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature et géographie, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....)
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire et vécu (2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MENY Jacques, ARROUYE Jean, LE GALL Jacques, MORZEWSKI Christian
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation des Amis de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008.Première journée (2ème partie) : "Mémoire et vécu", présidée par Mireille SACOTTE (Univ. Paris III).Interventions : - "Dragoon" : le temps échappé, Jacques MÉNY (Président de l'Association Les Amis de Jean Giono). Suivie d'une intervention de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. - Que sont mes amis devenus ?, Jacques LE GALL (Univ. de Pau et Pays de l'Adour). Suivie d'un débat avec l'auditoire. - Mémoire d'un lieu : Manosque, Jean ARROUYE (Univ. de Provence).- Le souvenir d'enfance chez Giono, Christian MORZEWSKI (Université d'Artois). Suivie d'un débat avec l'auditoire.Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant. Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques, tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens - le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont - dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique , quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »... Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre même. Mot(s) clés libre(s) : amitié (dans la littérature), Jean Giono (1895-1970), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Écrire à conte-courant ? L'unité souterraine des romans de Patrick Chamoiseau / Maeve McCusker
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
McCUSKER Maeve
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Écrire à conte-courant ? L'unité souterraine des romans de Patrick Chamoiseau / Maeve McCusker. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques naratives et récits des Amériques.L’île antillaise fut, à partir des
premiers textes consacrés à la région par les voyageurs, considérée comme un
objet en miniature, quelque chose à acquérir, à admirer, à consommer et à
posséder. Les écrivains antillais eux-mêmes ont souvent imaginé cet espace insulaire
et archipélagique en termes qui soulignent la contrainte, l’exiguïté (c’est le
mot utilisé dans l’incipit de Pluie et
vent de Simone Schwarz-Bart), et en métaphores évoquant la petitesse (poussière ;
olive ; miette ; perle,
diamant ou émeraude ; chapelet). Ces images, relevant de l’univers terrien
de l’île, cherchent à stabiliser ou à concrétiser les contours de l’espace. Plus récemment, et peut-être en
réaction à cette focalisation sur l’étroitesse, ce sont les motifs de la circulation,
de la mobilité, de la dispersion et des flux qui ont dominé le discours antillais,
que ce soit la phrase célèbre de Walcott, « The sea is history », citée par
Glissant dans "Poétique de la relation",
ou, dans le même texte, l’épigraphe « l’unité est sous-marine » tirée de
Brathwaite, ou même la description des Antillais comme étant un « peuple de la
mer »(Benítez-Rojo). La théorie glissantienne de la relation, ainsi que la
créolité de Chamoiseau et de ses confrères martiniquais, prônent l’ouverture et
l’échange, et sont souvent considérées comme appartenant au courant postmoderne
de la théorie postcoloniale, qui valorise les routes et non pas les « roots »
(Gilroy 1991). Cependant, une analyse des romans
de Patrick Chamoiseau révèle un intérêt constant pour le localisme et pour l’espace
insulaire, même si Chamoiseau récuse le mot “île” comme une invention
occidentale, et un lexème qui n’existe pas en créole. Ce sont des lieux de
l’arrière-pays (la ville ; le bois ; la case créole ;
l’habitation), plutôt que, par exemple, le port ou le littoral, qui sont
valorisés dans sa fiction. L’île devient cependant un lieu inépuisable, un
espace de plénitude, de création et d’histoire; et cela, en partie, à cause de
son attention à la couche souterraine
du pays. Dans cette communication, Maeve McCusker propose d’analyser la
construction de l’espace souterrain (cimetières ; cachots ;
prisons), qui permet à l’auteur d’excaver l’histoire, et même la préhistoire,
de son pays, dans trois de ses romans les plus importants: "L’Esclave vieil homme et le molosse" ;
"Biblique des derniers gestes" et "Un dimanche au cachot". Dans ce dernier,
c’est une expérience proprement catabatique qui permet à
l’auteur de déterrer le passé antillais ; c’est à travers la descente
verticale, et non pas à travers la migrance horizontale, que le protagoniste
arrive à mieux comprendre l’histoire et l’identité antillaises.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française, souterrain (dans la littérature)
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Alfred de Musset : l'enfant terrible du romantisme
/ 03-12-2015
/ Canal-u.fr
LEDDA Sylvain
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Alfred de Musset est l’une des figures les plus originales du romantisme français. Son oeuvre poétique, teintée de lyrisme et parfois de dolorisme, en fait l’un des représentants les plus illustres de la génération gagnée par le « mal du siècle ».
Par-delà ces images, trop vite fixées peut-être, Musset apparaît aussi comme un créateur de formes, un dramaturge visionnaire, un prosateur élégant et profond. Sylvain Ledda propose donc une traversée de l’oeuvre de Musset, « l’enfant terrible du romantisme », écrivain pour qui l’expression de la désespérance s’harmonise avec un sens aigu de la fantaisie. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (19e siècle), lyrisme (littérature), romantisme (littérature), Alfred de Musset, dolorisme, dramaturgie
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Giono, la mémoire à l'oeuvre : Mémoire et vécu (1)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LAURICHESSE Jean-Yves, SACOTTE Mireille, ARNAUD-TOULOUSE Marie-Anne, MORELLO André-Alain
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"Giono : la mémoire à l'oeuvre". Colloque international organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH), équipe "Littérature et Herméneutique" (Université du Mirail) ) avec la participation de l'Association des Amis de Jean Giono et en présence de Sylvie Durbet-Giono, fille de Jean Giono. Université Toulouse II-Le Mirail, 20-22 mars 2008.Ouverture du colloque et 1ère demi-journée : "Mémoire et vécu", présidée par Jean ARROUYE (Université de Provence).Interventions :- Discours d'ouverture du colloque, Daniel Filâtre (Président Univ. Toulouse-Le Mirail) et Jacques MENY (Association Les Amis de Jean Giono).- "Petits bagages de loups" : la mémoire et l'oubli chez quelques personnages gioniens, Jean-Yves LAURICHESSE (Univ. Toulouse-Le Mirail).- Mais où sont les neiges d'antan ? [ sur "Un de Baumugnes"], Mireille SACOTTE (Univ. Paris III).- La mémoire des objets, Marie-Anne ARNAUD-TOULOUSE (Univ. de Dijon).- Dans la mémoire heureuse d'Angelo, André-Alain MORELLO (Université du Sud, Toulon).Associée par-dessus tout à la peinture de paysages dynamisés par l'imagination ainsi qu'au génie du conteur, avec tout ce que cela suppose d'élan prospectif, l'oeuvre de Giono ne vient pas spontanément à l'esprit des spécialistes de la mémoire. Même dans les textes les plus « autobiographiques », l'imaginaire semble l'emporter sur la composante mnésique, tandis que les oeuvres proprement romanesques reflètent plus volontiers un art de saisir le moment présent dans son acuité sensorielle et émotionnelle et une aptitude à regarder vers l'avant. Cette poétique de l'instant et cet élan prospectif ne peuvent toutefois occulter tous les échos du passé dont résonne l'oeuvre de Giono. « Dans ses mille alvéoles, l'espace tient du temps comprimé », écrit Bachelard. Bien au-delà des seules Chroniques romanesques , tout le « Sud imaginaire » (Faulkner est ici une référence majeure) est plein d'un « passé d'anecdotes et de souvenirs » qui le constitue en territoire littéraire. Différentes dimensions de la mémoire s'y déploient : mémoire personnelle (l'enfance, bien sûr, ce « gisement profond de mon sol mental » selon Proust, mais aussi les joies, les passions, les épreuves de l'âge adulte, dont l'écriture porte trace) ; mémoire familiale (les origines piémontaises et la légende qui en découle, fondatrice du « Cycle du Hussard ») ; mémoire collective (la guerre, traumatisme originel, où s'articulent destin individuel et destin partagé) ; mémoire historique (ces temps anciens - le XIX e siècle, mais aussi plus loin en amont - dans lesquels Giono cherchera de plus en plus une évasion lucide) ; mémoire mythique , quand l'écrivain puise dans le fond archaïque des peurs et des fantasmes ancestraux et, plus fasciné par « la nuit des temps » que nostalgique du « bon vieux temps », s'engage selon Jacques Chabot dans « une anamnèse interminable », une « quête, sans espoir, des origines »... Rien de « passéiste » ici, en effet, contrairement à l'idée reçue, car le passé ne prend sens chez Giono que dans ce présent où l'écriture s'en saisit, l'inscrit, voire l'invente, où la mémoire se fait oeuvre . Explorer « la mémoire à l'oeuvre », c'est donc explorer aussi bien le rôle de la mémoire dans la genèse de l'oeuvre que la représentation de la mémoire, de ses processus, de ses images, dans l'oeuvre même. Mot(s) clés libre(s) : Jean Giono (1895-1970), littérature française (20e siècle), mémoire (dans la littérature), souvenir (dans la littérature)
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LAURICHESSE Jean-Yves
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), littérature française (20e siècle)
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-05-2011
/ Canal-u.fr
LAURICHESSE Jean-Yves
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Orion géographe / Jean-Yves Laurichesse. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e siècle), Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature)
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