Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
L’universalité des droits et l’altérité
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 10-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
AOUNIT Mouloud
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1983, la France connaît sa première manifestation nationale contre le racisme: la marche des beurs. En 2007, 24 ans après, malgré les intentions, rien n’a changé. La réalité est restée celle d’un véritable « génocide » social : on nie à l’Autre le droit d’exister.L’incapacité des acteurs de la société à anticiper les réalités de la diversité française a renforcé la peur de l’Autre et intensifié la violence des attitudes discriminatoires : le combat pour l’altérité se poursuit. Il s’agit encore de bousculer les mentalités et de tenter de banaliser une réalité : noir ou arabe, musulman ou chrétien nous sommes tous français. La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : altérité, discrimination raciale, intolérance, lutte contre le racisme, marche pour l’égalité et contre le racisme, mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, racisme, relations interethniques
|
Accéder à la ressource
|
|
Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / J.-P. Armand, J.-M. Olivier, P. Cohen
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ARMAND Jean-Pierre, OLIVIER Jean-Marc, COHEN Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / Jean-Pierre Armand, Jean-Marc Olivier, Pierre Cohen. Colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011.Alors que la lutte contre le cancer demeure un combat de santé publique de premier plan, on constate un regain d'intérêt pour les problématiques relatives à cette maladie, notamment parmi les acteurs des sciences humaines. Certains ont fait le pari d'ériger le cancer en objet d'histoire. On observe ainsi, en France comme à l'étranger, que de plus en plus d'universitaires et de chercheurs se penchent sur l'histoire des prises en charge, des préventions et de la lutte contre cette maladie. C’est à une confrontation de ces réflexions qu’invite ce colloque qui s'est tenu à Toulouse, ville qui s’affirme comme un des centres internationaux les plus dynamiques en matière de lutte contre le cancer. L’édification, sur le site de Langlade, d’un complexe hospitalier, scientifique et industriel, centré sur le cancer, en est l’illustration la plus visible. Les laboratoires de recherche œuvrant dans le cadre du « Cancéropôle Grand Sud-Ouest » et du pôle de compétitivité « Cancer-bio-santé », les entreprises pharmaceutiques et les équipes soignantes s’y trouvent étroitement associés pour développer, dans une synergie féconde, recherche fondamentale, applications industrielles et traitements de pointe.En favorisant une approche historique de la question du cancer depuis le milieu du XVIIIe siècle aux années 1950, cette rencontre apporte une contribution originale à cet effort collectif. La période choisie a pour objectif de dégager les continuités et les mutations dans les représentations de la maladie dans la prise en charge des patients, comme dans les politiques de lutte contre le cancer depuis la médecine des Lumières jusqu’aux balbutiements de la chimiothérapie. Ce colloque invite à rendre compte de la diversité des approches, à présenter des études régionales comme nationales, et à proposer des perspectives comparatistes internationales. Les communications sont organisées autour de quatre axes. Le premier est consacré aux interrogations et aux incertitudes, entre le milieu du XVIe et la fin du XIXe siècle, période marquée par un intérêt croissant de la médecine pour la maladie qui se traduit par des tâtonnements dans la thérapeutique en cancérogenèse. Le deuxième axe abordera l'évolution des traitements entre 1890 et 1914 où la chirurgie devient alors plus audacieuse et de nouveaux espoirs apparaissent avec la découverte des propriétés curatives des rayons X et du radium. Le troisième portera sur l'institutionnalisation de la lutte contre le cancer, avec la mise en place de centres anticancéreux et de programmes de prévention, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à l'immédiate après-Seconde Guerre. La dernière séance de travail portera sur l'image de la maladie, selon les différentes perceptions et représentations du cancer depuis le XVIIe siècle.Interventions inaugurales de : - Jean-Pierre Armand, docteur, directeur général de l'Institut Claudius Regaud, - Jean-Marc Olivier, directeur du laboratoire FRAMESPA de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Pierre Cohen, député-maire de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : cancer (aspects sociologiques), cancer (prévention), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (France), histoire de la médecine, lutte contre le cancer (Canada), lutte contre le cancer (Espagne), National cancer in
|
Accéder à la ressource
|
|
Mai 68, au-delà du mythe avec Ludivine Bantigny
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
Bantigny Ludivine
Voir le résumé
Voir le résumé
Que de clichés sur 1968 ! Une révolte qui serait celle de la seule jeunesse… Un oubli, souvent, des grèves ouvrières… Un regard trop centré sur Paris et même sur le Quartier Latin. Comprendre ce qui s’est joué en Mai 68 nécessite de sortir l’événement de la seule scène parisienne et française. D’observer son déploiement à l’échelle locale en prenant en compte les pulsations propres à chaque situation, leurs concordances et discordances avec les rythmes nationaux et internationaux.
Cette conférence analyse Mai 68 dans la convergence de ses luttes, ses projets élaborés, ses futurs imaginés, son rapport au temps et à la conscience historique, le poids des émotions dans l’engagement. Elle propose une lecture décentrée de cet événement aux dimensions mondiales, pour mieux saisir ce qu’il a représenté à moyen et long terme. Mot(s) clés libre(s) : grève générale (france ; 1968), grèves ouvrières, révolte, lutte, 1968
|
Accéder à la ressource
|
|
Sécurité et insécurité urbaines
/ Mission 2000 en France
/ 15-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BAUER Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
"Les évènements recensés au quotidien dans les villes, les réseaux de transports, les immeubles de logements à vocation sociale, les banlieues qui marquent les limites sans cesse dépassées de la rurbanisation de notre pays, alarment à juste titre citoyens, élus, journalistes. Elles ne représentent pourtant qu'une part relativement faible des agressions verbales ou physiques supportées par les représentants des administrations, des services publics ou privés avec leurs usagers, clients ou certains habitants. Leur développement, leur violence, la jeunesse de leurs auteurs, interpellent le système social et politique qui a longtemps feint d'ignorer les réalités quand il ne s'est pas réfugié dans la contemplation de la confrontation illusoire entre les tenants d'une prévention sociale limitée à son seul objet, et les laudateurs d'une répression sans âme ni objectifs autres que l'affirmation de la force. Sans compter les tenants de la logique du "" bouc émissaire "", responsable par nature ou par couleur de peau, de tous les maux. Rien ne serait pire que de jeter l'anathème ou de s'isoler dans une stricte observance niant la complexité des problèmes posés. Il faut savoir sortir de l'affrontement entre deux intégrismes essayant chacun de démontrer la justesse d'affirmations relatives sans jamais fournir de mode d'emploi permettant de répondre à la demande sociale, ni même d'admettre que l'écoute des populations concernées pouvait précéder l'affirmation d'un dogme scientifique. Au delà du principe occidental qui renvoie la violence vers les pulsions purement animales, il faut rappeler qu'elle est d'abord une affirmation de soi. Elle a même pu, parfois, accoucher du progrès dès lors qu'elle répondait à une violence plus grande encore." Mot(s) clés libre(s) : criminalité urbaine, lutte contre la violence urbaine, mesures de sécurité, protection civile, sécurité urbaine, villes
|
Accéder à la ressource
|
|
Le rayon qui guérissait le cancer : l'affaire Priore / Xavier Bonnet
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BONNET Xavier
Voir le résumé
Voir le résumé
Le rayon qui guérissait le cancer : l'affaire Priore / Xavier Bonnet. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 4 : Histoire du cancer (1750-1950) : Perceptions et représentations, 22 janvier 2011. Il s’appelle Antoine Priore. Il est à l’origine de l’un des débats les plus intenses qu’a connu l’Académie des sciences à la sortie de la guerre. Hasard ? Réelle découverte scientifique ? Imposture ? Comment expliquer l’incroyable retentissement, dans la France des années 1950, du mystère de la “machine qui guérit le cancer” ? Pourquoi la communauté scientifique va-t-elle se diviser à son sujet ? Chaque étape de l’“affaire Priore” voit le mystère s’intensifier, mêlant réseaux d’anciens résistants et soutiens politiques. Mot(s) clés libre(s) : Antoine Priore (1912-1983), cancer (thérapeutiques parallèles), lutte contre le cancer (radiothérapie), ondes électromagnétiques (cancer)
|
Accéder à la ressource
|
|
10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Le bois du châtaignier est naturellement durable en raison de sa forte teneur en tanin qui lui confère une grande résistance aux diverses agressions : champignons, insectes et éléments naturels. Son utilisation passée et actuelle est ainsi très variée. Certains usages ont aujourd'hui quasiment disparu mais d'autres perdurent : comme la menuiserie et l'ébénisterie, le bois de charpente et d'ossature, la fabrication de meubles ou de parquets, le bois de chauffe. La vannerie a toujours été une valorisation artisanale importante et spécifique au bois de châtaignier, un bois souple et facile à travailler. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
|
Accéder à la ressource
|
|
11. La transformation de la châtaigne
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Le problème majeur de la châtaigne, c'est sa conservation. En réalité, la châtaigne n'est pas un fruit, ni un fruit sec, mais une graine très riche en amidons, qui fermente rapidement si l'on ne prend pas toutes les précautions pour la conserver. Si l'on a parlé de "civilisation du châtaignier", c'est aussi parce que les hommes ont su trouver des solutions au fil des siècles pour conserver cette graine durant plusieurs mois, pour "faire la soudure" jusqu'à l'arrivée des premières récoltes de céréales. Une des méthodes de conservation, la plus traditionnelle, passe par le séchage dans de petites constructions (appelées clèdes dans les Cévennes, secadors dans le Rouergue). A la sortie, on obtenait les "châtaignons" ou "auriols" qui pouvaient se consommer toute l'année, qui pouvaient aussi être moulus et transformés en farine notamment en Corse. Du fait de ses multiples utilisations, cette farine a produit un éventail d'applications culinaires beaucoup plus large que pour le "châtaignon", sa matière première : fabrications de pains (sans gluten), de pâtisseries, de beignets, de polenta, de crêpes.
Les autres utilisations de la châtaigne sont issues d'une filière humide : marrons glacés, châtaignes sous vide, confitures et crèmes sont aussi abordées dans ce film. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
|
Accéder à la ressource
|
|
12. Mise en valeur de la châtaigneraie à travers les espaces protégés
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Le Massif Central et la Corse disposent de plusieurs Parcs où le châtaignier occupe un espace plus ou moins important. Les Parcs Naturels Régionaux ont pour objectif d'harmoniser protection de la nature et développement économique. Le Parc National des Cévennes accompagne la démarche, en cours, AOC. Le Parc National des Cévennes a aussi participé à de nombreuses recherches sur l'écologie du châtaignier et il a défini une politique d'accompagnement en matière économique et patrimoniale de sa zone périphérique. Les Parcs Nationaux et les Parcs Naturels Régionaux participent également à la démarche européenne Natura 2000 et tout particulièrement à la mise en place de mesures agri-environnementales. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
|
Accéder à la ressource
|
|
13. Le châtaignier, pays et terroirs européens
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Dans l'Europe du Sud-Ouest, les pays de la châtaigneraie sont l'Italie, la France, l'Espagne et le Portugal. Ces quatre pays, durant cinq siècles, ont connu une certaine prospérité grâce à cet arbre et ont été les plus importants, en Europe de l'Ouest, pour la production de châtaignes.
En fait, le châtaignier est un arbre du Sud de l'Europe méditerranéenne, mais sa présence très forte dans les Asturies et la Galice en Espagne, ainsi que dans la haute vallée du Douro au Portugal, nous montre qu'il s'est aussi très bien adapté sur la partie atlantique de l'Europe. Le Portugal, à travers quatre zones d'appellation d'origine protégée (DOP), a su conserver et valoriser ses variétés traditionnelles. Bien sûr, ces variétés ont été sélectionnées pour répondre à une demande du marché international (Europe et USA) en frais. Cette production, bien que moderne et à l'échelle d'une région, suit des pratiques ancestrales où les châtaigniers sont associés à d'autres cultures potagères, céréalières ou fruitières. En Espagne, les zones de production sont moins regroupées et des provinces telles que les Asturies tentent de mettre en place des programmes pour endiguer les maladies du bois de châtaignier. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
|
Accéder à la ressource
|
|
14. Le renouveau et l'avenir de la castanéiculture
/ Jean JIMENEZ, UVED
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
BRIANE Gérard, JIMENEZ Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Ressource non labellisée UVED - En cours d'expertise
Autrefois, le châtaignier était un arbre essentiel à la survie des populations des régions aux ressources agricoles insuffisantes. Aujourd'hui, après un long abandon des châtaigneraies dans toute l'Europe méditerranéenne et jusqu'au littoral atlantique (Galice et Portugal), des efforts sont réalisés un peu partout pour les réhabiliter et les revaloriser. Car désormais, le châtaignier, ses fruits et son bois, image d'authenticité, retrouve un regain d'intérêt auprès des consommateurs. Des exploitants agricoles ont compris qu'il existe un réel intérêt économique à relancer ce type d'arboriculture qui demande moins de main d'oeuvre que d'autres productions fruitières. Mais la châtaigneraie est aussi au coeur des préoccupations des collectivités et des associations quant au développement de certains territoires et zones sensibles. L'avenir du châtaignier est certainement là : au-delà de sa fonction économique, c'est son rôle dans la politique régionale qui doit être considéré, pour que des régions aux équilibres fragiles continuent de garder un visage humain. Mot(s) clés libre(s) : environnement, biodiversité, écologie, paysage, développement durable, lutte biologique, patrimoine, coopérative, agrodiversité
|
Accéder à la ressource
|
|