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L'informatique de demain : de Von Neumann aux superprocesseurs
/ Mission 2000 en France
/ 04-09-2000
/ Canal-u.fr
ANCEAU François
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L'évolution du matériel informatique est certainement le phénomène technique qui a connu la progression la plus importante pendant ce demi-siècle. L'apparition de la microélectronique a permis, sur les trente dernières années, une augmentation de la performance des microprocesseurs par un facteur d'environ 100 000, tandis que le prix des machines informatiques était divisé par plusieurs dizaines. Sous la pression des utilisateurs, la course à la performance semble insatiable. Les concepteurs des nouvelles machines informatiques rivalisent d'ingéniosité pour arriver à exécuter les programmes de plus en plus rapidement. L'organisation interne des processeurs modernes s'apparente à des sortes de "chaînes de montage" dans lesquelles plusieurs instructions sont simultanément en exécution. Ces techniques tiennent souvent de l'acrobatie. En effet, la recherche effrénée de la vitesse de traitement incite, par exemple, à utiliser des résultats intermédiaires avant même qu'ils n'aient été élaborés, en spéculant sur la valeur qu'ils devront avoir. Cette course folle se poursuit sans qu'aucun signe de fléchissement ne se fasse sentir. On constate même actuellement une accélération de sa vitesse d'évolution. Les études prospectives laissent à penser que ce rythme va se poursuivre pendant au moins encore dix ou vingt ans. Mot(s) clés libre(s) : transistor, architecture des ordinateurs, histoire de l'informatique, mémoire informatique, microprocesseur, pipe-line, puissance de calcul
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 3ème Partie: Deux études de cas
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, BOUDHAR Yasmina
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3ème Partie: Deux études de cas
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : musées, publications scientifiques, Mons Memorial Museum, lieux de mémoire
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 1ère Partie: Présentation des intervenants
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, ROUSSEAU Frédéric, HEIMBERG Charles, ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, DE COCK Laurence
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1ère Partie: Présentation des intervenants
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : histoire, guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, commémoration, historien, Mons Memorial Museum, mémoire collective, mémoire officielle
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, C.E.R.I.M.E.S.
/ 27-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ALBERINI Cristina
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Mot(s) clés libre(s) : identité, mémoire, neurosciences, psychanalyse
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Souviens-toi Léthé dernier
/ Canal-u.fr
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Fragment du film "Souviens-toi Léthé dernier"
Réalisé par Élise Vilain, Arts et Langages (M1)
"D'abord, j'ai plutôt pensé à du gruyère." Mot(s) clés libre(s) : court-métrage, mémoire
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Mémoire en friche
/ Canal-u.fr
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Auteurs, réalisateurs : Laurent Ménochet, Malika Regaïa, Olivier Thomas
Ce programme s’inscrit dans le cadre des Ateliers « Création cinéma documentaire et recherches en sciences humaines » : « Territoires : lieux, corps, langage » qui ont bénéficié du jumelage d’éducation artistique et culturelle 2014/2015 entre l’Université de Caen Basse-Normandie (programme FRESH MRSH Caen/MSHB Rennes-et Mission culture) et la Maison de l’Image Basse-Normandie, avec le soutien de la DRAC Basse-Normandie, de l’Université Caen Basse-Normandie et de la Région Basse-Normandie.
Les ateliers, coordonnés par Benoît Raoulx (MRSH) et Jean-Marie Vinclair (Maison de l’Image Basse-Normandie), ont réuni des jeunes réalisateurs en voie de professionnalisation et des étudiants/chercheurs. Ils se sont déroulés en plusieurs journées entre novembre 2014 et mars 2015 à la Maison de la Recherche en Sciences Humaines et à la Maison de l’Etudiant de l’université. Chantal Richard, cinéaste, a accompagné l’écriture et la réalisation de ces films.
Daniela de Felice et Maxime Letissier sont intervenus au stade du montage. Quatre courts-métrages documentaires sont issus de ces échanges.
Le film invite à cheminer à travers des friches industrielles pour interroger l’histoire ouvrière en Normandie. Quelles traces en restent-ils et que deviennent ces espaces ? Le passé des femmes et des hommes qui ont travaillé dans ces usines a t-il encore sa place dans la société d’aujourd’hui ? La mémoire ouvrière est-elle effacée ou réécrite sur les nouveaux territoires ? Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, industrie, lieux de mémoire
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Interpréter les mémoires officielles locales de l’esclavage : les politiques de mémoire comme politiques symboliques
/ Canal-u.fr
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Renaud Hourcade (IEP de Rennes) Mot(s) clés libre(s) : discrimination, justice sociale, esclavage (mémoire collective)
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07 Fukushima Les images du revers de fortune, le revers des images de fortune
/ Canal-u.fr
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Yoann Moreau
Après avoir entrepris des études de Mathématiques, de Sciences
Physiques puis d'Anthropologie, Yoann Moreau a travaillé un an en Amazonie
brésilienne, au Japon, en Mongolie. ,… parcours qui aboutira à une thèse sur
les catastrophes reconnue aujourd’hui comme novatrice. Indomptable
touche-à-tout, son parcours académique comprend également un passage par la
philosophie et la géographie. Actuellement chargé de cours à l'Ecole Nationale
des Ponts et Chaussées, il coordonne un séminaire de Mésologie à l'EHESS Paris
et a intégré la Cie Jours Tranquilles pour
laquelle il travaille en tant que dramaturge et comédien. Premier prix de la
Fondation Bullikian.
Fukushima Les images du revers de fortune, le revers des
images de fortune
Commentaires et analyses
des vidéos et photographies publiées sur le net et dans la presse après le 11
mars 2011. A partir d’une mise en perspective historique et ethnologique nous
prendrons du recul sur les manières dont sont mobilisées les images de
destruction (afin de servir quel propos, de répondre à quels besoins, d’être
diffusé auprès de quel audimat ?).
Ce faisant, nous proposerons de conjoindre à une dramaturgie du
spectaculaire, de l’exotisme et de l’événement, une dramaturgie du spectral, de
l’anomal et de l’avènement. Cette mise en regard sera elle même déployée sous
forme visuelle au travers d’un outil d’analyse des catastrophes, un
« visiogramme ». Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire, Hiroshima
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06 Dada Zurich : Le plaisir de détruire
/ Canal-u.fr
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Michèle Martel
Docteur en Histoire de l'art de l'Université de
Paris I. Elle enseigne à l'ESAM Caen/Cherbourg et coordonne le laboratoire de
recherche de l'école. Son travail de recherche porte sur l'analyse des
processus de création mis en place par l'artiste entre 1915 et 1920 et sur
leurs conséquences quant à l'élaboration de sa forme plastique. Ses textes les
plus récents ont paru dans L'Art comme
expérience (Liénart, 2010), Arp en
ses ateliers d'art et d'écriture (Musée de Strasbourg, 2011), Itinérance. L'Art en déplacement (De
L'incidence éditeur, 2012, sous la direction de Laurent Buffet) et dans L'Espace des paysages. Premier temps, quatre
mouvements (École Supérieure d'art de Clermont-Métropole, 2013).
Dada Zurich : Le plaisir de détruire
Europe, Zurich, 1916. Le rejet des formes du
passé, qui caractérise finalement toute l'histoire de la modernité, se
transforme chez les acteurs du mouvement Dada, en véritable plaisir de
détruire. Les artistes s'opposent radicalement à la nécessité de produire des figures
mais aussi du sens, dans leurs productions plastiques et textuelles. Ils
mettent pour ce faire en place des procédures de création qui font appel au
hasard, à la mécanisation des gestes, à la non-volition... Leur acharnement
destructif trouve un écho dans une conception de la création fondée sur une
puissance dissolvante originelle. Le sans-fond, l'indifférence ou encore l'apeiron (terme qu'ils empruntent à la
philosophie grecque) deviennent l'un des enjeux de la pratique artistique.
Comme dans les ténèbres mallarméennes, il s'agit d'atteindre un détachement
afin de saisir plus distinctement le flux de la vie, la réalité des choses. Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire, Hiroshima
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05 Tu n’as rien vu à Hiroshima…
/ Canal-u.fr
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Vincent Amiel
Professeur à l'université de Caen, enseigne l'histoire du cinéma à
l'école Louis-Lumière et à l'ESRA, Paris. Il est membre du comité de rédaction
de la revue Positif et critique pour
la revue Esprit. Essayiste,
théoricien du cinéma, de l'image et des médias, Vincent Amiel a publié de
nombreux ouvrages sur le cinéma et plus largement sur le monde télévisuel.
Tu n’as rien vu à Hiroshima…
Dès les années 50, dans
Hiroshima mon amour, Alain Resnais et Marguerite Duras interrogent la capacité
des médias (du cinéma en particulier, et de toute médiation en général) à
témoigner d’un événement, d’une catastrophe, d’une destruction. Le film oscille
en particulier entre le témoignage et la reconstitution, mettant l’accent sur
cette dernière comme ressource ultime de la mémoire, et donc du récit. Nous
examinerons les caractéristiques de ce « blocage » testimonial, son
contexte, et son héritage. Mot(s) clés libre(s) : catastrophe, Destruction, mémoire, Hiroshima
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