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Mémoires collectives en France
/ 28-02-2012
/ Canal-u.fr
BERTRAND Romain
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IFEA & Tarih VakfıRencontres d’historiens : Les enjeux de l’histoire en France et en Turquiemardi 28 février 2012 AYNALIGEÇİT ETKİNLİK MERKEZİ Meşrutiyet Caddesi Avrupa Pasajı No:8 Kat:2 Galatasaray / Beyoğlu / İstanbulIl s’agit d’une Journée de rencontre et de débat, entre historiens de France et de Turquie sur "Les enjeux de l'histoire en France et en Turquie", organisé par l’IFEA en collaboration avec la Fondation de l’Histoire (Tarih Vakfi). Le but de cette journée est de réunir des historiens des deux pays et de trouver l'occasion d'échanger nos expériences et questions sur ce qui en est de la posture de "l'Historien dans la société" aujourd'hui. Cette première Journée sera ouverte aux historiens-universitaires mais s’adresse également aux étudiants concernés par ce domaine.Mémoires collectives en France et en TurquieRomain Bertrand (CERI/Sciences-Po) Mot(s) clés libre(s) : historiographie, mémoire collective (france)
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
BARCIA ZEQUEIRA María del Carmen
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.La memoria colectiva vinculada a la esclavitud es asunto vigente en la sociedad cubana actual, y se manifesta en la presencia de los cultos religiosos afrocubanos, de esta manera se revela la relación entre memoria e historia socio-cultural. Las devergencias históricas entre capas, sectores y grupos integrados por negros y mulatos, algunos apegados a formas de la cultura occidental, no han podido impedirlo.Buena parte de los estudios vinculados a la esclavitud moderna se inscriben en campos vinculados a la memoria, individual o colectiva, presente en los descendientes y depositada en los documentos. Estas historias recogen sus espacios sociales, sus experiencias, su conciencia que también es histórica y que en gran medida ha conformado una mentalidad de resistencia ante avatares de diversa índole e incluso la formación de identidades. De poco sirven los avances metodológicos, la comprensión de procesos, el uso de conceptos, si estos no tienen aplicación en esa realidad pasada, que aún forma parte del presente y que difícilmente será excluida del futuro.La continuidad de una memoria vinculada a los espacios simbólicos de la trata negrera y de la esclavitud se asienta en un encadenamiento parental que se inició en el barco negrero. Rotas las memorias de las familias de origen, se fueron estableciendo otras que se basaron en la presencia de carabelas, cabildos africanos, compadres de bautismo católico o africano, matrimonios legales o consensuales, es decir en parientes de diverso tipo que integraron otra familia, la afrocubana. En esta relación se construyó una nueva memoria que conservó, enraizó y trasmitió hasta la actualidad algunas tradiciones ancestrales. Mot(s) clés libre(s) : esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective), Cuba (20e-21e siècles)
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 1ère Partie: Présentation des intervenants
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, ROUSSEAU Frédéric, HEIMBERG Charles, ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, DE COCK Laurence
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1ère Partie: Présentation des intervenants
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : histoire, guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, commémoration, historien, Mons Memorial Museum, mémoire collective, mémoire officielle
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Interpréter les mémoires officielles locales de l’esclavage : les politiques de mémoire comme politiques symboliques
/ Canal-u.fr
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Renaud Hourcade (IEP de Rennes) Mot(s) clés libre(s) : discrimination, justice sociale, esclavage (mémoire collective)
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