Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Europe et mondialisation - Serge Champeau
/ UTLS au lycée
/ 19-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Champeau Serge
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeEurope et mondialisation par Serge ChampeauLycée Jean Lurçat 75013 Paris Mot(s) clés libre(s) : frontières, Mondialisation, politique
|
Accéder à la ressource
|
|
Terrorismes et contre-terrorismes : de la Palestine à l'Irak
/ UTLS - la suite
/ 20-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHALIAND Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
Naguère, le terrorisme était considéré comme une technique d'irréguliers pour forcer à des concessions politiques un adversaire beaucoup plus puissant et le contre-terrorisme était, en général, une affaire de police. Avec la montée de l'islamisme radical, particulièrement à partir du milieu des années quatre-vingt dix lorsque les Etats-Unis et ses alliés au Moyen-Orient sont désignés comme ennemis, la négociation n'est plus de mise. L'affrontement, comme l'a montré le 11 septembre 2001, est désormais dénué de toute préoccupation tendant à une solution négociée. En réponse, le contre-terrorisme ne se contente plus d'être une activité policière mais cherche à frapper l'adversaire ou ses alliés réels ou supposés dans leurs citadelles. Ainsi de l'Afghanistan, et plus récemment, de façon machiavélienne, de l'Irak. L'exposé cherchera, de 1968 à nos jours, à dégager les grandes lignes du phénomène terroriste de la Palestine à l'Irak, en essayant d'en dégager surtout les enjeux politiques. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, otages, terroriste
|
Accéder à la ressource
|
|
Renouveau et perspectives sur la langue française
/ Mission 2000 en France
/ 15-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CERQUIGLINI Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
Une action en faveur de la langue française semble naturelle dans notre pays ; elle est plus que jamais nécessaire à l'heure de la mondialisation des échanges. On doit la fonder, cependant, non pas sur un attachement sentimental, mais sur une analyse scientifique de son histoire et des conditions de son progrès. Forte d'une tradition pluriséculaire, d'une vitalité mesurable, de nombreuses institutions d'encadrement, la langue française peut relever le défi de la modernité. Il faut pour cela : - relativiser la norme stricte qui la constitue, comprendre les dangers du purisme, percevoir les faiblesses du monolinguisme ; - moderniser les formes et structures qui requièrent un progrès. Par exemple, corriger régulièrement la graphie, inscrire dans le lexique la parité entre hommes et femmes ; - profiter des technologies nouvelles de la communication : bases de données textuelles et lexicales, dictionnaires en lignes, outils grammaticaux de toutes sortes sur Internet. Un rayonnement maintenu, voire accru de la langue française ne devra rien à une ""défense"" frileuse, mais tout au savoir et au mouvement.Conférence du 15 février 2000 par Bernard Cerquiglini. Mot(s) clés libre(s) : français (langue), france, langage et langues (france), langues et mondialisation, normalisation, politique linguistique, préservation des langues, purisme (linguistique)
|
Accéder à la ressource
|
|
Géographie de l’innovation
/ AUNEGE, CERIMES
/ 20-10-2014
/ Canal-u.fr
CARRINCAZEAUX Christophe
Voir le résumé
Voir le résumé
L’innovation est au cœur des discours sur la croissance et la compétitivité, mais elle ne se développe pas n’importe où. L’innovation a en fait une géographie bien particulière qui fait que certains espaces (la Silicon Valley par exemple) ou certains pays concentrent le potentiel scientifique et technologique de la planète. La géographie de l’innovation cherche à comprendre ces phénomènes et les nouvelles tendances à l’œuvre dans la contestation de la suprématie des pays ou régions technologiquement avancés. Mot(s) clés libre(s) : innovation, géographie, mondialisation, agglomération, délocalisations
|
Accéder à la ressource
|
|
Today’s initiatives and problems
/ 25-11-2013
/ Canal-u.fr
BUCHELI Marcelo, SHIBUSAWA Ken, ZINSOU Lionel
Voir le résumé
Voir le résumé
INTERNATIONAL SYMPOSIUM : PIONEERING ETHICAL CAPITALISM
MONDAY, NOVEMBER 25TH, 2013
There is more than one way to do capitalism. In Japan, in the second half of the 19th century, a major business leader, Shibusawa Eiichi, expressed the view that business enterprise could and should simultaneously accomplish profits and enhance public welfare. The solutions he suggested are still relevant today. This symposium aims at understanding the Asian and Western origins of ethical capitalism, mapping the evolving arguments about the responsibilities of business and the changing practices of firms, debating the relations between morality and economy for globalised economies and societies in a perspective of sustainable growth.
PROGRAM
10:00 - Morning Session > What does an approach of this major issue by history bring to us?
Moderator: Patrick Fridenson (École des hautes études en sciences sociales)
Opening speech: Kazuo Kodama, Japanese Ambassador to the OECD
Keynote speech: Takeo Kikkawa (Hitotsubashi University), Why ethical capitalism? Origins and development
Geoffrey Jones (Harvard Business School), The responsibility of capitalism: past, present, future
Janet Hunter (London School of Economics), Business and morality: can we still learn from Japan?
Discussion
14:30 - Afternoon Session > Today’s initiatives and problems
Moderator : Marcelo Bucheli (University of Illinois at Urbana-Champaign)Keynote speeches
Ken Shibusawa (Founder and Chairman, Commons Asset Management), Rongo (ethics) andSoroban (business): Sustainable Capitalism
Lionel Zinsou (Chairman and CEO, PAI partners): What does Finance mean by corporate socialresponsibility?
Round table: Can you be ethical in global business today?
Participants: Philippe Lagayette, president of the Fondation de France ; Hartmut Berghoff, director of the German Historical Institute in Washington ; business leaders ; officials and scholars.
General discussion Mot(s) clés libre(s) : éthique, mondialisation, capitalisme, développement durable
|
Accéder à la ressource
|
|
Les ONG et la question humanitaire
/ UTLS - la suite
/ 22-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BRUNEL Sylvie
Voir le résumé
Voir le résumé
En préambule, un constat s'impose : l'explosion des ONG depuis la fin de la Guerre froide, et leur rôle croissant sur la scène internationale. ONG « de terrain » comme mouvements de lobbying et de sensibilisation, ONG du Nord et du Sud, ONG « associatives » mais aussi ce que les Anglo-Saxons appellent les « GONGOS » (gouvernemental NGO...) tirant leurs ressources de financements publics, les ONG sont partout, l'humanitaire fait recette et ses hérauts figurent en tête des personnalités préférées des opinions publiques occidentales Mais déjà un premier paradoxe se fait jour : pourfendeurs de la mondialisation, les ONG en sont pourtant les principales bénéficiaires. La prolifération du mouvement associatif est en effet un pur produit de la mondialisation : jamais les mouvements associatifs n'ont pu bénéficier de telles caisses de résonance, de tels moyens médiatiques et de communication pour faire entendre leur voix. Le second paradoxe nous est fourni par le discours des ONG. Dans le concert souvent dissonnant de leurs multiples revendications, émerge une constante : l'hostilité à toutes les formes de représentations traditionnelles du pouvoir et de la diplomatie internationales. Aux Etats, aux entreprises, aux agences institutionnelles de l'ONU et de ses organisations dérivées (FMI, Banque mondiale, OMC...), les ONG prétendent substituer une légitimité auto-proclamée, la leur. Elles seules incarneraient la « société civile », les autres acteurs ne pouvant être que des imposteurs. Et qui plus est, des imposteurs malfaisants. La deuxième question est donc celle de la légitimité des ONG face aux autres acteurs des relations internationales. D'autant que leurs dénonciations tous azimuts leur valent un courant de sympathie dans l'opinion publique et contribuent au discrédit de l'action politique classique. Cette posture nous amène à nous poser une troisième question. Celles des actions menées par les ONG depuis leur « prise de pouvoir » dans les enceintes internationales, et de leurs bilans. Nul ne peut nier la justesse de certaines de leurs prises de position, les avancées du droit international qu'elles ont pu permettre d'obtenir, leur rôle nécessaire de sentinelle face aux excès et aux abus en tous genres que peuvent produire des logiques purement commerciales ou stratégiques. Néanmoins, deux questions essentielles méritent d'être soulevées : - les ONG ne sont-elles pas guettées elles-mêmes, précisément en raison de leur succès, par les dangers majeurs qu'elles ne cessent de dénoncer : le manque de transparence, les coûts de fonctionnement de plus en plus lourds des appareils, l'absence d'évaluation des actions ? - l'action humanitaire contribue-t-elle vraiment, aujourd'hui, au développement ? Cette question est la plus essentielle de toutes : c'est elle qui justifie l'existence et les moyens d'action des ONG, puisque celles-ci, rappelons-le, n'existent à l'origine que pour contribuer au développement (et, depuis une décennie, au développement dit « durable »). En ce domaine, quelles leçons tirer de l'expérience des trente dernières années ? Mot(s) clés libre(s) : assistance humanitaire, médias et assistance humanitaire, mondialisation, ONG, organisations non-gouvernementales, secours international
|
Accéder à la ressource
|
|
Ecole Européenne d'été 2009 VF - Litiges liés à la pratique médicale & bdd des praticiens nationaux
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BOYLE Martin
Voir le résumé
Voir le résumé
Présentation de Madame BOYLE sur le thème des litiges liés à la pratique médicale et à l'utilisation des bases de données des praticiens nationaux.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : base de données médicale, droit de la santé, Ecole Européenne d'Eté, éthique biomédicale, mondialisation, praticien, qualité des soins, USA
|
Accéder à la ressource
|
|
Le cinéma à l'épreuve de la mondialisation
/ Mission 2000 en France
/ 24-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BONNELL René
Voir le résumé
Voir le résumé
La politique cinématographique n'a jamais été objet de consensus international. Traité comme une marchandise ordinaire par une majorité d'Etats adeptes du libre échange, le film est considéré par une poignée d'autres, sous la pression d'une partie de leurs opinions, comme une oeuvre d'art dont il faut protéger l'élaboration et la circulation. La France, championne de l'exception culturelle, a convaincu ses partenaires de mettre le cinéma et l'audiovisuel à l'abri de la libre concurrence. En même temps, au nom du principe de non discrimination, elle a dû étendre les bénéfices de son système d'aide aux ressortissants de l'Union européenne tout en valorisant les oeuvres d'expression originale française. Ces réformes ont accru la complexité du dispositif de soutien et le rendent inexportable. Cantonné dans une ligne défensive, les tenants de l'exception culturelle n'ont pas réussi à imaginer une politique qui garantit à terme la sauvegarde, voire le rayonnement de la création cinématographique européenne. Le développement technologique fragilise le droit des auteurs et facilite une pénétration déjà écrasante des produits américains. Les Européens, animés sur le sujet de convictions très variables, mènent la bataille en ordre dispersé. On parle déjà d'abandonner la règle de l'unanimité pour traiter de ces questions. L'Europe et la France sont à la croisée des chemins pour tenter de définir une stratégie qui protège l'autonomie culturelle de l'Europe c'est à dire son identité. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et état, culture (droit européen), culture et mondialisation, droit d'auteur, économie de la culture, europe, exception culturelle, france, identité culturelle, industrie cinématographique, politique culturelle, subventions
|
Accéder à la ressource
|
|
Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEL Danièle
Voir le résumé
Voir le résumé
Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : brevet, migration, mondialisation, productivité
|
Accéder à la ressource
|
|
Les enjeux présents et futurs de la répartition mondiale des ressources cognitives
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2003
/ Canal-u.fr
BLONDEL Danièle
Voir le résumé
Voir le résumé
Théoriciens et praticiens s'accordent aujourd'hui pour voir dans la connaissance le facteur déterminant de la compétitivité des firmes et de la croissance des économies. Les signes sont clairs : tandis que des économistes, de plus en plus nombreux, modélisent la Knowledge-Based Economy, les conseillers d'entreprise en Knowledge Management prennent peu à peu le pas sur ceux qui traitent de la gestion financière. Le problème de la production et de la distribution de cette source de richesse est donc au coeur de la question de l'inégalité entre les nations, entre les firmes et entre les individus. Ce nouveau régime économique que certains ont appelé « capitalisme cognitif » est-il plus ou moins égalitaire que le capitalisme industriel ? La réponse est ambiguë. La connaissance semble- a priori- un bien libre et non-rival : celui qui possède un savoir et le transmet à quelqu'un d'autre ne le perd pas pour autant ; ce pourrait donc être une grande chance pour les pays pauvres puisque leur capacité de développement pourrait être enrichie par des transferts de savoirs gratuits qui ne priveraient en rien leurs donateurs ; en outre, cette diffusion pourrait être accélérée par les nouveaux moyens d'information et de communication, rapides et peu coûteux. Pourtant, une réflexion plus approfondie sur la nature même de la connaissance utile pour créer de la richesse, montre que tous les individus et tous les pays ne sont pas forcément dans de bonnes conditions pour valoriser les informations qu'ils reçoivent. L'appropriation de la connaissance, étape préalable nécessaire à sa valorisation, requiert des compétences très particulières qui ne sont pas transférables en temps réel par les TIC. Le nouveau savoir pour être fructueux doit être ensemencé dans un terreau fertilisé de longue date par l'éducation, la formation et la culture. Confrontés à cette dynamique cumulative qui intègre les différents apprentissages, certains pays en voie de développement ont su profiter du nouveau modèle ; pour d'autres au contraire, l'éviction semble encore plus grave et définitive qu'auparavant. Quelles leçons peut-on tirer de ces expériences pour le rééquilibrage durable du développement mondial ? Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, productivité, brevet, migration
|
Accéder à la ressource
|
|