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Les industries du voyage - Robert LANQUAR
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LANQUAR Robert
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Peut-on parler d'industrie pour un secteur économique où 99% des entreprises sont des PME, et à plus de 90% des microentreprises ? L'importance actuelle du tourisme est la conséquence d'une mesure sociale, la généralisation des congés payés en Europe, produit d'un modèle social que l'on ne retrouve pas ailleurs. Au moment où le libéralisme domine nos économies, on peut se poser des questions sur l'avenir des industries du voyage ou plutôt de l'offre touristique faite de produits et de services très divers et d'entreprises aux formes de gestion très variées. Des révolutions sont en cours dans l'offre touristique, non seulement résultats d'innovations technologiques comme celles de l'information et de la communication ou induites par le besoin de moins utiliser des ressources rares comme l'énergie ou l'eau, plus encore en raison de changements dans les habitudes des consommateurs mieux informés et mieux éduqués recherchant le cadre d'un développement durable tout en luttant contre la pauvreté et pour la mise en place d'une meilleure gouvernance dans les décisions concernant le développement touristique local. Ainsi en Méditerranée, lors du dernier Sommet de Barcelone du 28 novembre 2005, les chefs d'Etat et de gouvernement européens et méditerranéens ont pour la première fois décidé d'un programme de travail qui engagera une coopération visant à accroître la contribution du tourisme à la création d'emplois, au développement des infrastructures et à la compréhension interculturelle, tout en veillant à la viabilité environnementale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, tourisme, voyage
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Les industries du voyage
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2006
/ Canal-u.fr
LANQUAR Robert
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Peut-on parler d'industrie pour un secteur économique où 99% des entreprises sont des PME, et à plus de 90% des microentreprises ? L'importance actuelle du tourisme est la conséquence d'une mesure sociale, la généralisation des congés payés en Europe, produit d'un modèle social que l'on ne retrouve pas ailleurs. Au moment où le libéralisme domine nos économies, on peut se poser des questions sur l'avenir des industries du voyage ou plutôt de l'offre touristique faite de produits et de services très divers et d'entreprises aux formes de gestion très variées. Des révolutions sont en cours dans l'offre touristique, non seulement résultats d'innovations technologiques comme celles de l'information et de la communication ou induites par le besoin de moins utiliser des ressources rares comme l'énergie ou l'eau, plus encore en raison de changements dans les habitudes des consommateurs mieux informés et mieux éduqués recherchant le cadre d'un développement durable tout en luttant contre la pauvreté et pour la mise en place d'une meilleure gouvernance dans les décisions concernant le développement touristique local. Ainsi en Méditerranée, lors du dernier Sommet de Barcelone du 28 novembre 2005, les chefs d'Etat et de gouvernement européens et méditerranéens ont pour la première fois décidé d'un programme de travail qui engagera une coopération visant à accroître la contribution du tourisme à la création d'emplois, au développement des infrastructures et à la compréhension interculturelle, tout en veillant à la viabilité environnementale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, tourisme, voyage
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Le politique va-t-il mourir ?
/ UTLS - la suite
/ 05-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LAïDI Zaki
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Ce que l'« avènement » de la mondialisation suggère, c'est l'impossibilité de penser l'organisation et la stabilité du monde sur la base d'un simple système interétatique. La mondialisation nous fait passer d'une logique de boules de billard qui s'entrechoquent à une logique de flux qui se mélangent. D'où, d'ailleurs, l'idée de gouvernance mondiale qui sous-tend que la régulation mondiale n'est précisément plus réductible à la régulation exclusive des Etats. On parle de gouvernance parce que l'on ne peut plus parler uniquement des gouvernements. La gouvernance renvoie fondamentalement à l'idée que les choix et les décisions passent de plus en plus par des jeux de transactions entre acteurs de nature différente (Etats, entreprises privées et organisations non étatiques), plutôt que par une logique hiérarchique où un acteur en l'occurrence l'Etat dicterait sa conduite aux autres. C'est la raison pour laquelle l'idée de gouvernance exclut la perspective d'un super-Etat macro-régional ou mondial, car les problèmes qu'affronte l'Etat ne sont pas seulement affaire de taille ou de poids. Parler de super-Etat pour répondre à la crise de l'Etat, c'est donc prendre tout simplement le risque d'amplifier, au niveau d'une macro-région ou du monde, la crise de l'Etat. Ce qui vaut pour l'Etat vaut naturellement pour la démocratie. Combattre la dévitalisation de la démocratie par une sorte de translation à l'échelle macro-régionale ou mondiale est tout aussi illusoire. La gouvernance ne saurait donc être une simple affaire de translation institutionnelle vers un niveau plus élevé. Elle est plutôt un processus de réduction de l'indétermination historique qui pèse sur l'avenir de l'Etat à travers la construction d'arrangements entre acteurs hétérogènes du système mondial. Elle est une manière de penser le politique en dehors et au-delà de la question de la souveraineté, question à laquelle a été historiquement liée la réflexion sur l'Etat. La gouvernance sanctionne par là même la fin des visions téléologiques qui assigneraient à un sujet historique l'Etat par exemple une responsabilité particulière. C'est la raison pour laquelle toute tentative destinée à assigner à un nouvel acteur par exemple la société civile une sorte de nouvelle responsabilité historique qui succéderait à celle jouée par les Etats paraît peu crédible. (Zaki Laïdi, Extrait de « Etat, politique et mondialisation », préface à Un monde privé de sens, Hachette, coll. Pluriel, 2001) Mot(s) clés libre(s) : capitalisme, etat, mondialisation
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Can you be ethical in global business today?
/ 25-11-2013
/ Canal-u.fr
LAGAYETTE Philippe, BERGHOFF Hartmut
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INTERNATIONAL SYMPOSIUM : PIONEERING ETHICAL CAPITALISM
MONDAY, NOVEMBER 25TH, 2013
There is more than one way to do capitalism. In Japan, in the second half of the 19th century, a major business leader, Shibusawa Eiichi, expressed the view that business enterprise could and should simultaneously accomplish profits and enhance public welfare. The solutions he suggested are still relevant today. This symposium aims at understanding the Asian and Western origins of ethical capitalism, mapping the evolving arguments about the responsibilities of business and the changing practices of firms, debating the relations between morality and economy for globalised economies and societies in a perspective of sustainable growth.
PROGRAM
10:00 - Morning Session > What does an approach of this major issue by history bring to us?
Moderator: Patrick Fridenson (École des hautes études en sciences sociales)
Opening speech: Kazuo Kodama, Japanese Ambassador to the OECD
Keynote speech: Takeo Kikkawa (Hitotsubashi University), Why ethical capitalism? Origins and development
Geoffrey Jones (Harvard Business School), The responsibility of capitalism: past, present, future
Janet Hunter (London School of Economics), Business and morality: can we still learn from Japan?
Discussion
14:30 - Afternoon Session > Today’s initiatives and problems Session in English.
Moderator : Marcelo Bucheli (University of Illinois at Urbana-Champaign)Keynote speeches
Ken Shibusawa (Founder and Chairman, Commons Asset Management), Rongo (ethics) andSoroban (business): Sustainable Capitalism
Lionel Zinsou (Chairman and CEO, PAI partners): What does Finance mean by corporate socialresponsibility?
Round table: Can you be ethical in global business today?
Participants: Philippe Lagayette, president of the Fondation de France ; Hartmut Berghoff, director of the German Historical Institute in Washington ; business leaders ; officials and scholars.
General discussion Mot(s) clés libre(s) : éthique, mondialisation, capitalisme, développement durable
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Géographie, pouvoir et géopolitique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 01-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KLEINSCHMAGER Richard
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"La question du contrôle des territoires par les États est au fondement de la géographie politique dont Friedrich Ratzel à la fin du XIXe siècle a jeté les bases dans sa " Politische Geographie ". Si la géopolitique qui en est l'une des héritières a pu faire figure de science instrumentalisée par les intérêts contingents des pouvoirs, et singulièrement ceux du IIIe Reich nazi, l'une et l'autre posent la question fondamentale de l'appropriation étatique du territoire. Aujourd'hui où des phénomènes majeurs englobés sous le terme générique de globalisation ou de mondialisation viennent cisailler les modalités traditionnelles d'appropriation des territoires par les divers pouvoirs étatiques, il n'est pas inintéressant de s'interroger sur les transformations des ces modalités traditionnelles. Il s'impose de revisiter des concepts fondateurs de la géographie politique comme ceux de position ou de frontières qui sont reconfigurés par les effets de diverses révolutions économiques et technologiques en particulier celles de l'agriculture, des transports et de la communication. " Mot(s) clés libre(s) : état, frontières, géographie politique, géopolitique, globalisation, mondialisation, territoire national
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Mondialisation et information
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HUMI Peter
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pas de résumé Mot(s) clés libre(s) : CNN, Etats-Unis, média, mondialisation, télévision
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Guerre et paix à l'âge de la mondialisation
/ UTLS - la suite
/ 08-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HASSNER Pierre
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Faut-il encore parler de l'ère de la globalisation ? Celle-ci a succédé à celle de la guerre froide, ce qui semblait indiquer que désormais la dimension économique, sociale et culturelle l'emportait sur les conflits internationaux et la violence. Certes, ceux-ci n'avaient pas disparu : la globalisation produit des réactions violentes, nationalistes, ethniques ou religieuses, et contribue, avec la chute de l'empire soviétique, à la prolifération d'Etats faibles mal assurés de leurs unités et de leurs frontières, et de zones de non-droit qui se combinent avec celle des réseaux mafieux. Mais le 11 septembre 2001 introduit une nouvelle phase caractérisée par le terrorisme apocalyptique et la montée d'un empire américain décidé à s'appuyer activement sur la force militaire. Les divisions classiques entre paix et guerre, entre régions pacifiques ou troublées, entre militaires et civils, entre la violence des Etats et celle des réseaux sont mises en question. Des civils tuent des civils, ils surgissent du sein même du centre pour l'attaquer de l'intérieur de ses frontières, mais ils viennent des quatre coins du monde, et c'est là que la riposte ira les chercher. C'est une nouvelle forme de globalisation, celle de la violence. Mot(s) clés libre(s) : globalisation, mondialisation, relations internationales, sécurité internationale, violence
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Muséalisation du monde ou Californication de l'Occident ?
/ Mission 2000 en France
/ 21-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GUILBAUT Serge
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La chute du mur de Berlin a véritablement symbolisé en Occident le passage d'un monde binaire antagoniste et profondément divisé à un autre beaucoup plus souple, ouvert et libéré. Un monde nouveau qui, grâce à un développement ultra-rapide des technologies de communication a permis au libéralisme économique de dominer la planète et de transformer radicalement les manières de vivre et de voir. En effet, les canons esthétiques traditionnels laissent la place à une grande diversification souvent difficile à supporter pour beaucoup mais qui ouvre des horizons nouveaux en y intégrant des voix et des cultures différentes. Certains croient y voir là la preuve que la libéralisation des marchés entraîne également une libéralisation culturelle. La question se pose effectivement de savoir si l'ouverture des marchés culturels, la multiplication des musées ainsi que l'envahissement planétaire du tourisme libèrent les esprits ou s'il y a là au contraire une nouvelle forme de colonisation culturelle à travers la dissémination d'un style de vie qui s'apparente trop souvent à celui de la Californie. Il serait donc bon de se demander comme le fait un groupe pop à la mode si nous n'assistons pas à la Californication de l'occident plutôt qu'à la Muséalisation du monde ? Mot(s) clés libre(s) : culture, mondialisation, tourisme culturel
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Supply chain management, logistique et entreprise virtuelle
/ Mission 2000 en France
/ 26-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GREGOIRE Laurent
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"Cette conférence relève d'une triple incongruité. D'abord parce que la logistique trouve peut-être, mais ça n'est pas évident en soi, sa place dans une "" Université de tous les savoirs "". Elle n'est pas encore une discipline universitaire reconnue. Cette science ne se caractérise pas encore par une somme de savoirs reconnus. La deuxième incongruité est le fait que le thème qui m'a été proposé présente deux paradoxes. Le premier est qu'il commence par un terme américain sans traduction, le deuxième est qu'il juxtapose deux termes tout à fait antinomiques. Qu'y a-t-il de plus matériel que la logistique ? La troisième incongruité est qu'il s'agit d'une des rares conférences de "" L'Université de tous les savoirs ""non pas donnée par un chercheur, un universitaire ou même un consultant, mais par un ingénieur, un cadre d'entreprise, confronté à la mise en pratique quotidienne et responsable dans la durée de ses actes. " Mot(s) clés libre(s) : commerce, distribution, entreprise, européanisation, internet, management, mondialisation, sous-traitance, transport
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Supply chain management, logistique et entreprise virtuelle
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 26-05-2000
/ Canal-u.fr
GREGOIRE Laurent
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Cette conférence relève d'une triple incongruité. D'abord parce que la logistique trouve peut-être, mais ça n'est pas évident en soi, sa place dans une " Université de tous les savoirs ". Elle n'est pas encore une discipline universitaire reconnue. Cette science ne se caractérise pas encore par une somme de savoirs reconnus. La deuxième incongruité est le fait que le thème qui m'a été proposé présente deux paradoxes. Le premier est qu'il commence par un terme américain sans traduction, le deuxième est qu'il juxtapose deux termes tout à fait antinomiques. Qu'y a-t-il de plus matériel que la logistique ? La troisième incongruité est qu'il s'agit d'une des rares conférences de " L'Université de tous les savoirs "non pas donnée par un chercheur, un universitaire ou même un consultant, mais par un ingénieur, un cadre d'entreprise, confronté à la mise en pratique quotidienne et responsable dans la durée de ses actes. Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, mondialisation, sous-traitance, management, commerce, distribution, européanisation, transport
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