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Michel Legrand et la musique de film (8/8) : Echange avec le public / Michel Legrand au piano
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (7/8) : Dialogue avec le cinéaste Jean-Paul Rappeneau
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (6/8) : Dialogue avec le compositeur Philippe Rombi
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (5/8) : La période américaine
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (4/8) : le travail avec Jacques Demy
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (3/8) : Du jazz au cinéma
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (2/8) : Les années de formation
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Michel Legrand et la musique de film (1/8) : Introduction par Serge Toubiana et Stéphane Lerouge
/ La Cinémathèque française
/ 07-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Legrand Michel
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"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson et Stan Getz. J'ai moi-même inséré du jazz dans Les Parapluies de Cherbourg ou Les Demoiselles de Rochefort." - Michel Legrand. Propos recueillis par Paola Genone, 2005. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, compositeurs, france, jazz, michel legrand (1932-....), musique de film
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Comment le film a inventé le rock (et réciproquement). Conférence de François Bon
/ La Cinémathèque française
/ 23-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Bon François
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Si la révolution rock a pris une telle ampleur, une telle échelle, à telle simultanéité, c'est aussi qu'elle correspondait à l'éclosion de masse d'un nouveau media : la télévision. C'est du sein de cette relation qu'ont émergé une suite de films qui cherchaient pour leur propre compte une image du héros, de la légende. L'histoire filmique très documentée des Rolling Stones, depuis les premières captations télévisées, shows mis en scène ou actualités, jusqu'à la grande trilogie Gimmie Shelter (Maysles), One + One (Godard), Cocksucker Blues (Frank) des années 69-72, peut servir de marqueur. L'histoire filmique inégale de Dylan, des Who, de Led Zeppelin pourrait alors devenir une histoire singulière d'enjeux esthétiques dont ne disposaient pas les acteurs eux-mêmes, et par là une inscription de la dimension symbolique de cette légende. Mot(s) clés libre(s) : états-unis, films musicaux, médias et musique, musiciens de rock, musique, rock (musique) et cinéma, télévision, télévision et musique
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A la découverte de la danse traditionnelle coréenne ( 한국무용)
/ LEA CALONE
/ 15-04-2016
/ Canal-u.fr
KIM Hui Yeon, CHAE-DUPORGE Ok Yang, Cho Seong Jin, AN Jae Hyun
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La danse traditionnelle coréenne remonte à la préhistoire lors des rites religieux, organisés par le peuple en l'honneur des dieux et des ancêtres. Ces pratiques religieuses étaient animées par une ambiance festive et dansante. Peu à peu cette danse de développe et commence à se structurer pendant la période des 3 royaumes (Goguryo, Baekcha, Silla).
Ce n'est cependant que durant la dynastie de Choson que 2 Styles commenceront à se distinguer:
La danse de la cour royale ou danse de banquet
La danse folklorique ou danse du peuple
De nos jours nous comptons près de huit styles de danses différentes:
Geommu, Talchum, Seungmu, Taepyungmu, Hannyangmu, Salpurichum, Jangguchum, Buraechum et Barachum.
Le projet final est un court métrage de 10 - 15 minutes couvrant des sections de tounage filmées en France et en Corée, comprenant également des vidéos de danses, complétées par des interviews. Mot(s) clés libre(s) : danse, Langue coréenne, cours de danse, danse traditionnelle, Corée / France, 한국무용, tradition, dynamisme, élégence, raffinement, culture, art, Corée du Sud, couleurs, musique, royauté, société, histoire, passion, représentation, patrimoine, peuple, Corée, chorégraphie, valeurs, folklore
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