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17ème Journée Française de l’Épilepsie 2014 : ÉPILEPSIE DU LOBE TEMPORAL ANTÉRIEUR : IMPACT SUR LA PERCEPTION ET LE TRAITEMENT DES VISAGES
/ 14-11-2014
/ Canal-u.fr
CASTRO Clémentine
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Titre : 17ème Journée Française de l’Épilepsie 2014 : ÉPILEPSIE DU LOBE TEMPORAL ANTÉRIEUR : IMPACT SUR LA PERCEPTION ET LE TRAITEMENT DES VISAGESIntervenants : Clémentine CASTRO, Service de Neurologie, CHU de NancyRésumé : Les 17ème JFE concrétiseront le rassemblement de tous les professionnels
de santé et partenaires intervenant dans la filière de soins et de
santé des patients épileptiques adultes et enfants. Au delà de notre
public habituel que vous connaissez bien, nous accueillerons également
l’ensemble des directeurs et personnels administratifs des
établissements pour épileptiques en France et de certains pays
limitrophes ; nous réaliserons ces Journées en collaboration directe et
très étroite avec les associations de malade, Accueil Épilepsies Grand
Est (AEGE).L’originalité sera aussi de lancer, le jour de l’inauguration, avec diffusion en Europe et dans le Monde, de l’opération originale « Guernica Kids » coordonnée par le Docteur Jean-Luc SCHAFF, Responsable Médical à l’OHS de Lorraine.Les auteurs n’ont pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la 17ème Journée Française de l’Épilepsie 2014 du 13 au 15 novembre 2014 au centre des Congrès Jean Prouvé de Nancy, à deux pas de la Place Stanislas.Réalisation, production : Canal U/3S. Mot(s) clés libre(s) : neurologie, épilepsie, 2014, nancy, JFE 2014
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Emois Nancy 2009 - Validité des codes CIM-10 et du PMSI dans la détection de la thrombose veineuse
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 05-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CASEZ P
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Emois Nancy 2009 : session valorisation et contrôle de qualité.Validité des codes CIM-10 et du PMSI dans la détection de la thrombose veineuse profonde et de l'embolie pulmonaire chez les patients suspects de maladie thromboemboliqueP. Casez, J. Labarere, X. Courtois, G. Madelon, S. Mercier, E. Lewandowski, J. Fauconnier, M. Haddouche, P. François, J.L. Bosson.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : codes CIM-10, embolie pulmonaire, Emois Nancy 2009, évaluation, PMSI, RCM, T2A, thrombose veineuse
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GSF 2010 - 15.Mutilations sexuelles féminines. Rôle des professionnels de santé
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 05-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CARTON Veronique
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Colloque violences faites aux femmes 05/02/2010 - NancyViolences conjugales et mutilations sexuelles fémininesGSF 2010 – Conséquences médicales et prise en charge pluridisciplinaire. Rôle des professionnels de santé dans le dépistage, la prise en charge et la prévention.Véronique CARTON : GSF (Gynécologie Sans Frontière) – Nantes.Unité de gynécologie obstétrique médico psycho sociale, Hôpital Mère Enfant, CHU de Nantes.Les mutilations sexuelles féminines : le rôle des professionnels de santé DEPISTER, ACCOMPAGNER, PREVENIR.La loi française s’applique à toute personne vivant en France. Elle protège tous les enfants qui vivent en France quelque soit leur nationalité. La loi française s’applique aussi lorsque la mutilation est commise à l’étranger : lorsque la victime est de nationalité française, depuis le 04 avril 2006, lorsque la victime est mineure, de nationalité étrangère résidant habituellement en France et qui subit une mutilation à l’étranger.Accompagnement : chirurgie réparatrice, suivi médical, psychologique et sexuel.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, enfants, femmes, groupes de parole, GSF Nancy, Gynécologie Sans Frontière, mutilations sexuelles, prévention, santé, sexualité, violences
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Journées EMOIS Nancy 2015 : Session A2 - Détermination de l’exposition de 394 979 nouveau-nés par imputation multiple de données manquantes dans une étude épidémiologique
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, Université de Lorraine
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
CARON Alexandre, GOMEZ Sandra, CHATELLIER G.
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Titre : Journées EMOIS Nancy 2015 - Session A2 - Détermination de l’exposition de 394 979 nouveau-nés par imputation
multiple de données manquantes dans une étude épidémiologique – Auditorium 300Modérateurs : G. CHATELLIER, S. GOMEZ Intervenant(s) : Alexandre CARONL’auteur
n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées
dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du XXVIIIe Congrès EMOIS le 26 et 27 mars 2015 au Centre Prouvé Grand Nancy.
----------PROGRAMME JEUDI 26 MARS Auditorium 300 ----------11h0012h30 : Sessions parallèlesA2 – PMSI et épidémiologieModérateurs : G CHATELLIER, S GOMEZ
JANUEL JM, BURNAND B. Biais potentiels de mesures
attribuables à un changement de version de la CIM-10 utilisée pour le codage
des diagnostics des patients hospitalisés dans les hôpitaux en Suisse.
DOAT S, SAMSON S, FAGOT-CAMPAGNA A, TUPPIN P, MENEGAUX F.
Estimation de l’incidence du cancer du sein, de la prostate et du colon-rectum
à partir des données de bases médico-administratives (Echantillon Généraliste
des Bénéficiaires de l’Assurance Maladie).
MOUTENGOU E, MOISAN F, BOUSSAC-ZAREBSKA M, DUPORT N,
CARCAILLON L, ELBAZ A. Estimation de la proportion de malades parkinsoniens en
institution avec pharmacie à usage intérieur à partir du Sniiram en France:
quel impact sur la prévalence?
FRESSON J, EGO A, REY S, MOUQUET MC, JAY N, BLONDEL B.
Analyse de la mortinatalité par le PMSI : premiers résultats nationaux.
PIERRON A, REVERT M,
GOUESLARD K, VUAGNAT A, COTTENET, BENZENINE E, FRESSON J, QUANTIN C. Évaluation
de la qualité métrologique des données du programme de médicalisation du
système d’information (PMSI) en périnatalité : Etude pilote réalisée dans les
CHU de Dijon, Port Royal et Nancy.
CARON A, CLEMENT G, HEYMAN C, AERNOUT E, CHAZARD E, LE
TERTRE A. Détermination de l’exposition de 394 979 nouveau-nés par imputation
multiple de données manquantes dans une étude épidémiologique.
12h3014h00 : Déjeuner – Espace réceptif 52014h0015h30 : Sessions parallèlesB2 : Systèmes
d'informations, automatisation du codage et des contrôles, interfaces
Modérateurs : E CHAZARD, N JAY
Conférence invitée : P MANET. L'accompagnement par
l'ANAP du programme Hôpital Numérique : une étape dans le soutien de la
puissance publique à l'informatisation du Système d'Information de
Santé.
FICHEUR G, FERREIRA CARREIRA L, CHAZARD E, BEUSCART R.
EpiHosp : un outil web permettant l’exploration des poses de dispositifs
médicaux implantables et de leurs complications par la réutilisation de la base
nationale du PMSI.
LEGRAND JP, SEVIN F, LESAINE E, PRADEAU C,
SAILLOUR-GLENISSON F. Rapprochement des bases de données du Registre Aquitain
de prise en charge initiale des Infarctus du myocarde (REANIM) et de celle de
la régulation SAMU.
DJENNAOUI M, FICHEUR G, AERNOUT E, BEUSCART R, CHAZARD E.
Construction et évaluation de règles de prédiction de diagnostics à partir des
bases de données hospitalières : application au contrôle qualité des données
médico-administratives.
CHOUDAT I, GUERIN A, COURAY TARGE S, COROND P, COLIN C.
Certification des comptes des établissements publics de santé. L’exemple des
Hospices Civils de Lyon : une coopération DIM – KPMG.
15h3016h00 : Pause – Hall 316h0017h30 : Sessions parallèles
C1 : Session FIDES
point sur la situation
Modérateurs : C QUANTIN, E TOUSSAINT
Intervention de Yannick LE GUEN
(sous-directeur de la performance des acteurs de l’offre de soins à la
Direction Générale de l’Offre de Soins).
Intervention de Franck ROBIN (directeur du
programme Hôpital à la CnamTS).
Réalisation, production : UNF3S- Canal U/3S - Université de LorraineMots
clés : EMOIS, 2015, Nancy, épidémiologie, évaluation, management,
organisation, information, santé, PMSI, T2A, tarification à l’activité,
programme de médicalisation des systèmes d’information Mot(s) clés libre(s) : Lorraine, 2015, programme de médicalisation des systèmes d’information, tarification à l’activité, T2A, PMSI, santé, information, organisation, management, évaluation, épidémiologie, EMOIS, université, Nancy
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Cafés des Sciences Nancy 2008 - Alimentation : est-on condamné à la malbouffe ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 05-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, RUSTOM Lina, CLO Dominique, DELATTE Jacques, HERBETH Nicolas, HODEZ Françoise, MICLOS Laurent
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRARésumé : Pas forcément moins chère, la malbouffe est souvent choisie comme option de facilité. Petits plats préparés industriellement, restauration rapide, les industriels font-ils des efforts pour s’adapter au plan national de nutrition ? Quelles alternatives s’offrent à nous ? Cette rencontre est organisée en partenariat avec la MGEN. www.mgen.frIntervenants : RUSTOM Lina, CLO Dominique, DELATTE Jacques, HERBETH Nicolas, HODEZ Françoise, MICLOS Laurent.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : agriculture biologique, alimentation, Cafés des Sciences Nancy Université, CROUS, nutrition, obésité
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SML 2009 - Discours introductif
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
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Par son discours, le Pr. VESPIGNANI ouvre la Semaine Médicale Lorraine.Il présente également des statistiques sur le nombre d'inscrits et leurs provenances géographiques.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Faculté de Médecine de Nancy, formation médicale continue, inauguration, Semaine Médicale de Lorraine, SML, Université Henri Poincaré
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Diu Chirurgie Robotique à Nancy
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
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Le Diplôme interuniversitaire de Chirurgie Robotique a pour but d’apporter : une formation théorique et pratique dans différentes spécialités chirurgicales (chirurgies urologique, digestive, gynécologique, cardiovasculaire, ORL, pédiatrie etc…) mais aussi aux infirmier(e)s de bloc opératoire et aux ingénieurs et techniciens biomédicaux. Le programme de l’enseignement a été conçu de façon multimodale avec une progression étape par étape pour vous permettre d’acquérir de façon optimale les compétences indispensables à l’utilisation du robot chirurgical Da Vinci. Une phase d’initiation avec formation théorique aux bases de la chirurgie robotique, ateliers de microchirurgie et entrainement intensif sur simulateurs dV-Trainer à l’Ecole de chirurgie de Nancy. Une phase de perfectionnement avec pratique chirurgicale ex situ et sur l’animal avec un robot Da Vinci S, grâce au soutien de la société Intuitive Surgical à l’Ecole de Chirurgie de Nancy. Une phase de spécialité avec visionnage de vidéos opératoires préenregistrées et live puis une rencontre au bloc opératoire avec des experts de la spécialité dans une des universités partenaires. Des enseignements spécifiques sont proposés aux IBODES & ingénieurs. Après cette formation vous serez prêt pour débuter votre activité clinique et, en collaboration avec la société Intuitive, vous pourrez continuer à bénéficier des conseils des experts de votre spécialité pour vous aider à mener à bien vos premiers cas de chirurgie robotique. Mot(s) clés libre(s) : chirurgie, DIU, école, Nancy, robot Da Vinci, robotique
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Cafés des Sciences Nancy 2006 - Tchernobyl, 20 ans après : où en est-on ?
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 04-04-2006
/ Canal-U - OAI Archive
Canal U/Tice Médecine Santé
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Résumé : Le 26 avril 1986, le réacteur numéro 4 de la centrale de Tchernobyl (Ukraine) explose suite à un enchaînement de mauvaises manipulations des techniciens. Vingt ans après, la France reconnaît que le nuage radioactif ne s'est pas arrêté aux frontières. De par sa situation, l'est du pays est particulièrement concerné. La radioactivité mesurée en Lorraine n'a eu que des conséquences limitées sur la faune et la flore. Les médecins ont constaté que le nombre de cancer n'a pas augmenté. Intervenants :• Michel Fabry, Professeur de physique à la Faculté des Sciences et Techniques de Nancy • Bernard Poty, Professeur de géologie à la Faculté des Sciences et Techniques de Nancy • Amar Naoun, Médecin spécialiste de médecine nucléaire au CHU de Nancy• Philippe Gaestel, Directeur de Cattenom SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, cancer, centrale nucléaire, cesium 137, environnement, iode 131, radioactivité, radium, Tchernobyl, thyroïde
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ANARLF 2009 - Gestion de crise en neuroradiologie interventionnelle
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 27-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BRUDER Nicolas
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31ème journée de l’association de Neuro Anesthésie Réanimation de Langue Française (ANARLF).Thérapeutique en neuro anesthésie-réanimation.ANARLF 2009 Nancy – Gestion de crise en neuroradiologie interventionnelle (NRI).Résumé : La neuroradiologie interventionnelle est une spécialité hybride entre la radiologie interventionnelle et la neurochirurgie. Les impératifs techniques sont ceux de la radiologie interventionnelle avec certaines spécificités liées à la pathologie cérébrale. Mais les complications sont d’ordre neurologique ou neurochirurgical, nécessitant une bonne connaissance de la réanimation neurologique d’urgence. Le point commun de ces complications est l’urgence cérébrale, ce qui impose d’avoir des protocoles thérapeutiques clairs et précis, en collaboration avec les neuroradiologues et les neurochirurgiens, pour ne pas perdre de temps en face d’une agression cérébrale toujours grave. Les complications sont de 3 types : les complications hémorragiques, les complications ischémiques, les complications liées aux produits de contraste. L’étude ATENA a évalué les complications du traitement endovasculaire des anévrismes non rompus dans une cohorte de 649 patients comprenant 1100 anévrismes dans 27 centres Français ou Canadiens. Des complications pendant la procédure survenaient chez 15,4 % des patients, avec 7,1 % de complications thromboemboliques, 2,6 % de ruptures anévrismales et 2,9 % de complications techniques. La mortalité à 1 mois était de 1,4 %. Il y avait 2,6 % de déficits neurologiques permanents et 1,9 % de déficits transitoires.Auteur : Nicolas BRUDER - SAR, CHU Timone, MarseilleSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ANARLF 2009 Nancy, anesthésie, AVC ischémique, neurologie, neuroradiologie interventionnelle, NRI, pharmacologie, réanimation
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EMOIS Nancy 2011 - Impact de l’installation d’une IRM dédiée aux urgences sur les durées de séjour.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BRUANDET Amélie
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Titre : Impact de l’installation d’une IRM dédiée aux urgences sur les durées de séjour au CHRU de Lille.Résumé : CHRU de Lille sur la durée moyenne des séjours (DMS).Matériel et Méthode: Etude appariée de type "avant/après" réalisée à partir des données PMSI. Tous les patients des services de neurologie, de neurochirurgie adulte et des urgences ayant bénéficié d’un examen sur l’IRM dédiée aux urgences au cours du second semestre 2009 sont inclus (période après). Pour l’appariement, l’ensemble des séjours réalisés dans ces services au cours du second semestre 2008 sont considérés (période avant). Un modèle logistique, estimant la probabilité de réalisation d’une IRM en 2009, est utilisé pour prédire la probabilité de sa réalisation en 2008.Résultats: En 2009, 1797 patients ont été explorés sur l’IRM. 65% des examens d’IRM ont été réalisés le jour de l’admission, 20% le lendemain et 15% les jours suivants. En neurologie, la DMS évolue peu entre 2008/2009 (9,84 à 9,71 jours, p=0,8114). Aux urgences, la DMS passe de 10,16 à 8,79 jours entre 2008 et 2009, (?DMS=-1,37 jours, p=0,0054). La différence de DMS au sein de ce sous-échantillon tient aux séjours pour lesquels l’IRM est prescrite le jour de l’admission (?DMS=-2,20 jours, p=0,0001). Aux urgences, la DMS pour les suspicions d’AVC diminue quand l’examen est prescrit le jour de l’admission (?DMS=- 3,91 jours, p<0,0001) ou le lendemain (?DMS=-3,04 jours, p=0,0370).Conclusion : Cette étude tend à montrer que l’installation d’une IRM dédiée aux urgences permet de réduire la durée moyenne des séjours pour lesquels une IRM est prescrite aux urgences de l’ordre d’une journée. Pour les suspicions d’AVC admises aux urgences, la réduction de durée de séjour est de 3-4 jours. Pour autant, ces résultats ne permettent pas de dire si une IRM doit être dédiée à l’urgence. Cette analyse pourrait être complétée d’une étude coût/bénéfice intégrant notamment les conséquences d’une meilleure prise en charge des patients.Intervenant : BRUANDET Amélie (Département d’Information Médicale, Clinique de Santé Publique, CHRU de Lille).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Qualité des pratiques et des soins : évaluation, indicateurs, tableaux de bord. Modérateurs : Daniel MAYEUX (Centre Alexis Vautrin de Nancy), Annick VALENCE (Maternité Régionale Universitaire de Nancy).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, durée moyenne de séjour, EMOIS Nancy 2011, IRM, PMSI
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