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Spintronique : le spin s' invite en électronique dans nos ordinateurs
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FERT Albert
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Une conférence du cycle "le magnétisme aujourd’hui : du pigeon voyageur à la spintronique"Spintronique : le spin s’invite en électronique dans nos ordinateurspar Albert FertProfesseur, Prix Nobel de Physique 2007, Thales-CNRS PalaiseauLes électrons ont non seulement une charge électrique mais aussi un spin, que l’on peut se représenter comme un aimant minuscule porté par l’électron. La spintronique est un nouveau type d’électronique qui exploite non seulement la charge des électrons mais aussi l’influence du spin sur leur mobilité. Elle nous est déjà familière car nous l’utilisons chaque jour la magnétorésistance géante (GMR) de multicouches magnétiques pour lire le disque dur de notre ordinateur. La découverte de la GMR, il y 20 ans, a donné le coup d’envoi de la spintronique qui s’est ensuite développée rapidement en utilisant tous les outils amenés par les nanotechnologies. Je décrirai les avancées récentes qui vont permettre de réaliser, par exemple, des mémoire d’un nouveau type pour les ordinateurs (MRAM), des émetteurs micro-onde très prometteurs pour la téléphonie mobile et peut être même des qubits pour ordinateurs quantiques. Mot(s) clés libre(s) : aimentation, capteur magnétique, champ magnétique, charge électrique, couche mince, électron, électronique de spin, magnétorésistance, nanotechnologies, spintronique
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Résidence artistique dans un centre de recherche / Jérôme Planes, Sylvie Sauvaigno, Valérie Legembre
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PLANÈS Jérôme, SAUVAIGNO Sylvie, LEGEMBRE Valérie
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Une résidence artistique dans un centre de recherche / Jérôme Planes, Sylvie Sauvaigno et Valérie Legembre. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 6 : Du scientifique à l'artistique. Les postures de l'artiste en milieu scientifique - résidence, collaborations, etc., 10 décembre 2011.Dans le monde de la recherche, communication et documentation ont en commun leur matière première : la production scientifique sous forme d’articles, de livres, de conférences, de posters. L’objet de la communication scientifique est de fabriquer d’autres formes de diffusion de ces produits, dans un but d’échanges aussi bien internes (entre différentes disciplines ou différents métiers de l'INAC) qu’externes, avec des interlocuteurs très divers. A ce jour, les formes utilisées restent assez traditionnelles et voisines de la communication directe entre scientifiques. Avec les membres des comités de rédaction, un travail a été mené pour faire de la feuille mensuelle d’actualité ou du rapport annuel des objets développant un langage propre et autonome. Depuis quatre ans, la couverture du rapport est commandée à un artiste plasticien qui porte son regard sur le matériau scientifique. Proposer à une artiste de résider au sein de l’Institut a pour objectif de dépasser le regard à distance et a posteriori et de faire advenir in situ le dialogue nécessairement inédit. C'est ce que rapporte cette communication à plusieurs voix. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (21e siècle), arts visuels et sciences, création artistique contemporaine (21e siècle), nanotechnologies (influence)
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Redonner à voir. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible / Michel Paysant
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PAYSANT Michel
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Redonner à voir / Michel Paysant. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.OnLAB (le laboratoire d’œuvres nouvelles) imaginé par l’artiste Michel Paysant est un projet de recherche au confluent de l’art, de la science et des techniques. Ce projet a été l’objet d’une première présentation au Musée du Louvre de novembre 2009 à mai 2010. Il a permis entre autre la création d’œuvres d’art à l’échelle nanoscopique et microscopique. Réalisées en étroite collaboration avec le musée du Louvre (Département des Antiquités orientales) et 3 grands laboratoires de recherche scientifique (le Laboratoire de Photonique et de Nanostructures (LPN) du CNRS, le Laboratoire de Spectrométrie Physique (LSP) de l’Université Joseph Fourier de Grenoble et le C2RMF/Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France), ces micro- et nano-réalisations, inspirées de l’architecture et de l’histoire de l’art, représentent des sites archéologiques du Proche Orient (Persépolis, Babylone, Suse, …) et des copies de certains chefs d’œuvre du musée. Les originaux « réinventés » à des échelles inédites ont ainsi interrogé le public sur les limites de la connaissance d’une œuvre à l’échelle de la seule perception rétinienne. L’exposition OnLAB a relié pendant plus d’un an le travail des conservateurs de musée, des chercheurs et des laboratoires partenaires à celui d’un artiste contemporain qui aborde les pratiques collaboratives, l’archivage, la muséologie, le statut de l’œuvre d’art et l’apport des nouvelles technologies dans l’art. Entre vision ad oculum et vision ad instrumentum, OnLAB représente un musée de l’an 3000. Dans ses dimensions fictionnelle et fonctionnelle, l’installation conçue par l’artiste a tenté de scénographier et de révéler l’imperceptible, l’invu et l’invisible. Outre l’historique du projet, la présentation met l’accent sur la collaboration entre Giancarlo Faini, (LPN) et Michel Paysant pour la création des œuvres nano (croisement des paroles et des compétences entre l’atelier, le laboratoire et le musée, création des œuvres, construction évolutive du lieu d’exposition, …) > Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : art et sciences, arts visuels, création artistique (21e siècle), imagerie scientifique, nanosciences (influence), nanotechnologies (réception)
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Quelle place pour la science aujourd'hui ?
/ Master Biosciences, module "sciences et société", ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 08-12-2009
/ Unisciel
Klein Etienne
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Une conférence d'Etienne Klein, physicien au CEA de Saclay et directeur du Laboratoire de Recherches sur les Sciences de la Matière.
Une réflexion passionnante sur ce qu'est la science et la place qu'elle occupe dans les sociétés occidentales. Mot(s) clés libre(s) : Galilée, nanosciences, nanotechnologie, Large Hadron Collider, LHC, principe de précaution, progrès
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Qu'entend-on par nanotechnologies ?
/ UTLS - la suite
/ 06-12-2001
/ Canal-U - OAI Archive
VAN DAMME Henry
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Que sont les Nanotechnologies ? Imaginez que l'on puisse fabriquer les matériaux, les objets et les dispositifs dont nous avons besoin avec autant de précision que la Nature lorsqu'elle construit une cellule, un organe ou un organisme : en choisissant chaque molécule qui entrera dans la construction de l'édifice, en choisissant la manière de les assembler, en choisissant la manière de construire et d'emboîter des niveaux de plus en plus complexes d'organisation. La nature même de ce que nous fabriquons en serait changée. Non pas que nous donnerions vie à nos créations, mais leurs caractéristiques et les fonctions que l'on pourrait en attendre seraient infiniment plus riches que celles que nous connaissons. Construire un matériau aussi solide et résistant au choc que la nacre, un actionneur qui serait un véritable muscle artificiel, un filtre aussi efficace et peu énergivore que le rein, un tissus dont les caractéristiques changeraient en fonction de la température et de l'humidité, des capsules moléculaires capables de délivrer un médicament sur une cible précise, un anticorps artificiel capable de détecter des cellules malignes et de les éliminer, un calculateur dont le coeur serait constitué de quelques molécules ou même d'une seule d'entre elles,... Nous sommes encore loin de la plupart de ces réalisations, mais la décennie qui vient de s'écouler a vu de tels progrès dans les deux éléments indispensables -la maîtrise du très petit et la maîtrise du complexe- que l'on peut raisonnablement espérer y arriver. On sait désormais, grâce aux microscopes à effet tunnel et à force atomique, non seulement « voir » les atomes, mais aussi les manipuler un par un, explorer tous les recoins d'une molécule ou encore la déformer pour étudier sa réaction, ou encore y accrocher un prolongement artificiel. On sait marier la chimie du carbone -celle des molécules et du monde vivant- avec la chimie du monde minéral. On connaît aussi de mieux en mieux la sociologie des molécules, les lois qui régissent la manière dont elles vont s'assembler entre elles pour former des entités plus grosses : des membranes, des capsules,... On a compris comment les propriétés d'un petit morceau de matière changent lorsque sa taille devient très petite et on en a tiré profit pour fabriquer de nouvelles briques pour la construction des matériaux. Les nanotechnologies constituent les différentes facettes de cette démarche, qui change fondamentalement notre rapport à la matière. Mot(s) clés libre(s) : magnétorésistance géante, microscopie à effet tunnel, moteur moléculaire, nanomatériau, nanomatériaux, nanorobot, nanotechnologie, nanotube, structure moléculaire
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Projet CANAST
/ CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 01-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
Fogarassy E.
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Fabrication de nanotubes orientés et individuels pour des applications de cathode froide à émission de champ pour tubes hyperfréquencesGénériqueE.Fogarassy, CNRS,PHASE USTL TV, SEMM Mot(s) clés libre(s) : cathode froide, couche mince, émission par effet de champ, lithographie, nanotechnologie, nanotube, tube électronique, tube hyperfréquence
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Joël
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.La pointe du Microscope à Force Atomique (AFM) peut palper une surface à l’échelle nanométrique comme je le fais avec l'extrémité de mon doigt à notre échelle. Quelle différence entre la pointe de l’AFM et le bout de mon doigt lorsqu’ils touchent une surface, c’est à dire un mur ? Pas si grande. La soudaineté du contact, manifestation banale mais centrale de la mécanique quantique, fait que du nanomètre au mètre, les objets inertes ne s'interpénètrent pas mais se touchent brutalement. Alors faire le portrait d’un électron avec un AFM, est ce différent ? Oui. Cet électron attaché à une molécule sur une surface est d’abord une charge électrique. La pointe nanométrique vient interagir avec lui grâce au champ électrique. Un portrait électrique donc. Le mur m’exclut quelques soient mes efforts pour partager son espace. Pour occuper sa place, il me faudra le détruire. Un électron sur une surface. Quelle est sa taille ? Quelle place occupe-t-il ? Mauvaises questions pour un scientifique. Pour le Microscope à Force Atomique, l’image vient tranquillement et sans détour. C’est quasiment automatique. Appuyant fort, la pointe s’approche, on a l’image d’un petit électron. En appuyant faiblement, une nouvelle image le montre énorme. Dans les deux cas, on produit une image de l’électron, toujours basée sur la force électrique d’interaction entre la pointe du palpeur et cet électron. Parmi toutes ces images, quel est le portrait de l’électron ? Au choix du spectateur. Jusqu’où peut aller cette variation de la taille apparente ? Ici, jusqu’aux limites de "l’appareil photo".> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (réception), nanotechnologies (instrument), perception spatiale
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Not just pretty pictures ou L'importance des belles images / Vincent Durastre
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DUSASTRE Vincent
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Not just pretty pictures ou L'importance des belles images / Vincent Durastre. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 8 : Langages et codes visuels des nanos. Conventions et espaces de liberté pour le scientifique et l'artiste, 10 décembre 2010.Images used in science communication do not always show the subject matter in the best or most informative way. The role of striking and beautiful visual representations and the responsibility of scientific publications -in the case, "Nature"- as a successful and compelling way to communicate complex ideas will be discussed. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels et sciences, imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation), presse scientifique (illustrations)
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/ Société Française de Physique, Christian Faurens
/ 04-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Société Française de Physique
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Nanotechnologies et perspectives industrielles
/ UTLS - la suite
/ 24-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
ARRIBART Hervé
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Pour mettre en oeuvre les nanotechnologies, il faut imaginer des procédés permettant d'organiser, de structurer la matière à l'échelle nanométrique - c'est-à-dire à des échelles comprises entre 1 et 100 nanomètres. C'est à cet aspect Matériaux des nanotechnologies que la conférence de ce soir sera consacrée. Pourquoi des nano-matériaux ? ; comment les élaborer ? Pourquoi les propriétés de la matière changent elles quand elle est hétérogène à des échelles inférieures à 100 nm ? Les effets sont souvent spectaculaires : les métaux peuvent devenir transparents et prendre des couleurs vives, les vitrocéramiques (qui sont des nano-composites verre-cristal) possèdent des propriétés mécaniques et thermiques bien supérieures à celles du verre homogène de même composition. Les explications physiques de ces phénomènes sont connues ; elles font en général appel à des dimensions caractéristiques bien identifiées. Comment procéder pour obtenir ces matériaux nano-structurés? Si de nombreuses voies sont explorées aujourd'hui dans les laboratoires de recherche, peu parmi elles seront compatibles avec les contraintes économiques pesant sur les coûts de production. On sera probablement conduit à privilégier les voies d'élaboration basées sur l'auto-organisation de la matière, prenant exemple sur les matériaux naturels qui sont bien souvent eux-mêmes nano-structurés. Quelques exemples de nanomatériaux bio-inspirés seront présentés. Mot(s) clés libre(s) : matériaux hybrides, matériaux intelligents, nanomatériaux, nanotechnologies, recherche industrielle, science des matériaux, solide nanostructuré
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