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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-10-2015
/ Canal-u.fr
PARISSE Lydie, NOVARINA Valère, VEGA Amador
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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega. Table ronde animée par Lydie Parisse, in séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation" organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 octobre 2015.
Contrairement aux théologies dites « positives », qui peuvent dire quelque chose sur le divin positivement, la tradition dite de « la voie négative » affirme que le problème du divin ne se laisse enfermer dans aucun appareil conceptuel. Or, une partie de la création moderne et contemporaine s’abreuve aux lectures des textes de cette tradition ancienne. Selon Valère Novarina, ces derniers contiennent l’essence du théâtre ; selon Amador Vega, ils sont à l’origine de l’art contemporain. Comment cette référence aux textes du passé peut-elle renouveler notre regard sur le langage, sur l’humain, sur la littérature, sur l’art ?
Cette rencontre-lecture est en lien avec le spectacle Le Vivier des noms qui se jouera au Théâtre Sorano de Toulouse du 17 au 19 novembre 2015.
Intervenants
Lydie Parisse, maître de conférences de
littérature française à l'Université Toulouse Jean-Jaurès,
Valère
Novarina, écrivain et metteur en scène,
Amador Vega, professeur
d’esthétique et de philosophie de la religion à l'Université Pompeu
Fabre de Barcelone. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, création artistique contemporaine (21e siècle), théâtre contemporain, patrimoine littéraire, mystique et littérature, littérature et religion
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Chimie et art
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MOHEN Jean-Pierre
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C'est Gaston Bachelard qui, après Pasteur, attira l'attention sur les transactions et les créations matérielles dans la science et la chimie. Il rappelle que ce domaine dépasse, par sa richesse, la mémoire et l'imagination de tout homme. En réalité depuis qu'ils fabriquent des pierres taillées et des épieux appointés, depuis qu'ils utilisent le feu, depuis qu'ils tannent des peaux, qu'ils enduisent de couleurs leurs corps ou les parois des cavernes les Hommes sont plongés dans le monde de la chimie par l'intermédiaire de tous ces matériaux qu'ils expérimentent concrètement mais dont ils ne connaissent absolument pas la théorie.Les métallurgistes, les verriers, les fabricants de couleurs ont sans doute compris quelques processus de la transformation des matériaux mais il semble que leur savoir soit resté empirique. Nous avons à faire à un énorme matériel, d'énormes vestiges que les Hommes ont produits d'une manière synthétique, ingénieuse, mais ils n'en savaient pas la théorie. Ils avaient un sentiment d'empirisme, ils réussissaient, et parfois d'une manière géniale, ces objets que l'on retrouve dans les tombes et les habitats. Tous ces objets, nous en avons la charge, des témoins, des références qu'il faut comprendre et essayer de conserver. Tout a commencé lorsque Roentgen, il y a environ un siècle, a inventé les rayons X. En inventant les rayons X, il inventait l'invisible, il permettait de voir quantités de choses que nous ne pouvions percevoir avec nos yeux. Cet invisible va être source de quantité de travaux que ce soit en médecine, en physique et dans le monde du patrimoine. Une science, la science des matériaux, l'art dans le sens de ce qu'a fabriqué l'Homme, y a trouvé un outils précieux. Mot(s) clés libre(s) : art, art et sciences, chimie analytique, expertise, patrimoine culturel, science appliquée à l'art, science du patrimoine, sciences des matériaux
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des "Misérables" d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-12-2014
/ Canal-u.fr
REBOUL Yves, DE PASTRE Béatrice, RAGEL Philippe
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des Misérables d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre, in 2ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", animée par Philippe Ragel et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 12 décembre 2015.
Connu
jusqu’à présent uniquement en noir et blanc et dans une version de
courte durée, le film d’Henri Fescourt "Les Misérables" -adapté du roman de Victor Hugo- a fait l'objet d'une restauration qui lui a permis de retrouver sa durée initiale (6 heures, en 4 actes) et
la richesse des différentes techniques de couleurs utilisées son réalisateur afin d'être restitué dans une version très proche de celle présentée aux spectateurs en 1925, qualifiée à l’époque de "chef d’œuvre de la cinématographie mondiale". Grâce à une facture esthétique classique, une narration filmique maîtrisée et un montage aussi efficace que discret, le film Les Misérables d'Henri Fescourt adapte et transmet fidèlement le texte de l'oeuvre de Victor Hugo, tout en se conformant à une image assez conventionnelle du grand écrivain.
Intervenants
- Franck Loiret, directeur délégué de la
Cinémathèque de Toulouse,
- Jean-Yves Laurichesse, professeur de
littérature (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Philippe Ragel, maître de conférences HDR en histoire et esthétique du
cinéma, (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Béatrice de
Pastre, directrice des collections aux Centre National de la
Cinématographie,
- Yves Reboul, spécialiste de littérature du XIXe
siècle et de cinéma. Mot(s) clés libre(s) : films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel, adaptations cinématographiques, Victor Hugo (1802-1885), Henri Fescourt (1880-1966)
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Destruction du patrimoine humain et historique en Chine
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUDERLOT Charles
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Artiste voyageur, Charles Chauderlot est tombé sous le charme de la Chine où il vit désormais depuis plusieurs années. Amoureux de Pékin, il n'a de cesse de peindre les beautés de cette ville. Mais depuis 2002, le paysage qui s'offre à son oeil d'artiste disparaît sous les coups des bulldozers. Témoin privilégié de ces changements, Charles Chauderlot dépeint dans ces dessins cette disparition du patrimoine humain et historique de la Chine. Mot(s) clés libre(s) : arts graphiques, charles chauderlot (1952-....), dessin, patrimoine culturel, pékin (chine), politique culturelle
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Le cinéma comme art
/ Mission 2000 en France
/ 23-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAKOWSKI Claude
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Le cinéma comme art par Claude Makovski Abel Gance disait : " Il y a le cinéma et l'art du cinéma ". Il savait de quoi il parlait, lui qui nous a laissé quelques chef-d'oeuvres incontestés du 7ème art : La Roue, J'Accuse ou le prodigieux Napoléon. Après une description introductive à la praxis cinématographique, puis une seconde partie consacrée aux aléas qui jalonnent la jeune histoire du cinéma (105 ans, bientôt 106 : quatre générations d'imaginaires renouvelés), la troisième partie de l'exposé sera dévolue au récit de quelques exemples choisis qui montreront en outre la fragilité de la pérennité des oeuvres cinématographiques, dont l'avenir dépendra de nouvelles vigilances de conservation et d'une prise de conscience non exclusivement sectaire ni marchande du patrimoine filmé, source inépuisable de culture et de création. Enfin, les nouvelles technologies permettront-elles à la fois de desserrer l'étau parfois oppressant des " décideurs " (ceux, qui, tenant les cordons de l'industrie, commandent aux créateurs) et d'apporter des techniques inédites de protection et de prolongement vital des films dont l'existence affirme la présence de l'Art du Cinéma ? Mot(s) clés libre(s) : art cinématographique, cinéma, cinéma (technique), cinéma numérique, femmes et cinéma, films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel
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Le mécénat appliqué au patrimoine aéronautique
/ Musée de l’Air et de l’Espace
/ 29-03-2013
/ Canal-u.fr
DUBOIS Marc
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Mot(s) clés libre(s) : investissement, fiscalité, patrimoine culturel, mécénat
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Le Ta'arof, l'art de la politesse iranienne
/ Chiara Vuillaume, Anne-Salomé Daure, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 23-03-2016
/ Canal-u.fr
Anvar Leili, Motaghedi Mahmoud
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Leili Anvar, maître de conférences en littérature persane à l'INALCO, et le Docteur Mahmoud Motaghedi, poète, chercheur en littérature persane et critique littéraire, présentent dans cet entretien les différents aspects du Ta'arof, une politesse codifiée spécifique à l'Iran dont le concept est difficile à cerner et représenter. Caractéristique linguistique et sociale, le Ta'arof joue un rôle primordial
dans la construction identitaire du peuple iranien et fait appel au dualisme de la pensée iranienne. Coutume centrale
remontant à des temps anciens, elle détient une valeur patrimoniale
importante. Mot(s) clés libre(s) : code linguistique, patrimoine culturel, Iran, Persan, taarof, politesse
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Le Théâtre Picard "Chés Cabotans d'Amiens"
/ Pauline MASSOL, Adeline SPRIET, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 03-04-2016
/ Canal-u.fr
DUPONT Jean-Bernard
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En plein essor pendant le XIXe siècle, les théâtres de marionnettes disparaissent peu à peu après la première guerre mondiale notamment à cause de l'arrivée du cinéma. Cependant, à Amiens on voit naître une troupe de marionnettistes picards, appelée "Chés Cabotans d'Amiens" et dont le but est de continuer à faire vivre le patrimoine culturel de la région.
Le Théâtre Chés Cabotans d'Amiens, c'est aussi une manière de faire perdurer la Langue Picarde. Depuis le début du XXe siècle, alors que l'on prône le français "national", l'usage du picard s'est vu peu à peu disparaître. Le théâtre est le dernier lieu en Picardie où la langue régionale est parlée de manière officielle, d'où l'importance de celui-ci.
Le théâtre qui se situe au coeur du quartier Saint Leu à Amiens se produit aujourd'hui encore plusieurs fois par semaine pour le plaisir des plus jeunes comme des plus âgés. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, Picardie, Picard, Théâtre de marionnettes, Chés Cabotans, Saint Leu, Marionnettes, Théâtre, arts et traditions populaires, langues régionales, amiens, protection du patrimoine culturel, patrimoine culturel populaire
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Les collections du musée de la voiture de tourisme de Compiègne : présentation technique de voitures ou représentation d'une société et d'un phénomène social ?
/ 10-04-2015
/ Canal-u.fr
PRIVAT - SAVIGNY Maria - Anne
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Chaque année, une journée d’études est organisée lors du Carrefour de
l’Air au Musée de l'air et de l'Espace, pour étudier les questions
relatives à la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine
aéronautique. Elles ne peuvent trouver leur pertinence que par des croisements
de regards avec des collections d’un autre type, avec des spécialistes d’autres
disciplines. Cette journée s’adresse à tous ceux qui sont impliqués dans la
conservation du patrimoine aéronautique : musées, associations, particuliers,…
La journée d’études « collecter, conserver et restaurer le patrimoine
aéronautique » avait pour thème 2015 : Histoire, mémoire,
représentations et collections dans les musées d’histoire et de techniques.
Un musée, avant d’être une structure administrative ou un bâtiment est avant
tout une collection suivant les termes de la loi de 2002 qui fixe le cadre
d’existence et de fonctionnement des « musées de France » : le musée conserve,
restaure, étudie et présente au public les collections qu’il détient. Le
responsable de collections porte-t-il le même regard sur les oeuvres et les
objets que les spécialistes de la médiation culturelle ou du service des
publics ?
Que vient chercher et voir le visiteur ? Au-delà de l’oeuvre ou de l’objet
présenté, il y a aussi le contexte social, mental du visiteur et du
professionnel de musée. Que donne-t-on à voir aux visiteurs ? Les regards se
croisent mais voient-ils la même chose ?
Cette journée d’études est centrée sur les questions de l’histoire des
représentations et des mentalités autour des collections techniques et
scientifiques. Les premières communications ont pour but de placer le cadre
général de la réflexion. Dans une seconde partie, des responsables de
collections, dans des interventions courtes, placeront cette question des
représentations au niveau des collections que ce soit au musée de l’Air et de
l’Espace ou dans d’autres institutions. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, musée, voiture, collection
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Les collections graphiques du Musée de l'Air et de l'Espace : quelles "images" acquérir
/ 10-04-2015
/ Canal-u.fr
RAYNAUD Clémence
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Chaque année, une journée d’études est organisée lors du Carrefour de
l’Air au Musée de l'air et de l'Espace, pour étudier les questions
relatives à la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine
aéronautique. Elles ne peuvent trouver leur pertinence que par des croisements
de regards avec des collections d’un autre type, avec des spécialistes d’autres
disciplines. Cette journée s’adresse à tous ceux qui sont impliqués dans la
conservation du patrimoine aéronautique : musées, associations, particuliers,…
La journée d’études « collecter, conserver et restaurer le patrimoine
aéronautique » avait pour thème 2015 : Histoire, mémoire,
représentations et collections dans les musées d’histoire et de techniques.
Un musée, avant d’être une structure administrative ou un bâtiment est avant
tout une collection suivant les termes de la loi de 2002 qui fixe le cadre
d’existence et de fonctionnement des « musées de France » : le musée conserve,
restaure, étudie et présente au public les collections qu’il détient. Le
responsable de collections porte-t-il le même regard sur les oeuvres et les
objets que les spécialistes de la médiation culturelle ou du service des
publics ?
Que vient chercher et voir le visiteur ? Au-delà de l’oeuvre ou de l’objet
présenté, il y a aussi le contexte social, mental du visiteur et du
professionnel de musée. Que donne-t-on à voir aux visiteurs ? Les regards se
croisent mais voient-ils la même chose ?
Cette journée d’études est centrée sur les questions de l’histoire des
représentations et des mentalités autour des collections techniques et
scientifiques. Les premières communications ont pour but de placer le cadre
général de la réflexion. Dans une seconde partie, des responsables de
collections, dans des interventions courtes, placeront cette question des
représentations au niveau des collections que ce soit au musée de l’Air et de
l’Espace ou dans d’autres institutions. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, arts graphiques, musée, collection
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