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Forum Nîmois - Charles GIDE - MAFFESOLI - 4 décembre 2012
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour sa conférence du cycle "le forum Nîmois Charles GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit dans un salon de l’hôtel Atria à Nîmes Michel MaffesoliMichel Maffesoli (né le 14 novembre 1944 à Graissessac, Hérault) est un sociologue français. Ancien élève de Gilbert Durand et de Julien Freund, professeur à l'université Paris Descartes, Michel Maffesoli a développé un travail autour de la question du lien social communautaire, de la prévalence de l'imaginaire et de la vie quotidienne dans les sociétés contemporaines, contribuant ainsi à l'approche du paradigme postmoderne.Ses travaux encouragent le développement des sociologies compréhensive et phénoménologique, en insistant notamment sur les apports de Georg Simmel, Alfred Schütz, Georges Bataille et Jean-Marie Guyau.Vice-président de l'Institut international de Sociologie fondé en 1893 par René Worms.Il vient nous parler de son dernier ouvrage "Homo economicus" Des communions émotionnelles, Paris, CRNS Editions, 2012. Mot(s) clés libre(s) : sociologies compréhensive, phénoménologique
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Ce que la phénoménologie peut apprendre de la danse
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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A propos de la
répétition dans (re)place de Wendy Woodson
Le succès théorique de la phénoménologie est grandissant dans les études en danse – la raison en est
sans nul doute qu’au moins depuis Merleau-Ponty, elle se distingue par sa manière d’aborder la
question du corps et de «l’incarnation», questions qui traversent à l’évidence le champ
chorégraphique. Pourtant, la tradition phénoménologique a peu thématisé la danse comme telle, et
même les phénoménologues les plus récents s’y confrontent rarement.
C’est cette voie que nous voudrions tracer, non pas en tentant de voir ce que les concepts des
phénoménologues peuvent apporter à la compréhension de la danse, mais plutôt en essayant de penser
« chorégraphiquement » les problématiques phénoménologiques. De ce point de vue, c’est la
prévalence du concept merleau-pontyen de corps propre qu’il s’agira de contester, en lui substituant
une approche plus dynamique où le corps apparaîtra comme déposé par le mouvement, comme la
première « chose » que le mouvement s’approprie.
Agrégé de philosophie, ancien étudiant à l’ENS-Ulm, Romain Bigé prépare une thèse de philosophie
dirigée par Renaud Barbaras (doctorat SACRe de PSL*, Archives Husserl et CNSMDP).
Parallèlement à ses recherches au croisement des études en danse et de la phénoménologie, il
poursuit une formation en danse-contact.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, mouvement, phénoménologie, Maurice Merleau-Ponty, repetition
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Vers une phénoménologie interne du corps dansant
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Conférence-atelier
La danse n’est devenue un objet de la réflexion théorique que fort tardivement. Celle-ci a tenté de
l’appréhender à travers le prisme de disciplines fort avancées du savoir qui lui ont imposé des cadres
et des outils d’analyse étrangers à sa mesure. L’enjeu de notre recherche consiste à renverser les
perspectives et à montrer qu’il revient au savoir du corps dansant de se donner ses propres
commencements et ses formes propres de pensée. Ce faisant, il se révèle capable de fournir le pivot
d’une réévaluation décloisonnante des arts à partir des élans et des gestes corporels qui constituent leur
faire. L’effort méthodologique consiste ici à partir de l’expérience du corps en studio, c’est-à-dire en
travail dans la situation de l’atelier, là où se fabrique, s’expérimente et se potentialise la poétique du
geste. Qu’est-ce qui « anime » le corps ? Qu’est-ce qui, par-delà, le rend dansant, et non simplement
gesticulant ?
Alice Godfroy est danseuse, agrégée de Lettres, Docteure en littérature comparée et enseignante en
danse à l’université de Strasbourg.
Jean Clam est philosophe, sociologue et psychologue, chargé de recherche au CNRS. Parmi ses
récentes publications : L’intime: Genèses, régimes, nouages, Paris 2007; Orexis, l’animation du
corps, Paris 2012 (www.jean-clam.org).
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, corps, interne, atelier, phenomenologie
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JPPPE 2008 - Discours d'accueil
/ CERIMES, SPI-EAO, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 10-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAMUS Vincent
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Discours d'ouverture des journées psychiatrie, phénoménologie et philosophie de l'esprit - Tours les 10, 11 janvier 2008 Mot(s) clés libre(s) : introduction, Journées psychiatrie, JPPPE 2008, phénoménologie et philosophie de l'esprit, Tours
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CNIPsy 2010 Marseille - L’esprit malade, l’objet même de la psychiatrie.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CASTEL Pierre-Henri
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Péripéties dans l’histoire de la psychiatrie.Titre : CNIPsy 2010 Marseille – L’esprit malade, l’objet même de la psychiatrie.Résumé : On pourrait croire la psychiatrie atteinte d’amnésie antérograde, oubliant à mesure les chemins qui l’ont conduite au présent. Et son histoire, elle la réécrit parfois avec une extraordinaire politisation sélective.En France, l’interrogation sur l’histoire de la psychiatrie a eu du mal à de dégager des paradigmes ensorcelants de Michel FOUCAULT. Ses épigones ont longtemps nagé dans les délices et les angoisses d’une critique de l’assujettissement des individus par un supposé biopouvoir (Pierre-Henri CASTEL), aux dépens d’une description contextualisée des concepts et de leurs usages, sur le fond des formes historiques et sociales.On résume souvent aussi l’histoire de la psychiatrie à un mouvement de balancier entre un pôle organiciste - volontiers taxé de réductionnisme – et un pôle psycho dynamique qui porterait seul une médecine douce opposée aux sciences dures (A FAGOT-LARGEAULT).Où placer alors l’exigence éthique, intrinsèque à la médecine, d’un fondement rationnel à la pratique ?Modérateurs : Dr Catherine PAULET, Grégoire BILLONAuteur : Pierre-Henri CASTEL (psychologue clinicien, directeur du Centre de Recherche Psychotropes, Santé mentale et Société, Université Paris Descartes).Ses nombreux travaux sur l’histoire et l’épistémologie des sciences psychologiques et médicales ont fait l’objet du récent ouvrage L’Esprit malade. Cerveaux, folies, individus, Les éditions d’Ithaque, 2009.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : amnésie, CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, ontologie, phénoménologie, reconstruction, schizophrénie, sciences cognitives
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JPPPE 2008 - L'intersubjectivité, perspective neuroscientifique et perspective phénoménologique
/ SPI-EAO, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 11-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CERMOLACCE Michel
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Présentation de Michel Cermolacce Mot(s) clés libre(s) : intersubjectivité, journées psychiatrie, JPPPE 2008, phénoménologie et philosophie de l'esprit, Tours
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Dürer, Schiller, Heidegger : l'œuvre d'art, la chose, le monde (par Jean-François Courtine)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 11-02-2014
/ Canal-u.fr
COURTINE Jean-François
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Dürer, Schiller, Heidegger : l'œuvre d'art, la chose, le mondeLa semaine dernière, après avoir envisagé dans son contexte (l’œuvre de Ernst Jünger : La mobilisation totale, Le travailleur), puis amorcé l’étude de quelques termes directeurs de la réflexion heideggérienne consacrée à « l’essence de la technique » : la Machenschaft comme l’empire du faire et de l’efficience, le Ge-stell, comme dispositif général de mise à disposition et d’exploitation de tout ce qui est, nous étudierons lors de la séance du mardi 11 février une autre entente et une autre accentuation de la tekhnè, au titre de l’art et de l’œuvre d’art.Sur cet autre version de la pro-duction (Hervor-bringen) et de la monstration (« épiphanie »), nous suivrons, à partir d’un séminaire (1936-1937) pour étudiants débutants consacré à Schiller (Les lettres sur l’éducation du genre humain), le statut ontologique de l’œuvre d’art, comme ouverture au monde et possible reconquête des choses appréhendées dans leur singularité et leur heccéité (haecceitas). Mot(s) clés libre(s) : ontologie, Friedrich von Schiller, heccéité, haecceitas, tekhnè, épiphanie, Albrecht Dürer, oeuvre d'art, phénoménologie, Martin Heidegger, art pictural
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CNIPsy 2010 Marseille - Le monde d’une malade et son histoire.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DE GANDT François
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – Le monde d’une malade et son histoire : BINSWANGER sur le cas Suzanne URBANRésumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzan URBAN relaté par Ludwig BINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHIAuteur : François de GANDT (philosophe et historien des sciences à l’Université Lille III). Il nous donnera l’occasion de revenir sur la phénoménologie psychiatrique, qui a connu à Marseille un destin singulier. Outre sa connaissance des sources philosophiques de la phénoménologie - Husserl et Galilée : sur la crise des sciences européennes, Vrin, 2004 - il nous reconduira à ses sources psychiatriques dans l’œuvre de Ludwig BINSWANGER.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, maladie mentale, phénoménologie, sciences cognitives, Suzanne Urban
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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