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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience, ou Bergson et la valse à trois temps (par Camille Riquier)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-03-2014
/ Canal-u.fr
RIQUIER Camille
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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience de Bergson. Mot(s) clés libre(s) : espace-temps, chronologie, perception du temps, Temps vécu, durée, conscience de soi (philosophie), Gilles Deleuze, contribution au concept de temps, perception spatiale, spatialisation
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Espoir et Histoire
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 05-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
RIOT-SARCEY Michèle
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Les mouvements de révolte qui secouent actuellement notre société sont symptomatiques d'une crise du jeu démocratique. La représentation politique ne fonctionne pas comme elle le devrait puisqu'il est désormais nécessaire de s'exprimer ailleurs, hors du cadre ordinaire de représentation. Pourquoi assistons-nous à une crise aussi éloquente et visible? Est-il possible d'envisager le devenir d'une humanité en difficulté en terme d'espoir?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : crise démocratique, crise sociale, démocratie représentative, Emmanuel Kant, espoir, histoire politique, instruction, liberté, philosophie du progrès, raison critique, savoir, siècle des Lumières
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Héritages et survivances de Jacques Derrida.
Séance de l'après-midi - Partie 3 - 6 novembre 2014
/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 06-11-2014
/ Canal-u.fr
RIGAL Elisabeth, DE FONTENAY Elisabeth
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales.
En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir.
En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue.
En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie.
Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.
Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir. Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ?
Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici
>> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”.
>> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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Héritages et survivances de Jacques Derrida.
Séance de l'après-midi - Partie 2 - 6 novembre 2014
/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 06-11-2014
/ Canal-u.fr
RIGAL Elisabeth, JULLIEN François, DEGUY Michel
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales.
En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir.
En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue.
En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie.
Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.
Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir. Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ?
Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici
>> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”.
>> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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Phénoménologie et politique : Arendt et Merleau-Ponty
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
REVAULT D'ALLONNES Myriam
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéMyriam Revault d'Allones étudie ici le rapport problématique qu'entretiennent la philosophie et la politique à partir de l'oeuvre d'Hanna Arendt et de Merleau Ponty. La rencontre de la philosophie et du monde ne va pas de soi. Merleau Ponty se demande si la politique peut jamais s'énoncer dans la prose du vrai. Anna Harendt, qui radicalise ce propos, insiste sur le caractère foncièrement anti-politique de la philosophie, y compris de la philosophie politique, attachée avant tout à se défaire du monde. La philosophie politique a un statut problématique parce qu'elle se trouve précisément à l'intersection de la philosophie et de la non-philosophie, de la spéculation et de l'expérience. Cette relation problématique est incarnée de façon emblématique par Socrate dans son rapport à la cité. Sa figure est longuement évoquée par Merleau Ponty dans sa leçon inaugurale au collège de France, "Eloge de la philosophie". Arendt et Merleau Ponty récusent tous deux la position légiférante de la philosophie sur la politique.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Hanna Arendt, Maurice Merleau-Ponty, phénoménologie, philosophie, politique
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024 - Débat Avec et contre la théorie critique au nom de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineRésumé Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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023 - Avec et contre la théorie critique au nom de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque MaI 68 en quarantaine Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo,Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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019 - Débat Les transformations de la philosophie française et le legs de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineRésumé La pensée française a connu, durant les années 1970-1980, de profondes transformations dans le domaine philosophique et sociologique, avec la mise en avant du thème du « retour » : retour du libéralisme, des droits de l’homme, du sujet, de l’humanisme, etc. Cette volonté de renouvellement, s’est accompagnée d’une rupture avec les « maîtres à penser » des années 1960 (Foucault, Bourdieu, etc.), et de la promotion de nouvelles interprétations de Mai 68. Cette communication se propose d’analyser les enjeux des ces déplacements intellectuels.Bibliographie S. Audier, La pensée anti-68 : Essai sur les origines d’une restauration intellectuelle, La découverte, 2008Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anti-humanisme, consumérisme, France, individualisme, libéralisme, mai 68, philosophie et politique, vie intellectuelle
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À propos de Spinoza (Charles Ramond)
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 04-07-2006
/ Canal-U - OAI Archive
RAMOND Charles, WORMSER Gérard
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Comment et pourquoi devient-on spinoziste ? Le travail de traduction comme entreprise collective d'une grande ambition scientifique.L'influence des interprétations d'Alexandre Matron et de Martial Guéroult. La question de l'obéissance dans le Traité politique et le Traité théologico-politique. Obéissance et consentement. Obéissance et démocratie. La durée comme critère de valeur du régime démocratique. "Toute existence est alliance". Paix et démocratie. La liberté de pensée. Mot(s) clés libre(s) : philosophie, Spinoza
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JPPE 2008 - Sens de l'agir, sens du propre et conscience de soi et psychopathologie
/ SPI-EAO, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 10-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PROUST Joëlle
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Présentation de Joëlle PROUST Mot(s) clés libre(s) : Journées psychiatrie, JPPPE 2008, phénoménologie et philosophie de l'esprit, Tours
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