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Quelle politique énergétique pour respecter la planète ?
/ Sylvain Hermelin, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 28-11-2007
/ Unisciel
Bigot Bernard
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Une conférence de Bernard Bigot, Haut-commissaire à l'énergie atomique. Quelque soient les
économies que l'on envisage, les standards de niveau de vie actuels
conduisent à des consommations à la fin du siècle qui se comptent en au moins une vingtaine de milliards de
tonnes d'équivalent pétrole d'énergie primaire par an, soit au moins le double de ce que nous
consommons maintenant. À quelles ressources, à quelles technologies de transformation, pouvons-vous
faire appel sans risquer de bouleverser profondément l'environnement et le fonctionnement
global de notre planète ? Des propositions faisant appel à une combinaison des énergies
renouvelables et des énergies nucléaires sont présentées pour tenter de répondre à ces questions. Mot(s) clés libre(s) : haut-commissaire à l'énergie atomique, énergie, politique énergétique, énergie renouvelable, biomasse, éolien, nucléaire, énergie nucléaire, consommation énergétique, ressource énergétique, économie d'énergie, éolienne, développement durable, gaz à effet de serre, réchauffement climatique, environnement, fusion, fission, iter, tokamak, fusion magnétique, tritium, deutérium, réacteur nucléaire, EPR, combustible, déchet nucléaire, uranium, stockage géologique, stockage des déchets, réacteur à neutrons rapides, RNR
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Médecine Interne, Médecine Générale : des combats aux enjeux partagés
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 11-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BEYLOT Jacques
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Jacques Beylot, Professeur de Médecine Interne, retrace les nombreux combats menés pour le développement de cette spécialité, les difficultés rencontrées, et l’intégration corollaire de la Médecine Générale au CHU. Cette vision dynamique fait état d’inquiétudes quant à l’avenir de ces deux spécialités.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 à l'occasion du 58ème Congrès de la Société Nationale Française de Médécine Interne (S.N.F.M.I.) le 11 décembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : hôpitaux (politique publique), médecine (histoire), médecine interne (france), politique sanitaire (france)
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Changement institutionnel et fiscalité dans le monde hispanique (1750-1850) : ouverture du colloque
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 17-10-2011
/ Canal-u.fr
BERTRAND Michel, MICHONNEAU Stéphane, MOUTOUKIAS Zacarías
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Changement institutionnel et fiscalité dans le monde hispanique (1750-1850) : ouverture du colloque / Michel Bertrand, Stéphane Michonneau, Zacarías Moutoukias. Colloque organisé par le laboratoire "France Méridionale et Espagne : histoire des sociétés du Moyen-Âge à l'époque contemporaine" (FRAMESPA). Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 17-19 octobre 2011.
Ce colloque propose un débat sur les mécanismes d'évolution des institutions politiques, administratives et sociales, durant cette période de profondes mutations de la Monarchie hispanique. Et il cherche a appréhender ces mécanismes à partir de l'histoire de la fiscalité et a travers l'analyse des liens entre cette dernière et la vie économique ou politique, ainsi que celle des aspects sociaux liés a son fonctionnement. Par conséquent, les problèmes fiscaux sont envisagés dans leur interdépendance avec les transformations et les bouleversements institutionnels plus vastes. Cette approche a amené à choisir comme point de départ du colloque l’intérieur même des dynamiques institutionnelles. Par l'étude d'un seul phénomène dans des contextes divers, mais à l'intérieur d'un même cadre institutionnel global et d'une même tradition administrative – celle de l'Empire espagnol- il s'agit d'approfondir la nature des liens, très complexes, qui relient les changements politiques, sociaux et économiques et dégager des articulations transposables tant dans le champ des études économiques que dans celles des études sur l'Etat et les réseaux de pouvoir. La succession de crises et bouleversements depuis la Guerre de Sept Ans et le début des réformes des Bourbons jusqu’à l'occupation napoléonienne de la péninsule Ibérique, avec pour corollaire les indépendances et le financement de la guerre ainsi que la construction des nouveaux Etats de deux cotés de l’Atlantique, constitue le contexte dans lequel s’inscrit la réflexion.
El presente coloquio intenta organizar un debate sobre los mecanismos de evolución de las instituciones políticas, administrativas y sociales que se sucedieron en los territorios de la monarquía hispana, durante dicho periodo de profundas mutaciones. Y el coloquio procura aprehender dichos mecanismos a partir de la historia de la fiscalidad y del análisis de los lazos que la vinculan a la vida económica y política, así como de los aspectos sociales de su funcionamiento. Se considera, por lo tanto, a los problemas fiscales en su interdependencia con las transformaciones y los trastornos institucionales más amplios. Este enfoque ha conducido a situar la perspectiva de nuestro coloquio a partir del interior mismo de las dinámicas institucionales. Por medio del estudio de un mismo fenómeno -el de la fiscalidad- en contextos diversos, pero dentro del mismo marco institucional global y de la común tradición administrativa del imperio español, pretendemos profundizar el análisis de la naturaleza de los vínculos, extremadamente complejos, que unen los cambios políticos, sociales y económicos. E identificar de este modo las articulaciones que pueden transponerse tanto al campo de los estudios económicos, como al de los estudios sobre el estado y de las redes de poder. La sucesión de crisis y trastornos que se fueron sucediendo entre, por un lado, la Guerra de Siete Años y el comienzo de las Reformas borbónicas y, por el otro, la ocupación napoleónica de España, con su corolario de independencias y construcción de nuevos estados a ambos lados del Atlántico, constituye entonces el contexto en el cual se sitúa la reflexión. Mot(s) clés libre(s) : administration publique (modernisation), politique fiscale (1750-1850), civilisation hispanique (histoire), Espagne (18e-19e siècle), économie politique (Amérique latine), Amérique latine (18e-19e siècle), Mexique (1800-1850), Impôts fonciers, région du rio de la Plata (Argentine-Uruguay)
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Le "travail du rire" : la figure de Franco dans le cinéma post-franquiste
/ Marie Dessaillen
/ 05-06-2016
/ Canal-u.fr
Berthier Nancy
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À travers l’examen d’une série de films sortis en Espagne après la mort de Franco, cette conférence s’attache à analyser la manière dont le cinéma espagnol a très tôt ressenti la nécessité de porter un regard critique sur la figure de Francisco Franco par un traitement subversif de son image, telle qu’elle s’était cristallisée durant la dictature (1939-1975). Nancy Berthier, professeur à l'Université Paris-Sorbonne (chaire Arts visuels du monde hispanique) étudie ici les mécanismes de ce qui, moyennant un véritable « travail du rire », s’apparente à une salutaire forme de déboulonnage de statue. Mot(s) clés libre(s) : cinéma espagnol, Franco, satire politique, comédie, morbida
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ? Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : capitalisme (chine), économie politique (chine), mondialisation
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-u.fr
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ?
Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme (chine), économie politique (chine)
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Rendez-vous de crise : la culture a-t-elle un avenir ? Séq. 2
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 24-11-2011
/ Canal-u.fr
BENHAMOU Françoise, HERSANT Yves, MENGER Pierre-Michel, FABIANI Jean-Louis
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Débat dans le cadre du cycle Rendez-vous de crise organisé par les Cercles de formation de l'EHESS et les Editions de l'EHESS
Peut-on penser la culture hors de ses enjeux politiques et
financiers ? La culture est-elle promise à n’être qu’une industrie culturelle
dans une société de loisirs ? La culture de masse est-elle le versant négatif
d’une culture de luxe qui serait réservée à certaines élites ?
L’exception culturelle existe-t-elle encore ? Ce débat
tentera sinon de répondre à ces questions, du moins d’y apporter quelque
clarté.
Avec
Françoise Benhamou, économiste, Professeur à l'Université
Paris 13, membre du Cercle des Economistes, Présidente de l'ACEI (Association
for Cultural Economics International), membre du Conseil d’administration et du
Conseil scientifique du Musée du Louvre. Dernier ouvrage paru : Les
dérèglements de l'exception culturelle : Plaidoyer pour une perspective
européenne (Seuil, 2006) et avec Joëlle Frachy Droit d'auteur et copyright
(coll. Repères, La Découverte, 2007)
Jean-Louis Fabiani, directeur d'études à l'EHESS et professor
à Central European University Budapest. Travaille sur l'analyse sociologique
des pratiques culturelles. Dernier ouvrage paru : Qu’est-ce qu’un philosophe
français? La vie sociale des concepts (1880 - 1980) (Éditions de l’EHESS,
2010)
Pierre-Michel Menger, sociologue, directeur de recherche au
CNRS et directeur d'études à l'EHESS. Dernier ouvrage paru : Les intermittents
du spectacle. Sociologie du travail flexible, 2e édition augmentée, Paris
(Éditions de l'EHESS, 2011)
Yves Hersant (modérateur du débat), directeur d'études de
"Histoire et critique de l'humanisme" à l’EHESS, membre du comité de
rédaction de la revue "Critique". Dernier ouvrage paru : Mélancolies,
de l'Antiquité au XXe siècle (Bouquins Laffont, 2005) Mot(s) clés libre(s) : politique culturelle, exception culturelle, pratiques culturelles, industries culturelles
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Rendez-vous de crise : la culture a-t-elle un avenir ? Séq. 1
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 24-11-2011
/ Canal-u.fr
BENHAMOU Françoise, HERSANT Yves, MENGER Pierre-Michel, FABIANI Jean-Louis
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Débat dans le cadre du cycle Rendez-vous de crise organisé par les Cercles de formation de l'EHESS et les Editions de l'EHESS
Peut-on penser la culture hors de ses enjeux politiques et
financiers ? La culture est-elle promise à n’être qu’une industrie culturelle
dans une société de loisirs ? La culture de masse est-elle le versant négatif
d’une culture de luxe qui serait réservée à certaines élites ?
L’exception culturelle existe-t-elle encore ? Ce débat
tentera sinon de répondre à ces questions, du moins d’y apporter quelque
clarté.
Avec
Françoise Benhamou, économiste, Professeur à l'Université
Paris 13, membre du Cercle des Economistes, Présidente de l'ACEI (Association
for Cultural Economics International), membre du Conseil d’administration et du
Conseil scientifique du Musée du Louvre. Dernier ouvrage paru : Les
dérèglements de l'exception culturelle : Plaidoyer pour une perspective
européenne (Seuil, 2006) et avec Joëlle Frachy Droit d'auteur et copyright
(coll. Repères, La Découverte, 2007)
Jean-Louis Fabiani, directeur d'études à l'EHESS et professor
à Central European University Budapest. Travaille sur l'analyse sociologique
des pratiques culturelles. Dernier ouvrage paru : Qu’est-ce qu’un philosophe
français? La vie sociale des concepts (1880 - 1980) (Éditions de l’EHESS,
2010)
Pierre-Michel Menger, sociologue, directeur de recherche au
CNRS et directeur d'études à l'EHESS. Dernier ouvrage paru : Les intermittents
du spectacle. Sociologie du travail flexible, 2e édition augmentée, Paris
(Éditions de l'EHESS, 2011)
Yves Hersant (modérateur du débat), directeur d'études de
"Histoire et critique de l'humanisme" à l’EHESS, membre du comité de
rédaction de la revue "Critique". Dernier ouvrage paru : Mélancolies,
de l'Antiquité au XXe siècle (Bouquins Laffont, 2005) Mot(s) clés libre(s) : politique culturelle, exception culturelle, pratiques culturelles, industries culturelles
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Demain, l’Université
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 10-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BEGAUD Bernard
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L’étiolement en France de la conception d’une université comme unique lieu de production du savoir et d’échange, et la conséquente création des grandes écoles, organismes de recherche, IUT…, ont appauvri, en même temps que le sous-financement et le manque d’autonomie, l’université française.Et demain ? L’université devra se construire autour des initiatives à venir. La loi de liberté et d’autonomie, dite loi Pécresse (LRU), sera un premier pas en avant car elle propose du mieux, surtout en matière de budget global, mais ses champs d’action restent encore trop limités : elle ne s’attaque ni au problème des droits d’inscription et de l’égalité des chances, ni à la question des moyens. Une prise de conscience est indispensable : l’université doit devenir une priorité absolue.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2007-2008 sur le thème "Demain, Après-demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : enseignement supérieur, politique publique, universités
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Les relations Paris-banlieue à l'ère des régions urbaines
/ UTLS - la suite
/ 25-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BECKOUCHE Pierre
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Introduction. L'ère des régions urbaines La révolution de la mobilité et des transports change les territoires en profondeurs. Les villes, particulièrement les métropoles dynamiques et attractives, redéploient leurs hommes, leurs équipements et leurs activités sur des territoires plus vastes, qui dépassent les délimitations institutionnelles traditionnelles de la « ville ». Dans tous les pays, il faut désormais raisonner en terme de vastes régions urbaines. 1. Etalement urbain et fragmentation institutionnelle : le cas parisien La fragmentation institutionnelle - particulièrement communale - propre à la France, se vérifie bien entendu en région parisienne. Cela complique le passage à une gestion intégrée de l'espace urbain. Elle est accentuée par l'ancienneté et la dureté de la séparation entre Paris et sa banlieue. 2. Les éléments de discontinuité entre Paris et sa banlieue Rappel des repères historiques : le rejet de l'activité ouvrière en périphérie ; les choix du système de transport de la fin du XIXème siècle (métro) ; le découpage départemental des années 1960 entre Paris et banlieue rouge. Epoque actuelle : persistance de la coupure urbaine du périphérique ; persistance des effets institutionnels du découpage départemental ; concurrence entre Paris et banlieue pour l'attraction des entreprises, des centres commerciaux et des grands équipements publics. 3. Les éléments d'intégration Le système de transport ; le desserrement des activités économiques parisienne par-delà le périphérique ; la conquête de la proche banlieue par les classes bourgeoises ; la tradition d'une planification et d'un aménagement menés à l'échelle régionale (Schéma directeur d'Ile-de-France). 4. La nouvelle donne de l'aménagement La revalorisation de la zone dense (Paris plus proche couronne) depuis une dizaine d'années. L'ouverture des mairies de Paris et de proche couronne ; les projets d'aménagement des portes de Paris. Mot(s) clés libre(s) : banlieues, croissance urbaine, géographie urbaine, paris (france), politique urbaine, transports urbains, urbanisme
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