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(CERSE) - 14 - Une régulation incertaine des politiques publiques dans la socialisation des enfants et des jeunes
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Journées scientifiques du CERSE organisées par l’équipe Enfances, Jeunesses et Cultures, CERSE EA 965(Centre d’études et de Recherche en Sciences de l’éducation)Pôle Formation Éducation Travail Emploi
Pôle pluridisciplinaire de la MRSH de CaenPartager les responsabilités de l’éducation des enfants et des jeunesDe modèles pour penser à des propositions pour agirUniversité de Caen Basse-Normandie
amphithéâtre Jacquet SE 113 – bâtiment L (Sciences) – Campus 1
Jeudi 13 février 2013Gérard Neyrand PRISSMH, Université P. Sabatier Toulouse 3Une régulation incertaine des politiques publiques dans la socialisation des enfants et des jeunesConfrontées à la complexification de la socialisation enfantine avec la diversification des situations familiales et l’importance nouvelle prise par les médias et l’accueil de la petite enfance, les politiques publiques tentent d’encadrer tant bien que mal la mutation en cours tout en déléguant à la société civile et aux associations un certain nombre de fonctions d’accompagnement. Si cette affirmation d’une logique néolibérale se déroule conjointement à la professionnalisation des métiers de la petite enfance et de l’animation et à un contrôle accru des discours des médias en direction de l’enfance, elle a pour caractéristique de porter essentiellement sur la parentalité et de promouvoir ainsi les parents à la place de principaux acteurs éducatifs, alors même qu’ils sont dépossédés d’un certain nombre de leurs prérogatives antérieures. L’injonction qui leur est faite au contrôle éducatif et à la régulation des interactions entre les instances de socialisation a tendance à occulter le poids des rapports sociaux dans la définition de leurs situations et à psychologiser ainsi le rapport éducatif. Le risque inhérent à cette logique néolibérale de responsabilisation individuelle consiste à produire une sur-responsabilité parentale tendant à faire porter aux individus tout le poids de leur situation sociale, tout en discriminant les discours au regard de l’appartenance à un milieu social et à un genre. Nous essaierons de pointer quelques-unes des contradictions à l’oeuvre dans ce positionnement ambigu de l’action publique envers les familles. Mot(s) clés libre(s) : modèle, projet éducatif, proposition, éducation, socialisation, politiques publiques, jeune, responsabilité, acteurs, divergences
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(CERSE) - 15 - Discussion avec Gérard Neyrand
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Journées scientifiques du CERSE organisées par l’équipe Enfances, Jeunesses et Cultures, CERSE EA 965(Centre d’études et de Recherche en Sciences de l’éducation)Pôle Formation Éducation Travail Emploi
Pôle pluridisciplinaire de la MRSH de CaenPartager les responsabilités de l’éducation des enfants et des jeunesDe modèles pour penser à des propositions pour agirUniversité de Caen Basse-Normandieamphithéâtre Jacquet SE 113 – bâtiment L (Sciences) – Campus 1
Jeudi 13 février 2013Discussion avec Gérard Neyrand
PRISSMH, Université P. Sabatier Toulouse 3 Mot(s) clés libre(s) : modèle, proposition, éducation, socialisation, politiques publiques, jeune, régulation, responsabilité, acteurs, projet éducatif
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1 - Tiers-monde : De la décolonisation à la guerre froide
Guerres d’indépendances, guerres subversives, empires
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JE Raymond Aron 2014 Tiers-monde – De la décolonisation à la guerre froide
Journée d’études organisée par le CESPRA et la Société des Amis de Raymond Aron
EHESS – Amphithéâtre François Furet, 105 Bd Raspail, 75006 Paris
Enregistré le lundi 23 juin 2014
Sans jamais consacrer d’ouvrage spécifique à la question du tiers-monde, Aron n’en pas moins développé une série de réflexions fondamentales sur la question coloniale et plus encore sur la question des guerres insurrectionnelles et la nature des régimes politiques du tiers-monde. L’affaire est évidente à parcourir son œuvre de journaliste et d’écrivain politique ; que l’on pense à ses réactions et à ses analyses au jour le jour, des prémisses de la décolonisation à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, des deux guerres d’Indochine ou à ses deux livres sur le conflit algérien. Elle ne l’est pas moins si l’on relit ses ouvrages consacrés aux conflits contemporains et à la théorie de la guerre ou aux relations internationales, ou enfin ceux nés de ses cours de la Sorbonne sur les changements sociopolitiques advenus dans la seconde moitié du XXe siècle. De même développe-t-il dans ses ouvrages sur la guerre et la théorie des relations internationales une réflexion particulièrement subtile sur la nature des guerres insurrectionnelles et leur insertion partielle ou totale dans la guerre froide, comme sur les aspirations des nouveaux États indépendants ou les rapports développés par la « République impériale » avec l’Asie et l’Amérique latine. Le propos de cette journée sera de reprendre ces réflexions souvent oubliées de Raymond Aron pour montrer comment elles ouvrent des pistes novatrices non seulement pour qui cherche à comprendre la nature des régimes politiques en Asie en Afrique ou en Amérique latine durant la deuxième moitié du XXe siècle mais tout autant la nature des régimes politiques contemporains tant en Asie qu’en Afrique ou en Amérique latine.
– Présentation de la journée d’études par Gilles Bataillon, directeur d’études, EHESS-Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron
– 1ère table ronde : Guerres d’indépendances, guerres subversives, empires
Président de séance : Pierre Manent, directeur d’études, EHESS-Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron
- Raymond Aron et l’Algérie : Paul Thibaud, philosophe, ancien directeur de la revue Esprit
- Raymond Aron, analyste des guerres du Vietnam et de la guerre de Corée : Marie Danielle Demelas, professeur émérite, université Paris 3 et Ivan Cadeau, officier-historien au Service historique de la Défense.
- Les Etats-Unis et l’Amérique latine : relecture de République impériale : Gilles Bataillon, directeur d’études, EHESS- Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron
- Le génocide comme guerre totale : Rwanda 1994, Hélène Dumas, docteur en histoire de l’EHESS, ATER Mention Etudes politiques Mot(s) clés libre(s) : décolonisation, régimes politiques
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2 -Tiers-monde – De la décolonisation à la guerre froide. La question des régimes politiques du tiers-monde
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2 - Tiers-monde – De la décolonisation à la guerre froide
Journée d’études organisée par le CESPRA et la Société des Amis de Raymond Aron
2e table ronde : La question des régimes politiques du tiers-mondePrésident de séance : Gilles Bataillon
- Quelle définition politique du tiers-monde ? : Danilo Martucelli, professeur de sociologie, université Paris Descartes
- Religions séculières et populisme latino-américain. Raymond Aron, Gino Germani et le péronisme en Argentine : Daniela Slipak, chercheur, UNSAM-CONICET.En guise de conclusion : relectures commentées de « Démocratie et totalitarisme »
Président de séance : Bernard Manin, directeur d’études, EHESS-Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron
- Démocratie et totalitarisme : une lecture latino-américaniste : Vincent Bloch, docteur en sociologie de l’EHESS, chercheur associé au Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron
- Le totalitarisme chinois, réplique du totalitarisme soviétique : Lucien Bianco, directeur d’études émérite, EHESS-Centre d’études sur la Chine moderne et contemporaine Mot(s) clés libre(s) : décolonisation, régimes politiques
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3 - Les femmes et le pouvoir en Islam
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Mot(s) clés libre(s) : Islam, pouvoir, femmes et politique
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Autoritarisme politique et monde musulman - Nadine Picaudou
/ Canal-U - OAI Archive
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La formulation même du thème proposé : « Autoritarisme politique et monde musulman », m’interroge et me trouble à la fois. D’abord parce qu’en singularisant la notion d’autoritarisme politique, elle semble s’inscrire dans la postérité d’un lieu commun des représentations occidentales de l’Orient, le despotisme oriental, dont Lucette Valensi a montré ce qu’il devait à la République de Venise soucieuse de stigmatiser le rival ottoman. L’image a été reprise par Volney, l’un des pionniers du voyage en Orient, qui attribue la décadence historique de la Syrie à la tutelle despotique d’Istanbul. Mais la formule présente surtout l’inconvénient majeur de mettre en parallèle un concept politique et un qualificatif religieux, au risque de glisser d’une simple corrélation entre les deux notions à un lien causal d’explication. Ainsi lorsque Samuel Huntington observait en 1988 que sur 46 pays démocratiques dans le monde, 39 étaient chrétiens, il établissait de fait, après beaucoup d’autres, une corrélation simple entre culture politique et culture religieuse. Prétendues affinités entre christianisme et démocratie d’un côté, entre islam et régimes autoritaires du l’autre ? Les réflexions qui suivent ne se situent pas sur ce terrain là. Précisons d’emblée qu’elles se fondent sur le seul cas des sociétés arabes alors même que le monde de l’islam ne ses réduit pas on le sait au monde arabe. Après avoir posé le constat de la permanence de ce que j’appellerai globalement les autocraties arabes, je tenterai dans un deuxième temps de proposer quelques éléments d’intelligibilité du phénomène. Mot(s) clés libre(s) : islam, politique, Religion
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Ce que les crises font (faire) aux sciences sociales
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Avec Haim Burstin (Université de Milan),
Ivan Ermakoff (EHESS/Université du Wisconsin-Madison),
William Sewell (Université de Chicago),
Timothy Tackett (Université de Californie)
Débat préparé et conduit par Quentin Deluermoz (Université Paris 13/IUF) et Boris Gobille (Ecole Normale Supérieure de Lyon)
Les échanges qui suivent constituent la deuxième partie du débat organisé par la revue Politix. Revue des sciences sociales du politique, à l’occasion du numéro Protagonisme et crises politiques (2015/4, n°112). L’objectif était de revenir sur la notion de « protagonisme » forgée par H. Burstin dans son ouvrage Révolutionnaires. Pour une anthropologie politique de la Révolution française, Paris, Vendémiaire éditions, 2013, et, de là, d’aborder les questions plus générales posées aux chercheurs par les situations de crise politique ou révolutionnaire. Parue sous forme écrite dans le numéro de Politix, la première partie du débat a porté sur l’intérêt et les modalités des approches par en bas des crises, sur le rôle des sensibilités dans la dynamique révolutionnaire, sur les manières de croiser les temporalités ou encore sur les enjeux méthodologiques qui structurent l’étude par les sciences sociales de ces moments d’incertitude. Ce second temps vise à davantage de montée en généralité et à plus d’échange entre les participants, invités à confronter plus directement réflexions, terrains et disciplines. Cela explique le choix de la vidéo, qui permet de retranscrire avec plus d’immédiateté les hésitations ou discussions qui ont marqué la parole très ouverte des participants. Après avoir évoqué le contexte scientifique, les débateurs évoquent dans la vidéo qui suit les moyens de lutter contre la téléologie, la difficulté comme la nécessité de la comparaison, et enfin les dynamiques de fabrication in situ de la légitimité politique en situations de crise.
Nous remercions chaleureusement les participants d’avoir accepté le principe de cette rencontre, de s’être rendus disponibles et d’avoir fait le voyage à Paris. Merci également à Stephen Sawyer (American University of Paris) pour avoir assuré la traduction en simultané des propos de William Sewell. Le débat n’aurait pu avoir lieu sans le concours organisationnel et technique d’Ivan Ermakoff, du Centre de Recherches Sociologiques et Politiques Raymond Aron (CESPRA-UMR 8036), de Bénédicte Barillé et de Serge Blerald (Direction de l’image et de l’audiovisuel, EHESS). Mot(s) clés libre(s) : évolution, innovation, incertitude, historicité, légitimité, crise politique, protagonisme, contingence, téléologie
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FESMAN 2010 : d'Est en Ouest, du Nord au Sud
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Réalisé à Dakar, Sénégal, lors du
Troisième Festival Mondial des Arts Nègres (FESMAN) en décembre 2010, ce film - au
travers du regard de musiciens,
d'artistes plasticiens, de comédiens, de chorégraphes et de curateurs - tente
d’éclairer cette dernière édition du festival. A partir d'entretiens croisés ainsi que de courts extraits
d'œuvres, il relate l'actualité du mouvement de revendication de la Négritude
et du Panafricanisme pour ces acteurs contemporains de la scène artistique
internationale. Mot(s) clés libre(s) : Brésil, Afrique, négritude, diaspora, panafricanisme, Festival Mondial des Arts Nègres, théâtre politique
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FESMAN 2010 : do Leste à Oeste, do Norte ao Sul
/ Canal-u.fr
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O filme, que
acontece em Dakar, Senegal, em Dezembro de 2010, na ocasião do 3o Festival
Mundial de Artes Negras (FESMAN), esta realizado a partir de entrevistas
de músicos, artistas plásticos, atores, diretores de teatro, curadores do
festival. Mistura entrevistas e extratos de peças e obras apresentadas
nesta ocasião. Relata a atualidade do movimento de reivindicação de uma
identidade negra positiva e a vivacidade das utopias panafricanas para os
atores contemporâneos da cena artística internacional.
Temas: FESMAN
1966 e 2010, Negritude, Diáspora, Renascimento Africano, Musica Afro,
Brasil, Arte contemporânea, Arte e politica, Diáspora
afro-brasileira, Teatro contemporâneo na África e na diáspora, Teatro politico. Mot(s) clés libre(s) : Brésil, Afrique, négritude, diaspora, panafricanisme, Festival Mondial des Arts Nègres, théâtre politique
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Forum Nîmois - Charles GIDE - KAHN - 14 Novembre 2013
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 14 novembre 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Jean-François Khan.
Comment s'en sortir" Je vous en supplie, lisez ça !
Auteur : Jean-François KAHN
Editeur : Plon
Collection : Actualité
ISBN : 2259220290
Jean-François Kahn est un journaliste et écrivain français, historien de formation, né le 12 juin 1938 à Viroflay (Yvelines). En 1984, il crée L'Événement du jeudi puis, en 1997, l'hebdomadaire d'information Marianne dont il est le directeur jusqu'en 2007
S'en sortir, se redresser et aller de l'avant, c'est possible ! Jean-François Kahn nous propose les solutions pour agir et reconstruire la France.« Tout va mal et, si on continue comme ça, cela ira de plus en plus mal. A un bilan calamiteux risque de succéder un bilan épouvantable avec, à la clé, non pas une explosion pour le meilleur, mais une implosion pour le pire. Sauf si... sauf si la France emprunte le chemin qui lui a toujours permis, même aux heures les plus sombres de son Histoire, de rebondir et même de bondir. Sauf si, renversant les barrières, sortant de leurs tranchées, bravant des clivages de guerre civile, les forces vives de la République convergent, pour imposer, porter et réaliser ensemble, oui ensemble, le projet de salut public qui permettrait à la nation de s'en sortir. Car nous pouvons nous en sortir. Ça dépend de vous. Ça dépend de nous. Voilà comment... » J.-F. Kahn Mot(s) clés libre(s) : actions politiques, médias, jounalisme
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